Récit D'Une Vie De Nuit - Chapitre 4
Les réflexions, les enquêtes clientèles, le partage avec les employés et bien évidement les banquiers nous amène à valider la transformation.
Nous nous orientons vers un premier espace, clos petit salon assez intimiste avec quelques éléments essentiels, mais également faire évoluer la diversification de loffre de la boutique en raccord avec le salon BDSM. Fier de notre salon nous invitons nos amis. Nous avons rougi lambiance et garnit de cuir les éléments, mise ne place des accessoires comme des anneaux disposés au sols aux murs et au plafonds, une table de massage un peu modifiée, un lit à barreaux, une armoire aux multiples accessoires et une croix de St-André car cela était laccessoire ultime. Michel et Sophie sont arrivées lui en tenue sobre et qui imposait le respect et elle en robe courtes zippé sur lavant du haut en bas et un autre partant du creux des rein jusquen bas, bas et talons démesurés, aux poignets un bracelet que lui tenait à laide dune laisse et les chevilles avaient aussi leur entrave. Sophie a déjà endossé son rôle dEra. Nous prenons place au bar pour un échange, nous buvons quelques coupes de champagne. Friedrich fier de faire visiter sa nouvelle installation. Michel montre un certain intérêt à notre « donjon ». Friedrich lui dit quil peut linaugurer. Michel sabsente et reviens avec une malette. Il ordonne à sa soumise de se dévêtir et de se préparer à inaugurer ce donjon. Je mempresse de vouloir effec cet effeuillage, le champagne à déclencher mes pulsions sexuelles. Je dézippe la robe de Sophie, je profite de linstant pour lembrasser. Friedrich en profite pour faire glisser la robe au sol, et donc voilà deux salopes dans leur plus simple appareil en bas et talons hauts. Je mécarte, Friedrich et moi nous nous installons dans un coin réservé aux voyeurs. Le Maitre attache les bracelets afin dimmobiliser Sophie entre le sol et le plafond. Michel tend à lextrême les chaines qui écartèle Sophie, ses seins moyens mais aux tétons pointus, sont ornés de deux anneaux et son intimité sans pilosité, lui aussi est décoré deux anneaux aux lèvres et un au clitoris.
Nous nous accordons une pause autour dune coupe de champagne. Michel est très satisfait de l'évolution de notre établissement, comme fier d'y avoir contribué.
Le « Flamingorosa » est ainsi prêt pour accueillir nos coquins. Myriam toujours présente assure à la boutique
Le salon "donjon" trouve son public. Nous rencontrons le succès maximal lors des soirée réservées homo. La réputation du lieu ne semble plus à faire. Une clientèle dhabitué, des « infidèles » qui ont leurs habitudes. Même un groupe de 4-5 femmes dun âge certain, qui vient entretenir leur boite à plaisirs régulièrement, cougars elles chassent le mâle une à deux fois par mois. Cela sent bon la débauche, les rencontres adultérines, les 5 à 7 explosifs
Les salons sont très occupés, la partie bar est lucrative. Nous sommes fières de notre réussite. Sans autres excès les années passent, Myriam tient toujours la boutique, a rencontré lamour chez nous, elle sest mariée. Mais nous est resté fidèle. Bien que son mari est accepté son métier leur couple n'a pas tenu très longtemps.
Le libertinage est l'activité du club, les filles ont cessé d'être des entraineuses. Elles ne font plus don de leur corps pour les clients et elles ne poussent plus à la consommation. Les spectacles érotico-pornographiques sont retirés des programmes et laisse place, par quinzaine, une vente sexy, sex-toys, lingerie, essayage, etc
L'idée permet de faire intervenir des animatrices, elles vantent leurs produits comme elle le ferais chez des particuliers. Ou parfois, Myriam met en avant notre sex-shop. La piscine est un lieu qui accueille favorise les contacts et noue des amitiés.
Des gens de mauvaises intentions ont tentés de dévaloriser notre activité, régulièrement les autorités civils et financières passe au crible notre établissement et jamais il na été fermé. Quelques aménagements complémentaires ont permis de rendre invisible les activités de notre club même avec le portail du parking ouvert.
Tout nous sourit et cela est encourageant et gratifiant. Nous avons le sourire comme nos associés et le personnel. A lapproche du nouveau millénaire nous nous devons dinnover.
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