Cocu Et Plus 3

Nous passâmes la journée de samedi ensemble à la maison, évidemment nous avons continué de discuter de la veille.
Nous avons conclu que c’était une bonne expérience, nous avions pris tout les deux du plaisir et Virginie me rassura sur son excitation qui était surtout produite par la situation et non mon ami.
Nous étions tout les deux d’accord pour ne pas recommencer, ensuite se poser la question de Ludo, c’était mon ami et je ne l’avais pas vu depuis 10 ans, cela serait dommage de couper les ponts alors que nous venions de reprendre contact.
Tu devrais avoir une conversation avec Ludo et lui en parler, faire avec lui comme nous faisons nous en ce moment, c’est-à-dire mettre les points sur les i, dis-lui que c’était une parenthèse et que cela ne se reproduira plus, s’il veut continuer à te voir, il devra l’accepter ! Virginie me dit ça avec le sentiment qu’elle me faisait confiance pour surmonter cette épreuve.
Cette discussion me fit un bien fou, il était clair pour moi que ma femme n’allait pas se mettre à me faire cocu chaque fois que j’aurais le dos tourné, elle m’aime et j’ai confiance en elle.
Les jours passèrent, nous reprîmes notre traintrain quotidien, bien que nos parties de jambes en l’air avait évolué, nous étions encore excités par vendredi.
Nous faisions l’amour avec plus d’envie, de rage et aussi de passion. Virginie m’avait même sucé la bite, un jour que nous rentrions faire les courses, a peine rentrée dans l’appartement, elle s’était mise à genoux et m’avait fait une pipe comme jamais, avalant mon gland, me léchant les couilles et m’avait fini à la main en me caressant la raie des fesses et me titillant l’œillet, c’est l’une de mes caresses préfères, c’est elle qui dirigea sa bite vers son visage pour recevoir mon foutre, des jets atterrir sur son visage et ses cheveux. Elle se leva, m’embrassa et alla se nettoyer à la salle de bain.
Parfois quand nous faisions l’amour, on s’excitait à se raconter la soirée, surtout moi, lui faire l’amour en pensant à cette soirée m’excitait beaucoup, elle me fit remarquer que de me faire cocu avec Ludo avait augmenter mon envie de lui faire l’amour, ce qui n’était pas un mal.

Plusieurs fois aussi nous nous rassurions que tout c’était derrière nous,
Tu ne laisseras plus personne me toucher mon chéri d’accord ?
Oui, mon amour, tu n’es qu’a moi maintenant et rien ne qu’a moi.
Je repris le travail le lundi suivant, je n’avais toujours pas appelé Ludo, je n’osais pas, que lui dire ?
T’es bien rentré ? merci pour la soirée, c’était super sympa de ta part de me faire cocu.
Non surement pas, Je n’allais pas lui dire ça et puis il m’avait qu’il me rappellerait, le mieux c’était d’attendre de me sentir plus à l’aise ou d’attendre que ce soit lui qui me recontacte.
J’avais beau me convaincre que je prenais la bonne décision, le sentiment de faire une grosse connerie, de perdre un pote se faisait ressentir au fond de moi.
Heureusement, Virginie était la et nos baises toujours intenses.
Mercredi alors que j’étais au travail mon téléphone vibra, c’était Ludo. Je regardai mon téléphone plusieurs secondes avant de me décider à décrocher.
EHH salut ma poule, comment va ? Ludo criait au téléphone, il semblait sur la route et sa voix était enjoué.
Ça va ça va, et toi ?
Bien ça roule ah ah ah, alors t’as passé un bon WE ?
Oui ça s’est bien passé.
Nous avons discuté pendant dix minutes de tout et de rien et bien sur de la fameuse soirée.
Ludo déclara qu’il ne s’attendait vraiment pas à ce que ça se passe comme ça, et maintenant il se dit plutôt mal à l’aise par rapport à moi. Je lui réponds que moi aussi, je ne sais pas comment va évoluer notre amitié, que j’aimerais que l’on continue a être pote. Ludo est tout à fait d’accord, il pense qu’il faut laisser ça derrière nous et aller de l’avant. Il me pose des questions sur notre couple, si c’est ok pour nous, je lui dis que nous avons beaucoup discuté avec Virginie et que nous somme tombés d’accord pour dire que c’était un accident et que ca ne se reproduira plus.
« Pierrot, le mieux c’est de briser la glace tout de suite, j’ai de la marchandise à livrer dans le nord, je passe par chez toi, je pourrais m’arrêter faire un saut pour prendre un verre qu’en dis-tu ? »
« Je ne sais pas trop, c’est rapide quand même »
« Plus on laissera trainer, plus ça sera difficile, en plus je ne pourrais pas rester, je dois rejoindre un collègue en fin de soirée, juste un verre, une petite heure quoi ! »
« Bon ok ok t’as raison, mais juste un petit verre alors »
« Promis et cette fois t’inquiète ca se passera bien ».

Je rentrais le soir et racontais ma conversation avec Ludo à Virginie, Elle aussi trouva que c’est trop tôt, mais compris que je voulais normaliser la situation avec mon ami.
Le soir au moment du coucher, la situation évolua, c’est elle qui vint me chercher pour faire l’amour, elle me branla la queue et quand je commençai à lui faire l’amour, elle était très mouillée, alors que je ne lui avais fait aucun préliminaire.
« T’as l’air excité ce soir ma puce »
« Mmm oui mon chéri »
« C’est Ludo »
« Mmm Peut être, imagine qu’il me rebaise encore »
« Je lui fais confiance, il me l’a promis »
« Oui je sais, mais imagine, ça ne te plairait pas ? »
« Si mais juste en fantasme alors »
« Oh oui, vas-y fais comme si tu étais Ludo »
« Ah oui, tu la veux sa bite »
« ouiii, ouiii, mets la moi bien fort »
« Dis-le que t’aime te faire baiser par la grosse bite de Ludo »
« Oh oui, j’aime ça Ludo, baise-moi comme une salope »
L’entendre me parle comme ça, me fit jouir comme jamais, j’éjaculais sur ses seins, elle me regarda et me dit « tu aimes quand je suis salope mon chéri, tu étais plus dur que d’habitude ».
Nous refîmes l’amour Jeudi avec la même intensité et Ludo était encore une fois au centre de nos ébats.
Après, je tenais à avoir une conversation avec virginie, Ludo allait venir et je voulais être sûr que ca n’allait pas faire comme la dernière fois.
« T’inquiète mon pas chéri, je t’ai dit que c’était la première et dernière fois »
« Sur hein, parce que t’as l’air très excitée en ce moment »
« Toi aussi, c’était ton souhait que je te fasse cocu, et j’avoue que ça m’a plu à moi aussi, j’ai juste pensée que ça t’exciterait aussi d’y repenser… »
« Je peux difficilement dire le contraire ».
Vendredi passa lentement, une partie de moi souhait que ça dé et l’autre avait peur de ne pas garder le contrôle. C’est avec ses hésitations dans la tête que je rentrai chez moi en fin d’après-midi.
Virginie était déjà là, elle avait été faire quelques courses pour que je sois tranquille en rentrant.
Elle me fit la bise et me dit « alors prêt a se bourrer la gueule, avec son pote, mon chéri »
« T’es bête on va juste boire un verre »
« Vous allez passer une bonne soirée, j’en suis sure »
« Merci ma chérie, je t’aime »
« Moi aussi mon cœur »
« Par contre chérie tu comptes reste habillé comme ça »
« Pourquoi ça va pas ? »
« Non c’est juste qu’avec ton jogging, ça fait un peu je m’en fous, j’ai envie d’aller dormir »
« Ah bon tu trouves ? »
« Ben oui, pas besoin de mettre une robe soirée, mais un truc un peu mieux quoi »
« Ok, je vais me changer mon chéri, pour te faire plaisir »
Elle alla dans la chambre et au bout de 5 minutes m’appela « Pierre »
« Oui, Virginie »
« Viens m’aider à choisir »
« Je rentrais dans la chambre et je vis plusieurs haut posés sur le lit, de couleur et forme différente »
« Pour le bas, je vais mettre le Jean slim, le bleu marine, tu l’aimes bien celui-là ? »
« Oui très bien, bon choix »
Et comment que je l’aimais il épousait ses jambes et ses fesses à la perfection, j’adorais quand elle partait au travail avec, j’imaginais le regard de ses collègues sur son cul et leurs discussions ou ils parlaient ensemble qu’ils se la sauteraient bien.
« Alors, Pierre, pour le haut ? »
Je regardais les pièces sur le haut et remarqua qu’elle avait mis ce fameux haut blanc en coton, il était plutôt échancré et le tissu fin, ce qui faisait qu’on pouvait voir à travers. J’adorais quand elle le mettait même si c’était à la maison. J’aimerais bien choisir celui-là, mais j’avais peur de passer pour un pervers.
Virginie vit que mon regard bloquait sur cette étoffe et me dit en le pointant du doigt
« Celui-là ? » avec un sourire espiègle
« Oui, mais ça va pas faire un peu trop ? »
« C’est toi qui choisis, et tu veux… »
« Quoi ? »
« Que je ne mette pas de soutien-gorge ? »
« Ah non-ça va pas, Là c’est sur Ludo va se poser des question »
« T’en fais pas je vais mettre un gilet par-dessus, il verra rien, y’aura que toi qui saura, et puis t’as toujours voulu que je le mette devant d’autre personne, au travail par exemple mon coquin »
« Dans ce cas, d’accord, mais avec le gilet »
« Comme ça, tu seras tout excité quand ton pote sera la, de savoir que je pourrais ouvrir mon gilet pour qu’il mate mes nibards, ton gros baiseur de pote »
« Arrête tu vas m’exciter »
« y a pas de mal à se faire du bien »
En disant ça, elle enleva son haut, se mit à genoux, ouvra ma braguette et sorti ma queue en demi-érection et commença à la sucer.

« mmm oui c’est de la bonne grosse bite pour salope ça »
« Ah ouii c’est bon ma chérie, tu me suce bien »
« Tu aimes quand je suce des grosses bites ? »
« ouiii j’aime ca , t’es une vraie salope »
« Tu veux que je me fasse baiser, mon salaud »
« hannn, hannn »
« Que je me prenne des gros coups de bites ça te plairait ça »
« Ouiii , et je jouis sur ses seins »
Elle se releva, pris un mouchoir, s’essuya les seins
« T’en avais besoin t’étais tout excité mon chéri, comme ca tu seras plus calme »
Elle me fit une bise et me fit signe de sortir de la chambre pour se préparer.
Oui j’étais excité c’est vrai mais elle, qui allait la calmer…