La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1338)
soumise Calypso au Château - (suite de l'épisode N°1336) -
- Bien petite salope, tu vois que test capable dobéir, maintenant passons à ta punition
A genoux.
Je me redresse et me met sur mes genoux, mes fesses ne touchant pas mes talons, tête baissée, mes mains posées sur mes cuisses, paume vers le plafond. Le Maitre tourne autour de moi et mobserve dans le plus grand silence et longuement. Il laisse défiler les minutes, prenant son temps de scruter les moindres sinuosités de mon corps. Petit à petit, mon excitation de mêtre fait prendre par le Maitre redescend, et la réalité traverse mes pensées par ce constat : Cest ma première journée aux pieds du Maitre en réel et ça fait seulement quelques heures que je suis au Château, que jai déjà déçu le Maitre. Monsieur le Marquis sarrête de tourner autour de moi, je ne vois plus Ses pieds. Jappréhende la punition qui mattend, même si avoir déçu le Maitre, cest la pire punition qui puisse exister... Immobile, je sens que Maitre mobserve toujours et après ce qui me parait une éternité dans le grand silence, je lentends enfin me dire d'une voix froide, une voix rendue autoritaire par un paradoxal calme et sans intonation :
- Va te mettre en levrette aux pieds de Mon lit salope, le cul bien offert.
Je me déplace alors à quatre pattes pour me retrouver aux pieds du lit, en levrette le cul relevé et bien offert comme exigé. Le Noble arrive derrière moi et commence par attacher mon collier à un pied de son lit, de façon à me retirer toutes possibilités de bouger ma tête. Puis, il att mes mains quil menotte derrière le dos. Je sens sa main récupérer la mouille de mon sexe, qui suinte dexcitation, pour me lubrifier le cul. Ensuite, je ressens un volumineux plug senfoncer dans mon orifice anal. Une fois ce gros plug enfoncé, cest autour de mon sexe que le Maitre me branle un peu, et quand il me trouve à son goût assez mouillée, il menfonce un impressionnant god vibrant.
- Tu vas recevoir 50 coups de raquette de ping-pong sur tes fesses soit 25 coups par fesse, et tu devras les compter 1 par 1 et me remercier à chaque coup. Tu as interdiction de bouger, de gémir, ou démettre un bruit autre que compter et me remercier, sinon on recommence à zéro. Une fois fini, tu devras M'embrasser les pieds en signe de reconnaissance de t'avoir punie pour t'apprendre à bien te comporter.
Avant davoir le temps de me préparer à cette punition, le premier coup tombe. Ne my attendant pas, je retiens mes gémissements de justesse, je noublie pas de compter et de remercier le Maitre à haute et intelligible voix. Ainsi de suite les coups senchainent, jamais au même rythme, jamais au même endroit, parfois un peu plus haut, un peu plus sur le côté. Je noublie pas de compter chaque coup et de dire merci, en gardant ma concentration sur linterdiction de bouger ou émettre un bruit. Quand enfin arrive le cinquantième coup, qui met fin à cette punition, il me reste plus quà implorer le pardon du Maitre. Le Noble détache mon collier attaché au pied du lit, ainsi que mes mains, et ainsi libérée, je me remets de suite à 4 pattes, et me dirige vers le Maitre pour embrasser Ses pieds, pour le remercier de parfaire mon dressage. Et j'attends la permission de parler pour pouvoir implorer le pardon de Monsieur le Marquis.
- Je técoute, il Me semble que tu as quelque chose à Me dire.
Je me mets à genoux, bien droite afin que mes fesses ne touchent pas mes talons, mains derrière le dos, tête baissée. Cest la position requise pour demander pardon.
- Maitre Vénéré, je Vous supplie de pardonner ma faute, indigne dune chienne sous Votre Joug, jai honte de moi, Vous mavez accordé Votre confiance dêtre à Vos pieds en réel, et moi je suis incapable de contenir mon excitation dêtre à Vos nobles pieds, endroit où jai toujours rêvé dêtre. Je vous présente aussi mes excuses de Vous avoir obligé à me punir, pour ma faute. Jespère sincèrement Maitre Vénéré obtenir Votre pardon, car ça reste le plus important pour la petite chienne que je suis
Un silence qui me parait durer une éternité suite à mes paroles. Le Châtelain a toujours su lire en moi comme un livre ouvert, il sait donc combien je suis sincère, combien je regrette.
- Bien, Ma belle chienne salope, je te sens sincère dans ton repenti, et c'est pour ça que je te pardonne
Heureuse d'avoir obtenue le pardon du Maitre, je me blottis contre Ses pieds en guise de remerciement. Le Noble commence à me caresser la tête, comme on caresse un animal de compagnie :
- Je suis fier de toi Ma chienne, tu as enduré ta punition, et obtenue mon pardon. Il te reste un long chemin à faire, mais je ne doute pas de ta motivation, et de ton besoin profond à Me satisfaire. Je vais continuer personnellement ton dressage et faire de toi, une bonne petite chienne à Mes pieds »
Monsieur le Marquis prend ma laisse quil attache à mon collier. Une petite pression sur la laisse me fait comprendre que je dois me mettre de nouveau à 4 pattes et suivre le Maître. On arrive dans une salle à manger immense et tout aussi impressionnante que le reste du Château. Une très grande table de bois vernie et massive, avec des pieds torsadés aux somptueuses sculptures travaillées, se trouve au centre de la vaste et haute pièce au plafond à la française entièrement capitonné de tentures de soie rouge-bordeaux. En bout de table, aux pieds dune chaise, sont placées deux gamelles pour chien. Je comprends donc que cest la place de Monsieur le Marquis.
Monsieur le Marquis recommence à me caresser les fesses, et à fouiller mon sexe trempé. Sans y faire attention, le nez dans ma gamelle, je constate que le Maitre sest levé et se positionne derrière moi. Quand il me trouve assez mouillée, jentends un zip dune braguette qui souvre. Puis, tout dun coup, je me sens fermement maintenue par les hanches par deux mains puissantes qui me tirent en arrière. Alors le Noble commence à me prendre comme une chienne, tout en exigent que je continue de manger. Je sens Sa grosse verge dure en ma chatte. Il me pilonne à grands coups de reins, me besogne sans ménagement dans un rythme cadencé, rapide, profond et qui fait monter mon excitation à lextrême, à la limite de me retenir de jouir. Jai limpression de nêtre quun trou utilisé pour le soulager, de nêtre quun objet de plaisir et cette perspective mexcite encore davantage. Je me fais prendre ainsi durant toute la durée de mon repas. Je suis très excitée, et je dois chercher la force de ne pas jouir tant que je nai pas reçu lautorisation, dans le cas où le Maitre déciderait de me faire jouir ce soir. Quand jai fini ma gamelle, le Maitre se vide en moi en des jets saccadés de semence chaude et dans des râles dun mâle en rut, des râles bestiaux.
Dehors, dans les jardins du Château, Monsieur le Marquis fait une longue promenade avec moi qui le suit en quadrupédie et tenue en laisse. Il marrête devant un majestueux arbre pour que jurine. Jagis comme une vraie chienne animale et je tourne en rond et renifle jusquà trouver lendroit où faire pipi, je maccroupis, pause mes fesses sur mes talons, mes deux pattes avant accroupie, et jurine comme une chienne animale, sous le regard du Maitre, qui me caresse délicatement la tête, comme un Maitre qui caresse son chien quand il a bien agit, pour le féliciter
.
(A suivre
)
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