La Vicieuse Punie Par Son Propre Fantasme.
Récit proposé par une de mes lectrices dont jai la lourde tâche décrire et de mettre en page, en respectant scrupuleusement ses aventures sexuelles quelle a vécues.
Sarah : La vicieuse punie par son propre fantasme.
Oui ! Depuis longtemps je savais que ma mère fantasmait sur mon nouveau mec. Elle ne perdait jamais une occasion pour nous inviter à venir diner à la maison et à chaque fois, elle me disait quil était beau, et quelle regrettait de navoir jamais trouver ce genre de garçon qui laurait fait monter au septième ciel.
Cette idée mobsédait de plus en plus, jaimais le fait quune autre femme puisse désirer celui que jaimais. Lui ne pensait quà moi et regardait très peu ma mère qui était, il faut le dire plus belle et bien mieux foutue que moi. Malgré ses 54 ans elle avait conservé son beau corps quelle entretenait régulièrement. Alors que moi, après mon accouchement, je métais laissée un peu aller. Javais pris du poids, mes seins avaient grossi et devaient être dorénavant maintenus par un soutien-gorge 95 D, La cellulite au ventre et aux cuisses ne me favorisait plus et les regards des hommes dans la rue ne se retournaient plus sur moi.
Côté sexe, mon chéri était intentionné, affectueux et me satisfaisait largement. Mais il semblait que depuis quelques temps, je ne lui apportais plus suffisamment ce quil recherchait. Je ne men étais pas rendu compte au début mais lorsque je lavais surpris plusieurs fois en train de se masturber devant un film X, alors que jétais couchée, javais compris que je nen faisais pas assez.
Comment faire ? Me demandais-je. Je ne pouvais pas lui en donner plus, je naimais pas simuler et quand je faisais lamour, javais besoin de le désirer afin de ne pas me retrouver dans la position dune femme vide couilles. Il fallait donc que je trouve une solution. Jessayais tant bien que mal de rechercher mes fantasmes, au plus profond de mes pensées rien ne me faisait vibrer en particulier.
Ce fut un après-midi, lors dune émission de télévision, que lidée dimaginer mon mec avec ma mère, me fit mouiller ma petite culotte. Plus je fermais les yeux, plus je les voyais en train de sembrasser, de se caresser, de se baiser. Ce jour-là, lorsque je lavais vu la sodomiser, javais ma main sur mon sexe, un doigt dans la vulve et je jouis fortement.
Javais compris tout de suite, mon fantasme correspondait parfaitement à celui de ma mère. Et si jorganisais une vraie rencontre ? Je connaissais ma maman et ses envies sexuelles, si elle avait mon petit ami devant elle en train de la séduire, elle tomberait immédiatement dans ses bras. Néanmoins, le problème était Yannick mon mec, comment faire pour quil soit attiré par ma mère ?
Hélène était une femme libérée quelque peu salope, je connaissais ses murs et savais quelle aimait se faire prendre en photo par ses partenaires sexuels. Dans son ordinateur, javais gardé en mémoire où elle classait ce genre de photos sexy, voire bien plus pour quelques-unes. Lidée me vint de mintroduire discrètement lorsque je serai chez elle et de récupérer quelques clichés.
Ce mercredi midi-là, nous étions toutes les deux chez elle, elle faisait la vaisselle :
Au fait maman, Pierre (le compagnon dHélène) veut quelques photos sexy à toi. Je peux lui envoyer ?
Oui ma chérie, fais-le, jai du mal à mettre des pièces jointes.
Javais utilisé son ordinateur dont je connaissais tous les mots de passe, dans la mesure où cétait moi qui lui avais tout installé. Jenvoyai un mail à Yannick avec deux de ses photos. La balle était dans son camps. Rien que davoir fait cette démarche, je mouillais fortement mon entrejambe.
Je fis létonnée et me dirigeai vite voire ma mère pour lavertir de mon erreur (volontaire) :
Maman, je viens de faire la plus grosse connerie de ma vie.
De quoi parles-tu ma chérie ?
Jai voulu envoyer tes photos à Pierre mais je me suis trompée de destinataire.
Trop tard en effet. Tant mieux, je pourrai fantasmer encore mieux. Je blague bien sûr, je dirai que je me suis trompée simplement, ne ten fais donc pas pour ça.
Le soir même, lorsque Yannick rentra du travail, comme il faisait tous les jours, il tira ses mails et pris la douche. Il ne mavait fait aucune remarque particulière et je men étonnais. Je profitai quil soit à la salle de bain pour regarder sa boite mail. Il navait pas effacé celui que javais envoyé et avait même répondu : « Je passerai samedi matin, jai à te parler. » je me doutais bien de la réaction de ma mère, elle aussi, lui avait répondu : « Ok passe, je tattendrai. »
Les choses en étaient restées là, jusquau samedi matin. Yannick depuis trois jours, regardait les photos, se demandant si sa belle-mère avait fait exprès de lui envoyer, il était curieux car il navait jamais regardé Hélène de près et aujourdhui quil lavait devant ses yeux sur lécran, il se pourrait bien que cette femme pouvait lui plaire, mais il ne voulait surtout pas se faire des films et surtout essuyer un refus.
Ce fut la raison pour laquelle, il était passé le samedi matin en coup de vent faire un petit coucou à Hélène, pourtant, il ne lavait jamais fait. Elle lui servit le café, ils sétaient regardés différemment ce matin-là, elle comme lui comprenaient quil se passait quelque chose, une attirance physique les rapprochait. Il avait pu apprendre que le copain dHélène était absent cet après-midi.
Il était donc reparti à la maison, toujours sans rien me dire. Ce samedi, il avait foot et mavait quitté comme à son habitude, pour faire son sport préféré. Mais au lieu de cela, il prit lui aussi une décision, il se rendit chez Hélène pour la baiser, il était certain maintenant que laffaire était dans le sac, car en lisant les mails javais compris :
Je devais aller au foot mais je préfère venir te voir
Pour quelle raison Yannick.
Jai besoin de te parler...
À quel sujet dis-moi, quy-a-t-il ?
Depuis que jai vu tes photos, je fantasme sur toi.
Ne dis pas de Bêtise, je pourrais être ta mère.
Je sais très bien que toi aussi, jai envie de te baiser.
Moi, aussi, viens vite, je veux que tu me prennes comme une salope que je suis.
Oh que oui, jarrive, prépare ton cul.
Dans quel état je me trouvais, jétais prise entre plusieurs sentiments. La jalousie bien évidemment, la honte davoir permis cette rencontre et lenvie de les savoir ensemble en train de baiser. Je métais installée dans le fauteuil, les jambes écartées sur les accoudoirs afin de mieux me masturber pendant que je les imaginais nus chez ma mère.
Le fantasme était en route dans ma tête, Yannick se leva, sapprocha delle, avait mis ses mains sur ses joues et lembrassa. Hélène ne refusa pas son baiser, elle aussi nattendait que cela, leurs langues sétaient retrouvées, cétait magique pour Hélène, elle naurait pas imaginé un seul instant que son rêve se réalisait.
Dune main, il prit les fines bretelles de sa nuisette et lui baissa, ce petit haut tomba à ses pieds, elle se retrouva entièrement nue devant lui. Il joua avec ses seins avec ses deux mains, tout en continuant de lembrasser, il pinçait légèrement ses tétons, Hélène mouillait fortement, elle nétait pas loin de lorgasme :
« Humm...Oui... »
Ma mère le repoussa violemment dans le canapé, elle déboutonna et baissa son jean, elle sagenouilla devant lui, sortit sa queue déjà bien en érection et commença à le sucer. Il la tenait des deux mains par les cheveux au rythme des va et vient de sa langue qui virevoltait autour de son gland, il lattira plus près de lui afin quil senfonce un peu plus dans sa gorge en disant :
Je vais éjaculer Hélène, cest bon ! tes la reine des pipes.
Laisse-toi aller, jattends ton jus, vas-y, crache-moi ton sperme
Puis elle lavala de nouveau au plus profond quelle le pouvait et reçut tout son sperme au fond de sa bouche. IL râlait de bonheur « Humm...Quelle salope tu fais. Oui... ! Avale tout. Humm... »
Hélène le garda en bouche encore un instant en le suçant pour lui nettoyer tout le liquide séminal quil lui avait déposé entre ses lèvres.
Elle nen avait pas fini, elle voulait maintenant le garder encore avec elle. Ils se regardaient dans les yeux, lorsquelle lui dit :
Envoie un message à ma fille, dis-lui que tu seras en retard.
Ne rentre pas maintenant, jai encore besoin de ta bite dans ma chatte. Hélène se mit à califourchon sur lui, pendant quil écrivait le texto. Elle frottait ses grandes lèvres de sa vulve contre sa queue, elle était pleine de mouille, il voulait quelle lembrasse encore, il avait des difficultés décrire son SMS : « Je serai en retard ma chérie, je bois un coup avec des potes. » Javais bien reçu son SMS et jen jouis. Hélène se leva, lui tendit la main et ils quittèrent le salon, nus comme des vers et se dirigèrent vers la chambre à coucher.
Elle sétait allongée la première, ses jambes entièrement écartées, entre ses cuisses, avait coulé une quantité importante de cyprine, elle mouillait encore. Sa chatte demandait sa langue, ses doigts et sa queue bien entendu. Il lavait sucé, léché, aspiré, ce nétait que du bonheur pour elle.
Ma mère était tellement excitée quelle eut un deuxième orgasme. Il fut très surpris des jets de son éjaculation, quelle venait de lui envoyer : « Humm...Ouiii. Je jouis ! Elle reprit peu à peu des forces et se penchant sur sa verge afin de continuer à le mettre en érection, après quelques bons coups de langues quelle savait donner, il bandait de plus belle, elle sétait empalée sur sa queue : « Humm... » elle gémissait très fort, dautant plus que Yannick aimait jouer avec ses tétons qui devenaient énorme sous la pression de ses doigts :
Baise-moi Yannick depuis le temps que je pense à ça ! Défonce-moi ! humm...Fais-moi jouir encore, je veux ta queue dans ma chatte.
Oui ! mets-toi en levrette, ma salope.
Il lavait retournée comme une crêpe et lui défonçait la chatte comme elle lui avait demandé, cétait trop bon, elle ressentait bien sa verge et ses va et vient de plus en plus rapides, elle dit :
Taime défoncer ta salope de belle-mère. Hein ! ne dis pas le contraire. Humm...
Il neut pas loccasion de répondre, il lâcha une nouvelle salve de jets de sperme beaucoup plus liquide que la précédente, mais tout aussi bon. Il venait déjaculer dans sa chatte : « Humm... »
Quel bonheur, pour le gendre et la belle-mère, ils sétaient allongés tous les deux, restant dans ce lit où ils venaient enfin de se baiser. Malheureusement, Yannick reçut un texto de ma part :
Il faut que jy aille, Sarah mattend.
Ils se sont rhabillés, sétaient embrassés langoureusement puis il quitta lappartement laissant Hélène dans ses pensées, elle était très heureuse. Oui ! elle sentait encore sa bite dans sa chatte tellement, il lavait très bien baisée : « Humm... oui cétait magique ! Vivement quil mencule. »
Je venais de jouir une deuxième fois, ma honte avait disparue, ce fantasme fit son effet sur moi mais ce fut que de courte durée, leur relation était loin dêtre terminée. Javais eu loccasion de lire les mails de Yannick, je métais aperçu que le soir-même, il lui écrivait quil passerait la nuit entière de mercredi à jeudi, prenant comme excuse un déplacement sur un chantier éloigné.
La jalousie fut plus forte que mon fantasme, le jeudi soir lorsquil était rentré, je lui avouai que javais espionné ses mails et quil devait faire un choix. Soit il continuait de baiser ma mère et je faisais mes valises. Soit il arrêtait tout de suite ses conneries. Je ne lui ai jamais avoué que jétais linstigatrice de cette rencontre adultère.
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