Stéphanie: Son Premier Fantasme
Récit proposé par une de mes lectrices dont jai la lourde tâche décrire et de mettre en page, en respectant scrupuleusement ses aventures sexuelles quelle a vécues.
Stéphanie et moi, nous vivons en ce moment une grande aventure. Pour tout vous dire, jétais lamant virtuel secret de sa mère, lorsque par hasard, elle avait lu quelques messages enflammés que nous nous envoyons. Cette belle et jeune femme de 33 ans, vivait en couple depuis 15 ans avec son seul et unique amant régulier. Layant connu très jeune, Jamais elle ne lavait trompé mais elle nétait pas certaine que cela était réciproque. La routine quelle vivait commençait à la miner et après réflexion, elle prit la décision de me contacter afin que je lui apporte quelques moments de bonheur virtuel.
Très vite le courant entre nous, sétait installé et nous nous dévoilions un peu plus chaque jour, après quelques jours, nous étions tombés amoureux et nous nous le disions en secret. Javais quitté les relations que jentretenais avec sa mère pour me consacrer entièrement à ma nouvelle maitresse virtuelle de 20 ans ma cadette. En effet, javais 55 ans et étais marié, ma vie nétait que monotonie. Stéphanie avait réussi à me sortir de cette prison qui menfermait chaque jour un peu plus.
Je ne voulais que son bonheur, après les longues heures passées derrière nos écrans dordinateur, javais réussi à connaitre ce quelle recherchait en amour, sexuellement parlant et surtout ce qui la faisait fantasmer, dans le plus profond de ces pensées, les plus érotiques. Cet après-midi-là, après nos messages pleins de mots damour, doux et romantiques, à son dernier mail de la soirée, elle mécrit :
« Cest ta queue qui mintéresse mon Papy dAmour. »
Voudrait-elle passé à lacte. Me dis-je. Je me devais dintervenir au plus vite car moi aussi, javais envie de lui faire lamour, de la baiser si cétait les mots quelle voulait entendre dire.
Cétait loccasion rêvée, comme javais envie de lui faire ce plaisir, jallais lui offrir en cadeau danniversaire la réalisation dun ou plusieurs de ses fantasmes. Le premier était de faire lamour dans un lieu public, où elle pouvait simaginer les gens comme spectateurs à ses ébats les plus sensuels et sexuels, elle avait un besoin de se montrer, de se donner à son amant tout en apportant du bonheur aux voyeurs.
Tout naturellement, comme nous habitions dans la même ville, nous avons décidé dun commun accord, daller un peu plus loin dans notre relation, nous avions tous les deux le besoin de nous sentir, de nous toucher, de nous embrasser et beaucoup plus, disons-le : baiser ensemble. Nos messages le disaient, nous étions faits lun pour lautre, malgré la différence dâge. Néanmoins, nous ne pouvions pas abandonner notre vie actuelle, ce nétait quune expérience physique et sexuelle.
Pour notre premier rendez-vous, nous devions nous retrouver « au Palace », ce cinéma où une des salles était équipée de sièges duo. Il sagissait dun large fauteuil pourvu dun accoudoir rétractable en son milieu afin de permettre aux amoureux de profiter dun bon film, collé, serré comme à la maison.
Ce lieu public était parfait pour réaliser son premier fantasme. Lorsque nous nous étions retrouvés sur le trottoir, nous nous sommes serrés la main, nous avions attendu dêtre dans le hall à labri des regards, avant de nous étreindre et nous embrasser, ce baiser fut magique pour nous deux, nous lattendions depuis si longtemps que nos bouches ne parvenaient pas à se décoller lune de lautre, nos langues nous retenaient, nos mains qui étaient plaquées sur nos dos se baladaient et nos bras nous empêchaient de se séparer.
Je vous avoue, que je ne connaissais même pas le titre du film que nous étions allés voir, nous avions choisi ce cinéma uniquement pour ses sièges et comme endroit public, cétait lidéal.
Stéphanie était magnifique ce jour-là, elle était vêtue dune jupe bleue comme la couleur de ses yeux, ample et souple, arrivant largement au-dessus des genoux. Elle lui allait à merveille, dévoilant ses longues jambes nues. En haut, elle portait un large corsage blanc boutonné sur le devant, dont les trois premiers en partant du haut laissaient entrevoir la naissance de cette lourde poitrine que jaffectionnais tant. Je trouvais ses seins tout simplement fantastiques. Moi, jétais en polo et pantalon léger.
La salle était très loin dêtre comble à cette heure matinale, il y avait beaucoup dhommes et peu de femmes, nous avons choisi un endroit au milieu de la salle où deux hommes dun certain âge étaient à quelques sièges à notre gauche, un très jeune couple à notre droite et juste derrière nous, deux hommes dune cinquantaine dannées. Eux seuls pouvaient nous mater pendant la séance.
Jétais presque allongé sur mon fauteuil, les jambes tendues, pendant que Stéphanie était de trois-quarts vers moi, la tête posée sur mon torse. Mon bras droit passait au-dessus de son épaule et ma main lui caressait le sein gauche à lintérieur de son corsage que javais déboutonné presque entièrement, laissant sa belle poitrine à la vue de celui qui voulait la regarder.
Je l'embrassais dans le cou, ma langue effleurait sa peau douce, ses tétons commençaient à prendre forme. Je passais ma main sur son ventre, mes doigts étaient à la limite de sa petite culotte, pendant que je suçais son téton, elle se régalais « humm... »
Elle sétait un peu abandonnée à mes baisers et à mes caresses, mais elle tenait à me rendre la pareille, sa main parcourait ma cuisse, du genou à lentre jambe, ses doigts en passant touchaient la boule de mes testicules, je commençais fortement à ressentir lérection venir. Ses caresses étaient sensuelles et mettaient le feu en moi.
Nos gémissements mutuels, attiraient encore plus lattention de nos voisins. Je descendis ma main entre sa peau fine et douce et le tissu de sa culotte, afin de parvenir à sa toison, je jouais avec ses poils et mon majeur caressait la fente de son vagin délicatement, encore un peu trop fermé à mon gout. Mais ce : « Humm... », avait mouillé mon doigt qui pénétrait légèrement entre ses grandes lèvres. Mon index passait de droite à gauche sur son clitoris, pendant que mon autre main lui caressait toujours son sein gauche, dont je pinçais légèrement le téton gonflé dexcitation.
Elle aussi, ses caresses étaient devenues plus coquines, elle mavait déboutonné mon pantalon afin que je sois moins étriqué, elle connaissait la grosseur de ma verge et avait vite compris quelle se retrouvait bien trop à létroit.
Le vigile, un type de quarante ans environ, sétant aperçu que nous nous adonnions à des caresses trop intimes, montait dans lallée, probablement pour intervenir et nous demander de ne pas nous exposer de la sorte. Lorsquil voulut se diriger vers nous, un des deux hommes lui empêchant le passage lui dit :
Laisse tomber mon garçon, profite plutôt du spectacle quils nous donnent, cest bien mieux que le film.
Voyant que le vigile nintervenait pas mais quil était resté debout dans lallée les bras croisés à nous regarder également, je poursuivis mes attouchements. Ma langue lui léchait le nombril, je me délectais, je bandais dur sous les effleurements de ses bouts des doigts qui parcourraient tout au long de ma queue, sattardant quelques fois sur le bout du gland qui laissait séchapper le liquide pré séminal, qui lui mouillait les doigts.
Ne voulant que son bonheur, je métais agenouillé dans lespace réduit entre les sièges, javais ma tête entre ses cuisses, sous sa jupe, je passais doucement mes mains sur ses fesses, je sentais que quelques frissons parcouraient son corps :
« Jadore Humm.
Me dit-elle, ma bouche rentrait en contact avec sa chatte, ma langue léchait la fente de lanus au clitoris, je glissais celle-ci tout autour sortant un maximum son bouton, je mattardais dessus, je le léchais, laspirais. Pendant que mes mains caressaient entièrement son cul, quelques doigts pénétrèrent un peu dans sa raie, je sentais quelle mouillait. Mon index lui frôla lanus, tournait autour puis quitta cet endroit, il pénétra doucement dans sa vulve mouillée, ma bouche navait pas quitté son clitoris que je me délectais daspirer, de lécher et de laspirer de nouveau.
Je glissai deux doigts et les enfonçais plus profondément, ils jouaient à lintérieur, ils fouillaient sa chatte trempée, allant et venant, je léchais, la mouille qui sortait de son vagin, je bandais de plus en plus. Jétais tenté de mettre un doigt dans son petit trou, son anus mappelait. Cétait fait, javais aventuré un doigt dans sa rondelle dilatée, je léchais toujours la fente entre ses grandes lèvres, la cyprine sécoulait au fur et à mesure dans ma bouche, je la buvais.
Javais limpression de navoir jamais bander aussi fort, sa petite moule me faisait rêver. « Humm... » Je faisais des va et viens dans ce petit cul bien serré et dans sa petite chatte. « Humm... » de plus en plus vite, je lui léchais encore le clitoris quelle me tendait en contractant vers le haut son bassin.
Sen était trop pour Stéphanie qui ne sétait pas arrêtée de se caresser les seins avec son corsage entièrement ouvert, le jeune couple à notre gauche sadonnait comme nous à des attouchements sans retenu, le film nétait plus regardé par nos voisins, ils avaient tous les yeux portés sur Stéphanie qui sortait sa langue de plaisir et de désir surtout, tout en se massant ses seins. Elle nen pouvait plus, 1h20 de caresses, de baisers, de doigtés avaient fait delle une machine à avaler un sexe, elle voulait ma queue, elle ne pensait plus quà cela, elle me fit changer de position, et vint directement sempaler sur ma grosse queue qui nattendait que cela :
« Humm... » « Ouiii... »
Après quelques va et vient très doux, elle se contracta sur mon pénis et basculait du bassin, elle donnait limpression quelle voulait laspirer au plus profond delle-même, je ne pouvais plus me retenir, lattente fut trop longue, je métais déversé de tout le sperme que ma prostate et mes testicules avaient secrété, elle jouit en gémissant :
« Humm... », « Oh Ouiii... »
Son éjaculation se mélangea à la mienne et sécoulait lentement à lextérieur de son vagin et tombait sur la moquette. Nous sommes restés ainsi jusquà la fin du film, ma verge sétait largement mise au repos. Après nous avoir revêtus, avant de sortir de lallée, elle me désigna un vieil homme qui était à notre droite et me glissa alors à loreille après mavoir embrassé :
Je crois que ce vieux sest branlé pour moi. Merci « mon papy damour » Jai réalisé un de mes fantasmes, grâce à toi.
Attends « mon petit cur chéri » ce nest pas fini.
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