Nos Belles Pyrénées (3)
Je ne savais pas quoi dire, honteux dêtre pris en flagrant délit de sexe avec Laurent par son frère, mais Pierre savérait beaucoup plus souriant quagressif.
Ils se ressemblaient beaucoup, tout aussi mâles lun que lautre, poilus à outrance, Pierre étant quand même un peu plus grand que Laurent. Il avait dû nous observer depuis un petit moment quand même, car je ne pus mempêcher dobserver une énorme protubérance au centre de son corps. Son entrejambe était indécent et il bandait comme un âne. A priori, il navait rien à envier à son frère, la nature lavait aussi bien doté, voire bien davantage. Et il sest assis à mes côtés
« Ravi davoir enfin un invité
Chaleureux
Dans notre ferme isolée. »
Ils ont commencé à parler en Basque tous les deux que je ne comprenais évidement pas, et je savourais tranquillement mon café pendant ce temps, essayant de conserver une certaine contenance, pas facile avec le cul à lair. Quand Laurent a quand même pris la parole en français :
« Tu travailles pas demain, tu mas dit ? »
« Non, pourquoi ? »
« Ça te dirait de rester ici avec nous ? »
« Ma foi
. Avec plaisir
Je suis trop content de vous connaître. »
Cest poursuivi une soirée sympa, avec lIzarra fétiche, mais aussi des attouchements discrets mais appuyés quand même des deux frères. Assis entre ces deux monstres de virilité, je ne savais plus trop si cétait lIzarra qui me montait à la tête ou leur odeur de mâle, empestant la testostérone dont javais pu connaitre la puissance un peu plus tôt avec Laurent.
« Il est tard quand même Marc, on devrait aller se coucher, non ? »
« Oui, je pense aussi
»
« On a parlé avec Pierre
Ce serait bien si on dormait tous les trois ensemble, non ? »
« Je
Je
Oui
. Je me sens bien avec vous deux. »
Nous avons regagné la chambre de Pierre, qui avait un super grand lit. Laurent et moi navaient pas grand-chose à enlever pour être nus, mais quand Pierre sest dévêtu
.
Nous nous sommes couchés, moi entre ces deux Ours des Pyrénées. Je me sentais bien, heureux entre ces deux mâles et aussi grâce à lIzarra qui mavait permis de mettre de côté cette situation, assez exceptionnelle.
Dune simple promenade dans les Pyrénées, je me suis retrouvé à dormir entre deux mâles hyper virils, dont lun mavait possédé à plusieurs reprises et dont le frère était collé à mon dos, ses poils sur moi, et son membre, énorme et dur comme de la pierre sincrustait dans ma raie. Dans un demi-sommeil, mais excité comme pas deux, jai tendu mes fesses vers lui, lui montrant mon plaisir et mon consentement. Il a de suite compris le message et son énorme gland a franchi ma corolle. Jétais certes bien lubrifié par le sperme de Laurent pendant nos accouplements, mais là, cétait plus le même calibre. Pierre ma fermement tenu par les hanches jusquà ce que son pieu monumental se soit entièrement introduit en moi.
Sa pénétration devenait de plus en plus forte et puissante, me possédant de toute la longueur de son membre avec la fougue dun homme en manque de sexe depuis longtemps. Par réflexe, je me suis accroché à Laurent, mes mains sur sa poitrine velue, subissant les formidables assauts de Pierre. Laurent na pas manqué de se réveiller, comprenant très vite la situation, peu ordinaire, et sest tourné pour posséder ma bouche pendant que son frère envahissait lautre côté de mon corps.
Notre complicité à tous les trois a été quasi-immédiate. La recherche du plaisir commun, le bien être, sans jalousie aucune de lun vis-à-vis de lautre. Pour la première fois de ma vie, du moins en France, jétais la « femme » de deux frères, aussi virils lun que lautre et qui semblaient apprécier cette situation quelque peu particulière.
Après avoir été pris par lun et par lautre à plusieurs reprises, je me suis quand même endormi vers 4 heures du matin, rempli de la substance de mes mâles, ma peau couverte de leur splendide fragrance masculine.
Jai ouvert lil vers 9 heures et revêtu dun Tee-Shirt assez long, je suis descendu, me rendant jusquà la cuisine où Laurent mattendait.
« Salut Marc, pas trop fatigué ? » Avec un sourire en coin
« Oui
. Un peu quand même
Mais vous êtes des diables tous les deux
!!! »
« Il ne faut jamais sous-estimer les Basques
»
« Jai vu ça
. Je nai jamais connu ça
!!! »
« Tu nous en veux pas ? »
« Bien au contraire, jai trop aimé »
« Tu dois avoir faim après ça
Je tai préparé un petit-déjeuner. Pierre est déjà parti au travail, les bêtes nattendent pas. »
Je navais pas trop fait attention, mais devant mes yeux, un splendide plateau mattendait. Pain, beurre, brioche, confiture de cerise rouges, Chocolat de Saint Jean de Luz, Etorki
Une splendeur que je nai pas tardé à dévorer, accompagnée dun café que Laurent mavait préparé à ma demande.
« Marc, on a parlé avec Pierre pendant que tu dormais encore. Tu mas dit que tu ne reprenais ton travail que demain après-midi
Tu aimerais rester avec nous ce dimanche et ne repartir que demain matin ? »
« Je
Je crois que jen serais trop heureux Laurent, je me sens bien avec vous deux »
« Tu es le bienvenu chez nous Marc
Et
Merci
» Avec une voix un peu serrée
« Jy mets une condition, ok ? »
« Laquelle ? »
« Tu as du travail toi aussi, et si tu my autorises, après une bonne douche, jai envie de moccuper aussi de mes hommes »
« Ah oui ? Cest-à-dire ? »
« Comme jadore cuisiner et si tu me laisses faire, je nous prépare le déjeuner à tous les trois pour que tout soit prêt lorsque vous allez rentrer
Tu es daccord ? »
« Un garde-manger Basque est toujours bien rempli
A toi de trouver ton bonheur
Tu as carte blanche
A tout à lheure, je pars rejoindre Pierre.
Je me suis posé quelques instants, savourant un autre café avec une tartine en essayant de réaliser ce qui était en train de se passer. Dans un endroit refoulé au fond du Pays Basque, javais fait lamour passionnément avec deux frères, lun tout aussi viril que lautre, et là, ils me laissaient seul dans leur maison, avec une totale confiance, pour leur préparer leur repas à leur arrivée
Hallucinant
. Mais après une bonne douche, je me suis mis à louvrage
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