Entretien D'Embauche En Trois Actes - Acte 2
Comme je limaginais, David ma faite reconvoquer le mardi suivant. Il a quand même voulu me faire croire quil avait le pouvoir, en attendant le lundi pour me faire parvenir linformation.
Le jour J, 17h30, jentre dans son bureau. Il sassoit de suite sur son canapé, et pas à son bureau. Dautres papiers sont sur une petite table située devant le canapé. Je les lis, nous échangeons quelques formules de politesse. Je le sens un peu stressé et mal à laise. Il veut me montrer que cest lui qui décide, mais ne sait pas comment car il aimerait être sucé à nouveau. Jentreprends donc de le rassurer en lui expliquant à quel point jadorerai bosser pour sa boîte, histoire quil voit que mon objectif est quand même dêtre embauchée. « Le minimum pour mes collaborateurs, cest quils aillent au bout de la tâche quils ont débuté ! » me lance-t-il, en guise de boutade.
Je me rapproche de lui et lui glisse : « Pour moi, dans la pub, il est nécessaire de susciter lenvie, de toucher lautre au plus profond, jusquà ce que le consommateur soit dans lincapacité de détourner le regard ». Ce faisant, alliant le geste au mot, jentreprends de reprendre les choses où elles en étaient la semaine dernière. Jembrasse la bosse qui se profile sous son pantalon. Pour effacer sa frustration, je décroche sa ceinture, déboutonne son pantalon, et le fais glisser le long de ses jambes. Il sourit, me caresse la nuque. Je sens mon clitoris gonfler. Je suis moi aussi un peu frustrée, jai envie de le sentir en moi. Sans jouer avec son désir, jempoigne son sexe et le fais disparaitre au fond de ma bouche. Je sens que mon sexe se mouille et souvre tout seul. Je suce sa verge encore quelques instants, puis je me relève et lui dis « fermez les yeux ». Il sexécute sans discuter. Je déboutonne ma chemise, enlève mon soutien-gorge, et enfourche David pour avoir ma poitrine à hauteur de son visage. Mes seins sont de taille moyenne, toutefois jai une grande aréole, ce qui ma toujours un peu complexée.
Tant pis, je nen peux plus. Je descends mon bassin. Son gland, chaud, effleure mon clitoris. Je marrange pour quil se positionne à lentrée de mon vagin. Puis, doucement, je le fais entrer en moi. A ce moment-là, surpris, David ouvre les yeux. Je laisse échapper un gémissement de plaisir. Je sens sa verge me pénétrer. Je me suis empalée jusquà la garde. Tout aussi doucement je remonte et fais sortir entièrement son sexe du mien. Je lembrasse à pleine bouche, nos langues se mélangent. De nouveau je fais en sorte de nous emboiter. Jadore cette sensation, quand mon vagin est vide, puis quil est pénétré. Jeffectue à plusieurs reprises cette manuvre. Puis, je laisse sa verge en moi, et je monte et descend. Tous les deux, nous haletons. Je mouille, nous glissons lun sur lautre, lun dans lautre. Ma jupe est totalement soulevée, Je maccroche au dossier du canapé pour mieux maitriser ma force et mes gestes. Il a une vue imprenable sur sa queue qui disparait dans ma chatte. Nos gémissements se font plus forts. Je sens quil perd le contrôle. Son regard se fixe sur nos sexes. « Je vais venir » me prévient-il.
Alors, tout au contraire de lui, je reprends mes esprits. Je me retire et, encore pleine de désir, je remets ma culotte et mon chemisier à toute vitesse. Jatt mon soutien-gorge et le glisse dans mon sac. Je napproche pas de lui de peur de céder à la tentation de cette verge qui ne demande quà me remplir.
En repartant, lascenseur était là. Le bureau de David est au 47e étage, je marrête au hasard dans ma descente. Je demande où sont les toilettes. Je nen puis plus, je ne peux pas rester comme ça. Je menferme dans les toilettes pour personnes handicapées, elles sont plus spacieuses. Tout est très propre heureusement. Je massoie au sol, écarte ma culotte, et me masturbe. Une petite caresse autour de mon clitoris, et je fais pénétrer mon index et mon majeur dans mon vagin. Je ressors, les doigts trempés, et je frotte délicatement ces deux doigts de part et dautre de mon capuchon. Mes cuisses sont écartées au maximum. Je suis efficace, je sais exactement ce que je fois faire pour me faire jouir. En deux minutes, le désir est à son paroxysme. Mon clitoris est gorgé de sang. Je sens que je viens. Han ! ça y est, tout mon vagin se contracte dans une vague de plaisir, jai même dû réfréner un petit cri. Je me lave les mains et rentre chez moi, pour y attendre mardi prochain.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!