L'Asiat Prend Cher
Le lendemain, lorsque je me levais pour aller bosser, Serge était déjà parti pour son travail. Un mot mattendait ainsi quun bouquet de fleurs sur la table à manger, le petit-déjeuner était prêt. Serge avait simplement écrit : « je taime ». Je fus touchée de cette attention.
Cest Serge qui devait avoir les clés des menottes car je nétais plus attachée. Je me voyais mal me pointer au taf avec une paire de menottes.
Massoir pour déjeuner dans la pièce où javais subi les assauts de la veille me fit une étrange impression. Un mélange de honte et de plaisir. Comment pourrais-je recevoir à nouveau mes parents chez moi ? La sensation de mon cul sur la chaise me rappelait aussi que plusieurs hommes avaient investi mon fondement. Le mot de Serge semblait en tout cas confirmer quil appréciait.
Jallais à mon travail et jévitais la station assise le plus possible. Dans la banque je dirige une petite équipe de cinq personnes, deux femmes et trois hommes. Je sens bien que recevoir des ordres dune femme contrarie les hommes, mais nous avons des relations amicales. Nous nous voyons parfois en dehors du travail, même si je mets une barrière pour leur signifier que je suis leur chef.
Bref, pendant quelques jours, je soufflais sexuellement parlant, mon cul ayant besoin de repos, et Hector le savait.
Mais le répit ne dura pas.
Un soir que je sortais du travail, un jeudi, Hector mattendait dans sa voiture. Il mouvrit la voiture pour mintimer de monter. Il membrassa sur la bouche, y mit la langue. Cétait un moindre mal, sa langue était déjà allée dans des endroits de mon corps encore plus intimes. Il ny avait plus trop dintimité avec Hector.
Bonsoir Patricia, me dit-il. Ce soir nous allons avancer un peu ton éducation. Ne tinquiète pas, Serge est au courant. Prépare-toi à passer au stade suivant...
Je pensais déjà y être arrivée et il me disait de passer au stade suivant.
Nous roulâmes ainsi assez longtemps sur lautoroute en direction de lEspagne, je dirais une centaine de kilomètres. Puis Hector sortit de lautoroute, la reprit en sens inverse et sarrêta sur une aire.
Et voici ce quil me dit :
« Ce soir, tu vas devoir te débrouiller pour rentrer sans moi à Bordeaux. Mais selon les règles que voici : Tu vas aller te changer dans les toilettes de la station-service et mettre ce que jai amené pour toi. Tu seras peu vêtue mais tu auras un long manteau pour te couvrir. Tu laisseras tes vêtements actuels dans les toilettes. Ensuite tu devras solliciter les personnes de ton choix pour te ramener, leur disant que tu nas pas de voiture pour rentrer à Bordeaux. Si quelquun te demande comment tu as pu te retrouver sur une aire dautoroute de la sorte, tu devras lui expliquer la vérité, que tu es une jeune femme soumise, que ton maître vient de te déposer ici pour être copieusement humiliée et éduquée. Tu devras faire ensuite ce quil sollicitera de toi en échange de ton retour à Bordeaux. Peu importe comment il te baisera, en revanche tu ne dois pas avaler son sperme, mais le laisser se répandre sur ton visage, ton décolleté, le manteau. Et le plus important, tu ne dois pas tessuyer, mais le laisser sécher.
Comme tu es gaulée, tu risques darriver avant moi. Tu donneras cette lettre à la personne qui te ramènera. Tu nas pas le droit de louvrir. Une fois à Bordeaux, appelle-moi. »
Sur ce, il me demanda de sortir ; aussitôt il reprit la route en direction de Bordeaux.
Bon, il me semblait que je navais plus le choix.
En rentrant dans la station-service, je me demandais comment procéder, je ne pouvais pas me taper un père de famille dans les toilettes et me faire ramener ensuite dans la voiture familiale en compagnie de la femme, voire des s...
Mes choix se résumaient à trouver un homme, seul de préférence. En passant devant les machines à café, je constatais quun jeudi à 20h, il y avait peu de gens sur les autoroutes, à part des camionneurs...
Les habits que je devais passer ne laissaient aucun doute quant à mes intentions... Soutien-gorge et string rouge, haut noir transparent, jupe qui arrivait juste sous les fesses. Se pencher aurait été une erreur fatale. Heureusement je pouvais cacher mon corps sous un long manteau noir qui tombait au-dessus des genoux.
Quelle honte : bonsoir monsieur, je voudrais me faire baiser et me faire inonder la gueule de foutre. Et si vous pouviez me ramener chez moi ce serait cool.
En ressortant des toilettes, plus personne autour des machines à café, à lextérieur un homme séloignait sur le parking certainement vers son véhicule. De loin je le vis passer entre des camions, sûrement un camionneur. Bof pas très inspirée à lidée de sortir comme ça. Je vis du coin de lil le pompiste qui tentait de me déshabiller du regard. Son inquisition me poussa à sortir. Je me dirigeai vers les seuls véhicules stationnés. Que des camions. Une voiture arriva à ma hauteur, mais ce sont deux femmes qui me regardèrent furtivement en passant à vive allure.
Il faisait nuit, jvais un peu froid et jétais seule sur un parking daire dautoroute. Je me résolus à passer entre les camions. Seul le bruit de mes talons résonnait, tout le monde semblait bien au chaud au lit. Les remorques vides étaient ouvertes pour éviter les vols.
Soudain jentendis un « bonsoir, vous cherchez quelque chose ? ».
Bonsoir, excusez-moi de vous déranger, je cherche à rentrer à Bordeaux, je sais que cela peut paraître étrange mais je suis seule et je suis coincée ici.
Que répondre à cela, à part : « vous minquiétez, comment avez-vous pu vous retrouver seule ici ? », ce quil dit évidemment. Je ne savais pas du tout comment enchaîner sur le laïus que mavait pondu Hector, et il dut voir ma confusion. Je réussis à dire simplement : « je suis ici parce que mon maître la voulu. »
Votre maître ?
Oui.
Je ne comprends pas.
Mon maître... ma déposé ici et ma demandé de trouver quelquun pour me ramener à Bordeaux.
Jai du mal à comprendre... Pourquoi a-t-il fait ça ?
Pour parfaire mon éducation, dis-je la tête basse.
Votre éducation...
Pouvez-vous me ramener à Bordeaux ? lui demandais-je timidement.
Oui demain matin si vous voulez
Jai besoin de rentrer ce soir.
Ressentant trop de honte à lui dire le reste, jenlevais les mains de mes poches, et naturellement mon manteau sécarta, laissant apparaître la vue sur ma micro-jupe, mon haut transparent et derrière mon soutien-gorge rouge.
Lhomme comprit tout de suite ou je voulais en venir.
Et si je tamène, finit-il par dire, que moffres-tu en échange ?
Ce que vous voulez, lui répondis-je.
Monte avec moi pour voir si nous pouvons nous mettre daccord, dit-il avec un sourire.
Je montais à sa suite dans le camion. Je fus étonné de rentrer dans une cabine aussi spacieuse. Il semblait y avoir en plus une chambre derrière moi, un rideau était tiré. Je lui donnais rapidement la lettre dHector quil ouvrit. Il la parcourut puis déclara : « cest notre jour de chance ce soir. Fred, appela-t-il, viens voir ce qui nous arrive !! »
Jentendis bouger derrière moi, le rideau souvrit sur un homme dune trentaine dannées également, qui grommelait.
Putain, pourquoi tu me réveilles ?
Regarde ce qui est assis dans la cabine.
Lhomme tourna les yeux vers moi, il ne mavait pas vue.
Qui est-ce, dit-il ?
Notre dessert. Ecoute-moi. Un certain Hector, qui nous a écrit cette lettre, fit-il en montrant la feuille quil tenait à la main, nous demande de baiser sa petite chienne, Patricia. Tu tappelles Patricia ? Tu confirmes ce que je viens de dire ?
Oui, je dois trouver un moyen pour rentrer chez moi et ce moyen implique de me faire baiser.
Le deuxième homme, Fred, pas surpris du tout, voulut tout de suite vérifier ma sincérité et décida de commencer à passer ses mains sur mon corps. Voyant que je me laissais faire, le premier rigola et sortit son sexe. Il commença à se toucher pendant que son pote palpait la marchandise.
Il commença par écarter mon manteau et me demanda bientôt de lenlever. Il demanda à lire la lettre, la parcourut, puis dit :
OK, on te baise, on te ramène à ladresse indiquée.
Vous devrez éjaculer sur mon visage..., me sentais-je obligée de rajouter
On fera un effort alors, pas de souci. Je nai jamais baisé dAsiat, on ma toujours dit que cétait des bons coups. Et voyant lespèce de petite pute que tu sembles être, je pense que tu ne vas pas faire mentir la rumeur. Viens par-là ma jolie, fit-il en mentraînant sur le lit...
Tous les deux se déshabillèrent, les deux avaient des queues dans la moyenne, mais plus épaisses que celle qui métait donnée de voir habituellement. Ils ne prirent pas le temps de me déshabiller, comprenant que je ne cherchais pas de la poésie. Je me retrouvais aussitôt avec une bite dans la bouche, et rapidement deux mains viriles remontaient ma jupe, ma croupe bien tendue pour pouvoir sucer correctement le premier. Rapidement celui que je suçais me baisa littéralement la bouche. Mon haut transparent se retrouva rapidement arraché. Jespérais pouvoir sauver mon soutien-gorge.
Puis ils échangèrent de place mais pour le même calibre dans ma bouche. Ma chatte fut rapidement investie et je fus alors sauvagement baisée, les coups de pilons ne me laissant que peu de répit. Je me retrouvais à nouveau dans une situation improbable, et jadorais ça. Une heure plus tôt, jétais pourtant envahie par la honte. Etant morts de faim les mecs ne mirent pas longtemps à venir. Je leur rappelais de venir sur mon visage, mais ils navaient pas oublié et y prirent plaisir. Quelques petits jets peu abondants. Ils devaient se branler tous les jours. Je fus presque déçue.
Finalement je sauvegardais mon soutien-gorge, javais du sperme dans les cheveux, mon visage et mon cou étaient constellés.
Les deux mecs tinrent parole et me ramenèrent sur-le-champ, tout contents davoir gagné leur soirée. Je mendormais pendant le retour. De retour à Bordeaux, je ne reconnaissais pas mon quartier. Ils mamenèrent malgré tout à une adresse que je connaissais pour y être allée deux fois. Jétais au pied de limmeuble de lun des membres de mon équipe, au travail. Il était 23h30. Ils me laissèrent là.
Je me rappelais de téléphoner à Hector au bout de quelques minutes.
Oui Patricia. Alors tu es arrivée ?
Oui.
Bonne baise ?
Oui, ils étaient deux.
Je sais, ils mont appelé, mont remercié.
Ah OK. Quest-ce que je fais là où je suis ? Je suis un peu en panique.
Serge veut que tu montes chez ton collègue. Il doit juste tamener en voiture jusquau club libertin où nous nous sommes vus la première fois...
Quoi ??? Mais ça se voit trop que je viens den prendre plein la gueule, et sil mamène là-bas, cest foutu pour moi au boulot.
Ne tinquiète pas, nous saurons le tenir pour quil ne fasse pas de vague ; vas-y ne discute pas...
Je savais déjà que je ne devais pas discuter, mais là cest chaud pour moi !!!
Il avait déjà raccroché.
Dans le hall de limmeuble je me regardais dans le miroir. Je ressemblais à une pute, du sperme séché sur la peau, heureusement ces deux connards nétaient pas des fontaines. Je réarrangeais ma coiffure comme je pouvais. Heureusement que javais ce manteau, certes qui marrivait au-dessus des genoux mais qui me couvrait bien. Je navais plus que ma minijupe, mon string et mon soutif... Génial... Jallais devoir la jouer fine avec ce petit con de Joël, la vingtaine qui, avant que je ne le remette en place, passait son temps à me mater le cul au taf...
Je sonnais à son domicile. Pas de réponse, jétais soulagée et ninsistais pas ; je rappelais Hector, qui, un peu déçu, moi non, me dit de venir en taxi. Alors que jappelais un taxi dans la rue, une voiture sarrêta à ma hauteur, cétait Joël...
Salut Patricia, quest-ce que tu fais là ?
Jinventai, je lui dis que je suis tombé en panne et comme son appart nétait pas trop loin je suis venue voir sil pouvait mamener à lendroit où était Serge. Il me répondit de monter. Quand il me demanda où je voulais aller, je lui donnai le nom de la rue, pas le numéro, je lui demanderais de se garer un peu avant.
Je minstallai à lavant tout en essayant de ne pas trop lui montrer mon visage dans la pénombre. Heureusement il faisait nuit noire. Mais rapidement, je maperçus quune forte odeur de foutre émanait de moi... jessayais de loccuper avec des paroles, ma pseudo panne, je dérivai vite sur le taf... je le remerciai pour ce soir. Je me rendis compte quil me regardait furtivement. Jétais sûre que lui aussi sentait cette odeur reconnaissable entre toutes... Je me rendis compte que de là où il était, en tournant la tête, il avait une vue directe sur mon soutif à même la peau. Il savait que jétais presque à poil.
Ouf nous arrivâmes, je le fis garer au début de la rue, je le remerciai et le quittai hâtivement et lui dis à demain. En méloignant au bout dun moment je me retournai. Malheur, sa voiture navait pas bougé, il me regardait méloigner...
Dans la pénombre japerçus Hector, qui mattendait devant la porte discrète de la boîte. Il me mit la main au cul, et semblait apprécier laspect de mon visage. Joël ne devait pas en perdre une miette. Soudain sa voiture passa devant nous, il me regarda, le regard troublé, ne comprenant sûrement pas pourquoi un vieux me mettait la main au cul. Il dut aussi repérer lendroit devant lequel jétais. Jétais grillée...
Je te félicite Patricia, les deux hommes que tu as trouvés étaient très satisfaits, ils mont remercié pour ton éducation. Ils mont demandé à pouvoir te rencontrer à nouveau... Qui ta ramenée ?
Joël, mon collègue, il vient de passer devant nous en voiture. Jai terriblement honte, je suis certaine davoir éveillé ses soupçons...
Ne tinquiète pas, cette situation va au contraire terriblement texciter. Je te connais mieux que tu ne te connais, tu es une soumise dans lâme, fais-moi confiance. La honte est un sentiment qui taccompagne en même temps que ton plaisir...
Puis nous entrâmes dans le club. Serge était là, visiblement ravi de me voir, il maccueillit avec chaleur, me servit un verre.
Mais comme je men doutais la soirée nétait pas terminée. Ce soir-là il y avait un ratio hommes/femmes nettement en défaveur des femmes. Je ne voyais que cinq femmes pour une trentaine dhommes. Je ne passais évidemment pas inaperçue avec ma minijupe et mon soutif. Serge me demanda de le sucer sur-le-champ. Devant le regard exigeant dHector je mexécutais. Serge avait une bite honorable, je prenais toujours plaisir à le sucer car il me remplissait bien la bouche. Devant du monde, cétait une première. Serge exigeait avec son bras que je le pompe énergiquement et profondément. Lui, ce soir ne cherchait pas le romantisme. Ma bouche montait et descendait à une grosse cadence. Serge se leva et choisit de venir sur mon visage. La situation devait lui avoir beaucoup plu, de longs jets bien épais jaillirent sur mon visage. Je devais être repeinte. Mais ce nétait quun avant-goût...
Hector me mit un collier et une laisse et me fit avancer à quatre pattes sous de nombreux regards. Je mouillais comme jamais malgré la honte qui massaillait. Se pouvait-il quHector ait raison. Il me fit avancer à lentrée du couloir qui quittait la salle principale, et qui était séparé de celle-ci par un rideau. Couloir où il me demanda de rester et de nen point bouger, et de sucer la queue de ceux qui le souhaitaient. Dans un endroit pareil, ça veut dire tout le monde.
Quelques couples passèrent devant moi peu de temps après, rejoignaient les coins câlins. Jétais certaine pour ma part dêtre le coin sac à foutre à moi toute seule. Plusieurs hommes seuls passaient également, sarrêtaient, en profitaient pour passer leurs mains sur mon anatomie, puis repartaient. Lun deux mintima de me lever, me retourna contre le mur et me prit violemment la chatte, je ne pus retenir des gémissements qui montaient en moi. Serge et les autres dans le bar ne pouvaient ignorer que je me faisais copieusement prendre. Le plaisir monta rapidement en lui, il me mit à genoux et éjacula sur mes seins. Obéissante, jattendais le prochain.
Certains commençaient également à revenir, et me sollicitaient pour les finir. Ces queues avaient le parfum des chattes quelles avaient fouillées. Qui finissait sur mon visage, ou dans ma bouche pour que je les avale. Je ne faisais pas dans la dentelle, jétais à lusine. Je ne regardais plus les visages, le mien ne devait plus ressembler à grand-chose. Ma bouche pulpeuse nétait plus quun réceptacle.
Alors que javais une queue qui palpitait dans ma bouche, une main se posa sous mon menton et me leva la tête. Jétais manifestement en train de sucer Joël, mon cher collègue qui avait toujours rêvé certainement de mettre son engin dans ma bouche. Je sus que ce ne serait pas la dernière fois que je le pompais. Son sourire carnassier exprimait tout le plaisir quil prenait. Il donnait de violents coups de reins dans ma bouche et me recouvrit à son tour. Sur ce il me dit à demain.
Sois fraîche et dispose demain, bonne nuit sac à foutre !!
Javais déjà un autre Paul dans la bouche quand il me quitta. Ce soir-là je devais facilement avoir pompé 40 mecs et avalé 30 éjaculations. Je transpirais du sperme. Ensuite Hector me ramena dans le côté bar sous les yeux de tous. Les femmes me regardaient en souriant. Certains rigolaient franchement. Etait-ce de moi ? Je ne sais pas, je limaginais. Chose étrange, jétais toute mouillée de cette situation qui membarrassait... Et javais sucé Joël...
Pour donner suite à cette soirée, la semaine au taf se passa sous le regard salace de Joël. Je sentais ses yeux se poser sur mon anatomie. La différence avec « avant » était que désormais il ne détournait plus le regard quand je le surprenais... Cette situation au travail mincommodait, jen parlais à Serge il organisa un dîner au resto avec Joël.
Quelques jours plus tard, le vendredi nous nous retrouvions tous les trois à dîner. Un peu à lécart nous pûmes nous dire certaines choses sans risquer dêtre entendu par nos voisins. Finalement Joël accepta de retrouver une attitude moins provocante au boulot, en contrepartie, il gagnait un droit de cuissage sur votre servante... Mais il devait se soumettre à certaines règles. La première étant de passer par Serge sil voulait me rencontrer. Jétais devenu en peu de temps un objet sexuel que Serge partageait volontiers et cela mexcitait terriblement. Par ailleurs, le restant de ma vie navait pas changé, mais en matière de sexe, jétais livré à mon homme, qui décidait pour moi, et aux fantasmes masculins en général. Fantasmes qui souvent au départ me rebutaient, provoquaient de la honte en moi et qui pour finir me procuraient une jouissance que je navais jamais connue jusquà aujourdhui.
Soulagée de pouvoir retourner au taf avec un peu plus de sérénité, je mabsentais aux toilettes et laissais Joël et Serge ensemble. En sortant des toilettes, Joël me repoussa à lintérieur, tout en vérifiant que personne ne le voyait faire. Sans demander son reste, il me retourna, remonta ma jupe et baissait ma culotte. Rapidement, il me pénétrait avec sa queue. Joël me prit la chatte sans ménagement, faisant claquer mes fesses contre ses hanches. Le visage presque collé au miroir des toilettes, il me regardait dans les yeux pendant quil me défonçait. Je ne pus lui cacher que je prenais aussi un plaisir presque aussi intense que le sien. Lui car il rêvait de cette situation depuis le premier jour où il mavait rencontré, moi à lidée de me faire prendre alors que peut-être, quelquun attendait pour aller pisser un coup, loreille collée à la porte devant le bruit que nous faisions.
Il éjacula de longs jets dans ma bouche et javalais. Je pensais à Hector.
En sortant des toilettes, un homme... Qui attendait patiemment son tour...
Joël remercia Serge, paya laddition et nous quittâmes le restaurant, un regard me déshabillait en quittant les lieux... Je compris que le coup dans les toilettes était en fait une passe. Bizarrement cela mexcita. Mais qui étais-je ?!!! Je me dis à moi-même que la prochaine fois nous irions dans un resto gastronomique, puis je le dis à Serge. Il rigola. Et moi aussi dailleurs.
Au fil du temps, je compris que le kif de Joël était daller dans un lieu public, et de me démonter dans un lieu discret. Concrètement, il appelait Serge, lui demandait sil pouvait memmener dîner ou pour sortir. Par la suite, il me prenait dans sa voiture, une ou deux fois dans une ruelle je le suçais, ou dans des toilettes de restaurant.
Un soir cela se passa différemment, il memmena dans un cinéma x, un lieu carrément glauque. Rapidement je compris que lidée ne venait pas de lui mais certainement dHector.
Je me retrouvais assise dans une salle relativement grande avec Joël et quatre autres mecs, tous des blacks, à regarder un film porno. Au départ nous nétions pas réellement proches, Joël sortit sa queue et commença à se branler en me regardant. Il me demanda de commencer à déboutonner mon chemisier. Il prit ensuite ma main et mit son sexe entre mes doigts. Je commençais à doucement le branler. Notre manège ne passa pas inaperçu bien évidemment. Qui plus est, jimaginais quune femme dans un ciné x était une denrée rare et attire inévitablement les convoitises. Doucement les autres hommes se rapprochèrent. Lun deux vint sassoir à côté de moi. Je le vis sortir un engin énorme et commencer à sastiquer. Joël sapprocha alors de mon oreille et me demanda de le chauffer avec ma main libre. Je me retrouvai donc avec mes deux mains bien occupées, branlant doucement ces deux queues. En voulant plus, linconnu commença à fouiller mon inimité, remonta sur ma poitrine, puis finit par amener mon visage à son entrejambe.
Je tentai alors de le sucer, mais cétait plutôt dur, son gland rentrait juste dans ma bouche, je navais jamais vu un truc pareil...
Je vis les autres hommes se rapprocher et se placer devant moi, se masturbant en me voyant tenter de sucer lautre gars.
Joël me releva, me demanda denlever mon pantalon, et memmena dans une pièce attenante. Dedans il y avait une croix et attachées à cette croix des menottes. Je me laissai attacher les poignets. Rapidement on me releva les jambes et je commençai à subir les assauts dun premier mâle, visiblement en manque de sexe. Je pris cher pendant quelques secondes, des râles de plaisir commençaient à monter dans ma gorge. Un autre lui succéda pendant une minute, puis Joël, qui prit son pied grave. Je dus encaisser ensuite une énorme queue, qui me fit presque mal. Mais pas de pitié, je me faisais limer comme une chienne. Pendant vingt minutes, cinq mecs prirent le relais de ce qui devait avoir lair dun trou béant désormais. Et jadorais ça.
Alors que cétait reparti pour un tour, je devinai que la porte qui se trouvait derrière moi souvrait, et jentendis des personnes entrer. Jentendis la voix dHector, et là je sus que je nen étais quà lapéritif, et que pourtant je ne boirais quen fin de séance. Jétais à nouveau dans un scénario qui allait prendre une ampleur de folie.
Hector vint me saluer alors que je me faisais secouer violemment, me demandais si jaimais ce qui se passait autour de moi. La voix entrecoupée de soubresauts causés par les coups de butoir que je recevais, je répondis par laffirmative.
En tournant la tête je devinai que la pièce se remplissait doucement. Peu à peu, je vis des hommes prendre place, commencer à se désaper. Les sexes durs se dressèrent autour de moi.
Les hommes se motivèrent, firent des compliments sur mon anatomie, et rapidement tous les hommes eurent la main sur leur sexe et se masturbèrent. Je ne voulais pas compter mais je pensais quil y avait au moins quinze mâles en rut autour de moi.
Hector déposa sur un tabouret non loin de moi un récipient avec des préservatifs en veux-tu en voilà, du gel intime, jallais prendre cher, mais a priori en toute sécurité, lol...
On me détacha, et on me rattacha, mais cette fois on aurait dit que jallais me faire prendre par-derrière. Les débuts furent difficiles, les gars y allaient doucement, puis la cadence augmenta. Je sentais le gel couler le long de mes cuisses, mon sphincter nayant plus la capacité de le retenir. Jentendais les hommes sinvectiver pour avoir la jouissance de menculer. A mes oreilles, on me susurra : « tu la sens ma queue, espèce de petite pute », « tu encaisses grave, salope », je vais te repeindre après » et jen passe. Je notai en passant quHector aimait toujours autant la photo... Je sentais la compétition entre mecs, cétait à celui qui me ferait hurler le plus, ou à celui qui irait le plus fort dans mon cul.
Je pense mêtre fait prendre ainsi pendant vingt minutes. On me détacha, je pouvais voir le visage de tous ces hommes qui venaient de me prendre. Mon fondement était anesthésié, jy passais la main, jaurais pu y rentrer le poing.
Hector posa son reflex, sapprocha de moi avec un instrument que je nai jamais vu. Il me dit que cétait un bâillon bouche ouverte. Je ne connaissais pas mais je devinais. Il maida à le mettre en place. Il précisa que je ne devrais avaler que lorsquil me le demanderait.
On eut la délicatesse de poser un coussin au sol pour mes genoux, puis lun après lautre les sexes se vidèrent de tout le plaisir engrangé dans ma bouche, certains jets furent si violents quils atterrirent sur mon visage car mal contrôlés. Lodeur âcre de tout ce sperme envahit mes narines. On fit une pause pour que javale, le liquide menaçant de déborder. Il y en avait encore assez pour me remplir la bouche une seconde fois. Hector lui-même se vida en moi, reprit aussi sec son reflex. Je me demandai si certains nétaient pas passés deux fois dans ma bouche... Peu importait ; je me rendis compte que jaimais de plus en plus avaler du sperme. Jaimais surtout leur regard plein de jouissance lorsque je déglutissais, et le goût ne me rebutait plus comme les premières fois.
Puis comme tout a une fin, la pièce se vida, Joël partit. Resta Hector et moi, je lui fis part de ma surprise de ne pas avoir vu Serge. Ne tinquiète pas me dit-il, il était bien sûr au courant, je lui envoyai quelques photos et vidéos avec mon smartphone, il me dit apprécier le spectacle.
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