Les 1001 Perversions De Nathalie - Le Cercle (5)

Au Cercle, Juan et Nathalie sont accueillis par une duègne, une rousse vêtue d’un peignoir de soie qui a peine à contenir des mamelles de nourrice aux pointes épaisses. Lorsqu'un pan de son peignoir s'écarte, on aperçoit une chatte à la toison drue.
- Nous recevons tout le gotha ce soir… Nathalie, Monsieur K. vous attend dans le Salon Bleu...
Dans les salons qu'ils traversent, il y a foule… Sur un grand lit bas, une grosse femme est en train de s’empaler avec frénésie sur la queue d’un *gode à pattes" qui dilate son anus, tandis qu’elle engloutit celle d’un autre"gode" tout aussi bien monté.
Dans une autre pièce, une nymphette est allongée sur une table de gynécologue. Les jambes écartelées, les pieds emprisonnés de chaque côté de la table, elle subit l’examen minutieux d’un sexagénaire. Il lui fouille la chatte d’une main, et de l’autre pétrit ses seins.
Ailleurs, une blonde aux formes exubérantes, aux seins énormes, se fait fouetter par son partenaire armé d’une chambrière à longues lanières.
Le champagne coule à flots, servi par des valets en tenue Louis XVI.
Mr. K., vautré dans son canapé, est flanqué d'une nymphette blonde et dodue qui jette à Natalie un regard de petite fille vicieuse.
- Madame, on me dit que vous avez joui sous le fouet, lors de votre dernière visite… Ce soir, vous serez comblée…
Mr. K. fait signe à la duègne. La femme s'approche de Nathalie. D’une main habile, elle dégrafe la robe. Geste précis, presque professionnel. La robe s’ouvre, se détache. Elle la lui retire. Ensuite, elle la débarrasse du soutien-gorge, fait glisser la culotte de dentelle, qu'elle tend à Mr. K.
Nathalie se trouve nue devant l'assemblée. La femme se campe devant elle, et de la main, flatte un sein dont la pointe se dresse. Tout en poursuivant sa caresse, elle se tourne vers Mr. K. :
- Voyez comme elle bande !
Et elle triture à nouveau les tétons pour les faire saillir.

Nathalie n'est plus en état de masquer son trouble. Par des gestes précis, la femme agace les mamelons. Mr. K. approche ses doigts pour s’assurer lui-même de la tension et de la résistance des extrémités érectiles.
Satisfait, et même excité, il teste leur élasticité en étirant les chairs. Nathalie halète, ne tente pas de cacher son plaisir. Lorsque le doigt de Mr. K s'insinue dans sa fente et la fouille longuement, elle soupire :
- Oh, oui… Oui...
Mais il s’efface, ordonne à sa nymphette de s'allonger sur une lourde table en chêne massif, sexe et ventre à l'air.
Il lui demande de relever les genoux, de placer ses talons sur les bords de la table, et d'écarter les cuisses au maximum, les mains bien à plat sur le bois.
Elle le fait, offerte dans cette position obscène. Il fait signe à Nathalie de s'approcher, pendant qu'il autorise parallèlement deux spectateurs à caresser la fille.
- Madame, honorez Marie de votre langue...
Nathalie s'exécute et presque immédiatement, Marie est secouée par un orgasme qui lui arrache des petits couinements.
- Marie, c'est à toi de faire jouir Nathalie.
- Oui, monsieur.
C'est au tour de Nathalie de s'allonger sur la table, dans la même position obscène que Marie. On voit ses poils qui sont collés par sa mouille. La fente de sa chatte s’écarquille, laissant saillir les deux petites lèvres et le bouton.
Marie s'approche, pose sa main. Elle effleure les poils mouillés sur les bords de la fente. Nathalie cesse de respirer. Le bouton du clitoris se dresse, et un filet de mouille coule. Les doigts se faufilent entre les poils. Elle achève d’ouvrir les chairs, fouille dans les replis tièdes, dégage entièrement le clitoris, tapote dessus pour le faire grossir.
Elle approche sa bouche de l’entrecuisse et flaire sa fente, tout en la titillant. Le petit bouton grossit, il est rouge. Elle donne un coup de langue, Nathalie geint, son jus coule. Au second coup de langue, elle ne peut s’empêcher de râler. Enfin, elle lui lèche toute la fente, en appuyant bien, en la mouillant de salive tiède. Sa langue l’ouvre, la fouille.
- Il est si mouillé, ton con, si chaud… On dirait un abricot...
Elle s’éloigne un peu pour regarder le sexe qu’elle ouvre du bout des doigts. Puis elle recommence à l’embrasser, à le lui sucer.
- Tiens, je vais te le mordre !
Elle y enfonce les dents. Elle lui darde en même temps sa langue dans le vagin. Mais chaque fois que Nathalie touche au plaisir, Marie s’arrête et la regarde d’un air moqueur en léchant sa bouche humide barbouillée de mouille. La petite vicieuse sait y faire et Nathalie grogne d'excitation.
Puis elle recommence. Elle la broute, elle l'aspire, elle la mange littéralement. Nathalie commence à gémir, à se trémousser, puis à trembler et finit par crier quand Marie plaque sa bouche sur son con au moment où elle jouit.
La duègne relève Nathalie, Marie va rejoindre Mr. K. sur son canapé, laissant agir la femme. Celle-ci déploie devant Nathalie un harnais de cuir noir, fait briller les chromes des anneaux qui maintiennent les sangles entre elles.
Elle se glisse dans son dos et entoure le buste de ses bras pour coller le harnais sur la poitrine de Nathalie. Elle cercle chaque sein par les plus gros anneaux et, comme par magie, l’ensemble des sangles parait se mettre en place automatiquement.
Elle fixe une première boucle sur la nuque, vérifie le centrage des seins dans leur prison chromée et attache la seconde sur les reins. Il ne lui reste plus qu’à se baisser, à passer la main entre les cuisses de la soumise, et à saisir la dernière sangle qui pend à l’avant.
Elle la fait venir vers elle pour la remonter entre les globes fessiers jusqu’à la boucle fixée sur l’anneau dorsal. La sangle se place alors d’elle-même dans l’axe du sexe, et le cuir, écartant les chairs, creuse un sillon sombre entre les grandes lèvres.
Nathalie grimace, mais ne dit mot. La duègne la conduit devant un grand miroir. Nathalie peut ainsi détailler son corps harnaché de cuir. Une émotion intense s’empare d’elle. Jamais elle ne s’est imaginée ainsi, statue de chair aux formes soulignées par les multiples sangles qui donnent à ses courbes une sensualité inégalée.
Jamais non plus son sexe n'a été autant mis en valeur. La sangle verticale, qui écarte ses chairs intimes, accentue la forme des lèvres et comprime la zone clitoridienne, de sorte que l’ensemble de la vulve semble avoir doublé de volume tant elle est congestionnée.
Elle demeure interdite devant l’image que lui renvoie le miroir, elle doit faire un effort pour détacher les yeux de son bas-ventre.
La duègne se place face à elle pour juger de la vision d’ensemble. Saisissant la poitrine à pleine main, elle ajuste le centrage des anneaux. Puis s’agenouillant, elle s’attache à étirer les chairs comprimées.
Nathalie écarte les jambes afin de faciliter l’action. La duègne continue jusqu’à ce qu’elle aie dégagé les lèvres de part et d’autre du cuir qui n’écrase désormais que le clitoris et la peau tendre du pubis. Elle se recule ensuite, se tourne vers Mr. K., lequel apprécie :
- Vous êtes sublime, madame… Ça mérite quelques fessées… Entrez, messieurs... !
Accompagnés d'un murmure approbateur de l'assemblée, Houssam, suivi d'un athlète blond et d'un bellâtre basané, font leur entrée dans le salon.
- Je crois que vous connaissez déjà Houssam... Quant à Björn, il est Suédois et Carlos nous vient du Brésil… Trois de mes meilleurs godes à pattes… Pour votre plaisir, madame, Juan se chargera de votre punition…
Nathalie voit Juan se munir d'un martinet. Les lanières sont courtes mais épaisses. Il fait mettre Nathalie à quatre pattes. Elle sait qu'elle doit lui offrir son cul, elle écarte ses fesses au maximum.
Elle en a envie, elle pourrait jouir en attendant le moment où le premier coup va lui cingler la raie. Elle halète comme une chienne en chaleur. Elle sent sa chatte et son anus se contracter, se dilater, sans qu'elle puisse les contrôler. Elle attend, elle a envie.
Juan la fait s’agenouiller devant lui. Il laisse pendre les courroies de cuir sur les seins gonflés. Ce simple contact la fait frissonner. Ses mamelons se dressent. Il lui agace vicieusement la pointe des seins du bout de son manche, les faisant se tordre, puis les laissant se redresser, plus rouges et plus allongés.
Il lui titille le clitoris avec la boule de bois qui garnit l’extrémité du manche de l’instrument. Habilement, il fait se rétracter la peau du capuchon.
Quand le bouton rose pointe sous la motte, il le tapote à petits coups. Il alterne longuement les frôlements et les tapes. Excitée, Nathalie est au bord de l'orgasme. Des spasmes parcourent son ventre et ses cuisses, ses seins tremblent sur ses côtes. Avec un petit cri, elle lâche une giclée de pisse sur le manche du martinet. Juan la sermonne :
- Sale ! Tu ne peux pas te retenir ?
Il lui cingle la fente. Le coup lui arrache un râle. Elle attend en mordant ses lèvres et sa langue. Elle attend la douleur qu'elle aime tant, qui va la faire hurler de plaisir.
Alors les coups pleuvent. Il la touche où il veut, dans sa raie, sur l’anus, le sexe, les lèvres, le clitoris. Il s’éloigne des zones les plus fragiles, cingle ses cuisses, ses fesses, son dos, ses épaules, mais elle sait qu’il va y revenir.
Plus il frappe, plus elle a envie, et plus fort. C’est comme une drogue, une limite qu'elle cherche, qu'elle dépasse parfois.
Il s’arrête, elle sent le manche du fouet qu’il passe sur ses fesses, dans sa raie. Il lui caresse la fente, puis l’enfonce tout au fond, le tourne et le retourne. Puis il le sort, lubrifié par son jus, le pose sur son anus. Elle s’ouvre à chaque passage de l’objet.
Elle sent son cul l’aspirer, l’avaler, inexorablement. Il est gros, elle le veut. Elle veut l’avoir tout au fond du cul. Il le tourne, racle ses parois une fois qu’il l’a rentré dans son trou.
Au moment où elle va jouir, il l’enlève d’un coup, lui arrachant un cri de déception. Il le fourre sous son nez, elle le lèche. L’odeur de son cul s’enfonce dans sa gorge.
Elle a devant elle les trois mâles et Juan lui dit qu’ils vont l’enculer tous les trois. Il se remet à l'ouvrage.
Les coups pleuvent à présent : il lui zèbre le ventre et le creux des cuisses. D’innombrables marques rouges se croisent sur son clitoris qui se boursoufle, devient violacé. Les mains sur ses épaules, les genoux dans son dos, Houssam la maintient droite et offerte.
Quand Juan lui remet le martinet, Houssam a un sourire vicieux. Il lui enfonce la boule du manche dans l’anus, la vissant. La joue sur le sol, le cul en l’air, Nathalie hurle. Puis, il lui fouette les fesses, et les lui faisant écarter à deux mains, lui cingle l’anus.
Il bande quand il repasse le martinet à Carlos qui ordonne à Nathalie de se redresser en creusant les reins, de façon à faire bomber ses seins. Il l’oblige à tortiller des épaules afin de les faire bouger. Il les fouette, les faisant s’agiter comme des cloches, fait bleuir les aréoles et les mamelons.
La duègne l'encourage :
- Continue, ça lui fait du bien, elle jouira mieux après.
Carlos, lui aussi, bande quand il cesse de frapper.
Björn s’allonge sur le sol, ordonne à Nathalie de l’enfourcher. Quand elle s’accroupit sur lui, il la pénètre par la chatte. Houssam la fait se pencher en avant et, à genoux derrière elle, l’encule. Sa grosse bite, lubrifiée, glisse facilement dans la muqueuse gonflée par les coups.
Carlos présente sa queue devant la bouche de Nathalie, qui docilement l’avale. Les trois hommes font aller et venir leur queue dans les orifices béants. Nathalie, défoncée de toutes parts, frémit de tout son corps et gémit la bouche pleine. Elle s’est remise à jouir.
La duègne encourage les hommes de la voix et du geste :
- Allez, allez, elle en veut encore, donnez-lui-en, à cette cochonne ! Faites-la crever de plaisir !
Excitée, elle entre, elle aussi, dans la danse. Levant le martinet, elle cingle le dos de Nathalie. Celle-ci pleurniche, hurle sous les coups sans parvenir à couvrir les bruits mouillés qui montent de ses orifices.
Carlos est le premier à jouir. Il ordonne à Nathalie d’avaler son sperme. Elle obéit, en renversant la tête en arrière, en offrant ses seins. La duègne les lui cingle, tandis que dans son vagin et son cul Houssam et Björn éjaculent ensemble en poussant des jurons.
Saoulée de jouissance, Nathalie se laisse glisser sur le sol, demeure inerte comme une poupée de chiffon.
Juan la relève et l'étend sur un grand lit bas, passe de la crème sur son corps endolori… Nathalie murmure :
- Viens… Je veux te boire… Je veux ta queue…
Elle le tète et le boit, puis lui tend sa croupe. Il la sodomise longuement, la faisant sangloter de plaisir...