Quatuor : Goûter Du Dimanche (Épisode 6)
Résumé des épisodes précédents : «La révélation», «Marion à la maison», « Après midi filles », « La clé USB » et « Le cadeau de Marion ».
Dans les cinq premiers volets de cette histoire, un couple de quadras, Fred et Caro, tombent par hasard à la boulangerie sur leur baby-sitter, Élodie (moi), qui leur présente Marion, sa «petite» copine. Létudiante asexuée sest soudain dévoilée en lesbienne vivant avec une gourmande qui navait absolument pas froid aux yeux.
Caro fantasme régulièrement, depuis un certain temps, sur lenvie de voir son homme faire lamour à dautres femmes, en particulier une pas farouche du style de Marion, pour les aider à franchir ce cap.
Caro la candauliste découvre quÉlodie a toujours été amoureuse delle en secret, doù sa grande timidité à son contact et son implication dans léducation de ses s, essayant de laider à sa façon dans sa vie de femme.
Le couple apprécie les initiatives et la spontanéité de Marion qui ne cache pas son envie de laisser libre court à sa bisexualité avec Fred comme complice.
Nous poursuivons donc cette petite arnaque sensuelle par un sixième opus où le jeu a toute sa place, pour tout dévoiler aux voyeurs que vous êtes. Bonne lecture et faites-vous plaisir.
*
* *
Marion rentra chez elle en fin d'après-midi, excitée comme une puce. Elle retrouva Elodie en pleine révisions de ses examens. Marion avait trop hâte de partager les détails de son expérience de bricolage improvisé chez Fred et Caro.
Elodie savait que Marion devait initialement aller rejoindre sa sur pour faire du shopping. Elle ne fut pas surprise de son changement de plan de dernière minute ni de sa tentative de passer voir le couple chez eux, au cas où... Marion avait un certain sans gêne et un côté opportuniste aventurière.
Elle raconta dans les détails tout lépisode : lemprunt du tee-shirt, le sexy bricolage, larrosage
Elodie laissa Marion dérouler les faits, avec une pointe de jalousie et de regret de ne pas avoir été présente.
Marion lui montra la vidéo des ébats du couple quelle avait saisi avec son smartphone.
Elodie fut troublée de découvrir pour la première fois, Caro dans une nudité presque totale. Une nudité quelle apprécia car elle était amoureuse en secret de sa patronne.
Depuis des années, Elodie entendait ce couple faire lamour au travers de la cloison de leurs chambres. Avec cette vidéo amateur, même de mauvaise qualité, Elodie se sentit plus proche deux encore, tout devenait plus réel.
Voir Caro prise par Fred, le visage déformé par le plaisir, les chairs en feu, les joues rouges et les cris de plaisir. Cela la fit frissonner denvie et lui donna une terrible sensation de jalousie.
Marion renchérit, voyant sa belle Elodie totalement perchée et absente :
- Et puis Fred, il ne fait pas semblant
On a déjà eu le son, mais aujourdhui on a les images, et elle en a de la chance la petite épouse parfaite
- Arrête, tes soûlante ! tu ne t'arrêtes jamais, toi, hein ?
- Allez avoue, ils ont profité dune vidéo de nous, je leur ai volé des images deux, on est quitte !
- Faut quon les revoie, et vite, jen peux plus, déclama Elodie, à bout de souffle, totalement irradiée de désirs...
Marion neut pas le temps de valider ses propos que déjà Elodie la couvrait de bisous en la déshabillant, la poussant vers lun des canapés de leur appartement.
*
* *
Trois heures après que Marion eut quitté le couple, Caro reçut un texto dElodie les invitant à venir prendre le thé chez elles le lendemain. Ils navaient jamais été chez leur baby-sitter. Cela leur serait facile de laisser les s à la maison une heure ou deux. Elle paria que lidée venait de Marion et quelle avait poussé Elodie à lancer cette invitation.
Caro accepta immédiatement, peut-être même un peu trop rapidement. Aurait-elle dû réfléchir un peu ? Mais après tout, le temps passait si vite et elle soubliait trop dans son agenda surchargé.
- Au fait, nous sommes invités chez Elodie pour le goûter cet après-midi...
Fred ne dit trop rien, essayant de faire comme si cette invitation sinscrivait dans un cadre normal. Il savait pourtant que rien ne létait. Lincursion de Marion comme un tourbillon dans leur vie de couple avait tout changé.
Après la sieste dominicale, le couple se prépara.
- Tu es trop belle ma louve. Caro tomba dans les bras de son chéri pour un gros câlin, puis lâcha :
- Si tu ne mets pas de boxer, je ne mets pas de petite culotte. Je suis sûre que cela plaira à Marion.
Fred était trop content de linitiative sexy de sa femme. Elle shabilla dune petite jupe courte, volante, très estivale. Lorsquelle eut terminé de lajuster sur sa taille, le mari sapprocha pour lenlacer et lui renouveler toute la tendresse quil pouvait lui donner. Tout en échangeant ce bisou damoureux, il passa sa main sur les fesses nues de sa femme, ce qui la fit frissonner instantanément.
Ils navaient marché que vingt minutes mais le vent sétait glissé sous sa jupe, lui léchant délicieusement le sexe. Heureusement que Fred était à ses côtés, main dans la main, cela lavait rassuré. Caro nen menait pas large quand elle frappa à la porte de lappartement. Non seulement elle nétait pas femme à se balader nue sous sa jupe, mais elle savait que des choses allaient se passer sans trop savoir quoi.
Elodie ouvrit tout sourire. Elle portait une petite robe printanière, toute légère, assez courte. Le couple ne lavait connu quen jeans mode étudiante garçonne. Elle avait les cheveux attachés, libérant son superbe cou blond, fin et gracile. Cette tenue la changeait beaucoup et ils eurent le sentiment de découvrir une nouvelle personne.
Le petit appartement dElodie était minimaliste et très féminin. Trois sublimes orchidées de couleurs différentes trônaient dans le salon/cuisine et plein de beaux dessins colorés étaient accrochés aux murs. Elle fit entrer le couple, referma la porte, embrassa Fred comme dhabitude, mais posa ses lèvres sur celles de Caro, un petit bisou damoureuse.
En voyant son épouse se faire embrasser par une autre femme sur les lèvres, Fred banda sur le champ. Certes ce nétait quun petit bisou mais sa signification avait beaucoup plus dimportance que cela. Rien nétait anodin. Elodie pris Caro par la main et lui montra lappartement, ne parlant quà elle, se détournant volontairement du mari, séloignant avec son épouse comme pour les séparer.
De son côté, Marion terminait une conversation téléphonique dans la chambre. Marion salua Caro de loin et pointa du doigt le tee-shirt de Fred quelle leur avait emprunté pour bricoler. Il était posé sur la commode, lavé, repassé, tout propre, tout beau. Le sourire de Marion fit comprendre à Caro quelle prenait bien soin de ses affaires. Cela signifiait aussi quelle soccuperai méticuleusement de son mari le jour venu. Implicitement, elle souhaitait prouver quelle était très respectueuse des choses quon lui confiait. Caro leva le pouce en lair pour valider et reprit lécoute active des explications artistiques dElodie.
Marion raccrocha et fila droit vers Fred pour lembrasser avec fougue et passion sur les lèvres et pour lui prendre la main. Caro réalisa alors que deux nouveaux couples venaient tout simplement et naturellement de se former.
Depuis quelques temps elle néprouvait plus de retenue, il ne lui restait que les bons sentiments de curiosité, de gourmandise, de luxure. Elle menait sa vie de femme moderne, et navait pas lenvie, ni le besoin de se fixer de limites. La voix apaisante dElodie lui expliquait un portrait de Marion nue affiché au mur. La jeune femme apparaissait de trois quart, assise, sur une chaise de ferronnerie. Elle avait une jambe repliée et lautre jambe allongée devant elle. Ses seins sexhibaient dans toute leur splendeur, sous les coups de crayons dElodie. Son entrejambe était simplement suggéré et chacun pouvait simaginer ses propres représentations de ce trésor caché.
Caro nécoutait pas vraiment ce quElodie lui disait, encore sous le coup de sêtre laissée embrasser à son arrivée et prise par la main par sa baby-sitter. Caro repensait à cet ouragan de Marion qui venait de semparer de son mari. Elle nétait pas sous le choc, cétait plutôt une émotion douce et enivrante, comme si une logique implacable se déroulait sous ses yeux sans quelle ne puisse rien y faire. Elle navait pas la force de sopposer à quelque chose quelle désirait plus que tout au monde et qui arriverait bientôt pour de vrai. Ses rêves les plus fous étaient en train de se réaliser et elle vivait le moment présent comme en apesanteur.
Fred était aux anges, voyant que Caro laissait les choses se faire, Marion à son bras, enjouée comme une gamine, et lui sans slip, bandant comme un fou. Marion laissa ses ongles effleurer discrètement le sexe tendu, comme par inadvertance. Elle avait un petit vernis coloré qui mettait en valeur ses fines mains et cela plaisait beaucoup à Fred. Ce coquin était tout autant excité par les doigts finement manucurés de Marion que par les pieds, les orteils et les sandales dElodie. Marion griffa un peu son gland gonflé au-dessus du tissu de ses beaux jeans.
- Monsieur est cul nu ? lui chuchota Marion pour ne pas interrompre ce que disait Elodie. Fred hocha la tête lentement, confirmant ce que Marion venait de deviner.
- Madame aussi ? Fred poursuivit son petit hochement de tête. Moi aussi, lâcha-t-elle aussi bas que cela puisse être possible, tout comme Elodie...
Fred posa mécaniquement son regard sur les fesses dElodie, essayant de deviner sa nudité. Marion tendit la jambe et souleva la jupe dElodie qui se défendit discrètement sans que Caro ne voie ce jeu qui se passait dans son dos. Décidément il y avait de lharmonie dans lair entre les éléments de ce quatuor. La complicité et les attentes étaient alignées. Les effleurements des ongles sur le gland de Fred partirent en caresses, les petits doigts pleins denvies samusant à enserrer le tissu des jeans autour de la forme de sa verge.
Elodie était intarissable sur la description de ses dessins. Le couple ne lavait jamais entendue parler si longtemps de toute leur vie. Cela arrangeait bien Fred car les filles étaient de dos, ne pouvant pas voir quil se laissait caresser le paquet sans vergogne derrière elles. Fred avait une terrible envie de se jeter sur cette torride Marion. Depuis quil la côtoyait, son désir navait cessé de monter en flèche, tout comme sa queue dans son pantalon. Il la tenait par la taille afin quelle soit toute proche de lui, et pour lui permettre daccen ses caresses, ses contacts et sa douce friction de ses ongles sur son gland pour 3-4 minutes de ce délicieux traitement.
Tout stoppa quand Elodie invita Caro à sasseoir avec elle sur un canapé deux places. Marion poussa Fred sur lautre canapé qui se trouvait en angle, de sorte que le couple soit proche mais sur deux canapés différents. Marion apporta le café et des biscuits et fit le service, Fred ne pouvant détacher ses yeux de ses fesses. Il était clair quelle ne portait rien sous sa robette, aucune marque de lingerie.
Marion saffala sur le canapé aux cotés de Fred en se fondant dans ses bras, comme sil était son mec. Caro se sentit déglutir. Voyant sa gène, Fred pris la main de son épouse quelle agrippa comme une bouée de secours. Leurs genoux et pieds se touchèrent comme si ces contacts étaient primordiaux pour ce couple. Partager son homme avec une autre femme était le fantasme ultime de Caro. Mais voir Marion poser sa tête tout contre lépaule de Fred et le serrer dans ses bras était un drôle de sentiment.
Dans son esprit, elle souhaitait des rapprochements physiques mais sans amour justement. Des émotions charnelles, de désirs, de volupté, de mélangisme, déchangisme, mais aucunement de sentiments amoureux entre Marion et son mari. Cela était la donne de départ, laccord moral entre les époux. Fred ne sattacherait pas. Elle voulait le voir vivre uniquement des ébats torrides sexuels purs. Mais du côté dElodie, ny avait que des sentiments puisquelle était amoureuse de Caro.
Fred était aux anges assis entre Marion et son épouse, en contact charnel avec chacune d'elles, pour sa plus grande fierté de mâle.
Elodie posa sa main sur les genoux serrés de Caro, pour manifester sa douce présence et accompagner ce qui était en train de se passer. Elle posa sa tête sur lépaule de Caro pour imiter le geste de Marion et commença à lui caresser un genou tout en remontant lentement le pan de sa jupe.
Marion posa sa main sur la belle queue dressée de Fred et remodela le tissu des jeans autour du membre tendu. Un long frisson parcourt Caro. Tout ce dont elle avait rêvé se passait vraiment sous ses yeux. Marion venait de toucher le sexe de son mari et ce salop bandait. Le couple se tenaient toujours la main et leurs doigts se serrèrent plus fort encore. Marion lâcha dune voix chaude
- Tu sais quoi Elodie, Fred na pas de boxer et Caro pas de culotte.
Les joues de Caro sempourprèrent et elle regretta davoir poussé Fred à faire cela.
- Oui je sais, déclama la baby-sitter.
Mais comment Elodie l'avait-elle devinée ?
- Nous non plus dailleurs, on est comme vous on navait pas envie den porter...
Cet aveu fit rougir Elodie et bander Fred un peu plus. Le couple était ravi que les filles fassent la discussion, aucun deux nosant parler. Tout était nouveau pour eux, intense. Un mix entre un léger malaise, une grande envie et un moment inoubliable.
- Regarde Elodie comme il bande ?
Bizarre de dire cela à une lesbienne. Elodie était inexpérimentée par la chose, comme elle lavait avoué à Caro. Marion entreprit de défaire la ceinture de Fred avec une expertise confirmée. La main dElodie, elle, avançait dangereusement entre les cuisses de Caro, se rapprochant de son intimité sacrément humide. Les boutons des jeans cédèrent lentement un par un, sous le regard troublé de Caro. Regarder les doigts dune autre femme défaire les jeans de son mari sous ses yeux était un sentiment étrange. Quand la verge fut libérée et se tendit, Marion lâcha un petit sifflement dadmiration.
- Oulala, monsieur Fred. T'as vu Elodie ?
Marion était visiblement ravie et ses yeux pétillaient de gourmandise. Caro était trop fière de son homme. Elle lui broya sa main quelle tenait toujours et avait envie de lembrasser. Bien que tout près lun de lautre ils étaient trop loin pour cela. Marion avait les yeux pleins d'admiration rivés sur la queue de Fred, et ses doigts se posèrent sur lengin pour poursuivre sa découverte coquine et ses jeux érotiques.
- Trop belle votre queue, monsieur le Professeur !
Cest à ce moment précis que le premier contact des doigts dElodie avec le clito de Caro se fit. Caro rentra dans un espace-temps différent. Elle avait tout naturellement ouvert le compas de ses jambes sans vraiment sen rendre compte. Elle qui ne se masturbait jamais, nen ressentant jamais le besoin, sans savoir si cela venait de son éducation ou de sa personnalité. Mais là, ce nétait ni elle, ni son homme qui la touchait, mais sa douce baby-sitter amoureuse delle. Ce geste était si tendre et généreux, presque imperceptible, laissant deviner sa présence sans forcer, tout en effleurement.
Marion fit basculer les hanches de Fred pour quil puisse baisser ses jeans au niveau de ses genoux. Il ne se fit pas prier et son pantalon atterrit directement à ses chevilles. Elodie releva de son côté la jupe de Caro sur ses hanches avec beaucoup de douceur et un calme olympien. Ainsi le couple qui se tenait toujours la main, se retrouvait tous les deux cul nu, assis sur leur canapé respectif, un peu comme deux nigauds engoncés, avec la honte et la gêne des puceaux adolescents quon venait dembrasser pour la première fois.
Elodie chuchota à Caro quelque chose quelle seule entendit :
- Écarte tes cuisses un peu...
Caro se sentait totalement indécente mais obéit à la douce requête de la baby-sitter,
Marion sapprocha un peu plus de la queue de Fred et commença à la caresser. Il avait ses testicules bien apparents, bien rondes et délicatement velues. Marion fit quelques passages sur ces parties sensibles et le regard de Fred se posa alternativement sur les trois femmes qui lentouraient. Il aimait quon lui caresse ses billes damour. Lorsque sa Caro lui faisait une fellation, il aimait quelle sattarde sur ces parties très douces. Marion fit rouler quelques secondes les deux précieuses dans ses mains parfaites et cela renforça encore lérection du mari.
- Regarde comme cest beau Elodie une queue de mec !
Le muscle tendu resplendissait de fierté toute mâle. Caro était daccord, la queue de son mec était belle. Elle le savait mais lentendre dire par une autre la rassurait au plus haut point. La voir ainsi mise en valeur aux yeux de toutes, la rendait plus excitée que jamais. Marion semblait vouloir éduquer Elodie sur la gente masculine. Leurs fantasmes et leurs vies intimes restaient inconnus pour les époux. Aucun des deux quadras ne pouvait soupçonner les délires, les intentions et limites lubriques de ce couple atypique formé par les deux copines.
La petite pression douce des doigts dElodie sur son clito créait une émotion jamais encore vécue par la mère de famille. Elle découvrait une relation féminine inconnue, infiniment douce et surprenant qui la faisait fondre sur place. Toute la sensibilité de cette petite étudiante fraîche et timide se ressentait. Caro qui vocalisait beaucoup dhabitude et qui était dans le feu de laction de ses actes damour, était là figée sans rien dire, bien loin du confort de son univers. Mais les émotions quelle découvrait et ressentait étaient dune élégance fine et dune pureté incroyable. Aucun homme navait été aussi doux avec elle.
Totalement à lopposé, comme leau et le feu, Marion après sêtre approchée à moins de dix centimètres, racla sa gorge et cracha sur le sexe de Fred. Ce contraste entre douceur infinie et feu de laction fit partir Caro qui lâcha un soupir orgasmique.
- Oh
Une à deux gouttes de salive coulait du gland de lhomme et descendait sur les chairs tendues. Cela navait échappé à personne et fit bouillir la tension érotique dans la pièce. Marion lintrépide se faisait chienne, montrant son vrai visage. Caro ne sattendait pas à un crachat sur la queue de son mec. Elle perdit le contrôle de ses jambes qui se mirent à trembler. Marion, trop contente de son effet ne put s'empêcher de répéter un nouveau crachat en la regardant droit dans les yeux. Le regard de Caro était tout troublé.
- Ohhhhhh
Caro était perdue et écrasa les doigts de Fred. Marion était en train de lui piquer son homme ou tout au moins sétait approprié le sexe de son homme. La salive eut leffet lubrifiant recherché par Marion. La queue en était toute recouverte. Fred ferma les yeux et bascula sa tête en arrière, appréciant cette masturbation. Elodie maintenait la petite pression sur le clito de Caro, faisant des petits cercles légers dans un mouvement imperceptible. Caro ressentit le téton dressé dElodie venir se presser un peu plus contre son bras et ses doux cheveux lisses se poser contre son épaule. Son parfum explosa dans son nez.
- Regarde comme elle est dure cette queue
Marion toute admirative accélérait sa masturbation faisant des allées et venues de plus en plus rapides. Elle avait formé un anneau avec son index et son pouce afin dentourer le phallus de Fred. Cela coulissait bien avec toute cette salive étalée. Caro ne pouvait détacher les yeux de ce spectacle quelle connaissait pour lavoir souvent pratiqué avec son mari. Juste à côté, sans quelle ne puisse ni ne veuille intervenir, elle observait la verge luisante, dressée et tendue à fond. Marion, malignement, la maintenait dans une position qui maximisait la tension. Une main à la base bien serrée et la deuxième qui flattait et faisait rouler les couilles de lhomme. Le tout sous les yeux envieux de sa femme, bien que perdue dans les caresses que lui prodiguait Elodie.
- Regarde comme elle est belle, non mais regarde-moi ça...
Marion se redressa pour se jeter sur les lèvres de Fred et lembrasser avec fougue, emportant avec elle Elodie et Caro qui elles partirent à leur tour dans un baiser de folie. Elodie mordillait les lèvres de Caro avec la même douceur que ses doigts qui écartaient les lèvres de son sexe. Caro se sentait mouillée à lextrême. Quand un petit doigt dElodie entra à peine en elle, Caro repartit dans un soupir orgasmique :
- Ohhhhhh
A côté delles le bruit du sexe de Fred masturbé dans la salive était assez surprenant. Dautant plus que la vitesse de la masturbation saccélérait.
- Regardez les filles, regardez
Marion avait repris sa place à dix centimètres de la queue et astiquait lengin avec une rapidité incroyable. Son poignet allait à toute vitesse. Elles la regardaient faire pendant que le doigt dElodie rentrait lentement dans Caro. Fred ne l'avait jamais prise avec une telle douceur. Caro savait que son homme allait jouir avec une autre et perdit un peu plus le contrôle :
- Ohhhh
- Il va jouir regardez !!!
Fred luttait mais le dernier crachat de Marion lui fut fatal. Elodie finit par enfoncer son doigt au plus profond de Caro, sans jamais accélérer sa vitesse de pénétration
- Putain ! lâcha Fred en tendant les jambes, se cramponnant à sa femme dune main et à la croupe de Marion de lautre, à genoux à ses côtés, délibérément penchée sur son sexe.
- Ooooohhhhhhh lâcha Caro à son tour.
Le couple, main dans la main, partit dans un orgasme commun magnifique à voir. Le sperme senvola aussi haut que les contractures dans le ventre de Caro. Les vagues magiques submergèrent les cerveaux du couple et les couleurs de larc en ciel leurs ouvrirent les chakras.
Marion garda la queue tendue en main bien droite, regardant le sperme chaud sécouler entre ses doigts, fière delle. Elodie fit sortir son doigt trempé de Caro aussi lentement quil était entré. Elodie embrassa tendrement Caro tandis quelle se remettait de ses émotions, yeux fermés.
Quand tout le monde fut un peu remis, Marion pouffa de rire, pris Elodie par la main, la fit se lever et lui enfonça ses doigts enduits de sperme dans la bouche :
- Tiens, goûte moi ça, dis-nous comme cest bon ?
Lorgasme dans le ventre de Caro rebondit.
- Oh...
Cette chienne de Marion, non seulement venait de lui piquer son homme mais en plus lui piquait Elodie. Et voilà quelle avait le toupet doffrir le sperme volé de son mari à sa petite copine. Elodie découvrait visiblement la chose, timidement. Elle avait le visage impassible de celles qui subissent les choses sans les réprimer. Il était alors impossible pour les époux relâchés de deviner ce que la frêle étudiante ressentait à cet instant, en suçotant lindex ou le pouce de sa brûlante chérie :
- Navale pas et embrasse-moi !
Le couple découvrit leurs amies lesbiennes sembrasser devant eux pour la première fois, mêlant leurs salives au sperme de Fred. Marion étalait le reste de la semence sur le cou dElodie et allait le lécher entre deux baisers de feu. Caro fondait toujours sur place, de nouvelles contractions reprirent sous ce spectacle inattendu.
- Oh
Fred rebandait déjà, extrêmement excité par cette scène où son sperme servait de liant à ces échanges chauds. Marion rajouta un peu dhuile sur le feu, comme si lambiance nétait pas déjà un vrai brasier. Elle remonta la robe dElodie sur ses hanches, dévoilant son petit cul nu adorable. Elodie avait des jambes très fines et lespace entre ses cuisses qui ne se touchaient pas était assez large. Certains appelaient cette caractéristique physique une rivière parisienne. Elodie, joues roses, se laissa faire, embrassant sa chérie avec amour.
Marion la fit alors pivoter pour quelle se retrouve de dos face aux amoureux. Elle plongea tout le monde dans la fournaise de ce huis clos lorsquelle intima à sa chérie de se pencher un peu en avant, vers la table basse du salon.
- Pose tes mains sur la table ma chérie, et montre leur ton intimité
Ce faisant, Elodie écarta un peu les jambes et descendit le buste vers lavant jusquà atteindre le verre froid de la table basse avec les mains. Marion laccompagnait en se penchant vers ses reins, recouverts à demi par les pans de sa robe retroussée. Ayant placé ses deux mains sur chacune des fesses de sa douce, elle exposa aux amoureux le petit cul magnifique de sa chérie, et vue lécartement entre ses cuisses, il était facile de deviner le petit fruit juteux de la belle Elodie. Les yeux des époux sécarquillèrent lentement à mesure quil la découvrait sous cet angle. Jamais ils navaient imaginé leur baby-sitter dans cette posture, dans cet enchaînement dactes qui les avait amenés ici, à moitié dénudés, ayant subi lorgasme partagé dans les bras de deux femmes qui leur semblaient si distinctes.
Marion regarda les quadras avec un sourire carnassier et des étincelles lubriques dans les yeux. Ce comportement semblait des plus naturel chez elle. Ses mains glissaient du bas des reins dElodie, vers ses fesses et elle ne manquait pas de les écarter encore un peu plus que de raison. Elle lui donna une petite fessée sur sa croupe tendue. Caro ressentit une gêne prononcée de voir sa douce amie ainsi exposée aux yeux de Fred et avait envie de se lever pour faire cesser cette forme dhumiliation. Fred le perçut et len empêcha.
Elodie ne se sentait nullement humiliée, cest finalement son caractère de petite salope qui éclata au grand jour pour ses amis. Dans son cur, dans sa tête sétait un feu dartifice démotions et de satisfactions profondes. Elle aimait sexhiber de la sorte, tout en cachant tellement sa vraie personnalité au quotidien. Cela renforçait le paradoxe, lécart entre lange et le démon qui lhabitaient sûrement. Les époux se regardèrent et se rappelèrent ce que leur avait dit la veille la brûlante Marion sur la vraie nature dElodie : Au fait la vraie petite salope cest Elodie
Elodie tourna la tête à cet instant vers Caro pour lui signifier que tout allait bien. Avec un petit sourire, discret mais plein de malice elle venait de rassurer Caro sur la tournure débridée de ces événements. Elodie continua donduler un peu et se fit reprendre par Marion :
- Arrête un peu ton manège, Fred est à nouveau au garde à vous,
nest-ce pas Mr Le Professeur ? La vue est belle ?
Fred, comme prit la main dans le sac baissa les yeux puis se tourna vers sa femme qui lui fit un petit sourire.
- On vous laisse, jai trop envie, moi. Bisous les amoureux
Marion invita Elodie à se redresser et lemmena dans leur chambre, refermant la porte derrière elles, laissant Fred et Caro sur le canapé.
- Refermez juste la porte quand vous partirez. Et noubliez pas le tee shirt. Ciao les zamis
Caro pensa que leur fuite nétait pas plus mal après tout. Elle naurait pas su quoi leur dire ni comment gérer la suite. Fred cul nu vient sasseoir aux côtés de sa chérie pour l'enlacer et lui faire un grand câlin :
- Je taime ma louve.
Caro flottait toujours et elle serra son mari dans ses bras.
- Je taime aussi chenapan.
Dans la chambre les deux filles rigolaient de bon cur, sûrement trop contentes davoir offert à ce couple des émotions intenses.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!