Récits De Lectrices : Clotilde : La Fessée (Partie 2/4)
Récit proposé par une de mes lectrices dont jai la lourde tâche décrire et de mettre en page, en respectant scrupuleusement ses aventures sexuelles quelle a vécues.
Le lendemain Gérard devait travailler, il avait dit à Clotilde : si elle voulait rester chez lui, il serait heureux de lhéberger autant de jours, de mois ou des années quelle le désirait. Néanmoins, elle devait, pour cela, suivre certaines règles, cétait ses conditions :
Si tu restes, je serai ton amant, tu devras mobéir. Ici tu ne dois pas porter de culotte, je dois pouvoir te faire lamour lorsque jai envie. Tu feras le ménage et mes repas et je te récompenserai. Tu auras de largent et je tapprendrai à devenir une vraie femme, prête à satisfaire son amant. Es-tu daccord ?
... Oui Gérard !
Non ! Pas Gérard, cest beaucoup plus bandant, pour moi, si tu mappelle Monsieur.
Il était parti depuis une heure lorsque Clotilde prit son petit déjeuner, prit sa douche et shabilla. Elle préparait le peu daffaires quelle avait et sapprêtait à quitter la maison, sa décision de rester ici nétait pas évidente à prendre. Elle était devant la porte prête à louvrir pour quitter les lieux. Elle était anxieuse, elle avait connu une nuit damour folle et avait envie que cela continu mais dun autre côté, elle avait peur de rester avec un homme qui semblait très sévère, elle ne le connaissait que trop peu et de surcroit plus vieux que son père. Elle se posa encore la question :
« Où vais-je aller, si je ne reste pas là ? »
Son cur battait fort. Elle avait la poignée dans la main mais nouvrit pas la porte. Elle retourna déposer son sac dans sa chambre et se fit à faire le ménage. La maison nétait pas grande, mais elle était habitée par un célibataire. Il y avait beaucoup de travail. Elle avait fait le tour du propriétaire, pièce par pièce, commença à nettoyer, frotter et laver les sols des toilettes, de la salle de bain, de la cuisine et la chambre de Gérard.
En fin daprès-midi, elle navait pas fait la chambre dami, ni le salon ni la salle à manger. Pour le reste, tout fut dépoussiéré, lavé et rangé dans les meubles. Elle était crevée mais fière du devoir accompli. Elle pensait que Gérard serait content de son travail. Il était 18 heures, elle sétait installée dans le canapé, elle regardait la télé lorsquelle lentendit ouvrir la porte. Elle se leva et alla au-devant de lui, elle passa ses bras autour de son cou pour lui faire la bise :
Cest bien, je vois, que tu as pris ta décision !
Bonjour Monsieur, je vous attendais avec impatience !
Immédiatement, il lui mit une main sur les fesses en disant :
Veux-tu devenir une vraie femme ? Veux-tu que je te forme à cela ?
Oui Monsieur, apprenez-moi, je nai pas envie de vous quitter, je ferai ce que vous me demanderez.
Je vois que tu as fait du ménage, cest très bien. Mais as-tu préparer le repas ?
Pas encore Monsieur, je vais le faire.
Pourquoi es-tu devant la télé alors.
Il la mit en garde et lui expliqua plus en détails ce quil attendait delle, il avait senti quelle avait un potentiel pour devenir une vraie petite salope. Mais il avait tout à faire il serait son initiateur, son seigneur. Elle devait tout apprendre sur le maximum de pratiques sexuelles pour devenir sa salope :
Déshabille-toi ! Lui dit-il fermement
Ces mots et surtout le ton, avaient impressionné Clotilde, elle paniqua un peu, elle ne voulait surtout pas le décevoir. Elle enleva son sweat, elle tremblait encore, puis son débardeur. Elle retira ses baskets et enleva son pantalon de jogging :
Je t'avais dit pas de culotte chez-moi.
Il se mit assis sur le sofa et lui dit de se pencher sur ses genoux. Il retira sa culotte et la jeta le plus loin possible dans la pièce. En se positionnant à plat ventre sur ses genoux, Clotilde vit la déception dans les yeux de Gérard, elle sen voulait de ne pas avoir respecté la première règle qui lui avait imposée.
Tu vois Clotilde, quand tu nobéiras pas, voilà ce qui tattend. Sache que cela fait partie de ta formation. Cest douloureux voire humiliant mais cest indispensable pour que lon puisse bien sentendre. OK ?
Daccord ! je
On dit, oui Monsieur !
Oui Monsieur Gérard !
Maintenant assied toi par terre, sur le carrelage.
Gérard commença par lui caresser les seins en lui pinçant les tétons qui pointaient déjà, en disant que la fellation quelle avait faite hier soir laissait à désirer et quil fallait quelle progresse. Il lui montra des cassettes de films X, en sortit une quil plaça sur la table en disant :
Demain je veux que tu apprennes, tu passeras ton contrôle le soir même, lorsque je rentrerai du travail.
Oui Monsieur !
Il lui expliqua comment faire mais insista pour quelle regarde le film. Clotilde fit la moue, elle sétait appliquée pour cette fellation mais à priori, cela navait pas suffi à le satisfaire. Elle se promit de bien regarder comment les filles faisaient afin de ne pas le décevoir une nouvelle fois Gérard. Il lui fit remarquer quil fallait passer à la pratique :
Le but du jeu, cest que lhomme doit jouir le plus vite possible sur ton visage ou dans ta bouche.
Monsieur, Jappréhende cela, je ne sais pas si je suis capable davaler ça.
Nous verrons cela plus tard, pour le moment tes seins feront laffaire. Viens maintenant mets en application les quelques conseils que je tai donné et entraine-toi.
Elle se mit en position devant lui, les genoux lui faisaient un peu mal sur le carrelage mais ne sen préoccupait plus.
Elle plaça son sexe dans sa petite main en le relevant, pour faciliter le massage de ses testicules de son autre main. Elle fit quelques bises de ses lèvres sur le gland décalotté de sa verge et le mouillait de sa salive quelle léchait délicieusement au fur et à mesure.
Elle saperçut que cela devait lui plaire car sa queue grossissait et durcissait très vite dans sa main. Elle avala son pénis puis tournait sa langue en insistant sur lextrémité du gland, elle suçait, ressortait sa bite et la léchait puis laspirait de nouveau en lenfonçant de plus en plus profondément jusquà la garde, elle ne respirait plus afin quelle puisse aller le plus loin possible dans sa gorge.
Elle se retira légèrement pour le masturber en même temps. Il était désormais tendu, raide son érection devenait plus forte, elle avait réussi en quelques minutes à le faire bander comme un cerf, il gémissait doucement. Gérard ne lui avait donné aucun conseil car elle sappliquait de lenfoncer le maximum, elle pensait que cétait cela quelle navait pas réussi la veille. Il sentait quil allait se lâcher, il larrêta :
Cest pas mal, tu as fait des progrès, tu prendras le gode à côté des cassettes pour tentrainer. Attention, ne ten sert pas pour autre chose, sinon gare à la punition. Tu as bien compris ?
Bien, Monsieur, je vous le jure.
Il lui demanda de sallonger sur le carrelage, lorsque son dos entra en contact avec le sol froid du salon, elle ressentit de grands frissons, elle écarta les jambes car il les repoussait de ses mains. Avec les bras en croix, elle lui offrait tout son corps.
Il se dévêtit entièrement son sexe était toujours aussi tendu et pointait vers le haut.
Clotilde, tu seras une vraie salope, je ne peux pas me tromper. Tu as toutes les qualités pour cela. Vas-y ! Lâche-toi, laisse-toi aller, tu es tellement belle quand tu jouis.
Ha
Oui..., encore
Venez Monsieur
Humm
Il sallongea sur elle et sengagea dans sa petite chatte mouillée sans précaution, elle était trempée. Il lui mit de vrai coup de pilons, elle voulait quil aille plus profond plus fort, Il sen donnait à cur joie, ses coups de boutoir la faisait se cambrer presquen demi-cercle, elle jouit encore avant lui en lâchant une nouvelle fois un jet de mouille qui arrosait le carrelage dans un long hurlement saccadé par les va et viens incessant de Gérard, son professeur qui prenait possession de son corps.
Il grimaçait, elle comprit quil ne pouvait plus se retenir, il perdit le contrôle, elle sentit pour la première fois un homme se vider en elle. Quelle sensation agréable, quelle chaleur ! se dit-elle. Il était resté comme cela sur elle pendant plusieurs minutes, elle avait envie de lembrasser mais attendait quil lui en donne lordre, elle ne voulait pas se faire punir après avoir pris un tel plaisir.
Il se releva et lemmena à la salle de bain. Elle le remercia de son cours si agréable. Il fit un signe avec son doigt posé sur sa joue. Elle passa ses bras autour de son cou et lui fit une grosse bise. Il lattrapa avec fermeté et lembrassa, ce baiser fut démentiel, leau de la douche coulait sur leur corps pendant que leurs langues dansaient dans leurs bouches. À cet instant, elle comprit quil était satisfait, elle savait quelle nétait pas prête à le quitter. Demain elle sera encore là :
Clotilde, demain je pars sur la route de bonne heure, je rentre tard dimanche. Soit prête. Regarde autant de cassettes que tu veux quand tu as fini ton ménage. Surtout ne sors pas et ne te montre pas au voisinage, au moins pas pour le moment.
La suite de lhistoire de Clotilde sera diffusée dans quelques jours.
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