Collection Homme Femme. Violoncelliste. Saison Iii (10/12)
- Tu te rends compte Isabelle, je viens de recevoir deux coups de téléphone.
Maman mannonce quelle divorce.
Mon beau-père semble avoir une autre femme dans sa vie.
Elle viendra me voir à Dieppe où nous nous arrêtons.
Jai aussi reçu un coup de fil de Jean-Marc, je pensais quil mannonçait sa venue mais cétait tout autre chose.
Il me laisse aussi me donnant 1 million deuros et 5 000 chaque mois jusquà sa retraite.
Ouf ça a marché sans avoir à tirer des photos dun appareil où il ny en a plus.
Le Touquet, triomphe, Dieppe triomphe et où je fais la connaissance de Linda.
Nous allons repartir pour Deauville quand elle sert sa fille sur son cur.
Elle repart au Brésil finir sa vie bien quelle soit encore jeune.
La seule chose quelle cache à sa fille cest le million dont elle oublie de parler.
Il est vrai quhier dans ce restaurant où elle nous a appris son départ, il aurait été mal venu que je parle de cet argent.
La tournée se prolonge jusqu'aux plages de Lorient hors de la ville et où la séance de 17 heures est annulée à cause dune tempête.
Pas de scène à monter le vent est trop fort.
Pour arranger les choses impossibles daller à la plage comme nous aimons le faire.
Entretenir notre bronzage et être payé pour ça, quelle belle situation.
En plus on voit du pays.
- Claire que dirais-tu si nous allions voir les hommes ?
- Les hommes ?
- Oui, les bites, les verges, les pieux !
- Et ici à Lorient tu en connais ?
- Oui, deux et non loin de nous depuis le départ même sil travaille avant que nous nous produisions.
- Tu as déjà eu des rapports avec Luis et Robin les machinistes.
- Luis oui, nous avons couché dans la loge de Cécilia avant notre départ.
Avec lannulation ils sont de repos aujourdhui, ils partiront vers Quiberon dans la soirée.
- Je subissais mon beau-père, jaimerais voir comment les choses se passe avec un homme que nous choisirons.
Robin, oui, il est mignon, jaime surtout ses gros bras.
Dans son travail cest nécessaire.
Luis, jen ai parlé.
Robin homme plus discret dans ses regards mais bel homme dune trentaine dannées.
Il est en tee-shirt et Jean toute lannée avec des chaussures de sécurité à cause des pièces lourdes quil a apprises à monter et démonter seulement à deux.
Ajouté à ça la conduite et vous avez un homme, un vrai, un tatoué.
Ses bras costauds comme je lai dit, entièrement recouverts de tatouages.
Jignore combien et où.
Claire verra bien, même si avec un peu de chance nous pourrons les échanger.
Quand je dis que je deviens maîtresse de nos jeux.
- Oui.
- Vous nous faite entrer.
- Salut les filles, nous profitions de la coupure pour recharger nos batteries.
Attendez, je vais vous aider à monter dans le camion.
Cest Robin qui ouvre, il semble avoir mis son jean en urgence car il est pieds nus avec son seul pantalon dont la braguette est restée ouverte montrant une touffe de poils noirs.
Les tatouages il en a sur le torse, une magnifique sirène.
Cest marrant les tatoués, bien souvent, comme Robin, ils ont de gros muscles et un cur de midinettes.
Cest la main aux fesses que nous entrons dans leur lieu de vie.
Larrière pour leur matériel et un petit atelier leur permettant de faire de menues réparations.
Jai même vu Luis soudé un jour après avoir vérifié une suspension.
À lavant un nid douillet comme la cabine dun camping-car.
Un lit pour deux.
Luis est allongé dessus nu sans tatouage lui, mais javais déjà vérifié.
Sa bite repose mollement sur sa cuisse.
- Asseyez-vous, on vous offre un verre.
Le verre nous le buvons jusquau moment où prestement Luis saute du lit.
Dans le même temps Robin enlève le peut remis.
- Je pense que vous êtes venues pour ça !
Bien sûr, quon est là pour sucer les morceaux quils présentent à nos yeux.
Claire a bien été formée par ses amants même le con qui lui a donné assez dargent pour vivre tranquille une petite partie de sa vie.
Masturbation, fellation semble être une pratique courante dans ses jeux amoureux.
- On change Robin.
- On change.
La bite de Luis bien bandé méchappe pour mieux finir le travail commencé par Claire sur Robin.
Ils sont nus, nous avons nos robes personnelles.
Quand nous nous sommes préparées, je savais déjà où javais envie de me rendre et pour quoi y faire.
Juste une robe et un mini-slip.
Et encore le slip cest pour éviter deffaroucher Claire ignorant où elle en est dans ses rapports amoureux.
Cest bon, ils évoluent, elle sest renversée et lui est déjà en elle.
La culotte, elle est là mais Luis la simplement écartée pour aller plus vite.
Jaime mes aises alors je me soulève pour lôter.
Dun seul coup, Robin me tire, entrant facilement tellement le sexe mâle me manquait.
Depuis que nous avons piégé le souteneur de ma petite salope se faisant défoncer près de moi criant déjà son plaisir cest le premier sexe qui mest offert.
Je lève mes jambes au ciel pour quil aille plus loin en moi.
Rapidement je sens que je pars.
Luis baisait bien.
La masse de muscles dans lesquelles je suis, me broie littéralement mais que cest bon.
Alors moi aussi je jouis jusquà son éjaculation, gueulant notre plaisir réciproque.
Nous testons la douche, trop étroite pour la prendre à deux.
Mais dès que Luis en sort, je le reprends en main.
Je veux faire un petit plaisir à ma copine qui est à son tour sous leau.
Robin étant passé le premier, je suis au milieu deux et alternativement je leur fais une fellation.
Je suis face à la douche, Claire en sort et sessuie consciencieusement.
- Les garçons, je suis surtout venu pour faire un petit cadeau à mon amie.
Jaimerais que vous vous occupiez delle tous les deux.
- Tu veux que.
- Oui, que.
- Mais on va la massacrer, elle est si fluette.
Tu es sûr quelle va supporter une double.
- Que voulez-vous dire par double ?
- Euh !
Comment lui dire ce que je mijote pour sa chatte et son cul ?
Cest peut-être car jaimerais moi-même le faire mais quune certaine crainte me retient.
- Nous parlions de double plaisir ma chérie.
- Et cest quoi le double plaisir ?
Je me redresse libérant les hommes.
- Les garçons montrés à mon amie ce quest une double.
- De quoi parles-tu Isabelle ?
- Rien, je disais à nos amis que jétais un peu fatiguée mais que jétais certaine que toi tu étais capable dassurer.
Si tu es daccord, je vais me contenter de vous regarder.
Jaime regarder les autres faire lamour.
Luis savance, prends Claire dans ses bras et la dirige vers le lit.
Jignore sils sont homos couchant dans le même lit comme nous avec Claire sans oublier Nat et Aline qui sont dans lhôtel que la production nous a réservé.
- Suce-moi petite salope, regarde, je viens de me nettoyer la queue elle brille comme un sous neuf.
Très littéraire Robin, mais le principal cest que mon amie se laisse faire et que les deux garçons soccupent delle.
Pendant quelle suce Robin, je me suis installée sur lun des deux tabourets de bar dans le réduit leur servant de cuisine.
Si nous nous sommes logés dans des hôtels où souvent les repas nous sont servis, eux sont autonomes.
Même si le confort est spartiate, voyager comme chez soi doit avoir des avantages simplement les valises quil faut refaire tous les jours.
Claire se retrouve sur le lit et Luis vient lui bouffer la chatte.
Je le vois pointé sa langue dans lanus de ma copine qui semble aimer.
Il est vrai quune langue comparée au gode que son beau-père lui enfilait ça doit être plus facile à supporter.
Tient quest devenu celui que jai fait acheter à Aline et qui a définitivement convaincu le notaire de sarrêter demmerder celle qui vient sempaler sur le sexe de Robin sétant couché lentraînant dans sa luxure.
Une verge dans sa chatte, lautre se présentant à loeillet bien humidifié et jassiste pour la première fois de ma vie à une jolie petite chienne se faisant prendre en double pénétration.
- Tient bouffe salope, tu crois que tu es la seule à avoir le besoin de jouir.
Celle qui prononce cette phrase, cest moi.
Jai sauté de mon tabouret pour sauter sur le lit et écartant mes grandes lèvres, je viens lui mettre mon clito sous les dents.
Je la connais assez pour savoir que même pendant son plaisir, elle saura se maîtriser et que ma petite boule naura rien à craindre.
Au moment où les quatre nous nous éclatons une fraction de seconde le frisson qui traverse mon échine me rappelle que pour elle aussi cette jouissance issue des deux verges la perforant ma fait prendre des risques.
- Merde, Robin, tas vu lheure, il y a une demi-heure que nous devrions rouler.
Mesdemoiselles, nous vous aimons bien mais sauf si vous voulez dormir pendant que lon roule, on se retrouve demain à Quiberon notre prochaine étape.
- Nous viendrions bien, mais nos instruments sont dans notre chambre à lhôtel.
- Nous nos instruments ont les à toujours à portée de main.
- Il est vrai que vos instruments vous en jouez comme de vrais virtuoses.
Repus de jouissance, nous laissons les garçons pour retourner dans lhôtel où nous dormons dun sommeil réparateur.
Demain, de nouvelles aventures vers la pointe de Quiberon
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