On Était Trois
Ces deux gars et moi.
Lui était un copain ancien. On avait flirté après le lycée dans un bois puis chez lui, à bouches aimantes mouillées et langues mélées. Il avait été un garçon caressant, sa main à ma taille et son paquet, saillant dans le jean, labourant mon ventre.
Aujourdhui, je faisais baby-sitting chez un jeune couple et ils ont débarqué tous les deux sur le coup de dix heures. Jétais contente de le reconnaître. Il ma dit cest ma sur dont tu gardes le bébé. Le bébé dormait à poings fermés. Il ma serrée dans ses bras et ma embrassée comme autrefois.
La télé allumée faisait ambiance. Son copain était discret. Lappart était chaud et il pleuvait froid dehors.
Il ma emmenée derrière le salon et ma pelotée, épaules, poitrine, cuisses, partout. Cétait bon.
Il a dit, le bébé dort, viens on va saimer comme on na pas osé le faire dantan, trop jeunes quon était alors.
Il a dit, tu verras, avec deux garçons les jeux de sexe sont bien plus sympas quavec un seul mec. Cest plus fantaisie, moins sérieux, plus gai.
Moi je restais coite. Je ne savais que dire. Je navais jamais fait ça.
Des garçons, jen avais eu. Je nétais pas de dernière pluie.
Mais deux ensemble seraient première pour moi... Je ne savais pas, je nosais pas acquiécer.
Laffaire sest faite tout simplement sans vraie décision par simple laissé faire. Je me suis retrouvée toute nue sur le grand lit entre deux hommes dans lobscurité de la chambre.
Lun membrassait et je sentais bien que ce nétait pas mon ami mais lautre, le copain. Ses mains, qui tenaient mon cou et mes joues, étaient douces et sa langue violait ma bouche et mouillait ma langue en dialogue muet tourbillonnant.
Mon copain, lui, avait entrepris visite buccale de mon ventre et présentement bouffait mon nombril. Je pensais, il sattarde sur cette zone qui nest pas très érogène et perd son temps et le mien.
Mon esprit vagabondait et jétais bien aise entre ces deux garçons qui soccupaient de moi et prétendaient, chacun de son côté, mapporter les félicités de lamitié amoureuse.
Sur ma poitrine deux mains symétriques balayaient en caresse mes seins étalés écartés aux pointes divergentes bandées. Des mains douces qui ne prétendaient pas à tripotage mais seulement à effleurement sensuel.
Mon ventre était tout ouvert et en sourdait une tendre moiteur nappant mes villosités et mes hauts de cuisse, touffe trempée.
Mes jambes écartées et mes genoux levés, bassin rétroversé en accueil espéré de la bouche de la langue qui viendraient me brouter et sucer mon bitmini.
Tout cela fut mais je ne savais plus lequel des deux était mon copain ou son ami.
Javais pour ma part chopé leurs bites, une dans chacune de mes mains. Elles étaient assez semblables tant en longueur quen épaisseur. Mais lune avait sa tête à lair libre lors que lautre avait prépuce conséquent protecteur.
Et jétais incapable de savoir auquel des garçons affecter le zob circoncis et celui qui ne létait pas.
A main droite la hampe et le gland faisaient continuité douce et sèche et la finesse de la tête tout juste rompue par le creux de méat épousait ma paume caressante.
A main gauche le gland vivait sous la peau et glissait sous mes doigts. Jai voulu décalotter et caresser à nu. La tête était humide et le renflé du gland avec son col roulé tout moite. Et cela a déclenché un désir irrépressible de sucer.
Ma bouche a plongé et mes lèvres ont gobé. Lèvres de bouche saliveuses serrant le sillon coronarien, poussant bas les peaux prépuciales et langue tendre en caresse du gland fin et doux.
Ma main gauche navait rien lâché et tenait fort la hampe raide et les couilles dures dans le scrotum serré.
Par ailleurs javais entre les cuisses un visiteur qui sadonnait en élégance de bouche de langue saliveuse autour de ma raison de vivre en toute gentille amitié.
Je pensais, et alors ma main droite, que doit-elle penser ? Probablement que cet outil très raide mérite lui aussi considération. Et jai astiqué, doucement dabord en respectant les sensibilités de frein et de couronne puis plus violemment en conscience que les mecs se branlent sans retenue et jouissent de leur douleur.
Par ailleurs je sentais avec bonheur quon sintéressait à mon cul. Moi jaime bien quon sintéresse à mon cul. La langue qui badigeonnait mon illet de salive se faisait maintenant intrusive et prétendait à visite intime.
Jétais un peu perdue.
Une sorte de double soixante neuf avec un mec qui me broutait lors que lautre que visitait loigne et de mon côté une pipe à lun et un pompier à lautre...
Les choses se sont décantées toute seules.
Le premier à décharger fut le gars circoncis. Jen avais plein la paume. Cétait chaud, cétait bon, gluant et fluide. Jen ai badigeonné toute ma poitrine.
Il a poursuivi ses caresses anales puis jai bien aimé, après, quand il ma embrassée, la saveur de cul de ses lèvres sur les miennes.
Lautre me pourléchait tandis que je suçais son gland. Ma main serrait sa fesse puis sest égarée dans son postérieur. Postérieur moite trempé, périnée en jolie crête et anus accueillant. Le grand doigt a présenté son charnu et la poussée la avalé.
Je savais le gonflé de prostate et jai posé fort dessus.
Son cri a réveillé le bébé.
Et moi jai joui aussi, en empathie.
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