Sylvain Arrive À Paris
Lannée de ses 18 ans, Sylvain se rend à Paris pour se promener. Il y découvre le métro. Arrivé à 8H45 garde de lEst, il prend la ligne 5 direction le 13 ème où lattend un copain.
Les rames sont bondées. Après avoir laissé passer deux fois le métro, il se décide à monter.
Coincé de toute part, il a face à lui une femme dune cinquantaine dannée qui regarde au loin, les yeux rivés au plafond du wagon. Une station, puis deux, puis trois. République : le wagon de vide pour se remplir aussi vite et encore plus. La femme est toujours devant lui. Là, il est tellement serré que cela en devient inconfortable. Il sent un corps collé derrière lui, serré lui aussi.
Rapidement Sylvain sent contre ses fesses une bosse qui lui fait penser à une trique. Il essaie de voir la personne derrière lui mais il est bloqué par la foule. Immédiatement, il sent des coups de bassin cogner sur son cul. Un mouvement de plus en plus perceptible et de moins en moins de doute sur la nature de la dureté de ce qui lui cogne els fesses.
Puceau et sans expérience, Sylvain nignore pas pour autant les grand principes de la sexualité. Il ne doute aps que cest une bite qui se frotte à son cul. Choqué par le constat, Sylvain rougi brutalement. Et encore plus lorsquil se rend compte que la situation lexcite.
Maintenant il sent des doigts se glisser sur son bassin de larrière à lavant pour effleurer sa braguette et exciter sa verge. Sylvain tente de bouger pours e débarrasser de cette intrusion gênante. La femme devant lui jette un regard agacé par ses tentatives de déplacement. 3merde, je vais me faire remarquer » pense alors Sylvain. U doigt coulisse maintenant le long de sa verge bien bandée, à travers la toile du pantalon. Sylvain voit des étoiles sous leffet de la chaleur du wagon, le stess de la situation et le plaisir qui monte. Il sest déjà branlé plus dune fois mais na jamais ressenti une telle jouissance.
Brutalement, sa bite crache son plaisir dans le slip et inonde son public.
Prenant son courage, Sylvain se retourne et fait face au détenteur de la main qui vient de le branler en public. Le détenteur de la main, un homme dune soixantaine dannée, le regarde droit dans les yeux, esquisse un demi sourire et lui souffle « on peut faire mieux si tu veux tu nas quà me suivre.
Interloqué, Sylvain baisse les yeux vers sa braguette pour constater une large auréole crée par le foutre qui à travers le tissu du pantalon. « Merde, je ne peux pas rester comme ça » pense-t-il immédiatement. "Viens chez moi, ce nest pas très loin, je pourrai te réparer cela. Tu feras ce que tu veux ensuite » lui souffle lhomme. Sylvain le regarde mieux : la soixantaine, visage agréable, bien vêtu, au phrasé poli et agréable. Sylvain acquiesce de la tête, lhomme lui passe son manteau pour quil puisse masquer la tache de foutre qui macule le pantalon en toute indiscrétion. A la station suivante, lhomme descend, Sylvain le suit
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