Ashley - 5 Une Chatte Comblée.
Ruby arrive et, un peu à la façon dune patronne de bordel, elle dit :
Voyons Mesdemoiselles, retournez à vos places !
Je sais bien quelle na pas fait tout ça pour me faire plaisir, mais ça ne mempêche pas de lui montrer ma gratitude :
Merci pour tout, Madame.
Elle me tend un iPhone en disant :
Tiens, cest pour toi. Alan te montrera comment lemployer.
Après lavoir encore remerciée, je vais près dAlan. Je tourne sur moi-même en demandant :
Ma nouvelle coupe vous plait ?
Bien sûr, mais avec une queue tu es très mignonne aussi. Comme ça tu ressembles à Marilyn.
C'est qui ?
Marilyn Monroe, je vais te montrer.
C'est gentil... Je lui tends liPhone, il mexplique comment ça fonctionne. Je comprends... plus ou moins. Après mavoir montré comment trouver un extrait d'un film de Marilyn, il me dit :
Va dans la pièce VIP et prends une leçon de séduction.
Ah oui, je nen ai pas encore parlé parce que je ny ai jamais été, mais il y a une salle VIP... Là, je minstalle à une grande table avec une barre. Je regarde lextrait de film dans lequel elle danse et chante « Diamonds are the girls best friends ». Pour tout dire, je ne la connais pas bien, Marilyn. Dans les familles daccueil, je nai vu quun de ses premiers films avec les Marx Brothers où elle avait un tout petit rôle. Dans cet extrait, elle danse entourée de garçons, en remuant ses seins et ses fesses dune façon très érotique. Par contre, elle chante avec la voix fluette de gamine de 7 ans... Mais en mexerçant, jarrive assez facilement à prendre une voix qui ressemble à la sienne. Quant à danser comme elle, là, je devrai mexercer ! Une fille vient me prévenir :
Tu dois revenir devant, Ashley.
D'accord.
Je passe dans la grande salle et je me dirige vers Alan. Arrivée à deux mètres, après lui avoir tourné le dos, je le regarde par-dessus mon épaule en disant avec la voix de Marilyn :
Quand est-ce que tu vas mettre ton gros engin dans mon minou, Daddy ?
Ben oui, à force de me coller à lui sur la moto, jai envie de le sentir en moi.
Bravo, tu limites très bien, Ashley.
Avec la même voix, je lui réponds :
Mais je suis Marilyn !
Elle rit à nouveau, les filles pareil. Ruby ajoute :
Tu nes cependant pas encore prête à danser comme elle. Ce soir, tu thabilleras en country girl. Va te changer.
Cest vrai que je devrai pas mal mexercer. Les clients qui sont déjà là ont assisté à la scène... Dès que je reviens, ils me demandent. Lun deux va jusquà me dire :
Cest merveilleux de voir le sosie de la plus belle femme du 20e siècle se déshabiller pour nous.
Attention, si on me fait trop de compliments, je vais devenir trop sûre de moi... Non, je rigole, je le suis déjà assez. Dailleurs, si jétais assez souple, jadorerais embrasser ma chatte à pleine bouche. Une autre chose qui me plaît, cest me retrouver toute nue au milieu des clients et parfois des clientes, même si ce quon fait est limité. Cest plus chaud dans la salle VIP. Mais je nai vu personne y aller.
Après pas mal de danse, il est enfin 4 h du matin, le moment de la fermeture. Je remets mon vieux jean et mon tee-shirt pour ne pas salir mes beaux vêtements blancs. Alan me donne sa veste et il menfourche... euh... non, pas encore, il enfourche sa moto, tandis que je laisse ma veste ouverte pour presser mes seins contre son dos musclé. Ayant beaucoup travaillé ce soir, je suis fatiguée, mais mon désir pour Alan est le plus fort.
On file dans la nuit comme des chauves-souris jaillies de lenfer (chanson « Bat out of hell » de Meat Loaf)... Arrivés au ranch, on monte silencieusement les marches pour aller dans notre chambre. Après avoir enlevé mes vêtements, je lui demande :
Jai pas mal transpiré en dansant, tu veux que je me lave ou que je mette du déo ?
Surtout pas !
Chouette ! Jaime mon odeur. Dès qu'il est nu, lui aussi, on senlace.
Voilà une vraie intimité. Jaime son odeur et son goût, parce quil me plaît et que je suis super excitée. Je nai pas baisé depuis des jours et même mon majeur ne ma pas câlinée. Ma bouche va et vient sur son sexe. Par moment, son gland caresse mes amygdales et jai le nez dans ses poils, alors que linstant suivant, il est "seulement" entre mes lèvres... Comme jaime autant quil ne jouisse pas trp vite, mon mouvement se ralentit. Comprenant le message, il me dit :
Couche-toi sur le dos.
Ouiiiii ! Il sallonge sur moi et membrasse, tandis que ma chatte se contorsionne pour que son sexe senfonce en moi. Ouch ! Ça y est ! Enfin !
Si cest un éjaculateur précoce, je le tue... Non, cest une image. Je croise les pieds sur ses reins et lenfonce au plus profond de mon ventre. Il att mes poignets pour les maintenir au-dessus de ma tête, en disant :
Quest-ce que tu veux ?
Jouir...
Dis-le mieux que ça.
Au point où jen suis... je réponds :
Jai trop envie. Sil vous plaît...
Regarde-moi !!!!
Ouiiiiii...
Oh ça y est ! Mon bas-ventre se contracte et des spasmes me parcourent... Cest boooonnn....
Voilà. Allez, on se repose maintenant. Ah non, il continue... Ce nest vraiment pas un éjaculateur précoce. Il garde mes poignets prisonniers de ses mains pour dire encore :
Parle.
Jai juste envie de me reposer... et là, jai une idée. Je lui dis :
Jai envie de sentir votre sperme remplir ma chatte. Je veux des s de vous, les allaiter et... oooohhhh, oouii..
Je jouis à nouveau, lui aussi et il remplit mon minou de sa semence. Je suis pleine, je vais déborder sur les draps.... Tout à coup lourd, il se laisse aller et il est lourd sur moi, je lui dis :
Jétouffe !
Il bouge pour que nos corps se décollent, car on est en sueur. Je mets ma main en conque sur ma chatte pour garder son sperme en moi... Pas pour avoir des s, bien sûr. Je me mets sur le côté, lui derrière moi. Ma chatte ronronne de plaisir et je mendors.
***
Quand je me réveille,je suis toute seule dans le lit. Alan sest levé sans me réveiller. Je me lève pour vite aller dans une pièce où il y a un vieux lavabo. Je grimpe dessus pour faire pipi... Ensuite, je pousse un peu, pour éliminer le souvenir de nos étreintes qui est toujours dans ma chatte. Juste après lamour, cest super de garder le sperme de son amant en soi, mais le lendemain, quand ça coule le long des jambes, cest moins glamour. Jen profite pour faire une petite toilette sommaire, puis je menduis décran total, de la tête aux pieds. De nos jours, le bronzage nest plus du tout à la mode dans le Sud.
Je vais les rejoindre sur la terrasse et, dans une pose de pin up, je reprends ma voix ine pour leur demander :
Bonzour, y aurait une petite place pour une fille de la campagne ?
Ils sont sciés ! Les filles sexclament :
Tu es aussi belle que Marilyn !
Et aussi :
Le blond te va trop bien...
Ouais, daccord avec elles... Tommy a pris son bloc et il dessine à toute allure. Jembrasse Alan sur la bouche et les autres aussi, dans la foulée. La seule qui ne dit rien, cest Pearl. Normal, une esclave na le droit douvrir la bouche que si on linterroge, ou pour donner du plaisir. Je lui dis :
Apporte mon déjeuner.
Oui Maîtresse.
Je regarde ses fesses bouger, tandis quelle se dépêche daller dans la cuisine. Il faut être juste, ces Noires ont une qualité, leurs culs !
Jexplique tout ce qui sest passé : le coiffeur, manucure, pédicure et puis liPhone pour imiter la voix de Marilyn...
Pearl revient avec mon petit déjeuner pain, beurre et confiture. Il ny a toujours pas dufs au bacon, mais ce nest pas de sa faute... Juste, cest juste... Par contre, elle renverse du café en me servant. Là, ça change tout : une esclave maladroite doit absolument être punie. Les autres me regardent pour voir ce que je vais faire. Vous comprenez bien que si je laisse passer sa maladresse, ça me fait perdre la face... et puis, oui, cest vrai, jai trop envie de fouetter ses grosses fesses. Je lui dis :
Le fouet !
Ouiii... Maîtresse.
Elle court vers la cuisine... Soit, elle a hâte dêtre fouettée, soit elle veut mamadouer en me montrant à quel point elle obéit bien. Elle revient se mettre à genoux devant moi, mais je veux dabord manger. Alan me demande :
Ce sera la première fois que tu fouettes une fille ?
Oui...
Après avoir mangé, cest le moment de moccuper de Pearl. Je lui demande :
Combien de coups de fouet pour une maladresse ?
À genoux, la main tendue pour me tendre le fouet, elle pleurniche :
Dix coups, Maîtresse.
Je pensais ten donner que cinq, mais cest toi qui décides, daccord pour dix.
Cest pas très gentil, mais amusant, non ? Enfin, ça dépend si on fouette ou si on est fouetté...
Les filles rigolent.
À suivre.
Si vous voulez me parler des mes histoires, je suis ici : mia.michael@hotmail.fr
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