Ma Première Pucelle.
Deux ans sétaient passés, je ne voyais plus Coralie qui avait déménagé à Paris suite à une nouvelle mutation. Comme ma tante me lavait expliqué, je ne pensais plus trop à mon ancienne professeure dhistoire -Géo, car Annie avait tenu sa promesse et avait fait en sorte de continuer mon éducation sexuelle. Pendant deux ans, ses amies venaient régulièrement parfaire ma sexualité et me faire découvrir les joies de lamour dans tous les sens du terme.
Tous les mercredis soir, Annie recevait trois amies : Madame Sanders, Madame Leger et Madame Morel. Elles étaient toutes les trois au salon et parlaient de sexe, cétait leur sujet préféré, pendant que je faisais mes devoirs. Tous les mois, ces femmes et leurs maris se retrouvaient dans des soirées privées où le sexe était roi. Annie leur avait parlé de la surprenante taille de mon sexe, elles étaient toutes les trois pressées de le voir en action.
Ce premier soir, lorsque jétais rentré, je vins saluer les amies de ma tante, je les connaissais depuis que jétais petit, elles mavaient fait une petite bise mais contrairement aux autres jours, celles-ci sétaient posées sur mes lèvres. Je fus surpris lorsque Tatie me dit :
Mon petit chéri, Isabelle, Agnès et Denise sont daccord pour soccuper de ton éducation sexuelle. Je te laisse entre leurs mains, jai un rendez-vous galant, tu sais ce que cest, jai besoin de sexe et damour. Je reviendrai dans un moment.
Je suivais donc les instructions que ces dames, dune quarantaine dannées, me donnaient. Nous nous sommes dans un premier temps, déshabillés, les trois femmes sétaient occupées de moi et avec des mains de fées, elles étaient parvenues à me donner une belle érection. Puis quelques minutes plus tard, nous étions nus tous les quatre, dans limmense douche du rez-de-chaussée. Ce fut Isabelle qui soccupait du savonnage, elle avait insisté sur la propreté des parties génitales, autant pour les hommes que pour les femmes.
Regarde comme il bande le garçon, nous allons nous régaler.
Quelle belle bite tu as. Surenchérit Agnès.
Vous avez raison les filles, il est monté comme un âne ce petit. Avait fini par dire Isabelle. Je vais prendre mon pied ce soir.
Ce fut Denise qui soccupa du rinçage, avec des gestes très précis qui mexcitais fortement. Voyant cela, elle me dit précipitamment :
Attends mon petit chéri, je vais taider.
Sans attendre, elle sagenouilla devant moi, je connus pour la première fois la joie de sa bouche et elle, le gout de mon sperme, car après ses coups de langues dexperte, je venais déjaculer au plus profond de sa gorge :
Tu es génial mon petit, mais il va falloir te maitriser afin que lon puisse en profiter un peu plus. Dit Agnès.
Ne vous inquiétez pas mesdames, je suis capable de vous en donner encore.
Elle me nettoya et nous nous sommes retrouvés, au salon sans sêtre revêtus. Leur corps nétaient pas aussi parfaits que Tatie ou Coralie, mais ces femmes sentretenaient et leurs rondeurs leur allaient bien. Elles me firent connaître bien plus quun jeune homme de mon âge devait savoir. Ces quarantenaires, désiraient plus de brutalité que de sensualité, il avait fallu que je madapte à chaque demande de mes partenaires, non seulement sur lacte sexuel lui-même et la façon de les baiser mais aussi sur le langage spécial que ces femmes désiraient entendre et utiliser pendant ces séances de sexe.
Par la suite, je leur avais même administrées à tour de rôles des fessées et quelques coups de martinet que javais manié avec dextérité. Jétais doué comme leur Maître me disaient-elles. Après les avoir prises comme des chiennes, ce quelles voulaient, elles avaient, toutes les trois, apprécié en jouissant fortement.
Nous avions fini de prendre la douche en commun, lorsque Tatie revenait. Unanimement, les trois amies étaient satisfaites de leur soirée, elles sapprêtaient à partir :
Cest bon ton neveu est devenu un prince, nous reviendrons entretenir sa sexualité sans problème. Disait Denise.
Sa queue est magnifique et il sait déjà sen servir. Répondit Agnès.
Incroyable ! Un jeune me faisant jouir comme ça...cest assez surprenant, et jen redemande. Surenchérit Isabelle.
Les mois qui suivirent, les mercredis était réservé à mon éducation sexuelle sadomasochisme, jétais devenu un très bon élève. Je connus dinnombrables amies de tatie, chaque mercredi, il y en avait des nouvelles. Ces femmes avaient de 28 à 55 ans, elles venaient connaitre ce garçon hors norme. Pendant les années suivantes, je connus cette expérience avec des soumises mais personnellement, cela me perturbait, javais envie de connaitre autre chose, je men lassais. Je désirais désormais connaitre des filles de mon âge.
Un après-midi de mai, javais amené une amie chez tatie pour réviser et plus si infinité, nous étions dans ma chambre, et très vite, nous avions flirté paisiblement. Julie ne savait pas que jétais déjà un expert sur ce qui touchait au sexe. Moi, je pensais que toutes les filles de mon âge avaient la même éducation que moi. Au bout de quelques minutes, tout naturellement, jenlevai le pull de Julie qui, médusée ne fit rien pour men empêcher de le faire mais elle était morte de trouille. Elle se retrouvait en soutien-gorge 85B gênée, pendant que jenlevais ma chemise. Je baissai mon pantalon en lui disant :
- Allez, grouille-toi Lucie ! ma tante va rentrer.
- Tes fou que veux-tu faire ?
- On va baiser, tu es bien venue pour ça non ?
Lucie prit peur et voulut remettre son pull pour senfuir mais narrivait pas à prendre de décision.
Je vis ce jour-là, quelle appréhendait, je lavais reprise dans mes bras et nous nous sommes une nouvelle fois embrassés, je lui massais délicatement les seins afin quelle mouille de désir, mais à chaque fois que ma main descendait sur son ventre, elle trémoussait en se cambrant, cétait une invitation, me dis-je.
Je lui avais déboutonné son jean et tirait vers le bas pour le faire descendre le long de ses jambes, il était à ses cheville lorsquelle maida à lenlever définitivement, sa petite culotte en dentelle bleue était très jolie et très mouillée. Elle restait là debout devant moi, sans rien dire à se poser la question.
Je lui fis une bise et je baissai à mon tour mon pantalon et mon caleçon. Lorsque Lucie avait vu ma verge en pleine érection, elle resta bouche bée. Elle nen avait jamais vu de près, seulement celles quelle matait sur les films X :
- Mon dieu ! Il est gros. Non mon chéri, je suis vierge. Pas aujourdhui, sil te plait. On se touche cest tout, je te suce seulement et tu me doigte.
- Alors suce-moi. Et je ferai pareil, tu verras je vais te faire jouir.
Je plaçai ma tête entre ses cuisses descendit sa culotte. Après quelques minutes, elle crut pâmer, elle était en transe, elle mouillait abondamment, elle poussait des petits cris et cria son bonheur, en fermant les yeux.
Elle avait pris du plaisir et désirait aller plus loin avec lui, elle venait de le décider et me mis en position. Lorsque je lui avais enfilé le gland de ma longue queue, elle hurla de douleur, elle essaya de se retirer mais ne le pouvait pas, jétais trop fort et je la maintenais, je ne voulais pas abandonner, je lui pris les fesses et lavais attiré à moi, je ne soccupait plus delle.
Jallais et venais en elle, dans un rythme de plus en plus vite, puis le plus profondément et je ressortis juste à temps pour éjaculer sur son ventre. Mon sperme recouvrait une grande partie de son soutien-gorge. Lucie avait eu très mal, heureusement la porte souvrit, ma tante arrivait pour prendre Lucie dans ses bras :
- Ce nest rien ma chérie, il ne veut pas te faire du mal.
- Je sais Madame mais il est trop gros ça ma fait mal.
- Tu verras, la prochaine fois tu ne sentiras plus rien et tu pourras en profiter toi aussi.
- Oui Madame mais ne le dites pas à mes parents.
Annie ressortit et nous laissa seuls, Lucie maimait, je le devinais, toujours allongée, le sperme que je lui avais envoyé collait à sa peau. Elle mattira vers elle et me serra très fort en membrassant :
Viens mon chéri recommençons.
Me griffant presquau sang lorsque je la pénétrais une seconde fois, elle sentait en elle mon pénis qui était entré sans aucune difficulté et elle ne ressentait plus de douleur particulière, elle avait apprécié cette seconde tentative mais malheureusement, elle navait pas joui lorsque je lui expédiai de nouvelles salves de sperme sur son pubis.
Laffaire en était restée là et jusquà la fin de lannée scolaire, lorsque je baisais avec Lucie, elle ne prenait toujours pas de plaisir. Après quelques semaines, je la quittai pour coucher avec une femme beaucoup plus mûre qui savait jouir sous mes coups de boutoirs.
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