Moi Léa Récit D'Une Partie De Ma Vie (Partie5)
Je retournai chez moi avec mille pensées dans ma tête. Ca tournait fort et vite. J'étais partagée entre le fait que ça y est j'étais une putain, je l'avais fait. Je m'étais faite payer pour donner le droit à un homme de me déshabiller, me voir nue et me prendre alors que je ne dveloppais aucun sentiment à son égard.
D'un autre côté je n'avais pas trouvé ça si terrible même si je me sentait un peu bizarre, un peu sale.
Aussitôt chez moi je filai sous la douche laissant couler l'eau un bon moment sur mon corps.
Je me servis un bon verre de vin rouge que je savourais confortablement assise sur mon canapé.
Le téléphone ne tarda pas à sonner.
- coucou c'est Mathilde ! Alors ? comment vas-tu ? pas traumatisée?
- non ca va même si j'étais bien angoissée au début mais après ça c'est plutot bien passé
- tu as joui?
- tu plaisantes j'espère ! Non je n'ai pas joui. J'ai même eu du mal au début pour mouiller. Je suis restée toute sèche. ca n'est qu'après qu'il m'ait pénétrée que j'ai finit par mouiller un. C'est une expérience particulière !
- Prête à recommencer ?
- euh... déjà ? tu vas vite ! je ne sais pas trop. Nous en reparlerons. Je te laisse j'ai faim et j'ai envie de me poser.
- OK bye on se rappelle
Malgré la fatigue causée par la tension et le stress j'eu du mal à trouver le sommeil.
Le lendemain Mathilde passa me voir en fin de matinée.
- Tu penses avoir envie de remettre ça ou pas?
- Ecoute, je ne vais pas dire que ça m'enchante mais d'un autre côté quand je vois que ça peut me rapporter un peu d'argent la question mérite qu'on s'y attarde.
- Tu sas tu n'es pas obligée de faire ça tout le temps non plus. Tu pourrais le faire comme moi en occasionnelle histoire de pouvoir vivre mieux.
- oui tu as raison mais il va falloir que je me trouve des clients et puis je ne veux pas prendre n'importe qui.
- ne t'inquiète pas.
Mathilde et moi avons donc passé une petite annonce et pris aussi un abonnement avec un numéro de téléphone différent de mon numéro personnel.
A ma grande surprise il ne mit pas bien longtemps à sonner.
Bien vite, je compris qu'il allait falloir trier et faire du ménage parmi les propositions. Le pire fut un homme qui voulait me voir prise par son labrador ! Je déclinais son offre même si la somme proposée était conséquente.
Parmi les demandes il y avait beaucoup d'hommes mariés qui ne partageaient plus ou presque plus de relations intimes avec leur femme.
J'acceptais donc un RDV avec un d'eux dont la voix me plut et avec qui le contact fut plutôt bon au téléphone.
Je me rendis donc à l'hôtel indiqué. L'homme avait une quarantaine d'années. Ni beau ni laid. Il pris rdv pour 2h. Nous avons un peu parlé puis il m a demandé de me déshabiller devant lui et de ne garder que ma petite culotte.
il pris le temps de me regarder avant de m'embrasser dans le cou et de peloter mes seins délicatement. Il était respectueux et dans ma tête j'appréciais son attitude.
Une main s'aventura sur mes fesses avant de faire glisser ce qu'il me restait de vêtements au sol.
Il me demanda s il pouvait me lécher.
Je lui dit que c'était tout à fait possible. Je m'allongeais donc sur le dos sur son son lit. Il me fit écarter les jambes avant de me faire plein de bisous à l'intérieur des cuisses et autour de mon pubis. Il prit du temps avant de venir gouter ma chatte. Une fois de plus je constatais que l'homme était délicat. Je me surpris à me laisser aller. Je sentais que ma vulve devenait toute humide. Sa langue parcourait mes lèvres et excitait mon clitoris. Je ne fut pas longue à ressentir du plaisir, à mon plus grand étonnement.
Je l'encourageais et je ne pus contenir un petit gémissement de jouissance.
Ce fut à mon tour de le sucer un peu avant qu'il ne me pénètre d'abord en missionnaire puis en levrette.
Une fois repus, il me parla de lui, de sa femme. Je ne parlai pas beaucoup mais je sentais qu'il avait envie de parler
L'heure de la fin du rendez-vous sonna et je me rhabillai pour rentrer chez moi.
Contrairement à ma première passe, celle-ci me donna réellement envie de poursuivre. Gagner de l'argent tout prenant du plaisir c'était le pied ! La vie était belle !
Je téléphonai à Mathilde pour lui dire que je l'invitais le soir même pour se faire un bon restaurant avec une bonne bouteille
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