Summer Of Love 4

Elle montre un tout autre visage, dans l’intimité…

En toute intimité, ce n’est plus la même femme, Bérénice. C’est comme si elle portait un déguisement. Elle n’est plus tout à fait la même, mais pas tout à fait une autre non plus.

Son grain de voix est différent. Son organe devient, dès lors, plus… coquin, plus… sexy. Bérénice minaude. Bérénice soupire. Bérénice murmure. Bérénice chuchote.

Chuchote-moi… tout ce que tu as en tête, Bérénice… Oui… J’aime quand tu me parles de ce que tu as en tête… de ce que tu as l’intention de me faire… J’aime…

Son abricot a beau être mouillé, je suis prudent. Ma hantise, plus que tout, est de faire mal à Bérénice. Je ne le supporte tout simplement pas. Mon doigt a beau la pénétrer, et commencer des va-et-vient, ceux-ci sont plutôt lents. Le vagin de Bérénice est étroit, et je ne la pénètre que de quelques centimètres.

Pourtant… Bérénice gémit. Bérénice soupire. Bérénice halète…

Bérénice… aime.

Bérénice respire plus rapidement. Un doigt est en elle, et va et vient... Mon pouce, lui, préfère son clitoris et caresse en de doux petits cercles… Je veille à ce que mes doigts restent humides afin de pouvoir lubrifier Bérénice de son propre liquide d’amour, au cas où.

Nous sommes blottis, l’un contre l’autre. Nous nous embrassons. Nous ne pouvons nous en empêcher… Nous avons envie l’un de l’autre…. Soif l’un de l’autre…

Je sens le corps de Bérénice contre le mien. Il est chaud. Ma main, elle, caresse le son fourreau d’amour, chaud lui aussi.

Bérénice et moi sommes nus tous les deux. Sa poitrine, lourde jusque comme il faut, est contre mon torse. Ma «pupuce» a décidément de beaux seins. Peut-être d’une taille moyenne, mais… Je les adore comme ils sont. Ses aréoles, entre le rouge et le rose… Ils me font penser aux pétales d’une rose… Et… quand je presse ma main qui est libre, contre l’un d’entre eux… je remarque que le téton en est dur.

Oh… J’aurais bien envie de…

Ma main est posée sur ce sein. Je le sens… Je le palpe… Je le caresse… Son sein est chaud… Ma main y est bien… Elle est posée dessus…

J’aime… Non ! J’ADORE les seins de Bérénice. Ils ont beau ne pas être très gros, moi, ils me plaisent comme ils sont.

Ni trop petits… Ni trop gros…

Un ravissant 90C… Oui… ! J’aime beaucoup les seins de Bérénice.

Ils sont chaleureux, et j’aime l’idée qu’il n’y a que moi qui puisse les…

Ce matin, alors que l’on s’accorde un petit câlin, sous la couette, de bonne heure, ses seins dardent. Ils pointent.

Ses aréoles sont rondes… Entre le rouge et le rose… Hmmm…

J’aime… caresser les seins de Bérénice…

J’aime… passer… la langue… sur les aréoles…

J’aime… tracer… des petits cercles… autour de ses tétons…

J’aime… donner… des petits coups de langue… au-dessus, sur son décolleté…

J’aime… donner… des petits baisers… mouillés…

J’aime… passer… ma langue… et mes lèvres… entre ses deux seins… dans cette vallée blanche qui les sépare…

Et pendant ce temps-là, je continue de caresser ma Bérénice… Mon doigt va et vient… va et vient… va… et… vient en elle. Un peu plus profondément, maintenant. Nous faisons l’amour…

C’est… bon…

Hmmm…

Les tétons de Bérénice pointent… Ils sont durs… Ils sont beaux comme des diamants. Ce sont des diamants de chair… De beaux diamants de chair, et… Hmmm… J’ai envie… de… les prendre… entre mes lèvres… et de les téter…

Hmmm…

J’en prends un… entre mes lèvres…

Un coup, je le suce…

Une autre fois, mes lèvres l’abandonnent, brièvement, et… c’est au tour de… ma langue… de jouer…

Quant à l’autre téton… son frère jumeau… je ne l’abandonne pas. Non… J’y passe… la pulpe d’un doigt… doucement… de haut en bas… et je vais… je viens. Je vais… je viens.

J’humidifie mon doigt, et je le passe le téton durci…

Je le passe aussi… autour… sur l’aréole…

Bérénice est là, tout contre moi.
Elle se sent bien. Elle a du plaisir… J’AIME le lui en donner.

Son plaisir… est ma priorité.

Je m’occupe à la fois de sa poitrine ET de son minou.

Et, pour tout vous dire, j’aime ça.

Ses seins sont fermes. Leurs tétons dardent. Ils pointent joliment. C’est beau, et j’aime voir ça. C’est comme s’ils étaient le cœur d’une cible dont les aréoles rouge/rose seraient la cible elle-même. Les tétons en sont le mille. C’est là qu’il faut stimuler Bérénice. Mais pas que…

Mon doigt est toujours en elle. Il continue d’aller et venir.

La combinaison de mon doigt à l’intérieur du vagin de Bérénice et de ma langue sur les tétons de Bérénice font que ça lui procure encore et encore du plaisir.

D’humide, elle était mouillée.

Et maintenant, de mouillée, elle est vraiment trempée.

Même avec précaution, mon doigt se faufile de plus en plus facilement en elle.

Elle accompagne mes caresses en faisant onduler son bassin.

Elle gémit.

Elle halète.

Je titille ses mamelons tout en restant enfoncé en elle.

Ma langue virevolte sur eux.

Je suis fou de ses bourgeons d’amour.

Nous sommes si proches… C’est si intime entre nous, ce matin. Ce sont les premières douceurs du matin, et nous avons envie l’un de l’autre. C’est tout ce qui compte.

Même si elle serre les cuisses et enserre ma main, elle les écarte quand même un petit peu pour que je puisse la pénétrer et ainsi aller et venir en elle.

J’aime ça…

Mon doigt glisse en elle si facilement. J'aurais bien aimé de la lécher...

Je suis à la limite d’insérer un deuxième doigt… tout en continuant mes petits cercles, toujours des petits cercles sur son clitoris.

Ses gémissements sont de plus en plus bruyants.

Ça me plaît… Ça me plaît beaucoup.

J’insère un second doigt en elle.

Mes doigts vont et viennent en rythme.
Un troisième doigt, en l’occurrence mon pouce, trace encore et toujours des cercles, de petits cercles, sur son clitoris.

Mes lèvres, elles, continuent de se poser sur ses seins. Ils continuent de sucer les tétons dressés de Bérénice. Et ça, c’est en alternance avec ma langue qui, elle, les lèche et qui s’occupe également des aréoles rouges/roses plutôt larges de ma «pupuce».

Bérénice et moi sommes l’un contre l’autre. Nous sommes bien.

Quelle belle… et intense intimité entre nous… J’aime…

Nous sommes bien.

(…)

Je délaisse un peu les seins de ma Bérénice. J’ai envie de l’embrasser. Oh… oui…

Je porte sa bouche à la mienne.

Ses lèvres ont un bon goût de vanille. Elles sont roses. Je… les… adore. J’aime les porter à ma bouche. Nos baisers sont toujours aussi bons. Hmmm…

Trois doigts d’une main s’occupent de l’abricot de Bérénice.

Mon autre main, elle, je la porte… dans le cou de ma chérie, alors que je l’embrasse et que je la doigte.

Je continue d’embrasser Bérénice pendant ce temps-là.

J’aime… la vanille de ses lèvres.

J’aime… la douceur de sa peau.

J’aime… ses seins blancs aux aréoles rouges et roses.

J’aime… les poils de son mont de Vénus.

J’aime… mes doigts en elle.

J’aime… qu’elle soit autant mouillée parce que je continue de lui faire l’amour ainsi.

J’aime Bérénice, et nous sommes bien en ce moment, à faire l’amour, aux premières douceurs du matin...

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