Le Journal D'Une Veuve (5)
Août
Me voici, moi Christine, veuve mais libérée de mon veuvage comme je l'ai raconté dans les quatre précédents épisodes, en congé pour deux semaines, la seule période de l'année où je peux m'évader de mon boulot de médecin généraliste aussi longtemps. Contrairement à ce que j'avais envisagé, je passe quelques jours à La Palmyre, sur la côte charentaise, avant de me lancer dans un autre projet de vacances, j'y reviendrai plus loin. La raison de cette révision, c'est Ariane, la psychologue trentenaire de l'Ehpad où j'exerce de temps à autre comme je l'ai déjà raconté. Tout a commencé à mon retour de mon équipée de juillet avec Samira (voir précédent épisode). J'ai appris qu'Ariane se trouvait en pleine crise conjugale et au bord du divorce en raison d'une infidélité de son mari. Dans un premier temps, je n'ai pas compris comment un mec pouvait tromper une fille qui a tout pour elle : intelligence, beauté (longues jambes, visage régulier, yeux bleus sous cheveux bruns coupés au carré) et compréhension. Puis je me suis rappelé que le coeur a ses raisons que la raison ne connait pas (remplacez coeur par sexe et vous aurez une vérité encore plus réelle). Ariane, qui avait émigré chez ses parents (elle n'a pas d') m'a sollicitée pour que je lui prescrive des antidépresseurs. Pas très fortiche pour une psychologue censée régler les problèmes des autres. J'ai refusé, lui signifiant le caractère pernicieux de ces médocs, ce qu'elle savait. Et je lui a fait une proposition : "puisque tu es en vacances en août et que tu ne sait pas quoi faire, viens passer quelques jours avec moi au bord de la mer". Et elle a accepté.
Vous voyez, je suppose, mon idée. Puisqu'il y a à la base une histoire de cul, et qu'Ariane doute désormais de son pouvoir de séduction, je lui ai organisé un "stage de sexe" avec mes deux dragueurs qui, ils me l'ont confirmé, sont toujours sur zone. Un stage pareil, cela vaut tous les antidépresseurs. J'ai donc conduit Ariane dans mon réduit et je l'ai conduite à la plage.
Le soir, nous avions rendez-vous dans un bar avec Kléber et Léo, les deux dragueurs, censés draguer la Gironde en profitant de la marée (version à l'intention de leurs épouses). Ils ont d'emblée été épatés par Ariane, très légèrement vêtue d'un pantalon corsaire et d'un débardeur sans rien dessous. Ma consigne à leur endroit était simple : débrouillez-vous pour la baiser. De leur côté, pas de problème, ils ne demandaient que ça. Du côté d'Ariane, c'était plus compliqué. Elle semblait un peu coincée du cul, faisant mine d'ignorer les appels du pied des deux mâles. En fait, j'étais sûre qu'elle les faisait mijoter car même si mes potes ne sont pas des canons, ils sont très sexués et savent parler au bas-ventre des femmes. Pas sotte, elle voyait bien ce qu'ils voulaient mais elle réagissait comme une ado, jouant de son charme évident mais sans envisager un passage à l'acte, du moins dans l'immédiat.
Nous sommes allés en boite. L'alcool et la musique aidant, Ariane s'est peu à peu détendue et a laissé Léo la peloter. Au coeur de la nuit, une ambiance de stupre flottait dans la boite, on voyait des couples improbables, formés sur place, s'échapper vers des lieux où la copulation les attendait. On est sortis bras dessus bras dessous, Kléber avec moi, Léo avec Ariane qui avaient commencé à s'embrasser. En sortant de la voiture, au pied de mon appartement, Ariane m'a soufflé à l'oreille :
- C'est pas possible, ils vont monter avec nous ?
- Ben tiens. Qu'est-ce que tu crois ? On va baiser tous les quatre ensemble.
- Mais je n'ai jamais fait ça, moi !
- Justement.
- Oui mais... Quand même, ça va un peu vite. Et puis, on n'a qu'un lit...
- Justement. Allez, monte, ils nous attendent.
J'ai pris les choses en mains. A peine entrée dans l'appartement, j'ai fait passer ma robe par-dessus ma tête, ôté mon slip, ouvert le lit en grand et je m'y suis allongée, les coudes sur le matelas, mes gros seins dressés vers le plafond. Nu aussi rapidement que moi, Kléber s'est assis à mon côté et a commencé à me caresser. Je me suis alors adressée à Ariane et Léo :
- Vous n'allez pas nous regarder nous branler sans rien faire. Venez avec nous.
Léo nous a rejoints, il bandait comme un âne et j'ai vu dans le regard d'Ariane quelque chose qui ressemblait fortement à du désir. Elle fut la dernière à se mettre à poil mais la première à sucer, en l'occurrence le chibre de Léo qu'elle aspirait goulûment, preuve qu'elle était déjà passée "de l'autre côté". J'ai laissé Kléber lui caresser la chatte puis lui mettre son groin entre les cuisses et alors, Ariane s'est vraiment lâchée. Ils l'ont baisée tous les deux sous mes yeux à tour de rôle, la pilonnant sans concession et Ariane, cuisses repliées et talons sur les fesses de son baiseur, s'est mise à bramer au point que je me suis inquiétée pour ma future réunion de copropriété, vu que mes voisins ne sont pas toujours très compréhensifs. La psy s'est révélée une partenaire plus que convenable, acceptant d'être prise en même temps par la chatte et par la bouche, chevauchant son Léo en parallèle avec moi sur Kléber, ce qui menaça de faire craquer définitivement mon plumard. Nos regards se croisaient pendant que nous cavalions et j'y lisais à la fois de l'étonnement et de la reconnaissance. A la voir baiser ainsi, je comprenais encore moins pourquoi son jules l'avait quittée. Elle aimait vraiment ça, c'était clair. Lorsque les dragueurs m'ont prise à deux, l'un dans mon cul, l'autre dans ma chatte, elle a regardé l'opération avec intérêt et a demandé qu'on lui en fasse autant.
Le lendemain, après une bonne grasse matinée qui nous a conduites jusqu'à l'heure du déjeuner, Ariane m'a remerciée tout en m'avouant qu'elle ne s'était pas reconnue.
- C'est la première fois que j'ai eu vraiment conscience du mot "baiser" et j'avoue que ç'a été une révélation pour moi. Comment tu as fait toi aussi pour en arriver là ?
- C'est une longue histoire car cela ne s'est pas fait en un jour. Disons que le me suis décoincée petit à petit parce que j'ai laissé parler mes hormones au lieu de mes principes.
- J'en suis bourrée, de principes, c'est mon drame. Je crois que mon mari me quitte à cause de ça. Tu crois que je peux le récupérer en me lâchant comme cette nuit ?
- Oui, je le crois, mais il faut qu'il sache d'abord que tu baises pendant ces vacances. Je dois rentrer ce soir, mais je vais te laisser les clés de mon appartement. Profites-en pour t'éclater. Tu es belle et désirable, tu auras l'embarras du choix.
Et c'est ainsi que j'ai quitté Ariane après avoir fait un dernier passage à la plage naturiste où elle fit à nouveau admirer son corps et, je crois bien, fait une touche.
*********
(deux semaines plus tard). Je reprends ma narration après avoir laissé Ariane à La Palmyre. Après son retour une semaine après, elle m'a demandé par texto si je pouvais lui conseiller une crème vu, disait-elle, qu'elle avait le vagin et le petit trou douloureux. J'en ai conclu qu'elle avait suivi mes conseils à la lettre et c'est tant mieux.
- Qu'est-ce que tu veux ? Me sauter là, maintenant ? Tu ne peux pas attendre ce soir ? (Marie)
- Non, je veux te baiser tout de suite, j'ai trop envie de toi (Cédric).
- Et Christine ? Tu y penses un peu ? Elle va tenir la chandelle ?
- Elle n'a qu'à nous regarder, ça t'excite toujours d'être matée, je te connais.
- Tu es un gros cochon.
- Et toi une grosse cochonne. Tu as envie de baiser, je le sais.
- Tu as intérêt à être à la hauteur, vingt centimètres minimum, sinon je te pourris le reste du séjour.
- Je vais te défoncer, viens par là.
Et Cédric l'entrainait un peu à l'écart du chemin de randonnée. Il sortait de son sac à dos une espèce de drap qu'il étendait par terre, preuve de préméditation, et Marie se mettait tranquillement à poil, gardant juste ses chaussures de marche, imitée par Cédric. Leurs corps charnus et musclés frémissaient de désir l'un pour l'autre. Ils commençaient toujours par un 69, elle dessus puis il enfonçait son gros machin dans sa chatte gluante, tantôt en levrette, tantôt en missionnaire et je pouvais visualiser en me masturbant leurs gros fessiers en mouvement. Leur coït faisait un bruit mouillé qui attestait du désir de Marie. Le cul poilu de Cédric m'inspirait particulièrement et je ne résistais jamais au plaisir de le caresser pendant qu'il creusait inlassablement, cherchant tantôt les parois vaginales, tantôt la profondeur, encouragé par les ongles de Marie plantés dans la chair. En toute fin de séjour, ce qui devait arriver arriva. Marie, qui avait déjà joui sous les arbres, intima l'ordre à Cédric de me baiser :
- Elle t'a bien caressée, tu lui dois bien ça.
Je n'ai pas fait de manière et j'ai vite baissé short et culotte pour m'empaler sur le dard, les pieds (chaussés) sur le sol mousseux sous la nappe. De les voir baiser aussi souvent (et les entendre parfois la nuit) m'avait mis dans un état pas possible que seule une bite bien dure pouvait apaiser. Et dure, celle de Cédric l'était. J'ai donné de grands coups de hanches pendant que Cédric me pétrissait les nibards, qu'il avait visiblement à la bonne. Depuis que j'avais recommencé à baiser, mon vagin s'était élargi et assoupli. En plus, mes secrétions fonctionnaient parfaitement. Je pouvais désormais profiter des grosses queues et me faire fouiller sans mal. Ce jour là, je me suis vraiment empalée et je n'ai eu aucune difficulté à atteindre l'orgasme. Ce fut le seul coït de mon séjour auvergnat, mais il fut puissant. J'ai remercié Marie en lui faisait une grosse bise. Une complicité de plus avec une fille de l'Ehpad. Il ne me reste plus que Rita pour partager un moment d'intimité. En septembre peut-être...
(A suivre)
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!