Summer Of Love 6
Écarte les jambes, s'il te plaît, Bérénice
Elle glousse.
Elle se doute que j'ai envie de la lécher.
Elle, elle aime beaucoup ça.
Elle est très ouverte, sensuellement ET sexuellement parlant.
Elle aime beaucoup que je m'installe entre ses gambettes.
Elle aime que je la regarde avant que je ne ferme les yeux, que je ne soupire et que je dépose un petit bout de langue sur sa vulve.
Elle mouille déjà beaucoup.
Ce n'est que pur plaisir de lui donner du plaisir ainsi.
Elle mouille déjà beaucoup. Ma langue coulisse alors à merveille sur son abricot.
Elle halète.
Elle soupire.
Elle gémit.
Mon chéri
Mon chéri
Oui
Oui
Oui !
Oh oui, bébé ! Moi aussi, j'aime te faire l'amour.
J'aime te lécher, et je ne m'en lasse pas.
Je t'aime te lécher, et je n'ai pas envie de m'arrêter, en si bon chemin...
Caresse-toi les seins, Bérénice
Cest ce que je lui ai dit à un moment donné.
Ses seins sont très sensibles quand on les caresse. Je le sais parce quelle me la dit, une fois, alors quon discutait tous les deux, la tête sur loreiller, après un câlin où elle mavait sucé avec passion et où javais joui sur son ventre. Elle prend beaucoup de plaisir quand on se focalise sur ses tétons, sur ses aréoles et juste au-dessus des aréoles.
Du coup, jai interrompu le cunnilingus que javais commencé à lui faire, le temps dun instant, et je lai regardée dans les yeux. Je le lui ai dit.
Elle a posé les mains sur ses seins, et elle les a empoignés.
Elle les a malaxés, palpés. Elle a pincé ses tétons.
Moi ? Javais repris le cunni que javais commencé.
Je jouissais de pouvoir porter son abricot à ma bouche et je le léchais avec gourmandise.
Son sexe a très bon goût.
Il faut dire que jaime minstaller confortablement entre ses jambes, la regarder droit dans les yeux, soupirer puis enfin me mettre à la lécher, lentement mais sûrement.
Ja-dore faire des cunnis à Bérénice. Et je sais quelle aime beaucoup ça, elle aussi. En général, elle a beaucoup de plaisir quand jhonore son minou.
Elle, elle se caresse les seins.
Elle ondule du bassin.
De temps à autre, elle glisse une main dans mes cheveux comme si elle voulait à la fois me guider et me dire avec ses mains que ça lui plaît que je lui broute le minou.
Elle halète.
Encore
Encore
Encore !
Je ne sais pas si elle va bientôt jouir.
En tout cas, je veux tout faire pour.
Quant à moi, je sens que ma queue est bien dure.
Je me décide décarter les lèvres de Bérénice afin de mieux la lécher. Je distingue très bien son tout petit bouton de rose. Jy porte un fin coup de langue.
Elle crie.
Je la regarde à nouveau.
Encore
Encore
ENCORE ! Sil te plaît
Sil te
Je reporte ma langue sur son clito et je la lèche avec passion.
Jaime Bérénice. Et jaime par-dessus lui donner du plaisir.
Chéri
Chéri
Mon clitoris
Occupe-toi de mon clitoris
Sil te plaît
Je la regarde, Bérénice, et je me noie dans ses beaux yeux chocolat.
Je mécarte un tout petit peu : je vois quelle tend les bras et quelle les dirige vers son intimité. Et là, du bout des doigts, elle écarte un peu plus ses lèvres.
Et là
je peux distinguer mieux, bien mieux, son tout petit bouton de rose.
Chéri
Ta langue ! Lèche-moi
Ni une, ni deux, je replonge mon visage contre son sexe. Et je retrouve ce plaisir que jai à la lécher. La lécher
avec am-our.
Bien quelle porte un duvet de poils, moi, je les aime bien, ses poils pubiens.
Le bout de ma langue virevolte et tourbillonne.
Ma langue est en verve, et sexprime comme elle le désire, autant quelle en a envie, comme bon lui semble.
Oui
Oui
OUI ! Chéri
OH !
De par ses mouvements de bassin, elle ondule et elle frotte son sexe contre ma bouche.
Son minou a un bon goût. Certes, salé mais un goût délicat et agréable.
Une liqueur damour quelle ne réserve rien que pour moi.
Caresse-toi les seins, bébé
Le temps dun instant, je jette un coup dil en direction de sa poitrine lourde et je vois Bérénice qui se caresse les seins. Elle les empoigne. Elle les malaxe. Elle sen pince les tétons.
Bérénice est dune sensualité
Une sensualité qui nappartient quà elle.
Écarte un peu plus les jambes, chérie, sil te plaît
Je sais ce que jai en tête, et si je lui ai dit ça, cest parce que jai comme limpression que ça va lui plaire
Elle, elle écarte les jambes mais elle me regarde comme si elle me demandait pourquoi jinterrompais ce cunni délicieux que je lui faisais et pourquoi je la privais brièvement de ce plaisir jouissif que je lui donnais.
Détends-toi, bébé
Ne pense plus à rien
Continue de te caresser les seins, Bérénice.
Ja-dore ses seins. Je me penche doucement et vais à leur hauteur. Je leur donne à chacun un petit baiser.
Chéri
Chéri
Elle halète.
Occupe-toi deux un peu, sil te plaît.
Ce nest pas ce que javais en tête, mais
Puisque tu me le demandes si gentiment, hmmm
je veux bien.
Mon nez effleure lun des tétons, et, au moment où elle semble sy attendre le moins
Je donne un petit coup de langue.
Elle crie.
(
)
Tout compte fait
il se pourrait que moccuper de ses seins pourrait maider à lui donner du plaisir, encore du plaisir, toujours plus de plaisir
avant de faire ce que jai envie de lui faire.
Je suis toujours couché sur elle, et je me penche de telle sorte que mon visage puisse senfouir dans sa poitrine.
Bérénice me demande de moccuper un peu de ses seins ? Elle naura pas besoin de me le dire deux fois ! Ja-dore ses seins, et ja-dore moccuper de ces bourgeons damour. Oh
oui.
Je ne vais pas me faire prier plus longtemps.
Jenfouis mon visage entre les deux beaux seins de Bérénice.
Je dépose de tout petits baisers dans ce creux. Des baisers délicats
Des baisers mouillés.
Bérénice passe ses bras autour de mon cou. Cest comme si elle me disait que ça lui plaît. Cest comme si elle voulait que je continue.
Après les tout petits baisers, les baisers délicats et les baisers mouillés, ce sont à présent des coups de langue que je donne au creux de ses seins. De tout petits coups de langue. De fins coups de langue
Des coups de langue plus rapides
Des coups de langue plus prononcés.
Tout contre moi, je sens Bérénice qui bouge. Je sens son bassin onduler sous moi et se frotter à moi.
Nous sommes si proches, tous les deux. Ça en est vraiment bouleversant. Cest émouvant. Vraiment.
Je suis si amoureux de Bérénice.
Tous les jours, je pense si fort à elle. Matin, au réveil. Matin, quand elle est à la fac et quelle sest vêtue de sa panoplie de létudiante sérieuse et que moi, je suis peut-être en charge dun groupe de touristes pour une visite guidée. Le midi, il nous arrive de nous retrouver. Laprès-midi, quand elle est encore à la fac et que moi, jai troqué ma tendue damoureux contre celle de guide touristique. Le soir, nous nous retrouvons et nous faisons souvent lamour.
Nous sommes si amoureux.
Oh
oui.
Attends, chéri
? Elle ma demandé de moccuper de ses seins, et maintenant, elle dit ça. Mais, pourquoi ?
Ce nest pas ce que tu crois, mon amour. Tu les aimes, mes jolis seins lourds, ça, je le sais.
Pendant un court laps de temps, je ne suis plus enfoui entre ses seins. Mais, je suis toujours au-dessus delle, et elle est magnifique. Vraiment.
Ce que je vois aussi, lest, magnifique. Un délicieux spectacle pour les yeux : elle a pris ses seins dans ses mains, et elle les a pressés, lun contre lautre.
Je suis émoustillé.
Tu vois, mon amour ? Ils sont tout à toi
Je suis toute à toi...
Bérénice vient de dire quelle est toute à moi ? Cest ce quelle a dit ? Quelle ne me le redise pas une seconde fois. Jai saisi ses mots.
Elle est toute à moi !
Et moi, je suis confirmé dans mon idée de lui faire ce quelque chose auquel elle ne sattend pas...
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