Retrouvailles Avec Ma Cousine
Ma cousine
Cela fait presque quarante ans que nous ne nous étions pas revus, en dehors dune ou deux rencontres lors de décès dans la famille ; après plusieurs appels, jai réussi à la décider de passer quelques jours à la maison et nous y sommes.
Marie Thérèse est ma cousine germaine et nous avons passé une grande partie de nos vacances ensembles, ses parents tenant un joli café à Cabourg ; pour moi cétait de grands moments, pêche à pied, baignades, sortie avec ses amis ; mais aussi et peut-être surtout la découverte des jeux entre cousins du même âge ; avant de perdre notre pucelage ensemble lors dun anniversaire chez un copain. Laventure a duré pendant deux ans, moment où nous avons découvert les méandres de la sexualité, pour notre plus grand plaisir. Les études, à Paris pour moi, puis mon installation nous ont séparé, et le temps passant nous nous sommes perdus de vue, et je le regrette encore.
Passées les effusions de rencontre, et la connaissance de Marie avec ma compagne, de longues conversations nous remémorent le passé et cest ainsi que Nini apprend nos jeux et notre plaisir. Il faut reconnaitre que Marie avait un sacré tempérament, ne repoussant pas les conquêtes, quelles soient masculines ou féminines. Après deux jours de promenade, dans notre beau Marais Poitevin, nous profitons du beau soleil pour nous détendre en prenant un Jacuzzi.
Quand elle nous rejoint, je peux constater quelle a encore de belles formes, malgré ses 60 ans ; son mini maillot cache à peine de jolis seins, dont les auréoles débordent du tissu et dont les pointes sont visibles ; manifestement elle a entretenu son corps et son fessier est encore bien tendu. Cependant, en principe, nous prenons ce bain totalement nu ; pour la circonstance, nini a simplement quitté le haut. Quand Marie le découvre, en riant, elle nous dit : « je suppose que le maillot est de trop ! » et aussitôt elle quitte lensemble et sans complexe, elle nous rejoint, totalement nue, découvrant ainsi un pubis totalement rasé.
7h ; nini est déjà partie au travail, et la maison est silencieuse ; tranquillement, je me lève pour le petit déjeuner, selon mon habitude, totalement à poil ; alors que je rentre dans la salle de bain, je constate que jai oublié la présence de Marie ; elle vient de prendre sa douche, et elle sessuie tranquillement. Trop tard pour mesquiver, elle ma vu et cela ne semble pas la gêner, car me tendant sa serviette elle me dit « puisque tu es là profite sen pour messuyer le dos, et se tournant, elle me présente, non seulement son dos, mais surtout son fessier, dodu, provoquant. Pour moi la situation devient dangereuse, car si je mapplique pour lui sécher le dos, mon appendice a pris du volume et je nose pas trop mapprocher delle. Mais il semble quelle nest pas perdue ses envies, car me faisant face soudainement, elle me dit en souriant : « je vois que je te fais toujours autant deffet ; cela me rappelle le bon temps, et si jen crois mes yeux, toi aussi ». Il faut dire que pour la deuxième fois, jai une pleine vue sur sa poitrine, les tétons tendus, et son mont de vénus ; elle a légèrement écarté ses cuisses, et ses petites lèvres entourent la fente rosée.
Tendant le bras, elle entoure ma queue, puis me regardant fixement elle me dit « hier soir, jai dit à ta femme que javais envie de faire lamour avec vous, car lors de notre conversation dans le jacuzzi, jai vite compris que vous étiez libertins ; et comme elle ma donné son accord, jai hâte que tu me prennes, comme autrefois ». Se retournant, elle se penche sur le meuble de toilette, et écartant ses fesses, elle moffre la vue de sa chatte, les lèvres gonflées, doù perle des gouttes de cyprines ; loffre est trop criante, et sans préliminaires, je frotte mon gland à lorée de la grotte et lui agrippant les hanches, je menfonce dune poussée dans la vulve dilatée par lenvie ; la pénétration est totale et elle ne peut retenir un petit cri, de surpris ou de plaisir , mais alors que je commence à la posséder avec force, elle recule son bassin à la rencontre de ma tige ;il est rare que je ne moccupe pas du plaisir de ma compagne, mais là je la besogne à la hussarde, percutant son fessier à chaque fois, ma queue senfonçant sans aucune difficulté dans lantre offerte ; il est facile de comprendre que sa chatte accueille assez souvent un membre car elle se dilate très facilement, et ses encouragements pour que je la défonce, prouve quelle aime cela.
Notre jouissance a été pratiquement synchro, et quand elle se redresse , ses yeux sont brillants ; membrassant à pleine bouche, sa langue luttant contre la mienne, elle mentraine vers sa chambre ; sallongeant sur le dos, elle écarte ses cuisses, découvrant une vulve doù sécoule la semence quelle vient de recevoir ; mattirant , elle dirige ma tête vers son antre damour ; je sais ce que cela veut dire car déjà , autrefois, elle aimait que je lui nettoie la moule après que nous ayons copulé et cest le cas maintenant. Cela ne me gêne pas, bien au contraire, jaime laper une chatte gluante qui vient de jouir et quand ma bouche se pose sur son bouton, avant de se coller sur ses lèvres gonflées, un long gémissement séchappe de sa bouche, écrasant mon visage sur sa chatte. Un « oh oui » vient concrétiser son plaisir ; quand je me retire, si sa chatte est toute propre, par contre, jai le visage barbouillé par le mélange de nos sécrétions ; sans aucune hésitation, elle se redresse et vient membrasser lapant, elle aussi les traces de notre jouissance.
Nous restons un long moment entrelacé, nous rappelant certains moments de notre jeunesse, de nos amis, de nos jeux, souvent très sexuels. Cest ainsi que je découvre, quaprès le décès de son mari, assez jeune, et semble-t-il peu porté vers les coquineries, elle sest inscrite sur des sites de rencontre, et quelle a rattrapé le temps de disette, participant selon ses dires à plusieurs soirées plutôt chaudes, ayant de nombreux amants, parfois plusieurs en même temps. Je comprends vite que cest une sacrée coquine et quelle a, pardon, quelle profite pleinement de ses envies, ce en quoi, je la suis.
À mon tour, je plonge entre ses cuisses quelle écarte, dévoilant sa chatte brulante de désir, ses petites lèvres rouges et gonflées, lentrée de son antre doù sécoule encore des semences accumulées. Son bouton, saillant, est bientôt entre mes lèvres et je laspire, le triture, le faisant gonfler entre mes lèvres ; quand ma langue se faufile dans le conduit déjà bien ouvert, elle memprisonne ma tête et ses gémissements traduisent son envie ; pendant de longues minutes, je lui broute le minou, aspirant souvent son bouton hyper gonflé, le mordillant. Sa cyprine se déverse sur mes lèvres et cest avec un grand bonheur que je la bois ; bonheur partagé, car elle mencourage à lui dévorer sa chatte brulante.
Alors quelle vient de jouir pour la énième fois, elle me renverse sur le lit et me plaquant les épaules, elle vient se planter sur ma tige dressée ; la pénétration est complète, cest elle qui mène le jeu, claquant son fessier sur mes cuisses, elle se fait plaisir ; je nai quà tendre mon bassin à la rencontre du sien ; quand elle se penche sur ma poitrine pour me donner un fougueux baiser, jen profite pour glisser un doigt jusquà son sillon et utilisant la jute qui sécoule de sa chatte, je lui perfore lillet ; surprise tout dabord, elle tortille ensuite son bassin, acceptant cette intrusion dans son fondement, puis se redressant cest elle qui présente mon gland au contact de son petit trou.
Jai décidé de prendre le jeu en main, et lui agrippant les épaules pour la maintenir, je donne un grand coup de rein ; ma queue lui perfore alors lanneau et elle ne peut retenir un cri de douleur, me traitant de salop, mais membrassant aussitôt après.
Un long moment après une douche réparatrice, nous nous retrouvons sur le canapé, sans aucun gène de part et dautre, bien au contraire. cest elle qui revient sur le sujet de notre libertinage ; je lui confirme alors que jaime voir Nicole avec soit un homme , soit une femme et que moi-même je suis bi ; elle mécoute avec attention, mais ses rares questions sont très portées sur notre plaisir et sur nos envies, avant de mavouer « jaimerais beaucoup faire lamour avec ta femme ; tu te souviens sans aucun doute notre jeu à trois avec ma copine ; je lui ai appartenu très souvent ensuite, pour moi, jétais la dominatrice et jai eu deux ou trois fois loccasion plus tard de moffrir à une femme, et pour lune dentre elle cela a durer deux ans, pour mon plus grand plaisir » sans aucune difficulté, je lui avoue que cela me plairait beaucoup et que Nicole étant très bi, et partiellement au courant de nos jeux entre cousins, je pense que cela ne posera pas de difficulté ; à elle de la provoquer.
Alors que nos mains sont à nouveau occupées, elle me regarde et me demande « et toi, tu as des relations avec des hommes ? » après lui avoir déposer un baiser sur les lèvres , je lui raconte quelques-unes de mes sorties, mais aussi les fois où les amants de Nicole mont possédés devant elle, ainsi que les sodomies que me donnent parfois ma petite femme ; « oh super, tu me donnes envie de te le faire, si Nicole est daccord » « je pense quelle sera ok pour moffrir à tes envies ; je pense même quelle voudra que je mhabille en femme » alors quelle avait commencé à me caresser la queue, elle sarrête et me fixant elle demande « tu aimes être soumis et être une femme, réellement ? uniquement pour elle ? » Petit moment de silence et javoue « non jaime quelle moffre à dautres hommes, les accueillant travesti, et me comportant en véritable femelle devant et pour eux.
Javoue que cette conversation ma redonné des envies ; ma queue est bien tendue dans mon short ; pas pour longtemps car sa main sinfiltre et vient me branler doucement « dis donc cela texcite vachement, cela me donne envie à mon tour de te soumettre ; vas te travestir, et montres-moi les jouets de Nicole, dépêche-toi ! ». Dans ma tête cest la tourmente ; moi qui ai été dominant du temps de nos jeux autrefois, je vais devoir être soumis, dautant plus quil ressort de son attitude, une certaine dureté, auquel je ne suis pas habitué ; de plus vue lheure, Nicole ne va pas tarder à rentrer. Quand je lui fais remarquer le fait, un rictus au coin des lèvres, puis un regard dur « je tai donné un ordre, obéit et tant mieux si Nicole arrive à temps ; tu devras te soumettre à nous deux, et si jen crois tes dires, elle ne va pas refuser ; de plus ensuite tu pourras nous entendre faire lamour ensemble, sans que tu puisses participer ; maintenant dépêche-toi, sinon tu auras droit à quelques sanctions, je suis sur quelle a un fouet »
Finalement, Nicole est arrivée avant que marie ai eu le temps de soccuper de moi ; dautant plus quà peine est-elle dans la maison, Marie sest approchée delle et a prouvé ses envies, en lembrassant sur la bouche ; dabord surprise, nini a vite répondu à la fougue de ma cousine et cest sur le canapé quelles ont continué à senlacer. Nini sest vite aperçue de ma tenue et sadressant à marie « si je comprends, tu avais prévu soumettre mon homme ; je suis daccord, mais avant, il va devoir assister, sans bouger, à nos ébats, car moi aussi jai très envie de toi ; je sais que jeune tu as déjà eu des relations amoureuses avec une amie, donc profitons-en ; fais- moi lamour comme tu en as envie, je suis à toi »
à suivre
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