Initiation D'Une Sainte Nitouche 5
Bon inutile de préciser quil ne va plus rien se passer dans ce club, la dame est trop occupée à discuter avec le maitre des lieux et je décide de me casser.
Entre les travaux du tramway, les couloirs de bus, les mecs garés en double file, les camions poubelles qui ramassent les ordures et les automobilistes qui ont oublié lusage du clignotant, cela ressemble de plus en plus à la roulette russe de rouler en scooter dans Paris.
Votre serviteur, harnaché comme les preux chevaliers du moyen âge essayait de se frayer un chemin pour rentrer chez lui.
Cela faisait un petit moment que javais remarqué une mini Morris qui à chaque feu rouge ne supportait visiblement pas que je démarre plus vite quelle et qui me collait systématiquement, faisant ressembler chaque démarrage au départ dun grand prix de F1.
Ce qui devait arriver, arriva, et lors dun départ un peu plus hasardeux que les précédents je me retrouvais projeté de mon fier destrier et assis dans le caniveau.
Le conducteur de la mini se gara et le temps de reprendre mes esprits je réalisais que comme on pouvait sy attendre le conducteur était en fait une conductrice (avant de me faire taxer de macho qui balance des clichés sur les femmes au volant je tiens à préciser que la connerie ne faisant aucune distinction de sexe, couleur ou religion, le fait que ce soit une dame est juste là pour la suite de lhistoire)
Donc de ma position (le cul dans le caniveau) je vis dabord une paire de jambes courtes vêtues et en levant le regard je remarquais quelles appartenaient à une petite dame plutôt bien mise et assez énervée.
La dame commença à mengueuler copieusement, rejointe en cela par un retraité à caniche qui balança son couplet sur les racailles en scooter ( encore un qui regarde trop BFM ).
Moi je suis du genre calme et donc jessaye de reprendre une position moins ridicule et me relevant je retire mon casque.
La petite dame change alors dattitude (non pas quelle fut frappée par ma fulgurante beauté, je suis lucide quand même), le fait que le sauvageon soit un homme mur (joli euphémisme pour ne pas dire vieux) et la domine (non pas encore dans ce sens-là) de deux têtes , calma le jeux.
Je jetai un regard lourd sur le papy homologué RN qui prit son caniche sous le bras et séloigna en maugréant.
Ma nouvelle copine se confondit en excuses, mexpliquant quelle téléphonait et quelle ne mavait pas vu.
Moi je commençais à avoir plusieurs idées malsaines dans mon cerveau malade et me dit que je donnerai bien une leçon à cette petite conne (en plus dans ma galerie de fantasmes, jai toujours associé les nanas en mini Morris à des bourgeoises salopes).
Je lui décoche mon sourire 32 bis et propose daller calmement faire le constat autour dun café. (jai oublié de préciser que mon fier destrier nest plus du tout fringant et que même, je lui trouve un drôle de genre, assez proche des compressions du regretté César ).
La donzelle accepte sans difficulté et nous voilà attablés au bar du dun Novotel ouvert à cette heure matinale.
Là elle me fait son grand numéro de charme, croisant et décroisant ses jambes , jouant avec ses cheveux , etc.
Je ne suis pas très futé mais je sais reconnaître une ouverture quand elle se présente et devine que la dame échangerait bien un constat à lamiable contre un constat en nature.
Mais ne brusquons pas les choses (je ne suis pas un homme facile) et jemmènes la conversation sur sa vie, son uvre , ce qui déclenche un moulin à paroles (parlez-moi de moi y a que ça qui mintéresse
) et japprends que la pauvre chérie à une boutique de lingerie ( ce qui sappelle poser des jalons pour la suite du récit) et quelle ne sen sort pas (je ne sais pas pour vous, mais moi la litanie du pauvre entrepreneur étranglé par les charges et par des employés qui ne veulent plus rien foutre , ça me gonfle prodigieusement....) Mais je laisse ma militante du MEDEF (ce qui veut dire ; Même En Dormant jEngrange du Fric) sexprimer sur la conjoncture en sirotant mon café.
Bon on ne va pas y passer la journée et je décide dentrer dans le vif du sujet (pour linstant cela doit dentendre au sens figuré).
Je prends une voix pleine de compassion et hypocritement (je suis super fort pour ça
) et propose à notre petite commerçante un arrangement plus en rapport avec mes préoccupations fantasmatiques (des fois je métonne de mes tournures de phrases
).
Elle fait la mijaurée mais ses réticences étant accompagnées dun sourire et dun Xème croisement de guibolles , il ne faut pas longtemps pour la convaincre de me suivre dans une des chambres attenantes au bar.
A peine la porte refermée, notre petite salope sapproche de moi et commence à vouloir membrasser.
Seulement moi jai dautres plans.
Je lui prends fermement les bras, léloigne de moi et la fixe dans les yeux.
- OK pour passer léponge mais il va falloir plus quun câlin ma chérie
.
Elle me regarde avec à peu près autant de vivacité dans le regard que les candidats de la télé réalité.
Je ne lui laisse pas le temps de reprendre ses esprits (vu la quantité je dois aller vite)
- Commence par enlever ton tailleur et montre-moi que je nai pas tort de perdre mon temps avec toi.
Je ne vous raconte pas le regard quelle me lance, mélange dincompréhension et de colère.
Mais je ne me démonte pas et massoit sur un fauteuil laissant notre nouvelle amie plantée au milieu de la pièce.
- Alors tu attends quoi ? je nai pas que ça a faire (en fait, jai que ça à faire et si je dis que la dame sort en claquant la porte vous allez me lyncher
)
Son attitude a quelque peu changé et je la sens beaucoup moins sure de ses charmes.
Elle commence à déboutonner sa veste et me dévoile un ravissant soutient gorge qui donne envie de mordre dans les fruits quil protège.
Elle doit sapercevoir de mon trouble car elle me fixe avec un air de défi qui ne me plait pas du tout.
- Dépêche-toi jai dit et baisse la tête.
La jupe rejoint la veste sur le sol et la petite conductrice se retrouve face à moi harnachée comme pour un défilé de Victoria s Secret (célèbre marque de lingerie pour les ignorants).
Je lui ordonne de se retourner, de se pencher en avant, décarter les jambes et douvrir ses fesses à deux mains (si vous le voulez bien
) enfin la routine quoi.
La demoiselle sexécute avec une docilité surprenante et moi je profite du spectacle.
Je décide alors de passer aux choses sérieuses (dautant plus que je commence à me sentir à létroit dans mon caleçon.)
- Retire ton soutif et met toi à quatre pattes sur le lit jambes ouvertes.
Sans un mot elle obéit et si je nétais pas un incurable pervers je lui sauterai dessus, mais bon je me calme et mapproche delle.
Je lui appuie sur le dos de façon à ce que sa tête soit posée sur le lit et que son ravissant petit cul soit encore plus offert.
Je lui prends les bras et lui dispose les mains derrière la nuque, je remarque quelle tremble un peu se demandant quelle va être la suite.
Je commence par caresser les fesses, mégarant parfois entre les cuisses et jouant avec létoffe du string que je fais entrer dans son intimité (pour ceux qui trouve que ce nest pas assez hard, je traduis « je malaxe son cul et enfonce son string dans sa chatte » ).
Instinctivement, elle souvre et pousse un petit soupir.
- Je vois que tu aimes ça salope (je sais le récit va peu à peu perdre de sa tenue
..)
Elle ne répond pas mais sursaute lorsque ny tenant plus je lâche une claque cinglante sur le joli postérieur offert (je claque son gros cul si vous préférez
).
Malgré tout elle reste en position et je commence à lui administrer la fessée homologuée LIPA
(Alternance de coups forts et légers, fruits de plusieurs années dentraînement).
Parfois je minterromps pour vérifier que notre victime apprécie la chose (suis pas un boucher quand même) le taux dhumidité vaginale étant proportionnel à lintensité de la fessée je décide de poursuivre la mise en train (Pas très excitante comme phrase, ça a un petit côté scientifique tue-l amour, mais je ne suis pas mécontent davoir réussi à la placer
)
La douleur sans plaisir nétant que lapanage des esprits primaires (si je vous emmerde avec mes phrases, il ne fallait pas commencer à lire
) jenfonce mes doigts dans le sexe de la dame puis peu à peu dans son petit trou tout en continuant à lui claquer les fesses avec lautre main (ce qui demande une certaine dextérité
).
Tout ce que je peux dire cest que notre petite commerçante na rien contre la grande distribution (comprennes qui voudra) et quelle commence à mencourager de la voix.
Naimant pas trop les effusions je lui retire son string et lui fourre dans la bouche (va pas mempêcher de me concentrer cette conne ! ! !) et en profite lâchement pour lui mettre deux doigts dans chaque orifice, ce qui a pour effet de lénerver encore plus.
Je retire ma main et dun ton sans réplique lui ordonne de se mettre sur le dos.
La rapidité avec laquelle elle obtempère me fait comprendre quelle apprécie désormais la situation.
Jessuie ma main sur ses seins en profitant au passage pour pincer les tétons ce qui déclenche un petit cri très prometteur.
Je lui retire ses bas et men sert pour lui fixer les bras aux barres du lit (cest mon côté Mac Gyver) les pieds suivent le même traitement grâce aux cordons des doubles rideaux de la chambre.
Je me relève du lit et en profite pour retirer mon pantalon (où jai grossi ou alors elle mémeut parce que je me sentais quelque peu engoncé) .
Je massois à califourchon sur le ventre de la dame et commence à jouer avec les seins de ma captive, (on commence par caresser lentement, puis plus fermement, on titille les pointes avant de les pincer, pour terminer par quelques claques bien dosées qui vont ballotter lensemble) ;
Dire que ça lui fait de leffet est en dessous de la vérité, je ne sais trop comment elle a réussie à recracher le string et elle commence à sortir des trucs du genre « donne-moi ta bite
», je ne supporte pas la vulgarité chez une femme (et oui je suis dune génération qui a encore des principes à la con) et je balance une claque sur sa jolie frimousse.
Au lieu de la calmer elle en redemande et comme jadore rendre service je commence à baffer notre petite commerçante (comme ça je venge tous les clients victimes des prix exorbitants et du manque damabilité de rigueur dans ces officines).
La suite est dun classique à pleurer, je passe donc sur la fellation e, le léchage des burnes et dautres parties moins nobles, ainsi que sur les diverses pénétrations anales et vaginales (on dirait un compte rendu médical
)
Toujours est-il que je ne regrettais pas létat désastreux de mon scooter et que la dame se montra à la hauteur de mes attentes.
Je fis un passage express dans la salle de bain et revins habillé, jouir du spectacle de ma copine toujours attachée sur le lit.
Elle me supplia de la délivrer mais moi je suis un pervers et au lieu de satisfaire sa demande je lui bandais les yeux et comble de lironie je lui enfonçais le constat dans la bouche avant de sortir en laissant la porte de la chambre entrouverte.
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