La Saint Valentin
Cest ridicule la saint Valentin comme si on ne devait dire je t aime quà date fixe une fois par an.
Remarquez, il ne se souvenait plus de la dernière fois où il l avait dit.
Voilà à quoi il pensait quand sa chère et tendre l appela au téléphone.
- Oui, que veux tu ?
Il avait horreur qu'elle le dérange au bureau, 12 ans de vie commune avait tué les rituels des couples amoureux, au début ils s appelaient juste pour entendre leur voix, maintenant cétait pour se dire de ne pas oublier de rapporter le pain ou pour annoncer un retard, une réunion tardive.
- Ben voilà, comme les s sont en vacances chez leurs grands parents, j avais pensé qu'on pourrait se faire un dîner en tête à tête.
Merde pensa-t-il, il avait planifié sa soirée avec un match à la télé, mais bon si je refuse je vais encore avoir la gueule.
- Bonne idée chérie répondit il sans enthousiasme.
- Ok je passe te prendre au bureau à 19h.
Une fois raccroché le combiné, il se dit quil n avait même pas pensé à un cadeau.
Il appela sa secrétaire et lui demanda daller acheter des roses. Cette idiote ne pu réprimer un sourire béat qui lénerva encore plus.
Il appréhendait le restaurant, face à face il allait être obligé de faire la conversation ou pire de lécouter lui raconter ses histoires de bureau avec des collègues dont il ne retenait jamais les noms.
Il se replongea dans ses dossiers en maugréant.
Il navait pas vu lheure passer et il ne put réprimer un mouvement dénervement quand sa secrétaire lui annonça que sa femme était arrivée.
Il la regarda à peine et ne remarqua pas quelle sétait mise sur son 31, un manteau noir souvrait sur une robe courte beige qui mettait ses courbes en valeur, de fins escarpins soulignaient le galbe de ses jambes fines et elle avait relâchée ses longs cheveux châtains, elle avait même mis un peu de maquillage.
Il prit sa veste, lembrassa machinalement et ils quittèrent le bureau.
Le trajet en voiture fut comme dhabitude silencieux, France Info distillait les mauvaises nouvelles du monde et elle sénervait sur les encombrements et labsence de place où se garer.
Enfin ils arrivèrent devant le restaurant, il avait beau chercher dans sa mémoire ce lieu ne lui était pas inconnu mais il ne se souvenait plus.
- Tu te souviens chéri, lui dit elle, cest là que nous avons dîné pour la première fois en tête à tête.
- Oui, cest vrai, tu deviens nostalgique ?
Elle ne répondit pas à la remarque sarcastique et se dirigea vers la table que lui indiquait le serveur.
La contemplation de la carte leur prit un bon moment et enfin ils se retrouvèrent face à face devant leur apéritif.
Il entama le ballet des banalités, ta journée sest bien passée, moi je suis crevé etc
Et cela continua ainsi jusquau dessert.
Il était à peine 21h30, quils avalaient le café et il se disait quavec un peu de chance il pourrait voir la seconde mi-temps à la télé.
- Tu sais je nai pas envie de rentrer tout de suite pour une fois quon est tous les deux.
Merde ! ! ! ! il la regarda agacé.
- Je ne tai même pas remercié pour les roses, elles sont superbes.
Il lui décocha le premier sourire de la soirée.
- Jai une surprise pour toi viens ! Suis-moi.
Il se leva se disant qu il laissait le PSG à son destin.
Ils aillèrent à pied jusquà une porte cochère où elle sonna.
Un homme chauve et tout de noir vêtu leur ouvrit et sécarta pour les laisser passer.
Il détailla les lieux, un comptoir au fond de la pièce ou trônait une jeune fille elle aussi de noir habillée, il était intrigué mais ne fit aucune remarque.
Une fois débarrassés des manteaux, ils descendirent un escalier qui les conduisit dans une large pièce voûtée à peine éclairée.
Cette fois il comprit où il était tombé et il jeta un regard incrédule à son épouse.
Celle ci lui sourit et lentraîna sur un des canapés.
- Ma surprise te plait ?
- Oui, enfin j aimerai bien que tu mexpliques.
- Tu sais au début de notre relation, on avait discuté de ton passé et tu mavais raconté les expériences que tu avais vécu, surtout celle avec cette fille qui aimait être attachée et fouettée.
- Oui cest vieux tout ça et puis tu mas toujours dit que cela nétait pour toi, que tu nétais pas ce genre de fille alors je nen ai jamais reparlé.
- Cest vrai et je nai pas changé davis je ne suis pas une femme soumise mais ce soir je veux te faire plaisir alors je tai emmené ici, rassures toi je nai pas l intention de participer mais on peut prendre un verre et rentrer.
Il ne répondit pas, car son regard était attiré par une superbe blonde qui venait de faire son apparition, elle portait en tout et pour tout des cuissardes et un string noir, et elle se dirigea vers une autre pièce dun pas décidé.
- Elle te plait hein ?
- Non heu oui
.
- Va voir ce quelle fait mais pas touche.
Il se leva sans hésiter laissant sa femme seule dans le club.
Il se figea à lentrée de la pièce, la blonde était étendue sur une table , les jambes et les bras attachés aux pieds de celle ci et deux hommes lentouraient .
Lun deux tapotait les seins de la jeune femme avec une cravache lui arrachant des soupirs plaintifs tandis que l autre penché entre les jambes écartelées léchait avec délectation le sexe offert.
Il était tellement absorbé qu'il ne remarqua pas que sa femme l'avait rejoint et que derrière lui, elle contemplait le spectacle.
- Tu aimes ?
- Oui , mais j aimerai bien faire plus que regarder.
- Cest bien toi ça, je t offre un spectacle et tu veux devenir acteur, je te lai dit pas question.
Il soupira, pensant ; Et toi cest bien toi aussi, tu allumes le feu et tu ne léteins pas.
Il laissa son épouse devant la scène et parti aux toilettes.
Il était à la fois surpris et énervé, bien sur qu il regrettait ce temps où il avait pu vivre ses penchants dominateurs mais depuis dix ans même sil y repensait souvent il n avait plus rien fait.
A quoi jouait elle ? il avait souvent rêvé de jouer avec elle, de voir cette femme si discrète et réservée se transformer en femelle soumise avide de sexe, mais jamais il n avait osé et leurs relations sexuelles sétaient espacées et étaient tombés dans la monotonie et la platitude.
Quand il regagna le salon, il vit avec surprise que son épouse était en grande conversation avec un homme dune cinquantaine dannées plutôt bien mis.
Il sapprocha et sassit à cote delle, elle lui présenta lhomme qui se prénommait Pierre.
Celui ci lui expliqua quil venait souvent ici et qu' il aimait les jolies femmes soumises.
Il regarda son épouse, intrigué de la voir parler avec ce quelle considérait certainement comme un malade détraqué mais ne fit aucune remarque.
La conversation continua cordiale, Pierre racontait ces expériences, il lécoutait, fasciné de voir quel quun qui vivait ce dont il avait toujours eu envie. Parfois son regard sattardait sur son épouse qui elle aussi semblait fascinée.
Au bout dune heure, Pierre sadressant à lui, lui demanda sils étaient tentés de jouer avec lui.
Avant quil ait eu le temps de répondre que non ils étaient juste là par curiosité sa femme lui coupa la parole.
- Pourquoi pas, mais pas ici.
Il était estomaqué et fixa sa femme se demandant quelle mouche lavait piquée.
Ils sortirent du club et décidèrent de rejoindre lappartement de Pierre à pied.
Il se laissa un peu distancer, perdu dans ses pensées.
Il se demandait comment tout cela allait finir, sa femme le surprenait, il se disait quelle allait reculer et quune fois au pied du mur elle craquerait.
Pour la première fois de la soirée il la regardait, cest vrai quelle était jolie, même plus que ça et il était excité à lidée de la voir soumise comme il avait toujours rêvé.
Elle avançait dun pas décidé continuant à parler avec Pierre, on aurait pu croire deux vieilles connaissances qui rentraient dune soirée.
Enfin ils arrivèrent devant un immeuble bourgeois, un vieil ascenseur grinçant les conduisit devant une lourde porte en bois massif.
Ils pénétrèrent dans un appartement vaste et Pierre en parfait maître de maison, les invita à sassoir sur un canapé en cuir noir et leur offrit une coupe de champagne.
Hormis le canapé et une table base en bois la pièce était nue, éclairée de quelques spots qui distillaient une lumière douce et tamisée.
Pierre pris la Parole.
- Chère Madame, je sais que cest là votre première expérience et je ne veux pas vous brusquer, si vous le voulez il est encore temps de refuser, nous finirons notre coupe et nous nous quitterons bons amis.
Il fixa son épouse guettant le moment où elle allait se lever et partir.
En effet elle se leva mais vint se placer devant Pierre, mit les mains dans le dos et baissa la tête.
- Bien, je vois que vous désirez continuer, dit Pierre avec un sourire aux lèvres.
Le mari senfonça dans le canapé attendant avec intérêt la suite des évènements
- A partir de maintenant tu nes plus quune petite chienne soumise qui devra faire tout ce quon lui demande, tu as compris ?
Le ton de leur hôte était sec presque violent.
- Oui jai compris dit-elle dans un murmure.
- Parles distinctement je nentends rien et appelles moi Monsieur.
- Oui Monsieur dit-elle plus fort.
Cette fois il était vraiment excité et il attendait la suite avec impatience. Sa femme lui semblait encore plus belle face à cet inconnu.
- Commence par enlever cette robe, jaime voir ce que je vais faire souffrir.
- Oui Monsieur et elle tira sur la fermeture de sa robe qui tomba à ses pieds
- Tu portes un collant, cest vraiment nimporte quoi tu ne sais pas faire bander un homme je vais t apprendre, enlèves ça tout de suite.
Elle se pencha pour retirer ses chaussures et maladroitement retira le collant.
- Remet tes chaussures et tourne sur toi même que je te vois sous toutes les coutures.
Elle sexécuta et commença à tourner dévoilant ses courbes juste soulignées par des sous-vêtements noirs.
- Belle salope que tu as là, dit Pierre en sadressant au mari qui avait du mal à respirer, cette chienne est faite pour être soumise.
Il nosa pas répondre de peur de casser le charme et de voir son épouse redevenir elle-même.
Sadressant de nouveau à la femme Pierre dit dun ton sec.
- Marche autour de la pièce et tortille du cul fais nous bander comme une pute.
Elle mit ces mains devant elle et commença à se mouvoir lentement.
- Sois plus aguichante salope tu dois montrer que tu es une chienne.
Alors elle ondula en marchant et le mari se rendit compte quelle était vraiment très sexy et il neut quune envie la prendre là de suite mais il décida de laisser Pierre mener la séance.
- Arrêtes de marcher et met toi à quatre pattes et fais le tour de la pièce dans cette position.
Docile elle se mit comme il lui avait ordonné et commença le ballet humiliant.
- Je ne tai pas dit darrêter de rouler ton gros cul.
Et là encore elle obéît.
Le mari commençait à bander de voir sa discrète et prude épouse marcher comme une chienne autour deux.
- Met toi sur les coudes et continu à avancer.
Le manège dura un petit moment, elle dut faire le tour du salon une bonne dizaine de fois , dès quelle arrêtait de rouler des fesses une remarque cinglante la ramenait à son état de soumise.
- Bien arrête de bouger, relève-toi et met toi face au mur.
Il la rejoint, elle est face au mur debout à moitié nue.
Il lui prit les bras et les plaça en lair contre le mur.
- Écartes tes jambes et cambres toi.
Elle creusa les reins mettant en valeur une belle paire de fesses rondes et musclée.
Il commença à caresser le dos laissant courir ses doigts le long de lépine dorsale.
De sa place, le mari la vit frissonner sous la caresse. Maintenant Pierre lui malaxait les fesses, pétrissant sans ménagement le cul superbe.
La première tape la fit se cabrer et par réflexe elle mit ses mains sur les fesses cherchant à se protéger
- Remet toi en position et vite.
Elle se remit contre le mur soffrant aux claques qui maintenant tombaient sans répit sur ses fesses
- Ton gros cul devient rouge, retires ta culotte.
Et les coups reprirent, elle se mordait les lèvres pour ne pas crier mais chaque tape faisait bouger son corps la rendant encore plus désirable.
Le mari se caressait le sexe au travers de son pantalon, il avait du mal à respirer.
Pierre prit une cravache et la promena le long du corps de celle qui nétait plus que son esclave.
- Tu vas compter chaque coup et à chaque fois tu remercieras.
- Oui monsieur.
Le premier coup cingla les fesses, elle essaya de se dérober mais se reprit et resta en place.
- Un, Merci monsieur.
- Deux, merci monsieur
Et ainsi de suite jusqu'à une trentaine de coups, les fesses et le dos étaient zébrés de longues traînées rouges.
Elle sanglotait, mais ne cherchait plus à échapper à la punition acceptant son sort avec docilité.
- Tournes toi maintenant, retire ton soutient gorge et met les mains dans le dos.
Les deux seins libérés étaient lourds et fermes, elle sappuya contre le mur et repris son souffle, fixant son bourreau avec anxiété.
- Tu dois baisser la tête et ne pas me regarder.
Et il lui cravacha les seins dun coup sec.
Elle mit les mains sur la chair fragile mais très vite elle les replaça dans le dos bombant le torse.
Les deux globes tremblaient au rythme des petits coups secs et rapides.
Il la fit à nouveau compter et remercier et elle s abandonna totalement.
Le mari était fasciné il ne se gênait plus pour se caressait ouvertement dailleurs il nexistait plus ni pour Pierre, ni pour son épouse qui maintenant nétait plus rien quune femme qui soffrait sans pudeur.
Les coups cessèrent, son corps était marqué des fines zébrures, elle tremblait, avait du mal à retenir ses sanglots.
Le mari faillit se lever, la prendre dans ses bras, lui offrir un peu de douceur, lemmener loin de son bourreau.
Mais celui-ci prit la parole.
- Tu as été très courageuse et endurante, si tu le veux nous arrêtons.
- Non Monsieur je veux continuer.
Le mari était surpris par lattitude de sa femme mais quelque part il éprouvait de la fierté.
Alors Pierre se pencha vers une corbeille posée à même le sol et se redressa en tenant une dizaine de pinces à linges.
Il commença à masser les seins endoloris par la cravache et posa les pinces sur les tétons et autour formant une couronne sur la poitrine de son esclave.
De sa position, le mari pouvait voir le rictus qui figeait le visage de son épouse mais celle-ci ne faisait aucun mouvement pour échapper à la morsure des pinces.
Pierre séloigna et vint sasseoir à côté du mari, elle était là nue les mains croisées dans le dos jambes écartées, dos au mur, la poitrine ornée des drôles de bijoux.
- Ta femme est faite pour être soumise, si tu veux tu peux tamuser avec elle maintenant.
- Non balbutia le mari
je te laisse faire je crois que je noserai pas.
Et cest vrai, que même sil avait toujours rêvé de ce moment, il était partagé entre le désir et le respect quil avait pour elle, tant de fois elle lui avait dit que ces jeux ramenaient la femme au rang dobjet, il craignait quavec lui elle refuse de se laisser aller et que cet instant où flottait dans la pièce une étrange atmosphère ne sachève dans les larmes et la colère.
Pierre sourit et sadressant à elle.
- Mets-toi à 4 pattes et viens vers nous maintenant, et dépêches toi.
Maladroitement elle sinclina, les pinces mordaient la chair tendre et fragile et chaque mouvement accentuait la douleur, mais elle avança et bientôt elle fut devant eux.
Pierre lui passa la main dans les cheveux, ses doigts effleurèrent le visage, parcoururent les lèvres qui souvrirent.
- Suce mes doigts, montre à ton mari que tu es une petite chienne.
Maintenant elle suçait les doigts comme elle laurait fait avec un sexe dhomme, avec avidité.
- Arrête Salope, retire mes chaussures et mes chaussettes.
Là encore la docilité de sa femme le fascinait, elle se pencha et lentement elle enleva les chaussures de son maître, retira les chaussettes et sans quon ne lui ait rien demandé se courba et commença à lécher les pieds.
- Tu es vraiment une chienne, continues et appliques toi.
Elle passait sa langue sur chaque orteil, les prenait entre ses lèvres et les suçait avec ce qui ressemblait à de la délectation.
Les bruits de sucions étaient ponctués de petits cris étouffés qui montraient quelle prenait un plaisir certain à shumilier ainsi.
La position quelle avait, penchée en avant, la tête inclinée vers les pieds de Pierre, rehaussait ses fesses.
- Bouge ton gros cul de chienne en même temps.
Il la laissa faire ainsi quelques minutes puis lui relevant la tête en la tirant par les cheveux.
- Après les hors duvre tu vas avoir quelque chose de plus consistant.
Et il sortit sa bite longue et dure.
Elle se jeta presque dessus et commença à avaler le sexe.
- Tu nes quune grosse pute, suce moi bien salope, montre-nous que tu aimes tailler tes pipes.
Elle suçait avec gourmandise, sattardant parfois et sortant la langue pour lécher le membre.
Le mari nen revenait pas, jamais elle ne l avait sucé ainsi, bien sûr, parfois elle lui offrait cette caresse mais il sentait bien quelle le faisait plus pour lui et quelle ny prenait pas de plaisir.
- Tu es gourmande, tu aimes la bite, arrête-toi maintenant.
Elle lâcha avec regret le sexe tendu et se mit à genoux les mains dans le dos face à lhomme.
Celui-ci passa les mains le long des pinces qui ornaient la poitrine de sa victime, lui arrachant un cri.
Il les retira une à une lentement provoquant à chaque fois un rictus de douleur.
- Bien maintenant tu vas avoir droit à ta récompense met toi à plat ventre sur la table basse et ouvre tes jambes.
A peine fut elle en position que Pierre sagenouillant derrière elle, la pénétra sans ménagement.
- Tu mouilles comme une vraie traînée et il lui saisit les hanches pour la bourrer sauvagement.
Elle criait, sabandonnant au plaisir de ce sexe qui la fouillait.
IL lui frappait les fesses, lui tirait les cheveux, linsultait mais quimportait cela elle nétait plus que lesclave de ce plaisir qui montait en elle.
Le mari lui nen perdait pas une miette, il avait sorti son sexe et se masturbait frénétiquement en regardant sa femme prise par cet homme qui se déchaînait sur elle.
Il ne fut même plus surpris lorsquil sorti sa queue du vagin trempé et lintroduisit dans lanus.
Jamais elle navait accepté quil la sodomise, mais là elle nétait plus lépouse coincée mais une femelle prête à tout pour aller au bout de la jouissance.
Pierre bougeait violemment en elle, les claques martelaient les fesses qui remuaient au rythme des coups de boutoir.
- Vas-y salope, tu aimes te faire enculer sale chienne.
Puis il se figea dans lanus et il jouit en poussant un cri.
Ils restèrent ainsi collés lun à lautre, reprenant leurs esprits.
Pierre se dégagea et tirant la femme par les cheveux lui força la bouche.
- Lèches mon foutre, nettoies bien ma bite.
Elle prit le sexe de lhomme et passant la langue tout le long elle lapa comme une petite chatte la semence de lhomme.
- Avale ! et lui prenant la tête il lui cracha dans la bouche, elle ne se choqua pas et avala le crachat, passant ses doigts sur son menton pour récupérer la salive qui coulait le long et pour les introduire dans sa bouche en léchant.
- Bien cest terminé pour ce soir, tu mas bien fait jouir, va te doucher maintenant.
Elle se leva sans un mot et disparue.
Le Mari nosait plus prononcer un mot, quand son épouse revint nue devant eux et quelle se rhabilla redevenant la femme bourgeoise quil connaissait, il doutait encore de ce quil avait vécu.
Le trajet du retour fut silencieux, il ladmirait, il découvrait que depuis dix ans il avait côtoyé une femme belle et désirable et quil sétait vraiment comporté comme un idiot avec elle.
Quand il lapprocha ce soir-là dans le lit, elle le repoussa gentiment.
- Non sil te plait je suis épuisée.
Il ninsista pas, un mélange de désir et de tendresse lenvahissait, ll se retourna et sendormi.
Le lendemain elle dormait encore quand il quitta la maison, il ne pouvait sempêcher de se remémorer cette soirée où il avait redécouvert ou plutôt découvert la femme qui partageait sa vie.
Arrivé au bureau, il se fit la réflexion quil ne savait même pas comment remercier Pierre davoir révélé les penchants de sa femme.
Il chercha le numéro du club se disant que Pierre étant un habitué il pourrait lui laisser un message et qui sait recommencer.
Il tomba sur un homme et lui expliqua sa demande.Il fut anéanti lorsque celui-ci lui répondit que Pierre était bien connu et quil venait souvent, dailleurs accompagné de la femme qui était avec eux hier soir.
Cest ainsi quil apprit que sa femme le trompait et que cette soirée soi-disant en amoureux avait été le moyen quelle avait trouvé pour passer la saint Valentin avec son amant.
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