70- Ma Femme Et Les Deux Maliens (2)
Le chantier sur le toit en face allait finir dans deux jours et les Maliens allaient partir et nous priver du spectacle de leurs gros zobs noirs et de leurs fortes éjaculations, ce qui est surtout une grande perte pour ma femme qui en profitait de la fenêtre de la douche et de la chambre à coucher. Comme je lui ai pardonné et même participé aux spectacles, elle ma supplié de trouver une solution au départ des jeunes. Après réflexions, jai décidé de faire quelques travaux dans notre maison et embaucher les deux Maliens pour au moins une semaine. Et ainsi deux jours plus tard, ils sont venus chez nous dès 8h30 du matin et je leur ai fait commencer les premiers travaux sur la clôture de notre petit verger dans la cour, puis je suis remonté dans notre chambre. Ma femme, déjà dans la cuisine depuis 8h30 leur a apportée un petit déjeuner copieux. Jai attendu une demi heure puis, penché sur le pat métallique du premier, je les observais tous les trois près du petit verger. Les deux Maliens avaient cessé le travail et enlevés leurs pantalons et exhibaient leurs gros zobs noirs, déjà gonflés. Ma femme penché devant lun des Malien suçait son zob tout en le branlant pendant que lautre jeune, derrière elle, frottait son long zob sur et entre ses fesses. Ils étaient au dessous de moi et le spectacle était net. Jentendais leurs souffles haletants déjà bruyamment et les bruits que ma femme faisait en suçant le gros zob. Puis, lautre jeune, ayant doigté la chatte de ma femme, par derrière, approcha son zob entre ses cuisses et il lenfonça doucement et lentement jusquau fond. Ma femme gémit par une longue plainte de plaisir pendant lenfoncement du zob dans sa chatte. Elle arrêta un instant de sucer lautre zob, puis, dès que les vas et viens commencèrent dans ses entrailles, elle reprit le zob dans sa bouche.
Au bout dun bon quart dheure, grâce au pilonnage accéléré du zob dans sa chatte, elle obtint son premier orgasme par un hurlement hystérique en lâchant le zob de sa bouche mais continuant à le serrer et branler.
Alors il la fit se redresser et se positionna lui aussi derrière ma femme. Puis, comme son ami, il farfouilla entre ses cuisses, trouva facilement la chatte encore ouverte et y enfonça en force son zob. Ma femme hurla encore une fois suite à ce défoncement violent du gros zob dans ses entrailles. Il senfonça très vite à fond au point que son bas ventre claqua sur les fesses de la femme. Puis, tenant ma femme courbée, et saccrochant à ses larges hanches charnues, il la pilonna vigoureusement et en accélérant ses vas et viens. Chaque fois quil senfonçait en force, ma femme criait et jentendais un « han » violent du Malien. Il ne baisait pas la femme, non, il lui défonçait la chatte et elle hurlait tant, prouvant quelle adorait cela. Il ne resta pas aussi longtemps que lautre mais sa baise était nettement plus sauvage et ma femme y participait entièrement par ses cris et ses mouvements de reins.
Après avoir fini déjaculer, le Malien se retira de ma femme qui se releva enfin. Les deux zobs étaient encore en lair et assez bandé pour servir encore et ma femme les soupesa lun après lautre puis les embrassa et même les lécha comme pour les nettoyer.
Puis, elle prit sa robe posés sur le muter du verger et séloigna vers la cuisine, encore nue sous la ceinture. Jai pu la voir marcher et son derrière qui dansait par ses fesses était un autre formidable spectacle érotique qui nous ébranla, nous les trois hommes. Je voyais les deux Maliens reprendre leurs zobs et recommencer à se masturber et jen ai fait de même en retournant dans la chambre. Jai rejoins la salle de bain où jai fini avec force ma branle jusquà éjaculer fortement dans le bidet des toilettes. Puis je me suis nettoyé et lave puis habillé pour rejoindre les jeunes en bas. Ils avaient repris leurs tenues normales et commençaient à travailler sur les murets du verger. Ma femme, habillée aussi normalement était dans la cuisine. Elle ma embrassé et lancé un petit merci mon chéri et ma donné la liste des provisions à acheter. Et je suis sorti de la maison vers le marché, laissant seuls ma femme et les deux Maliens.
Ma femme sautait sur le zob dun jeune qui était couché le dos sur le lit et le zob vertical dans lequel ma femme enfonçait en rythme sa chatte. Elle avait le dos vers le visage du Malien qui lui caressait en même temps les fesses et admirait son zob qui se mouvait dans la chatte femelle. Ma femme sappuyait sur les cuisses de son baiseur et tendait la tête et le cou vers le zob de lautre Malien à genoux en face delle. Il enfonçait son zob dans la bouche de ma femme qui le suçait au rythme de ses sauterie sur le zob de lautre. Je suis entré dans la chambre et javais limpression dêtre inexistant et invisible pour eux. Je me suis installé dans lun des fauteuils de ma chambre et jadmirais le spectacle. Cela dura un long moment dans lequel, les mouvements de la femme réussirent à lui procurer un orgasme agité et hurlant. Puis elle continua sa danse sur le zob dans sa chatte et à sucer le zob de lautre. Celui-ci lui tapota les épaules et ils eurent des signes entre eux, alors ma femme se retira du zob de sa chatte et se retourna complètement. Maintenant elle offrait son derrière et sa chatte au Malien quelle suçait. Alors, tenant son zob, il le glissa entre les cuisses écartées de ma femme et trouvant la chatte il sy enfonça prestement comme tout à lheure en bas et démarra aussitôt ses vas et viens. Pendant ce temps ma femme, face au Malien couché se recula suffisamment pour avoir son zob à sa portée, alors elle le goba dans la bouche et commença à le sucer et branler doucement. La scène à trois continua encore un long moment jusquà ce que le jus arriva dans le zob du baiseur. Sachant quelle acceptait son sperme, il saccrocha et, hurlant sa jouissance, il se vida dans ma femme par trois bordées soutenues par trois coups de reins et trois « hans » rageurs.
Enfin, le baiseur abandonna la chatte de ma femme et je voyais nettement son sperme qui coulait sur ses cuisses. Elle se retourna prestement et reprenant à la main le zob du Malien couché, elle le guida et lenfonça dans sa chatte encore pleine de sperme. Le jeune ne semblait pas le gêner, au contraire, il aida ma femme dans la danse quelle a recommencée sur son zob. Il lui donnait des petits coups de reins. Lautre Malien sétait levé, avait reprit ses vêtements et disparut de la chambre. Ce nest quà ce moment là quelle remarqua ma présence. Elle sursauta un peu et essaya de se détacher du zob du Malien. Mais ce dernier la retint fermement par les hanches et la enfoncée de nouveau sur son zob. Alors elle accéléra son mouvement comme un défi face à mon regard et à ma bite moyenne que je branlais faiblement. Ses coups de reins devinrent violents sur le ventre du Malien qui laidait en la secouant. Elle jouissait et me regardait, les yeux fixés sur sur mon zob que je tripotais, en vain, elle gémissait fortement avec un râle continu et de plus en plus fort exprimant la jouissance procuré par le gros zob du Malien.
Malgré que cela me gênait un peu, comme un défi que jétais incapable daccepter, je continuais, assis et à me branler devant elle, mais ce nétait pas pratique à cause de mes vêtements. Alors, je me suis complètement déshabillé et jai filé vers la salle de bain pour me masturber à laise, loin du défi quelle me lançait. Surprise, le Malien qui avait quitté ma femme finissait de se doucher, à poil. Il ma souri, mais je me suis penché sur le lavabo pour me branler. Mais ça narrivait pas et même mon zob ne voulait pas durcir comme il faut, alors le jeune ma dit de la laisser faire et quil allait me procurer beaucoup de surprise et de plaisir. Il sest approché de moi, sest accroupit sur le sol et ma prit mon zob à la main. Puis il la avalé profondément dans sa bouche chaude. Ensuite il a commencé à me sucer et à me branler en même temps. Je navais fait cela avec un homme, seule ma femme mavait sucé de temps en temps et cela il y a longtemps. Et, malgré ma surprise, jétais très content car, comme par miracle, mon zob semblait se réveiller et durcir petit à petit. Je me suis placé face lui, debout pour mieux laider à enfoncer mon zob dans sa bouche en me suçant. Il a plaqué ses deux mains sur mes reins, sur mes fesses exactement et me poussait contre lui, et ça permettait de mieux enfoncer mon zob dans sa bouche. Cet attouchement sur mes fesses, inédits pour moi, mont un peu choqué au début, mais après quelques poussées, de nouvelles sensations agréables par derrière sajoutèrent à celle de mon zob qui était maintenant complètement gonflé et mon ventre palpitait de plaisir. Je ressentais les jouissances qui montaient vers mon zob lentement et qui me poussaient à donner chaque fois un coup de reins par choc de désir. Il a compris ce qui marrivait, alors il a accéléré ses sussions de la bouche et les poussées et caresses de ses mains sur mes reins. Depuis un moment, jai constaté que ses doigts saventuraient même entre fesses et caressaient leur sillon jusquà mon anus. Ces deux mouvements amplifiaient mes sensations et augmentaient mes halètements et mon souffle. Jétais prisonnier et entrainé par ces actions, devant et derrière, et je suppliais quelles ne sarrêtent jamais. Jétais heureux de jouir par devant car mon zob gonflé faisait frissonner mon bas ventre, mais je commençais aussi à jouir par derrière, et ça montait rapidement. Et soudain, il enfonça en vitesses un doigt dans mon cul à travers mon anus qui palpitait depuis un moment et me semblait même humide ou mouillé. Ce fut une sorte de choc violent et ultra rapide, une impulsion ou une étincelle vive et agréable et mon zob éjacula violemment et en même temps. Une éjaculation incontrôlée et immense qui a secoué tout mon corps et jai lancé un hurlement tout en enfonçant encore plus mes reins vers la bouche du jeune. Jamais de ma vie, je nai eu une éjaculation aussi forte, aussi violente et dune vitesses incroyable. Trois autres jets violents et hurlants libérèrent entièrement mes couilles de ce plaisir formidable. En même temps que jéjaculais, je ressentais mon anus palpiter et le doigt du Malien qui remuait dans mon cul. Une triple action qui ma presque étourdi. Jétais content que le jeune a gardé mon zob dans sa bouche en avalant tout mon sperme et sans bouger. Seul son doigt continuait à me tripoter lintérieur du cul, avec un accord heureux de ma part. Puis, métant vidé, je suis resté un moment immobile et silencieux, pour retrouver mon souffle éperdu et mon équilibre. Jai constaté que cétait, heureusement, lautre main du jeune qui me soutenait et méviter de chuter, tandis que le doigt de celle qui était dans mon cul y était encore. Sa présence, interne, semblait me donner une sorte de plaisir agréable inconnu, une jouissance inédite qui m'a fait du bien, et jétais content de le garder ainsi. Je m'imaginais que mon cul était une bouche qui suçait un zob, le doigt et cela me faisait frissonner. Jétais heureux dêtre venu dans la salle de bain.
Ensuite, le Malien a retiré son doigt de mon cul et sa main de mes fesses et sest remit debout. Il a un peu craché et nettoyé sa bouche dans le lavabo, certainement le trop plein de mon sperme. Puis, comme je restais debout, encore un peu groggy par le plaisir, il a saisi mon zob et la nettoyé dans le lavabo. Je lai remercié et il sest excusé pour son doigt dans mon cul. Il ma expliqué que cela aide souvent un plaisir et une éjaculation qui tardent à venir et que même lui, il appliquait cela quant cest nécessaire. Jétais heureux dapprendre cela car javais pensé autre chose, quil me sensibilisait le cul pour dautres plaisirs futurs de son zob. Il ma demandé si javais eu mal et jai dis quau contraire, son doigt avait glissé facilement à lintérieur, comme si le sillon de mes fesses et mon anus avaient été humides ou mouillés. Alors, il ma expliqué que cétait le cul qui répondait aux attouchements entre les fesses par son suc interne vers lanus pour accepter et faciliter les pénétrations. Je lai encore remercié puis jai essayé de me nettoyer par derrière, et cest lui qui ma demandé de me nettoyer le derrière. Jai accepté et mes soupçons quil avait une vue et un objectif de son zob pour mon cul, me semblaient justes, et cela ne semblait pas me choquer ni même me surprendre, ne me demandez pas pourquoi, cest comme ça. Et jai laissé faire, alors, il ma bien nettoyé les fesses, les a écartées et a nettoyé leur sillon, puis ce fut mon anus et son doigt à lintérieur du cul, enfin il ma séché tout le derrière. Je nai pas seulement supporté cela, non, jai même un peu aimé ces manipulations, pourtant les premières dans ma longue vie. Alors, sans réfléchir, peut être aussi poussé par lambiance et les perspectives futures, pendant quil messuyait le derrière, jai jeté un il sur son zob qui pendait assez long, entre ses cuisses et qui dansait érotiquement, et je lai touché volontairement. Jai même entouré ma main autour de lui, il était long et large quoique mou pour linstant, mais sa lourdeur en le soupesant a été aussi un choc sexuel pour moi et ma donné fait frisonner de de désir dans tout le corps. Je regardais ce zob qui commençait à grossir et se durcir dans ma main et jhésitais quoi en faire car javais peur de penser à la suite. Alors, prestement, jai retiré ma main car javais compris, certainement comme lui, quon était dans une situation qui concernait son zob et mon cul et ce dernier semblait être demandeur. Je voulais quon en reste là pour linstant. Quil soccupe de ma femme comme prévu, peut être même de son cul sil le veut. Alors, par un geste nerveux, je lai congédié. Il sest rhabillé et quitté la salle de bain et jen ai fait autant cinq minutes plus tard pour rejoindre ma chambre. Il ny avait personne, alors jai regardé par-dessus le pat du verger et jentendais ma femme discuter dans la cuisine.
Il était pratiquement plus de 13h30 et les deux Maliens devaient être libérés, comme prévu dans notre contrat dune semaine de 5h de travail quotidien. Ils doivent revenir les jours suivants, toujours de 8h30 à 13h30. Dans la cuisine, nous avons discuté franchement et on sest expliqué que nos relations avec ces Maliens nétaient que des plaisirs sexuels passagers. Ma femme avait ressenti de forts besoins sexuels inhabituels à assouvir et elle a sauté sur loccasion. Comme nous savions que, malgré ma bonne volonté et mes faibles possibilités actuelles, je ne pourrais jamais accéder au niveau de ses désirs, il fallait accepter ces intermédiaires provisoires pour ne pas faire éclater notre couple. Dans une semaine, quant ces jeunes auront disparus, on verra si les besoins de ma femme persistent encore. Auquel cas, les travailleurs maçons africains et illégaux dans notre ville sont assez nombreux, jeunes et adultes peut être encore plus robustes et mieux dotés en zobs que nos Maliens. Lavenir semblait assez intéressant pour ma femme, peut être aussi pour moi suite aux nouvelles sensations ressenties tout à lheure dans la salle de bain.
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