Table De Sapin 16
Jattendais que mes beaux parents partent en vacance pour pourvoir demander à Marilyne de venir me rejoindre dans leur maison. À labri de tout il indiscret, comme ils nous arrivaient de le faire. Ce soir là, lair ambiant était lourd, moite en cette journée de fin juin. Cétait à peine si un courant dair pénétrait dans la cuisine malgré les fenêtres entrouvertes. Mes sens en attente, fébriles, jattendais assis sur une chaise quelle veuille bien arrivée. Mon sang bouillonnait. Il tapait mes tempes comme un roulement de tam-tam. Puis jentendis un moteur de voiture. Enfin ! Elle arrivait.
- Salut me fit-elle en franchissant la porte.
- Salut ! Fis-je sans prendre la peine de me lever.
- Que me vaut cette invitation ?
- Tu ne ten doute pas un peu ?
- Non ! Enfin, oui
un peu. Cest pour ma vilaine altitude lors de mon anniversaire ?
- Tu vois que tu sais ! Approche, veux-tu.
- Quest-ce que tu as lintention de me faire ? Me baiser ? Fit-elle, en savançant de deux pas avant de simmobilisée à seulement dun mètre de moi, le regard contenant du défi.
- Et si maintenant, Alain, je me refusais à toi aujourdhui ? Parce que cest bien pour ça que tu mas fait venir ?
Jétais comme désarçonné par ce quelle venait de me dire. Je voulu lattr, mais elle me repoussa, dune vigoureuse secousse.
- Répond-moi dabord. Que ferais-tu si je ne voulais plus coucher avec toi ?
- Je te dirai que tu ai une sacrée salope !
- Ça tu ne me lapprend pas, mais encore ?
- Je te donnerai une bonne fessée ! Cest peut-être ce que tu souhaites ?
- Va savoir ?
- Si cest-ce que tu désires, alors ne traînant pas
Je la fis pour cela, se coucher de force en travers, sur mes genoux. Je trouvais ce mouvement merveilleux. Et que dire lorsque je soulevais sa jupe, révélant une petite culotte de mousseline de couleur noire. Dont je men saisis par lélastique et la tirais vers le haut.
Javais le cur qui palpitait. Je ne pus mempêcher dy poser une main sur sa chair rebondis. Que je pus mempêché de frôler du bout des doigts. Noubliant aucune parcelle de peau brûlante dexcitation.
Puis elle écartait les cuisses, comme pour souvrir, soffrir à ma vue. Ses lèvres étaient toute luisantes de mouille. Une forte odeur de cul, de chatte, sen dégagea.
- Alors ! Cette fessée, cest pour aujourdhui ou pour demain ?
Cétait si bien demandé que je ne pouvais que mexécuter. Je commençais par cinq claques douces, portées alternativement sur chacune des fesses. Déjà la marque de mes phalanges apparaissait sur la peau.
- Tu me corriges là, ou tu me caresses ? Me questionna-t-elle.
Pour toute réponse, je me mis à frapper longtemps, mais aussi plus durement. Et cela pour son plus grand plaisir. Puisquelle mencourageait, dune voix rauque :
- Oui, oui ! Encore ! Plus fort, naie pas peur dy aller ! Je dois avoir une grosse punition
Je la mérite, oui, je la mérite
Vas-y, merde ! Frappe !
Hormis son délire, elle se déhanchait aussi.
- Je naurais jamais pensé que tu aimais tant te faire fesser.
- Je ne le savais pas moi aussi, avant que tu commences
- Ah oui ! Fis-je, en la fessant de nouveau.
Plus je la fessais fort, plus je notais chez elle, un changement dhumeur et de vocabulaire. Jabatis un déluge de claques sur ses fesses. Une bonne vingtaine. Plus appuyées que les précédentes. Ce qui lui arracha un gémissement. Elle avait les fesses écarlates.
Marilyne quant à elle, en voulait encore et encore. Elle se tortillait sous la brûlure de la punition. Jalternais les claques et les caresses. Les caresses avec les claques. Du piquant à la douceur. De la dureté au frôlement.
Et la coquine en redemandait encore et encore.
Javais devant mes rétines des fesses plus quécarlates. Je profitais de linstant pour glisser ma main entre ses cuisses. Elle était trempée, mais aussi très ouverte. Une ouverture béante.
- Putain que cétait bon
Oh oui frotte mon sexe
oui, jadore ça ! Noublie pas mon cul
il ne serait pas contre de recevoir un doigt ! Dedans ! Sil te plaît !
Jenfonçai mon doigt dans le trou du cul, sans ménagement. Elle se cabra en poussant un cri strident. Je fouillai profondément létroit conduit de chair brûlante. Qui se contracta autour de mon majeur. Je fourrais tout de suite linstant daprès le pouce et lindex dans la chatte. Ils se noyèrent dedans, tellement elle était excitée.
Je branlais les deux orifices dans le même mouvement. Augmentant à chaque fois la cadence. Comme lors de la fessée, elle en demandait encore et encore. Et moi mon seul souhait était de la satisfaire. La branlant comme un malade, à en perdre le souffle. Elle senvoyait en lair dans un feu dartifice de cris, de gémissements sanglotant.
- Oh, quest-ce que ça me plaît. Quand on est vicieux comme ça. Et toi ça te plaît aussi, hein ? Lança-t-elle, minondant généreusement ma main.
Et au même moment elle lâcha un pet bruyant dont je sentais le souffle vénéneux sur ma main. Son premier réflexe fut den rire.
- Excuse-moi Alain
- Tu vas me payer cela ! Fis-je, en la prenant comme un sac de patate et de lattirer jusquà la fameuse table en sapin. La même qui fut témoin de mes nombreuses débauches sexuelles.
Je la fis se mettre debout. La forçant à se pencher jusquà ce quelle colle sa poitrine au contacte du plateau.
- Tu vas encore me fesser ?
- Non je vais tattacher. Fis-je en cherchant du regard quelque chose qui me permettra de limmobiliser.
- Jadore ! Me fit-elle.
- Ça tombe bien moi aussi
Elle lâcha là, encore un nouveau pet, plus sonore encore que le premier. Dont lodeur sournoise envahit la pièce. Eberlué, je regardais Marilyne. Elle était rouge de honte et se confondit en excuse.
- Je ne sais pas ce qui marrive aujourdhui ?
En même temps, je sentis quelle avait envie de se pouffer de rire
tout autant que moi, dailleurs. Mais je me forçais de garder mon sérieux, et limmobiliser avec ce que je trouvais sous la main. Je me déshabillais.
- Tu bandes bien mon salaud. Fit-elle en tournant la tête. Tu pourrais me violer ?
- Non, je ne pourrais pas, et dailleurs tu es consentante.
- Tu sais que cest un de mes fantasmes ? Le viole
- Ah oui ! Cest bon de le savoir. Répliquais-je, en appuyant sur ses épaules pour la forcer à sincliner. Jusquà ce que son buste épouse le plateau de la table. Je lui relevais alors sa jupe. Lui soutirai sa culotte en mousseline. Des filaments de mouille comme des fils daraignée, pendaient entre les lèvres, accrochés aux racines des poils.
Jajustais le gland à lentrée de son vagin. Dès que le bout gonflé eut pénétré, je pesais de tout mon poids. Le con était si bien ouvert et si bien arrosé jusquau col que ma verge disparut dans la chatte avec un bruit de glissement mouillé. Elle gémit.
- Elle me remplit bien. Fit-elle. Elle est bonne. Je sens que je vais partir
Ajouta-t-elle en agitait le bassin à petits coups rapides. Je lentendais haleter dans le silence. De plus en plus fort. Ne cachant pas son plaisir et hurlait comme une folle en gigotant dans tous les sens, Dune voix changée, elle exigea :
- Touche- moi le trou du cul
tu sais bien que jaime ça
enfonce le doigt, vite
Le mexécutais en pointant mon majeur dans la raie béante, moite et rencontrais lorifice boursouflée. Les traits figés, Marilyne, poussant dans son ventre comme pour chier. Ouvrant son cul.
- Encule-moi
encule-moi
fous moi ta queue dans mon cul.
Je compris à cet instant par son délire verbal quelle était proche de la jouissance. Comme pour me donner raison, son corps se mit à se tordre de plaisir. Des larmes de bonheur coulaient sur ses joues. Alors je me mis à la pistonner énergiquement.
- Oh, cest trop
oh oui trop bon !
Sous moi, son corps sarqua. Je sentis au niveau de mon sexe une inondation de mouille. Éclaboussant mes couilles et mon bas-ventre. Jétais en plein délire. Ça bouillonnait dans mon corps. Je planais. Oui cétait vraiment étrange. La jouissance qui montait en moi était indéniablement dune force peu commune. Les jets de ma jouissance au fond de sa chatte, la firent sursauter comme sous leffet dune décharge électrique.
Deux jours plus tard, elle mavait téléphoné. Pour me dire tout le plaisir quelle avait eu, et me proposer une autre rencontre. Nous avons fixé un rendez-vous pour le soir même étant donné que mes beaux-parents nétaient pas encore revenu de voyage. Mais cela fera lobjet dun énième chapitre
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