Le Retour De Xavier - 1

Comme chaque année, vous vous rendez à la pré-rentrée des profs le cœur lourd, mécontent que l’été soit passé si vite. Et si vous enseignez avec plaisir à vos élèves, passer une journée entière entre profs vous déprime. Vous êtes là depuis une demie heure, qu’une bonne surprise vous attend. Vous apprenez que Xavier qui était censé ne pas revenir cette année, allait faire des remplacements, alternant deux établissements. Le souvenir de la pipe que vous lui aviez faite la veille des vacances vous revient. C’est donc avec une certaine impatience que vous attendez de le voir.
Les deux premiers jours de l’année se passent sans que vous ne l’entrceviez. Pourtant, vous êtes à l’affut. Vous vous demandez comment vous allez l’aborder. Il a eu l’air d’apprécier votre travail sur sa bite, même si vous le savez en couple et père d’une petite fille. Il vous faudra être discret, imaginez-vous. Peut-être, pourriez-vous réitérez l’expérience un soir dans une salle vide, ou encore trouver une excuse pour le ramener chez vous ? Dans ces cas-là, vous aurez tout le temps de déguster sa queue.
Jeudi matin, vous l’apercevez enfin. Mais il est en train de prendre un café avec ses deux éternels copains, de gros ploucs à votre avis, dont un a des tendances homophobes. Vous n’avez pas pris ce dernier en flagrant délit mais vous le soupçonnez de se foutre de votre gueule dès que vous avez le dos tourné. Mais, ça fait longtemps que vous avez appris à vous moquer de ce que pense les autres. Vous vous dirigez donc vers le petit groupe et vous lancez un « salut » à la ronde. Les trois garçons s’arrêtent de parler. Vincent et son pote Guillaume grommellent un bonjour, là où Xavier articule un peu plus. Mais à peine… Un silence gêné s’installe. Vous enchaînez :
- Content d’être de retour ? Comment ça se fait que tu sois ici ?
- Finalement, le titulaire a demandé un congé, donc je continue mon remplacement, explique Xavier. Puis, il se retourne vers ses deux potes et continue comme si de rien n’était leur conversation précédente.


Vous prenez un air digne et vous partez de votre coté. Si vous n’en laissez rien paraître à l’intérieur, vous bouillez de rage. Rarement, vous aviez subi une telle débâcle. Peut-être même jamais depuis le collège. Ça ne vous étonne pas au final. Xavier, Vincent et Guillaume sont finalement de grands gamins. « Pathétique ! », vous dites-vous. Vous ne décolérez pas de la journée. Vous rongez donc votre frein. Et vous vous promettez que la prochaine fois que vous croiserez Xavier vous lui ferez part de votre mécontentement.
Ce qui ne tarde pas. En milieu d’après midi, entre deux cours, vous le croisez dans un couloir :
- Xavier ! le hélez-vous. Est-ce que je peux te parler deux minutes s’il te plait ?
- Euh.. Oui bien sur ! Vous répond-il. Avec un sourire plus accueillant cette fois-ci.
- Tu m’expliques ce matin ?-
- Ben quoi ?
- Je t’arrête tout de suite. Moi je voulais juste être poli. J’étais content de te voir. Et je suis pas du genre à mettre mal à l’aise les gens, je sais être discret.
Il rougit car sait très bien de quoi vous ne pouvez pas parler dans un couloir d’établissement. Il rougit aussi parce qu’il n’a pas l’air content. Son sourire disparait. Il vous dit :
- Suis-moi. On va parler ailleurs.
Son ton est un peu sec, ce qui vous calme un peu. Vous finissez par rentrer dans un laboratoire, dont il ferme la porte derrière vous.
- Tu vas me faire une crise d’hystérie de bonne femme ? Vous demande-t-il.
- Pardon ? Répondez-vous, scandalisé par la remarque que vous jugez à la fois misogyne et homophobe.
Il vous agrippe soudainement par le cou et vous bouscule contre le mur. Son visage est rouge de couleur. Il est tellement près de vous que vous sentez son haleine chargée de café.
- Tu vas tout de suite changer te ton, vous ordonne-t-il. Ok, je t’ai laissé me sucer en juin, mais qu’on soit bien clair je suis pas ton mec ni ta meuf.
Vous sentez ses mains autour de votre cou.
Malgré l’absurdité de la situation, vous ne pouvez-vous empêcher d’admirer la force virile qu’il dégage. D’ailleurs, vous commencez à bander.
- Alors maintenant, tu vas t’excuser et rester à ta place.
Xavier desserre ses doigts lentement. Un peu sonné, mais finalement très obéissant vous murmurez, la voix un peu tremblante :
- Pardon ! Excuse-moi !
- Plus fort ! ordonne-t-il.
- Je suis désolé. S’il te plait, excuse-moi, dites-vous plus fort.
Un silence s’installe. Il vous regarde avec intensité. Dans ses yeux, une dureté nouvelle est apparue. Il vous semble à ce moment-là d’un machisme débordant.
- Je t’ai dit de te rester à ta place, articule-t-il d’une façon très autoritaire.
5, puis 10 secondes passent où vous le regardez sans comprendre. De quelle place parle-t-il ? Qu’attend-t-il de vous ? Puis soudain, vous réalisez. « Il rêve » vous dites-vous.
Vous venez à peine d’ouvrir la bouche pour lui signifier votre refus, qu’une brulure soudaine vous saisit à la joue. Votre tête vient de basculer à gauche. Xavier vient de vous filer une belle claque bien bruyante. La douleur est forte et vous fait monter les larmes aux yeux, alors que par réflexe vous avez posé votre main droite sur votre joue brulante pour en apaiser la douleur.
- J’ai dit à ta place, pédale.
Réalisant que vous ne pouvez que lui obéir, tout en continuant à le regarder vous vous mettez lentement à genoux devant lui.
Humilié, mais vous devez le reconnaitre, existé, vous réitérez une fois encore vos excuses :
- Désolé, je m’excuse.
Vous restez silencieux, ne sachant pas ce que vous réserve Xavier. Dans un coin de votre tête, vous notez que votre tête est à quelques centimètres de son sexe et qu’il serait délicieux de le sucer, encore plus s’il continuait à avoir ce ton autoritaire.
- Vas-y ! Lèche-moi les chaussures, entendez-vous.
Vous levez la tête dans sa direction pour lui signifier que ce n’est pas du tout votre délire.
Ça lui déplait fortement, puisqu’à nouveau il vous gifle violemment. Le bruit et la douleur sont forts.
- Obéis ! ordonne-t-il.
Les larmes aux yeux, vous vous penchez vers ses baskets. Humilié, vous ne savez comment vous y prendre. Finalement, vous choisissez la basket droite. Vous posez votre langue sur le dessus et vous vous mettez à lécher. Vous avez un hoquet de dégoût mais en votre fort intérieur vous notez que c’est le dessus de la chaussure et non la semelle. « Dieu soit loué » pensez-vous.
- Maintenant, suce-moi ! Son ton est très autoritaire. Ce qui n’est pas pour vous déplaire.
Vous vous redressez et entreprenez de déboutonner son pantalon, puis sa braguette. Vous constatez qu’il est déjà en semi érection lorsque vous baissez son boxer gris. Vous prenez son sexe dans votre bouche. Il durcit instantanément. Vous commencez à faire des mouvements de vas et viens le long de son sexe. Comme au mois de juin, vous en appréciez la grande taille. Il est sacrement bien monté en fait. Vous êtes en train de vous faire kiffer en sucer son gros morceau au moment où il commente :
- Vas-y. Tu suces comme un pro. Exactement comme dans mon souvenir.
- Merci, marmonnez-vous en reprenant votre souffle
- Je t’ai dit d’arrêter ?
Ne tenant pas à vous reprendre une grosse claque, vous vous remettez à lui tailler une pipe avec plus de coeur à l’ouvrage. Vous sentez qu’il kiffe et vous commencez à lui faire des fonds de gorge. C’est ardu car il est bien monté mais au fur et à mesure vous y arriver de plus en plus et de plus en plus loin. A chaque fois que vous manquez de vous , vous lui lancez un regard et vous pouvez lire sur son visage qu’il apprécie vos efforts. D’ailleurs ses couilles sont de plus en plus serrées. Vous lâchez sa tige et vous vous mettez à les lui bouffer.
Il gémit aussitôt :
- Putain c’est bon ça !
Tout en continuant de jouer avec votre langue sur ses testicules que vous lavez avec votre salive, vous commencez à le branler.
D’abord doucement, puis de plus en plus en plus vite
- Vas-y continue marmonne-t-il.
Il gesticule de plus en plus, et vous sentez que ses mains qui sont sur le bureau derrière lui, bougent pour qu’il puisse reprendre appui. Trente secondes plus tard des jets de sperme chauds et épais sortent de sa queue et viennent s’écraser un peu partout dont sur votre visage. Le contact chaud de sa semence, vous procure une décharge électrique et vous êtes quasiment sûr que de votre propre sexe viennent de s’échapper quelques gouttes.
Soudain un flash vous surprend.
Dans un réflexe, vous reculez soudain et levez les yeux vers Xavier qui tout sourire tient son téléphone à la main. Un nouveau flash. Le salaud est en train de vous prendre en photo. Vous vous relevez promptement, essuyez votre visage et tentez de saisir son téléphone.
- Ça suffit, là ce n’est plus drôle, lui dites-vous. Là, je ne joue plus.
- Ah oui, tu vas faire quoi maintenant ? vous demande Xavier
- Écoute, soit tu me donnes ton téléphone, soit je vais tout de suite voir le directeur.
- Pour lui dire quoi ? crâne Xavier. Tu vas lui dire que tu suces des bites dans les labos et que tu aimes te prendre des claques ? Tu crois vraiment qu’il va apprécier ? Avec ton visage plein de foutre qui sent la bite à 10 mètres ? Et parce que tu crois que pendant ce temps-là je n’aurais pas déjà diffusé les photos ?
Xavier a une lueur mauvaise dans le regard et vous vous sentez démuni. Les larmes vous montent aux yeux de frustration. Vous ne savez pas quoi faire.
- Tu sais plutôt ce que tu vas faire ? vous demande Xavier comme s’il avait lu dans vos pensées. Tu vas te tirer et attendre sagement de mes nouvelles.
- Certainement pas, réagissez-vous.
Vous ne savez plus trop comment faire, d’un ton suppliant, vous tentez de l’amadouer mais rien n’y fait.
- Casse-toi je t’ai dit!
Trois minutes après, il finit par vous foutre à la porte du labo. Il est bien plus fort que vous et vous n’êtes pas très expérimenté dans la bagarre contre d’autres mecs.
Dos à la porte du labo, vous êtes éberlué de ce qui vient de se passer. Vous craignez une crise de panique imminente. Mais le souvenir de votre visage couvert de sperme vous fait dire que l’urgence dans un premier temps est de vous précipiter dans des toilettes pour vous laver. L’eau froide sur votre visage vous fait du bien. Vous reprenez votre sang froid au moment où la cloche signalant le dernier cours de la journée sonne.

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