Série « Les Voisins » Épisode 12 : « Monique » Se Fait Baiser Par Le Papy Qui Parvient Même À La Sodomiser.
Je mappelle Monique, jai 69 ans, veuve depuis quatre ans. Dans lépisode 11 de la série « Les voisins » du même auteur, je vous ai expliquai comment jen étais arrivée à masturber mon voisin, un papy de 85 ans. Nétant pas du tout portée sur le sexe, javais déjà souvent masturbé mon mari Bernard pour échapper à la pénétration et lorsque je ressentais sur mes doigts le sperme qui sécoulait, cela mécurait. Pourtant ce soir-là, avec mon papy, jamais je navais ressenti autant de plaisir à le branler et lorsque Jean éjacula sa semence chaude sur ma poitrine, je me retrouvais dans un état dexcitation que je navais jamais encore connu.
Lorsquil membrassa, je mabandonnai dans ses bras, je ne pensais plus du tout à son âge, espérant quune chose quil éteigne le feu que javais dans mon ventre. Pourtant lorsquil me demanda daller le coucher, jétais très déçue, je me doutais bien quil ne pourrait plus me satisfaire, son sexe était en berne. Une fois allongé sur le lit, il mattira à lui, Javais cru quil allait membrasser, mais pas du tout. Il me fit me coucher à côté de lui et passa ses mains entre mes jambes. Il cherchait ma petite culotte quil tira pour la faire descendre le long de mes cuisses.
Très gênée, je voulais protester mais je nen avais pas eu le temps et ni lenvie, il lavait déjà retirée entièrement. Jean me regarda droit dans les yeux en me montrant ma petite culotte comme si cétait un trophée et sentit le tissu mouillé en disant dun air cochon : « Je vois Monique que toi aussi ça ta bien excité. Je vais te rendre la pareille ma chérie. » Par honte, je fermais les yeux lorsque sa tête disparue entre mes cuisses fouillant ma foufoune. Je ressentais sa respiration entre mes cuisses, avec ses doigts agiles, il écarta mes grandes lèvres. «?Oh, cette belle petite chatte?!?» Je me retenais de gémir, le papy savait ce quil faisait, le désir montait en moi.
Et ce nétait que le début des hostilités, car dessous, Jean sétait mis à me lécher le clitoris.
Je désirais quil poursuive, je ne voulais pas que cela sarrête, cétait trop bon, jenfonçais son visage contre mon pubis et je gémissais comme une folle. Au moment où le majeur rejoignit son index au plus profond de mon vagin pour un va et vient magique, javais mordu le tissu de loreiller, mes doigts crispées dans sa chevelure toute blanche, je sus enfin pour la première fois de ma vie, ce quétait de jouir. Tout mon corps se trémoussait, je ne savais plus où jhabitais, tellement cétait fort. Mon papy était fier de lui, sa bouche était trempée.
Pensant quil avait encore vingt ans, il grimpa sur moi, à ce moment-là, je navais plus aucun remords, javais hâte quil me prenne car sil était aussi doué avec sa queue quavec sa langue et ses doigts, jallais sans doute jouir une seconde fois. Malheureusement, ce ne fut pas le cas, à 85 ans la verge de mon papy resta demie molle. Il sénervait entre mes cuisses, à son âge, il ne pouvait plus bander sur demande et nétait jamais parvenu à me pénétrer. Très déçu, il sétait excusé et je me surpris moi-même lorsque je lui dis sans aucune gêne cette fois-ci : « Ce nest pas grave Jean, je te promets que la prochaine fois je ne te branlerai pas. »
Javais dit cela pour blaguer, seulement je pense quil lavait mal pris. Car hormis quelques petits signes de loin et des bonjours du bout des lèvres, je navais pas discuté avec mon voisin pendant cinq jours, à croire quil me fuyait. Dans le jardin il ne se montrait à peine, lorsque je venais sonner à sa porte, il ne répondait pas, soit il était absent, soit il ne voulait pas me voir.
Intriguée, lorsque jétais allée chez Jules mon médecin traitant pour le renouvellement de mon ordonnance, jen étais venue à parler de la santé de Jean. Sans dévoiler le secret médical, il mannonça que le papy était en pleine forme, que sa tension était bonne et que les résultats de son électro-cardiogramme était impeccable : « Jean a un cur de jeune homme, je ne devrais pas te le dire Monique mais le papy a rencontré quelquun, il ma demandé de laider. » Javais également appris quil navait pas darthrose, que la semaine passée, il avait eu seulement quelques crampes dues à la fatigue, rien de bien grave. Mon voisin de 85 ballets mavait bel et bien joué la comédie et avait prévu de prendre la petite pilule bleue.
Le samedi à 8 heures du matin, je prenais le petit déjeuner, perdue dans mes pensées érotiques, jen avais plus quassez de passer pour une femme sage. Mon voisin Jean mavait fait jouir pour la première fois de ma vie et javais hâte de renouveler cette expérience fabuleuse que javais vécu la semaine précédente. Nayant prévu de recevoir personne ce jour-là, je me décidai de prendre le taureau par les cornes et je lui téléphonai pour linviter à déjeuner à la maison en espérant autre chose que de prendre un repas en commun. Mon papy était bien trop fier, nayant pu bander la fois dernière, il était vexé, cétait la raison laquelle, il mavait évitée, croyant que je lui en voulais de nêtre pas parvenu à me satisfaire. Il était fou de joie lorsquil comprit que je ne lui en voulais pas mais quau contraire, il mavait fait vivre un moment magique.
Toute la matinée, javais pensé à lui et à son sexe, je métais fait belle pour lui, javais enfilé mes plus beaux sous-vêtements, une petite robe un peu sexy avec un joli décolleté, je voulais lui plaire et surtout lexciter suffisamment afin quil puisse me faire profiter de son engin que je navais pas eu loccasion de recevoir au plus profond de mon ventre.
Dos à lui, je ne savais pas quoi faire, il faisait de moi sa proie prête à me faire fouiller. Il passa ses mains sous ma petite robe jusquà ma taille, attrapant mes collants et commença à les descendre le long de mes fesses. Puis il continua à les faire rouler sur mes cuisses, les glissa pour franchir mes genoux. Jétais comme folle, la situation était extraordinaire, jamais je naurais pu mimaginer quun couple pouvait faire de telles choses, jétais très excitée, je trémoussais et en même temps jétais impatiente quil aille plus loin dans sa démarche.
Enfin les collants roulaient sur mes mollets, il me fit lever chacun de mes pieds et les retira définitivement. Ce moment dintimité fut magique, son visage était juste au niveau de mon derrière, ses deux mains posées sur mes hanches, il membrassa les fesses : Quel bonheur ! Puis il se releva, son corps appuyé doucement contre le mien, il posa ses lèvres dans mon cou. Il maintenait ma hanche gauche dune main pendant que la seconde passa devant sous ma robe et se posa sur ma culotte. Il commença à me caresser : Cétait trop bon ! pendant quil passait sa main sur mon intimité, il poussa fermement sa verge gonflée contre mes fesses. Je navais aucun doute sur son érection, je la ressentais à travers le tissu de son pantalon.
Pendant quil faisait des mouvements avec son bassin, il déposa ses deux mains sur mes hanches sous ma robe et attrapa lélastique de ma petite culotte, quil glissa tout au long de mes jambes tout en me caressant la peau au passage. Jétais aux anges, je ressentais ma mouille couler. Sans attendre, je sentis sa bouche sur mon pubis, je ne bougeais toujours pas, derrière moi sa langue sinsinuait sur ma fente puis entre mes grandes lèvres.
Soudain, il se décida à me retourner, Javais honte daimer ce quil mavait fait, je nosais plus le regarder. Il mattrapa le menton, me fixa ans les yeux et membrassa passionnément. Ce qui me détendit, je me laissai aller à ce baiser fougueux, mes mains dans ces cheveux tout blancs. Je navais jamais connu un tel degré dexcitation, sa tête était redescendue sous ma robe, il passa ma jambe droite au-dessus de son épaule afin davoir un meilleur accès à mon intimité. Le papy démontrait tout son savoir mettant mon clitoris à lépreuve pendant quun de ses doigts se glissa dans ma fente. Je nen pouvais plus, javais le feu au ventre, je bouillonnais de lintérieur. Le désir fut si fort que je jouis, cétait tellement bon, de sentir ses savants coups de langue et ses doigts fouiller ma chatte inondée.
Décidément mon papy de 85 ans avait une imagination débordante, je fus surprise lorsquil me demanda de me retourner et de poser mes mains sur la quatrième marche de lescalier, lui offrant ainsi mon derrière. Dans mon dos, il défit sa ceinture puis descendit le zip de sa braguette. Oh, ce voisin que je prenais pour un homme plein de sagesse sapprêtait à me faire lamour. Comment aurais-je pu penser que cela puisse marriver ? De ses mains expertes, il passa ses doigts entre mes fesses et ils glissèrent tout seuls dans mon vagin trempé de jouissance. Son autre main se mit à me titiller le clitoris à nouveau, mais avec beaucoup plus dardeur. Mon désir remontait à grands pas, ma cyprine recommençait à sécouler de ma fente.
Ces deux doigts à lintérieur senfoncèrent de plus en plus forts, dans tous les sens. Il ne se contrôlait plus et de mon côté, javais tellement envie quil me prenne, de sentir son gros sexe dans mon ventre que je tendais mes fesses. Il venait de retirer sa main et dun seul coup, je ressentis son sexe glisser entre mes cuisses. Avec une agilité déconcertante, il approcha son gland entre mes grandes lèvres, poussa doucement et enfonça sa longue verge profondément. Nayant pas fait lamour depuis dix ans, ma chatte était très serrée, emprisonnant son pénis qui me remplissait le vagin.
Jétais un peu hésitante au début, mais cétait si bon que je me mis au diapason en me penchant un peu plus en avant. Enfoncé jusquà la garde, il entama des vas et viens, cétait un plaisir immense, les mains posées sur mes hanches, il me pénétrait alors avec une grande fougue, à chaque coup de boutoir, je poussais mon cul vers sa queue afin quil aille encore plus profondément dans mon ventre. Nos corps semboitaient encore mieux, cétait exquis de ressentir son gros pénis, jamais je navais connu cela avec les douze centimètres de mon défunt Bernard. Après de nombreux coups de reins, le plaisir commençait à me faire gémir de plus en plus fort, il accéléra et devint telle une bête sauvage, il me possédait sans vergogne.
Nous étions là, en train de baiser comme deux jeunes dans lescalier de lentrée. Je sentais bien son sexe coulisser dans tous les recoins de mon vagin. Il se remit à me caresser le clitoris, jétais au bord de lextase. Cétait tellement bon que nous nous contrôlions plus, javais le feu en moi, jallais une nouvelle fois jouir. Il mattrapa sauvagement par les hanches et donna trois coups de boutoir. Son sexe était gonflé et prenait toute la place dans ma chatte qui mouillait de plus belle : « Oh oui ! je viens ! Cest bon ! » Criais-je lorsque je ressentis la douce chaleur de sa semence sécouler par saccade au fond de mon vagin. Je jouis également, je me libérais enfin, jétais fière davoir vécu cela, mon orgasme fut sans retenue et tellement intense :
Tu mas crevé Monique ! Jai cru baiser une pucelle tellement tétais serrée. Allons manger maintenant. Dit-il en se rhabillant.
Contrairement à ce que jaurais pu penser, nous navions pas parlé sexe pendant le repas mais comme dhabitude de nos familles respectives. Après le déjeuner, il me donna un coup de main pour débarrasser puis à faire la vaisselle. Je navais pas envie quil rentre tout de suite, cependant je me remémorais la fois précédente et me demandais sil était capable de me reprendre dans laprès-midi. Je lui fis une deux allusions sur le sujet et me dit soudainement : « Veux-tu quon aille dans la chambre ? Nous ferons une petite sieste avant de recommencer, jai vraiment envie de toi. » Le ton était lancé, jallais de nouveau reprendre du plaisir et cela me mettais leau à la bouche. Bien sûr cette petite sieste nous fit du bien à tous les deux.
Il se leva en premier en me disant quil avait oublié de prendre son médicament que le médecin lui avait prescrit. Je souris car je compris quil nétait pas sous lemprise du viagra lorsquil mavait baisée ce midi en arrivant. Nous avions pris un café, puis nous nous étions recouchés, allongés nus tous les deux, il me caressa longuement les fesses et le dos puis il me demanda de me retourner. Il me pelota alors mes seins, lourd et rond comme il les aimait, javais peur quil fasse une attaque, il adorait ma poitrine et me le dit de nombreuses fois tout en me mangeant les tétons. Cétait reparti, je mouillais encore?de plus belle. Il plongea sa tête entre mes cuisses ouvertes, je lui offrais mon minou, sa langue entre mes lèvres me léchait de nouveau.
Pendant presque une heure, il me fit rêver?! Javais joui encore deux fois, Jean était une vraie bête de sexe. Je vivais une expérience de dingue. Me demandant comment javais pu rater cela, je regrettais mon âge, jaurais aimé connaitre cela bien plus tôt. Je ne métais même pas posée de question lorsquil me demanda de lui redonner de la vigueur. Malgré son viagra, il ne bandait pas encore suffisamment, je métais très appliqué à le branler et à lui masser les bourses. Je me décidai à lécher son gland et sa hampe puis de fil en aiguille, jembrassais sa verge puis je lavais pris entièrement dans ma bouche. Je navais jamais fait cela, cependant, sa verge se transforma après seulement quelques coups de langue et daspirations. Cétait très bien de retrouver son pénis dur comme du bois.
Il navait pas attendu bien longtemps, il me baisa en missionnaire pendant de longues minutes avant de me dire de me placer à quatre pattes, je nen revenais pas, je lécoutais sans rien dire, il me laboura encore un bon moment comme cela puis me fis me coucher sur le côté, il se plaça derrière moi et mis pris dans la position de la cuillère. Durant une heure, il mavait prise, javais joui de nombreuses fois sans pouvoir les compter, il navait pas encore éjaculé. Au moment fatidique, il se retira, plaça sa queue devant mon visage et déchargea son sperme dans ma bouche. Ce papy de 85 ans mavait provoqué un orgasme lorsque son sperme tiède sétait étalé sur ma langue. Je lavais regardé dans les yeux et javalai tout sans aucun scrupule.
Cet après- midi-là, avec la sieste, nous étions restés au lit pendant plus de trois heures. Nous avions beaucoup discuté et avions pris la décision de revivre ses moments magiques une fois par semaine, je navais pas envie quil fasse un infarctus. Ni lui ni moi navions envie que cela sarrête et sans vivre ensemble, nous poursuivions notre relation de voisins comme avant mais lorsque nous nous retrouvions pour baiser, tout changeait, nous nous donnions à fond. Au fil des semaines, il avait voulu me sodomiser, au début, javais refusé catégoriquement mais sachant que Marie Sophie adorait se faire enculer, avec mon papy, je pouvais faire leffort. Javais donc enfin accepté sans le prévenir à lavance.
Javais demandé des conseils à mon amie et je métais préparée la rondelle dans la matinée afin que Jean puisse avoir cette belle surprise. Il était heureux comme un gosse, il avait adoré. Lui non plus navait jamais sodomisé Josette. Il avait réussi à me pénétrer lanus et il mavait même donné un orgasme anal, le premier de ma vie. Depuis un an, mon papy et moi baisons toutes les semaines et ne me quitte pas sans me sodomiser. Il me fait jouir de partout et javale son sperme sans aucun problème. Le sexe pour moi aujourdhui nest plus un sujet tabou, jen parle volontiers à mes copines et je ne me cache pas que mon amant à 86 ans me procure un plaisir immense. Jespère quil vivra encore longtemps.
Chères lectrices et chers lecteurs, merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si comme Monique, vous avez envie de raconter vos histoires damour ou de sexe, contactez-moi par Email, avec votre collaboration, jécrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
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