Les Motards 1

Les motards

Une rencontre particulière m'est revenue, que je vais vous raconter.

Cet été là, je me suis retrouvé seul pendant quelques jours. Sur un site bien connu, après quelques messages, j'ai donné mon accord pour une rencontre réelle. J'ai trop envie de sexe.

Le mec m'a laissé peu d'infos. Il est actif, bien monté, peux me recevoir. Mon âge, 22 ans, ainsi que mon ouverture d'esprit, mes faibles critères, lui conviennent fortement. Il m'a conseillé de bien préparer mon petit trou.

Le rdv est fixé près d'un bar, à proximité du logement qu'il loue pour l'été. Le mec m'abordera, je dois avoir mes lunettes de soleil dans les mains.Ca tombe bien, il fait beau en ce début d'après midi, nous sommes un samedi, j'ai tout mon temps et j'ai envie.

Me voilà arrivé avec un peu en avance sur l'heure prévue. A part deux mecs, chacun avec sa moto, qui sont garés là et qui discutent, personne. Des touristes passent, des familles, personne ne vient. Il y a bien sûr des gens attablés à la terrasse du café mais pas de mec seul.
Je finis par penser que ces deux motards doivent stresser le mec de mon rdv et l'empêcher de venir m'aborder. J'ai hâte qu'ils partent.
De temps en temps, ils me regardent et peut-être se demandent ils ce que j'attends là. Ils sont là, près de leur moto, en attente eux aussi.
Un grand mec droit, belle carrure quand même, tempes grisonnantes et dessus dégarni, la cinquantaine à vue d'œil ( peut être moins ) et l'autre, pas du tout le même profil. Même âge sans doute, cheveux pas trop longs attachés à l'arrière, un physique impressionnant, 110/120kg au moins. Bref, comme on dit dans la campagne…un beau bestiau. Naturellement, le look motard, cuir, grosses bagues, rien de choquant.

Je suis là, avec mes lunettes de soleil dans les mains. Le mec ne viendra pas.
Le motard plus grand s'avance vers moi ( peut-être veut il un renseignement? ) et me dit:
" C'est toi Laurent?
" Oui
" Viens, on y va.


Je reste sans voix. J'avais pas prévu que ce soit un mec de cet âge, un motard, qu'ils soient deux…Tout s'embrouille dans ma tête. Le motard balèze, près de sa magnifique moto noire, ne bouge pas, sourit en me voyant presque inerte tandis que son copain commence à se diriger, le casque à la main, vers la maison qu'il loue.

Pourquoi je pars avec lui, je ne sais pas. L'envie d'avoir une bite dans le cul, sans doute.
Sans un mot, nous arrivons rapidement à destination et rentrons dans la maison.

" Vas prendre une douche, j'aime bien les mecs propres….me dit-il.

Celui là, me dis-je, c'est un original. Mais je préfère cela qu'un mec crado. Pendant que je me déshabille, il va mettre une musique d'ambiance ou la radio, je ne sais pas trop.
Il me suit dans la salle de bains, ne me perd pas des yeux, me regarde savonner mon cul, semble ébloui ou intéressé devant mon corps. Une chose est sûre, ses yeux sont rivés sur mon corps. Il passe même sa main sous son blouson, sûrement pour se pincer un téton.

Nous allons ensuite dans la chambre ou le peu de clarté donne une agréable impression d'intimité. Un matelas supplémentaire est disposé dessus le lit, ce qui remonte d'au moins 20cm la hauteur tandis qu'un autre matelas est au sol.
Sans un mot, il enlève son blouson de cuir. Je découvre un homme solide, des bras poilus, quelques poils qui débordent du haut de son teeshirt. J'aime bien les hommes poilus, ce n'est absolument pas un problème pour moi. .
Il s'approche de moi, me touche les tétons, les pince jusqu'à ce que j'ai mal. D'une main ferme, il me tourne et vient parcourir mes épaules, mes reins, repasse sa main devant moi et me pince encore les tétons. Très calme, il prend son temps, semble émerveillé de découvrir mon corps, comme s'il venait d'avoir un cadeau. Il sent bon le propre, respire fort dans mon dos.
De sa main experte, il arrive à mon petit trou qu'il titille, évalue, excite jusqu'à ce que, d'un petit mouvement, je m'offre à lui, mouille du cul.
Il continue de me titiller la rosette et fini par m'introduire son doigt agile ce qui provoque en moi une onde de plaisir.

" Humm, quel délicieux petit cul.
Il m'invite à me mettre sur le bord du lit, face à lui, puis, de ses mains vigoureuses, me saisit les cuisses, me lève les jambes, découvre mon anus mouillé et vient le lécher.
Le moment est surprenant, extrêmement agréable. Sa langue me râpe, me fouille le petit trou, son doigt long (le mec fait sûrement au moins 1.85m ou 1.90m) continue de me tâter l'œillet, s'aventure plus loin et recommence à lécher ma fleur qui s'épanouit devant tant de bonté.
Après ce moment à me saliver, se délecter de mon petit trou, voilà qu'il m'introduit 2 doigts avec délicatesse tout en surveillant mes réactions. Lorsqu'il passe à 3 doigts, après avoir mis un peu de gel, hypnotisé, j'ai comme la sensation d'être sous sa possession. Bien que je gémisse, il persévère, masse ma prostate de ses doigts fouisseurs ce qui me procure des vibrations incomparables au point que j'en redemande, je le veux en moi…

" Je reviens, détends toi… ( il me donne le pot de gel et m'invite à m'en remettre…)

Après un passage dans la salle de bains, il réapparait. Il est nu, poilu partout, archi poilu sur le torse, des poils épais, couleur poivre et sel, longs et en broussaille, que du muscle, pas un bourrelet de graisse mais, surtout, oui, surtout, un sexe impressionnant.
Il me voit, inerte, le regard scotché à son phallus, incrédule, ébloui, stupéfait.
Je ne pense même pas à mon cul, je ne pense plus d'ailleurs, je suis hypnotisé.
Il s'avance vers moi, sans un mot, il est là, devant moi.
Son sexe est magnifique, relevé, dressé, énorme et d'une longueur que je n'aurais pas imaginé.
Son gland peine à décalotter et laisse échapper et couler un filet translucide de mouille. L'épaisseur, la grosseur, la longueur qui suivent me laisse incrédule, 20 cm, plus sûrement 22.
Je suis stupéfait.
Même lorsque je me branlais, il y a peu, je n'avais pas imaginé voir une queue pareille vouloir satisfaire mon petit cul en manque.

Pour expliquer aux lecteurs, je dirai que c'est la taille du tube de mon gel de rasage. Bon, depuis, j'en ai vu d'autres beaux échantillons, mais dans d'autres circonstances. A 22 ans, je peux vous dire que cela impressionne. Vous me raconterez vous aussi et on en reparlera. Revenons à mon histoire…

Deux belles couilles pendent dessous. Il sait, il a vu l'effet que sa bite a eu sur moi.
Sans me demander mon avis, il m'invite à venir le sucer. Je descends du lit ( c'est presque ça) et m'approche du braquemard. Ma petite bouche ne pourra pas, ça c'est sûr, engloutir ce sexe qui m'éblouit, me stupéfait.
La toucher, la prendre en bouche…enfin, le gland et un peu derrière….Hummm
C'est pas une grosse molle, c'est du raide, du viril, du gourdin de première classe. Mais la tâche s'avère difficile bien que le goût soit sublime, comme j'aime. De temps en temps, il force et manque de m'. Lorsqu'il décide de changer de position, je suis presque satisfait d'arrêter. Lui aussi n'y trouve sans doute pas le plaisir espéré.

" Mets toi sur le dos, mon petit, bien au bord du lit.

Je pense qu'il va me lécher le cul mais, non, c'est pas possible, je viens de me mettre du gel. Il déchire un petit sachet et, avec une grande dextérité, met une capote. Il me relève les jambes et se penche un peu sur moi, me relevant le cul au maximum, rajoute un coussin pour ajuster.

Je me suis pris quelques bites magnifiques de nombreuses fois avec plaisir mais là, je sens qu'on a changé de braquet, que mon cul n'est pas taillé pour un tel gabarit.
Inconscient, je ne sais pas, incapable de réagir, c'est sûr. Je n'ai pas encore prononcé un mot.

Je ne dis rien. Je ne sais pas quoi dire, je ne sais pas quoi faire. Un flash me dit que je devrais dire non…et pourtant, je ne dis rien.
J'ai peur qu'il le prenne mal, de passer pour un allumeur.
Il me regarde droit dans les yeux, guettant la moindre de mes sensations. Il sait qu'il est superbement monté, il en profite. A moins qu'il se régale d'avance d'exploser mon cul.

Je suis donc là, sur le dos, le cul offert, les jambes en l'air. Il me met un oreiller sous la tête pour que je profite au mieux de la vue sur son gourdin qu'il positionne sur ma rosette.
Son gland ouvre ma fleur avec douceur mais trouve vite ses limites par l'étroitesse de mon petit trou non préparé pour cette aventure. Ma rondelle, déboussolée par cette intrusion hors du commun, ne valide pas l'ouverture. Sous son regard, je gémis mais ne crie pas, sentant ma rondelle qui se tend avec peine, se dilate par la force, contrainte, harcelée.
Je peine à recevoir ce braquemart, trop gros pour moi, trop raide, trop long. Pourtant j'ai envie, je ne suis pas contre l'idée de l'avoir dans le cul.
S'il veut me baiser, c'est qu'il estime sans doute qu'il va réussir à m'enculer. Je suppose qu'il en a baisé bien d'autres. Il a eu le temps près de la plage d'y penser lorsqu'il me regardait.

Il force par petits va-et-vient, m'ouvrant l'anus, gagnant sans doute un centimètre ou deux, dégustant ce moment avec plaisir, savourant mon dépucelage grande taille, me regardant toujours droit dans les yeux.
Je sens mon anneau fatiguer mais résister, s'apprêter peut être à vaciller. J'ai envie de pleurer. Je suis un peu perdu. Mon cul n'est plus rien, je ne le sens plus ou plutôt je le sens trop. Il faut que j'arrête de me crisper, de réfléchir.
Il se retire, soulageant mon cul, me laisse respirer, me caresse….pour aussitôt repartir à la conquête de cette frontière, forcer encore. Il sourit de ma souffrance bien que je ne crie pas. Je veux rester digne mais ma bouche ouverte, mes petits gémissements, mes mains qui s'accrochent au matelas, à la serviette trouvée là, montre que l'exploit est difficile, je ne suis pas préparé pour jouer à ce niveau là.
Il ne s'énerve pas, ne montre aucun signe d'agacement. Il persévère, m'ouvre, me dilate, directement avec son énorme phallus, doucement, fermement, prenant tout son temps. Ses 3 doigts en préparation, c'était bien mais manifestement pas assez.
Comment devine t'il ma capacité à encaisser son braquemart, je l'ignore. En tout cas, il ne me brutalise pas et je ressens tout le respect qu'il a envers moi. Son attitude me met en confiance, mes muscles se relâchent, commencent à abandonner. Un léger changement s'annonce.

" On va changer de position
A bout, ne voulant pas abandonner, je m'exécute. Je ne fais pas de commentaire. Il a envie, moi aussi.
Nous voilà sur le matelas posé à même le sol. Il me dit de prendre la position du "petit chien"….comme si je connaissais cette position, alors que tout est nouveau pour moi, niveau sexe.
Là encore, calmement, il me fait mettre à genoux, le cul en l'air, pas trop quand même (au niveau de son gourdin, le dos bien droit, presque à plat.
Installé derrière moi, il emboite son gland dans mon cul déjà fortement dilaté et se remet à la tâche en imitant cette saillie animale. Ma rondelle accepte mieux son gland et se laisse même surprendre à prendre plus mais tout le reste est à prendre aussi ( pour le même prix, c'est cadeau )
J'apprécie mieux cette position bien que je me cabre, sentant son pieu pénétrer mon intimité. D'une main ferme il m'appuie sur les reins, m'obligeant à garder mon dos droit et à bonne hauteur et en profite pour forcer, continuer son chemin, m'arrachant de petits gémissements.

Je n'ai pas mal, je sens simplement mon intimité livrée à ce mâle et je m'apprête à me faire saillir, (comme une petite chienne, d'ailleurs)
La nature continue de faire son œuvre. Il se retire, offrant un petit moment de répit bien mérité à mon petit cul, rajoute une noix de gel puis m'enfile son braquemart qui, cette fois, glisse franchement en moi.
Dans un mouvement d'instinct et de confort, je me cabre plus violemment, soulève mon cul. D'une main vigoureuse appuyée sur le bas de mon dos accompagné d'un coup de reins bien envoyé, d'une grande force virile, il rentre en moi, m'envoyant en avant, complètement étalé sur le matelas et s'affale sur moi de tout son poids. D'un dernier coup de reins, une fois allongé, il fini le travail et glisse en moi tout le reste de son énorme braquemart.

Je pousse un grand cri d'enculé, de dépucelé, de geisha, de pédé, de tout……puis lâche prise
Son corps, son poids pèse tout entier sur moi. Son énorme phallus dans le cul, je suis pris.

Mon bonheur est extrême, son énorme sexe raide dans mon cul. Un truc inimaginable, sensationnel. J'ai l'impression d'avoir accompli un exploit.

" Il est super, ton petit cul
" Elle est grosse, j'ai mal. ( je sens mon cul comme défoncé, explosé )
Il rit, satisfait du résultat.
Je me tortille sous lui, mon cul est trop tendu, souffre, mais il n'en tient pas compte. Il est en moi et a bien l'intention d'y rester, de se satisfaire.

" T'en avais trop envie, de ma queue…je vais t'en faire profiter. Ton petit cul est délicieux.

Il est content, calme, vainqueur, il vient de m'enculer avec sa bite magnifique, trop dure, trop grosse, trop longue. Il me caresse les épaules, attend. Il sait ( et je sais ) que mon cul va continuer à s'adapter et adopter sa bite.
Quelques minutes passent, entre souffrance et bonheur. Je le sens sur moi, dans moi. Je le vois encore apparaître devant moi, la bite dressée, absolument sublime. Et là, après quelques efforts, elle est là, dans mon cul. La seule chose que j'ai retenue, c'est que je me suis fait enculer sur une chanson de Bob Marley. Quel souvenir!

" Tu aimes bien? Tu la sens bien dans ton petit cul?
" Ouuuuiiiii ( bien sûr, pour ça, je la sens mais maintenant que je l'ai dans le cul, pas question de renoncer, c'est trop de bonheur )

D'instinct, comme pris dans un tourbillon de bonheur, j'embrasse ses mains, ses avant bras. Je lui doit bien ça, avec toutes l'attention et la douceur qu'il a fourni. Il comprends ma réaction et à son tour embrasse ma nuque et me couvre de baisers.

Allongé sur moi, ses poils longs et denses frottent mon dos. Je sens même ceux de ses cuisses. La chaleur de son corps et le parfum qu'il dégage sont un ravissement.

" Attends, laisses moi faire, ça va encore être meilleur.

Il se retire, enlève sa capote puis me ré encule aussitôt. L'introduction est sublime, absolument divine. Il a compris mon plaisir et redonne un petit coup, finissant d'introduire les derniers centimètres, me la mettant jusqu'aux couilles.

" Hummm, tu aimes bien… Ton petit cul est délicieux, mon bébé.
" Ouuuuuiiiiii….c'est bon….Hummm (et ce n'est pas feint, je me suis décontracté et j'accepte son énorme phallus avec le plus grand des bonheurs )

Calmement, sans parler, il me prend dans ses bras et commence à me pistonner. Je gémis mais c'est bon, je sens son énorme bambou me ramoner, élargir le fourreau. Les va-et-vient sont doux, petits au début puis, mon corps s'habituant, ils deviennent par moment un peu plus virils.
Il savoure mon cul, déguste chaque gémissement de ma part, analyse mes réactions. Par moment il arrête et vient chercher mes tétons, les pince, me fait crier. Il me perfore de son dard, jouant avec ma rosette.
Le temps ne compte pas, seul le plaisir est là. Je ne gémis plus, je cries de plaisir de recevoir son phallus merveilleux dans mon corps.
Il vient me remettre sur le lit, dans la position initiale, sur le dos, et m'ouvre comme une fleur, avec sa bite énorme, luisante, monstrueuse. Il se réjouit de chacun de mes gémissements et vient déposer de somptueux baisers sur mes joues, mon front, mes lèvres que je lui rend avec ardeur. Chaque sonorité de mon corps, de mes sens l'émerveillent. Ses caresses, le ronronnement de plaisir qu'il émet en me baisant sont une ode à l'amour.
Il est à la recherche du plaisir, uniquement du plaisir.
La vue de son corps long, archi poilu sur le torse, doté d'une bite magnifiquement raide, est pour moi comme un miracle. Sa résistance à bander si dur, si gros, m'ébloui. Je ne suis pas en état de résister, d'autant que j'apprécie, j'exulte de me faire empaler par ce mec monté comme un âne, poilu comme un bouc.

Je suis ouvert comme pas possible ( je ne sens plus mon cul ) mais je suis heureux, disponible. Je ne dis rien moi aussi, je suis à lui. Je ne bande même pas, j'en vois pas l'utilité.
Je lui offre mon corps et il le sent. Pendant qu'il me harponne de son sexe démesuré, ses yeux brillent de satisfaction, ses caresses sont douces.
Je me surprend à caresser son poitrail velu, ses bras musclés, à passer mes mains sur sa nuque virile, à l'attirer vers moi pour qu'il me pénètre encore plus…
Il va me baiser ainsi pendant un temps infini, autant qu'il veut, sur le ventre, sur le dos, debout face au lit, sans parler, m'arrachant des
" HAAAAAA…..HAAAAAA de bonheur, avant de s'arrêter:

" Je vais téléphoner.
Il dit seulement
" Tu peux venir.
Il me regarde et me dit
" Mon copain arrive, il va te baiser.

A suivre….

Caramel
*Protégez vous, mettez des capotes.

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