La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1341)
Les Nuits de Sophie au Château (histoire écrite par Monsieur de Silence et textes améliorés par MDE) (Suite de l'épisode précédent N°1340) -
Monsieur le Marquis, resté à sa place souriait, visiblement, Maîtresse et Lui étaient de la même veine, du même gabarit, ils pratiquaient et partageaient à lévidence leur Art avec virtuosité
Après un certain temps dexposition dont javais perdu le fil, je fus retirée de mon présentoir. Ce fut Vanessa, encore une fois, qui délaissa son cavalier pour soccuper de moi. Elle me délivra un membre après lautre avant de discrètement memmener alors que toute lassemblée reportait son attention sur larrivé du dessert. Vanessa me conduit jusquà une pièce attenante où elle métendit sur une table de massage déjà prête à maccueillir, après mavoir retiré mes chaussures. Javais les jambes flageolantes et une évidente douleur dans le dos. Cétait le prix à payer pour cet art exigeant et je ne regrettais pas de mêtre vu offrir cet honneur. Vanessa sattarda dessus, caressants quelques-unes des traces formant le grand cerf.
- Madame de Saint-Ange à une maitrise impressionnante.
- Le ressentir est mieux que de ladmirer, murmurais-je alors quelle commençait à me masser.
- Elle est aussi douée de Monsieur le Marquis, visiblement ils excellent à a perfection, tous les deux dans le maniement du fouet !
Vanessa menduisit le dos de crème sur toute la surface du dessin. Je sentais immédiatement la douleur sapaiser alors quelle étalait la crème adoucissante et grasse. Et cet apaisement fut à mesure que la crème, qui avait pour but danesthésier la douleur tout en maintenant les traces bien visibles, pénétrait ma peau. Je pourrais arborer fièrement notre cerf durant un certain temps. Les mains de Vanessa furent divines et après quelles eurent finis leurs ouvrages mon dos ne me fit presque plus souffrir, cest tout juste si je ny ressentais plus quune légère brulure.
- Ça va mieux ? me demanda aimablement Vanessa
- Tellement mieux, je te remercie, tu es excellente.
- Je ne suis pas pompier professionnel pour rien, secourir ou soulager les gens, cest mon domaine, répondit Vanessa
Monsieur le Marquis avait trouvé en elle une soumise exceptionnelle et non dénuée de talents... Nous devions désormais rejoindre les Maitres auxquels nous appartenions, comme elle me lannonça, ce que nous fîmes une fois quelle meut couverte dun épais peignoir quelle noua fermement. Elle memmena ensuite pieds nues. En parcourant le peu que nous avions à parcourir, jentendais dans le lointain la rumeur de la soirée qui nétait pas encore finie dans la grande salle. Arrivé à destination, Vanessa frappa une fois à la grande porte et Monsieur le Marquis nous ordonna à rentrer. Elle minstalla dans un fauteuil avant delle-même aller sinstaller. Il régnait dans la pièce une odeur de boisson chaude qui mannonçait quil devait en être au café, que Monsieur le Marquis avait sans doute convié à prendre en plus petit comité.
- Tout ce passe bien ?, Vanessa, dit Monsieur le Marquis. Comment se porte notre invité ?
- Oui Maitre. Elle se porte bien. Je lui ai appliqué la crème comme vous me laviez exigé.
- Peut-être désires-tu profiter du gâteau désormais Sophie, accompagné dun chocolat ?
Jacquiesçais poliment, ensuite Monsieur le Marquis mannonça qui était présent, en parfait hôte quil était. Il y avait Monsieur le Marquis évidemment, Vanessa, Maitresse ainsi que Monsieur le Commandant en plus de moi. Le ministre et Monsieur le Préfet navaient hélas pas eu loccasion de rester à leur grand dam, ajoutât-il. A nouveau ils me félicitaient tour à tour pour mon entrée officielle dans notre cercle où mes différentes performances quand on mapporta ce que Monsieur le Marquis mavait aimablement proposé. Le serviteur allait repartir mais Monsieur le Marquis claqua des doigts et aussitôt je lentendis sarrêter.
- Reste-ici, esclave Caroline.
Jen manquais une respiration. Était-ce la mienne, ma Caroline ? Jen eu vite confirmation.
- esclave Caroline, comme Madame Marie na pas du tout exprimé son contentement à ton sujet via ton passage en cuisine, entre ses mains, ce qui ne métonne pas car je dois admettre quelle est très et certainement trop exigeante, je tai proposé comme bonne chienne soumise à être utilisée par mon cher ami Monsieur le Commandant pour cette dernière nuit que tu passeras en Mon Château. Mais quune fois que tu seras passée par Ma chambre, cela va de soi !
- Jai bien évidemment accepté, renchérit le Commandant le sourire dans la voix.
- Il faudra tout de même que tu retournes aux cuisines une fois que tu lauras contenté pour finir de nettoyer la vaisselle, Marie ne ta pas trouvé assez efficace à cet exercice. Pour linstant, commence par bien utiliser ta bouche de petite chienne à notre service. Tu dois obtenir notre jouissance à mon ami comme à Moi-même avant que Sophie ait finie de manger sa pâtée sinon ma très chère cuisinière aura le plaisir de te corriger une nouvelle fois comme tu le mérites avant ton départ demain.
Ces informations éveillèrent en moi des sentiments contraires. Je navais jamais vu, ne serait-ce quentendu Caroline donner du plaisir. A mon arrivée aux pieds de Maitresse, elle était déjà parmi ses favorites, et ma situation ayant évolué comme elle lavait fait, et je navais jamais eu loccasion de servir à ses côtés. Maintenant je lentendais clairement aspirer, user de sucions sur les membres pleins de vie de Monsieur le Marquis et du Commandant. Cétait tellement hypnotisant pour moi que jen tardais à commencer de manger et même quensuite je mangeais plus lentement quà laccoutumé. Caroline devait être agenouillée entre les deux hommes, suçant les deux bites, lune dabord puis en passant à lautre et inversement. Elle en branlait une, tandis quelle suçait lautre et inversement ! Jusquau moment où jentendis leurs râles de plaisirs successifs et finalement elle eut fini avant ma dernière bouchée.
- Tu verras, tout se passera bien, au besoin sache que Soumise Keira MDE sera toute proche pour tassister.
Elle membrassa le front avant de me donner une enveloppe à remettre à Monsieur le Marquis puis elle partit, me laissant seule. Ce fut Vanessa, encore une fois, qui me servit de guide et me conduisit auprès du Maitre. Nous remontâmes le grand escalier, et une fois arrêté devant une porte, Vanessa frappa et en réponse sur lexigence à entrer, nous pénétrâmes dans la pièce.
- Enlève-lui son peignoir et met-la à genoux sur mon lit, puis va te mettre en position dattente au coin.
Vanessa sexécuta immédiatement et me plaça comme demandé, je gardais cependant la lettre, présentée entre mes mains sur mes cuisses. En tenue dEve, jétais prête à tout pour faire honneur à léducation de Maitresse.
- Tu as quelques choses pour moi, esclave ? dit-il sur ton calme.
- Oui Monsieur le Marquis, dis-je en minclinant, tendant la lettre du bout des doigts, le corps étendu et le visage collé sur le lit. Maitresse ma ordonné de Vous remettre cette lettre.
- Parfait, esclave, finit-il en la prenant.
Jattendais toujours inclinée, le temps quil prenne connaissance du contenu dont jignorais moi-même la nature.
- Ta propriétaire nous a laissé une lettre commune reprit-il.
Le Châtelain me rendit la lettre et je sentais immédiatement plusieurs lignes de petits points. Une petite attention pleine de sens pour moi seule dont je mempressais de décrypter du bout de lindex les caractères qui my étaient destiné en relief.
« Très cher Ami, Monsieur le Marquis, en cette soirée, laquelle vous avez remporté avec mon esclave, je lui autorise à atteindre lorgasme, mais uniquement sous Votre consentement. Je vous prie de croire en lexpression de mes sentiments les meilleurs. Madame de Saint-Ange, Votre amie.
Je ne mattendais pas à devoir travailler de la sorte, dautant plus que je navais pas étudié depuis longtemps, mais le résultat en valait la peine. Javais passé ce test de lecture lentement, mais il me semblait que Monsieur le Marquis fut satisfait.
- Jai déjà un tableau fascinant face à moi, branle-toi avec ferveur pour lanimer, mais tu ne jouis surtout pas. Tu as prouvé un contrôle parfait jusque-là, alors ne me déçoit pas, dit le Noble.
En abaissant un peu plus mon regard vers le sommet de mes deux cuisses, je sentais un vent de panique prendre la place de lexcitation de me voir possiblement offrir lorgasme. Je glissais une main, effleurant du bout du doigt mon clitoris avant dimmédiatement la retirer.
- Je vous supplie de mexcuser Monsieur le Marquis, mais je suis dans lincapacité de répondre à Vos attentes, tentais-je dune voie intelligible.
- Je suis très sceptique, serais-tu en train de me dire que la Maitresse, qui te soumet, nexige pas que ses possessions sachent se donner du plaisir pour un public ?
Jimprovisais au risque de dire des choses dont je naurais pas dû exprimer.
- Maitresse exige bien ces talents
mais je nai pas ce devoir, jai de même linterdiction de me donner du plaisir par moi-même car il lui appartient. Elle disait que je ne savais pas faire, quelle me donnerait cour en la matière au moment quelle déciderait opportun. Je navais rien à redire car je navais jamais éprouvé le besoin de me masturber.
- Je vais men occuper Moi-même dans ce cas, répondit-le Châtelain, comme sil sy attendait me laissant penser que tout ceci nétait quun test.
Dun mouvement prompt, Monsieur le Marquis se saisit de mon clitoris de deux doigts. Il commença par le masturber doucement via un mouvement circulaire de petits cercles pour ensuite le décalotter de son capuchon, pour continuer le tapoter légèrement par une volée de mini-fessées avec une main volante. Ensuite, il semploya à le rendre fou, le faisant rouler, puis de le pincer fortement, pour le branler avec frénésie et recommença entièrement lopération de chacun de tous ces mouvements avec une précision digne de lexpert en la matière quil était. Mon corps suivait distinctement cette délicieuse , sarquant vers Ses doigts qui bientôt quittèrent mon petit bouton rose et dressé pour venir pénétrer mes lèvres intimes et explorer ce quelles cachaient, me donnant déjà un plaisir incommensurable. Il commença par des allers et retours, ondulant du poignet, frottant mes zones les plus sensibles. Jouant sur les parois de mon vagin trempé
Même si je devais sûrement lui offrir une vue des plus agréables, javais limpression quil se consacrait à mon plaisir comme un amant laurait fait. Mais quimporte, je savourais ce quil daignait moffrir comme plaisirs excitants, écartant plus largement mes cuisses afin de lui faciliter le passage à ce délicieux fist vaginal qui samplifiait doucement mais sûrement. Jusquà que tous Ses doigts furent pénétrés ainsi que son poignet dans des mouvements de rotation lente et divins. Mes yeux finirent par exprimer ma demande silencieuse de délivrance jouissive, quand jentendis lordre libérateur :
- Jouis petite chienne, je te laccorde
(A suivre
)
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