Ronflements Dans La Nuit

Des ronflements sonores s’élevaient de la pièce d’à-côté. Ils n’étaient plus que deux dans la pièce après la fête, tout le monde était parti se coucher.
Chacun sur un canapé.
Elle, son mec était dans la pièce d’à-côté, c’était même probablement lui qui ronflait.
Lui n’avait personne, il aimait trop sa liberté et les coups d’un soir pour se caser avec quelqu’un.
Ils ne se connaissaient pas très bien, ils ne s’étaient croisés que deux ou trois fois en soirée chez des amis, comme très souvent dans cette maison.
Ils discutèrent pendant peut-être une dizaine de minutes, puis il y eut un silence qui dura. Elle s’allongea sur le canapé et s’étira, mais le silence durait encore. Il avait profité de son étirement pour la mater encore plus que pendant le reste de la soirée.
Elle portait une robe toute blanche qui mettait en valeur ses courbes grâce à un décolleté généreux. Sa robe s’était un peu remontée pendant son étirement.
Allongée en face de lui, elle tourna la tête. Il était captivé par ses mouvements, comme elle s’y attendait. Bien. La soirée allait enfin devenir intéressante.
— Qu’est-ce que tu mates, pervers ? lui demanda-t-elle.
Il ne se démonta et répondit tout de go :
— Toi.
— Moi ? dit-elle en se tournant sur le côté pour être tout à fait en face de lui.
Elle se mit un doigt sur la lèvre pour jouer à l’ingénue et remonta un genou pour qu’il voie mieux sa cuisse.
Lui plissa les yeux, se demandant à quoi elle jouait. Elle faisait sa chaudasse mais elle avait un copain, non ? De toute façon, tant pis, il n’était pas là.
— Ouais, répondit-il. T’es bonne.
— Moi ? répéta-t-elle en glissant sa main sur sa cuisse pour remonter encore plus sa robe.
Il gardait les yeux grands ouverts pour ne pas perdre une miette du spectacle. Elle le regarda dans les yeux et dit, d’une voix langoureuse :
— J’ai envie de baiser…
Sur ces mots, elle vint s’agenouiller devant lui.

Elle lui déboutonna le pantalon, le fit glisser sur ses chevilles et commença à le branler. Sa bite était un peu plus petite que celle de son copain, mais elle était bien plus large. Elle le branla pendant quelques secondes avant de glisser sa langue dessus pour enfin la mettre complétement dans sa bouche. Sa langue joua avec le gland et, au vu des gémissements de plaisir qu’il faisait, il semblait aimer ça.
Elle le suçait depuis quelques minutes quand ils entendirent une porte s’ouvrir, derrière le canapé où il se trouvait. Très vite, il attrapa une couverture pour la mettre sur elle : dans la pénombre, personne ne verrait rien. Du moins il l’espérait.
Il tourna la tête et jura intérieurement. C’était le copain de la fille qui était en train de le sucer. Merde ! Il décida de prendre les devants :
— Elle est partie faire un tour.
— D’accord, répondit l’autre d’une voix ensommeillée. J’allais juste pisser mais d’accord.
La couverture n’avait pas calmé les ardeurs de la fille, bien au contraire, elle le suçait avec plus de vigueur maintenant. Avec l’une de ses mains, elle jouait avec ses testicules et il avait beaucoup de mal à ne pas exploser.
Quand elle n’entendit plus rien, elle enleva la couverture de sur sa tête pour le regarder mais il la remit tout de suite en disant :
— Non, il risque de revenir.
— Mais j’ai chaud, moi, répondit une voix étouffée par la couverture.
— Alors déshabille-toi, répondit-il simplement.
Il vit la couverture bouger dans tous les sens, puis plus rien. Des mains revinrent sur ses testicules et une bouche engloutit à nouveau sa queue. C’était encore plus excitant maintenant qu’il savait qu’elle avait enlevé sa robe, là-dessous.
L’autre revint en lui demandant s’il voulait qu’il éteigne la lumière. La fille choisit ce moment pour jouer avec son doigt autour de son anus et il ne pouvait pas gémir, pas crier, par bouger au risque de la trahir. Et elle le savait.
Elle allait presque rentrer un doigt quand il releva la couverture.

— Qu’est-ce que tu fais ?
— Moi ? Rien…
Elle avait enlevé sa robe et se trouvait nue sur le sol. Elle était assise, une main qui le branlait lui et l’autre qui se branlait elle. Il n’en cru pas ses yeux vu le corps de dingue qu’elle avait.
Quand elle vit qu’il phasait sur ses seins, elle se releva pour les approcher de son visage. Il s’empressa de les embrasser, de les lécher. Elle continuait à se caresser pendant qu’elle se frottait à lui.
— J’espère que d’autres gens vont passer, murmura-t-elle. Ça m’excite…
Il lui caressait les fesses tout en continuant à lécher ses seins.
Puis elle le repoussa pour venir sur lui, pour le chevaucher. Il fit entrer sa queue dans son vagin et commença ses va-et-viens doucement. Elle se mit à gémir un peu trop fort avec un grand sourire et il mit sa main sur sa bouche, mais ça fit crier encore plus fort, comme si elle voulait neutraliser l’effet de sa main.
Quand ils entendirent à nouveau du bruit dans la pièce d’à-côté, ils se séparèrent.
Ce n’était qu’un bruit mais cette pause lui permit d’aller chercher une écharpe dans son sac. Il fit un énorme nœud au milieu pendant qu’elle le regardait d’un œil lubrique. Il glissa le nœud dans sa bouche pour qu’elle arrête de crier et tira les deux bouts de l’écharpe. Il se trouvait à présent juste derrière elle, ils étaient juste devant le canapé, sur la couverture.
En tirant l’écharpe, elle cambrait le dos, ce qui faisait ressortir ses seins. Elle se laissa malmener docilement mais ses mains parcouraient à l’aveugle le corps de son amant d’un soir. Quand elle trouva sa queue, elle se mit à le branler et il lui murmura à l’oreille de se branler elle aussi.
Comme elle ne fit rien tout de suite, il tira un peu plus l’écharpe, la faisant se cambrer encore plus. Alors elle se mit à se caresser elle aussi. Quand il en eut marre de cette position, il relâcha la pression sur l’écharpe et la tourna vers le canapé, de cette manière elle serait un tout petit peu plus haut que lui.

Sa queue rentra en elle comme dans du beurre, tellement elle était humide. Il commença ses va-et-viens, d’abord doux puis de plus en plus violents au fur et à mesure. Elle ne criait plus, ne faisait plus de bruit à part quelques gémissements étouffés.
Il continua à la pilonner de plus en plus fort, jusqu’à faire bouger le canapé par la violence de ses coups. Suite à ce bruit, ils faillirent se faire prendre mais comme il faisait assez noir, personne ne les remarqua et ils purent continuer en toute discrétion.
Après avoir jouit, il s’écrasa sur elle, épuisé. Elle se dégagea tranquillement, se débarrassa de l’écharpe et lui fit un petit bisou sur la joue.
— C’était bien. Maintenant je vais dormir.
Il hocha la tête pendant qu’elle se relevait, toujours nue, attrapait sa robe. Elle disparu silencieusement dans la chambre alors qu’il se rhabillait lui aussi.

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