Souvenirs D'Infirmière (Partie 3)
Souvenirs dinfirmière (part 3)
Quelques mois sétaient écoulés depuis mon arrivée dans le service des urgences. Depuis mon aventure avec un jeune black, je navais pas eu lopportunité ou lenvie de « remettre le couvert ». Ma vie sentimentale était quasiment vide, peuplée de temps à autre par une aventure sans lendemain. Et encore, je ne couchais pas systématiquement. En tout cas, jamais le premier soir.
Javais sympathisé avec mes collègues de travail, et entre célibataires, nous sortions de temps à autre le soir. Pour les autres, japparaissais comme une fille sportive, sérieuse et serviable. Personne navait eu vent de mes frasques, et je me gardais bien de les raconter
Un soir, au travail, Chantal, une collègue me prit à part. Cest cette collègue que javais surpris par deux fois avec des patients, et qui avait par la suite eu une aventure mouvementée avec ce noir avec qui elle mavait surpris dans un recoin de lhôpital. « Tu te souviens de Ben, ton beau black avec lequel tu tétais éclatée un soir ? Je tavais raconté que je lavais revu, que ça a duré quatre mois, mais que javais arrêté à cause de mon mari qui commençait à se douter de quelque chose. Bon, et bien je lai revu. Par hasard. En faisant mes courses. Il ma dit quil voulait me revoir. Et quil pensait souvent à toi. Tu ne voudrais pas quon aille le voir toutes les deux pour une petite soirée coquine ? Je texplique : tu viens me chercher, comme ça mon mari croit quon sort toutes les deux, et ainsi il naura pas de doute. Tu nas pas envie de le revoir et de passer un bon moment ? »
A vrai dire, lidée de revoir ce beau black ne me déplaisait pas, bien au contraire. Le partager avec Chantal était autre chose, je nétais pas particulièrement attirée par les femmes. Je finis par accepter. La soirée fut programmée pour le jeudi de la semaine suivante.
A 19 heures, je sonnais chez Chantal. Ce fut son mari qui mouvrit la porte. « Ah, vous êtes Clotilde ? Rentrez cinq minutes, Chantal finit de se préparer, elle est toujours en retard.
« Ton mari, il narrêtait pas de me regarder de haut en bas. Cétait gênant. »
« Oui, je sais, il ne peut pas sempêcher de reluquer les nanas. Je crois que ça le fait bander. Mais il nest pas méchant. Jamais il nira tembêter. Et puis tu sais, cest un éjaculateur précoce. Il le sait et il ne va pas sexposer au ridicule. Mais assez parlé de lui. On va rejoindre Ben et passer une super bonne soirée. »
Quelques minutes plus tard, guidée par Chantal, nous nous garons au pied dun immeuble. Nous poussons la porte de limmeuble après avoir sonné, et montons au deuxième étage. Ben nous attend sur le palier. Il nous fait rentrer dans son appartement. De lencens brûle dans le salon, léclairage est tamisé, des haut-parleurs diffusent en sourdine une musique afro-jazzy.
Un vaste canapé bas, nous attend. Ben sinstalle en face de nous, souriant. « Super content de vous revoir toutes les deux mes chéries. Je vous ai préparé un bon punch en apéro. Vous verrez ça détend et ça donne des idées coquines. ». Le regard de Ben va de Chantal à moi, mais autant le regard de Gérard me gênait, autant celui de Ben est agréable, promesse de moments chauds dont je garde un souvenir ému. Nous sommes assises, pour ne pas dire vautrées sur le canapé. Nos cuisses sont disjointes et je vois le regard de Ben fouiller nos entre-jambes. Complaisamment, jécarte davantage les cuisses, autant que ma jupe le permet.
Un slow débute. Chantal se lève et mattire à elle, se collant contre moi. « Je crois quil a envie dun petit spectacle ma chérie » me dit-elle à loreille. Ben nous regarde en sirotant son punch. Je sens les mains de Chantal caresser mon dos, descendre vers mes fesses et les pétrir doucement. Son ventre se colle au mien. Ses seins appuient sur les miens. Tout doucement, le plaisir sinsinue en moi. Mes mains sont posées sur ses épaules. A mon tour je les fais glisser vers son dos, je descends encore. Lorsque je les pose sur ses fesses, Chantal a un petit sursaut. Nous dansons en nous caressant par-dessus nos vêtements. Chantal membrasse dans le cou. Sa langue se fait douce sur ma peau. « Jai envie de toi » me susurre-t-elle. Sa bouche cherche la mienne. Nous nous embrassons langoureusement. Cest la deuxième fois que jembrasse une femme. La première, cétait Carole, une élève-infirmière délurée. Cétait à lhôpital pendant un stage. Sa langue nest que douceur. Nous appuyons nos pubis lun contre lautre, nous excitant mutuellement. Nos caresses se font plus précises, plus lourdes. Chantal insinue une main entre nos deux corps et masse mon sexe.
Je sens une présence près de nous. Ben nous a rejoint. Il est torse nu et a enlevé son pantalon, ne conservant que son caleçon. Il se place près de nous deux et sa main se glisse sous nos jupes. Je sens une main qui remonte le long de ma cuisse, glisse sur mon bas, atteint la zone de peau nue en haut de la cuisse et prend possession de mes fesses quil caresse. Sa main passe sous le string et un doigt atteint ma vulve mouillée.
« Déshabillez-vous » nous ordonne-t-il. Chantal déboutonne mon chemisier et men débarrasse. Je passe son pull par-dessus sa tête. Nos mains partent dans nos dos, dégrafant nos soutiens-gorges qui rejoignent nos vêtements au sol. Chantal prend possession de mes seins. Ses mains sont douces. Elles soupèsent mes seins, griffent doucement la peau, pincent délicatement mes têtons dont je sens les pointes sériger. Elle me fait pivoter, plaquant ses seins contre mon dos. Elle me tourne vers Ben. Celui-ci retrousse ma jupe et retire mon string. Il se met à genoux et approche sa bouche de mon sexe détrempé. Chantal continue de me caresser les seins et membrasse dans le cou. Jai posé mes mains sur la tête de Ben pour accompagner son coït buccal. Sa langue pénètre mon sexe. Au moment où le plaisir va monter, il me délaisse et rampe vers Chantal. Nous inversons les positions. Je caresse à présent ses seins, alourdis par deux grossesses. Elle gémit lorsque je pince ses mamelons. Je suce le lobe dune oreille. Ben lui a retiré sa culotte et la lèche. Je glisse ma main derrière mon dos et défait lattache de ma jupe qui tombe au sol. Je fais de même pour Chantal. Nous ne sommes plus vêtues que de nos bas, telles deux vestales offertes au sacrifice. Ben se relève. Une énorme bosse déforme son caleçon. Nous nous mettons à genoux et le mettons nu. Sa mentule se redresse devant nous. Tendue vers le haut, le gland luisant, fière et conquérante. Ma langue parcourt ce sexe dressé, des bourses au bout. Nous lembouchons. Nos langues se retrouvent parfois au bout de son gland et se mélangent, labandonnant un court instant. Nous le suçons longtemps, lubrifiant son glaive. Nos mains caressent ses bourses, branlent la hampe brûlante. Son sexe grossit encore sous nos caresses. Lune comme lautre, nous navons plus quune envie, celle de nous faire pénétrer, de jouir.
Il nous redresse et nous fait mettre à genoux sur le canapé, lune à côté de lautre, les mains reposant sur le dossier. Jentends un gémissement, il sest introduit dans le sexe de Chantal et la prend à grands coups de rein. Sa main droite sest immiscée entre mes cuisses et me caresse, préparant le terrain. Il se retire de Chantal, se déplace et minvestit dune longue poussée. Il est gros, il me remplit totalement. Un râle séchappe de ma bouche. Ses mains passent autour de mon buste et jouent avec mes seins. Pendant près dune heure, il passe de lune à lautre, nous amenant lentement à lorgasme. Il varie le rythme et la profondeur de sa pénétration. Plusieurs fois nous croyons arriver au bout du plaisir. Dans la pièce, on nentend plus que des halètements et des gémissements mêlés. « Ah mes salopes, ce que vous êtes bonnes. Oh vous êtes trop bonnes ». Soudain, Chantal se cabre et part dans un grand cri, son corps se convulsant sous la violence de lorgasme. Il ny a plus que moi. Il senfonce dun coup au fond de mon sexe en fusion et me besogne vigoureusement. Il accélère et cogne de plus en plus fort. Je pars à mon tour dans un long feulement, lorgasme me laisse pantelante.
La bite toujours raide, il contourne le canapé et présente sa hampe à nos bouches. Il capitule finalement, nous inondant de sa copieuse semence qui coule sur nos mentons et nos seins.
Nous restons nus et mangeons des galettes quil a préparées.
Après ce frugal repas, il nous fait mettre tête-bêche, lune sur lautre, sur le canapé « Je veux vous voir vous lécher, vous caresser, vous branler. La première qui fait jouir lautre a gagné le droit de se faire sauter. Lautre se contentera de regarder ».
Je suis allongée sur Chantal. La joute sera inégale. Chantal me lèche avec un certain savoir-faire que je nai pas, et use de mon cul avec ses doigts. Je jouis la première. Un sourire aux lèvres, Chantal se dirige vers Ben.
Je leur laisse la place sur le canapé. Jassiste à leurs ébats. Chantal sallonge sur le dos et relève ses cuisses. Le noir sallonge sur elle, remontant haut les jambes gainées. Le contraste de ces deux corps nus est saisissant. Ben est un amant redoutable. Il la pilonne vigoureusement. Il résiste longtemps. Chantal balbutie des mots sans suite. Son souffle devient court. Les doigts dans ma chatte, je me masturbe à leur rythme. Lorgasme dévaste Chantal par deux fois avant quil ne se déverse sur son ventre en criant.
Nous nous glissons contre lui, caressant son corps.
« La prochaine fois que vous revenez, je fais venir un pote. Cest un champion de la baise. Il va vous adorer. On va vous faire passer une soirée de folie. »
Nous prenons une douche, je raccompagne Chantal chez elle. Sur le chemin du retour, elle regarde son agenda. « Mardi dans 3 semaines, ça te va ? » me demande-t-elle. Jacquiesce.
Le subterfuge a fonctionné, son mari ne sest douté de rien. « Vous avez passé une bonne soirée ? » nous demande-t-il. « Oui, et puis vous savez, James Bond est un homme merveilleux et plein de ressources » lui répondis-je. Il me sourit. Il est content que sa femme ait trouvé une nouvelle copine pour sortir. Au moins, comme ça, elle nira pas se faire draguer. Sil savait
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