Solange La Bourge, La Coquine ! (Partie 1)
-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --
Solange visitait le site HDS, pour se distraire un moment, elle lut sur ma petite annonce dauteur qui proposait à des femmes de leur écrire une histoire vécue ou non.
Après avoir survoler un de mes récits, mon style lui convenait, ce fut tout naturellement quelle répondit à mon annonce et me demanda décrire pour leur couple. Solange est une femme libérée et soumise à son mari qui lui est candauliste. Voilà comment jeus la lourde tâche décrire et de mettre en page, leurs aventures sexuelles, en respectant leurs propos et suivant leurs consignes bien précises. Tout ce que vous lirez dans ces récits sont des faits bien réel.
Professeur dhistoire-géo, dans un lycée, Solange est très coquette, toujours vêtue avec goût et élégance, elle a passé la quarantaine. Physiquement elle est grande et bien faite, avec sa poitrine, un peu lourde et laiteuse, son 95D plait énormément aux hommes. Sa chevelure brune, son visage souriant et maquillé sans excès font delle une femme tout à fait charmante.
Elle tient particulièrement à ce que son sexe soit toujours épilé et le plus souvent totalement glabre. Solange est issue dune famille fortunée, où ses parents lavaient élevée dans une certaine opulence. Elle était donc de bonne famille catholique pratiquante et avait étudié dans une école privée.
À 12 ans, partie en classe verte avec sa classe pendant une semaine dans le Lubéron. Elle perdit sa virginité avec un encadrant, un parent délève, qui venait la border chaque soir et lembrassait sur la joue pour lui souhaiter bonne nuit. Le mercredi suivant, elle était allée chez lui, voir sa copine, la fille de laccompagnant, il avait envoyé sa gamine chercher quelques courses à la supérette, afin de se retrouver seul avec Solange.
À la maison personne ne parlait de sexe, elle était encore jeune, Hervé était parvenu à la déculpabiliser en insistant sur le plaisir quelle éprouvait.
Solange en était presque fière, voyant que ses copines navaient que des flirts avec des garçons boutonneux de leur âge. Pour confidence, dès le samedi où elle était rentrée de cette classe verte, elle se masturba et découvrit son corps. Ce soir-là, Solange était couchée mais narrivait pas à sendormir, ses pensées étaient toutes pour Hervé cet homme si gentil avec elle.
Le sexe des hommes lavait toujours impressionnée, elle qui navait vu que celle de son cousin étant jeune. À la majorité sexuelle, elle aimait se caresser en pensant à sa préadolescence. De sa main gauche, elle tenait son baigneur dans les mains et le descendit doucement sur son sexe, pendant que sa main droite caressait doucement son ventre, très vite elle sentit monter un désir, elle mouillait en pensant à un pénis la pénétrant.
Elle mouilla de sa salive la tête de son jouet favori et se le frotta sur son vagin, puis elle enfonça délicatement, la main puis le bras du baigneur. Après quelques caresses intimes et précises puis quelques pénétrations légères de son baigneur, elle contractait son corps, bloquait sa respiration lorsque le plaisir commençait à monter en elle, puis les pensées érotiques toujours présentes dans son esprit, firent quelle se laissait aller totalement.
Elle ressentit en elle un plaisir immense. Elle avait vite compris ce quétait un orgasme. Pendant toute son adolescence, son éducation étant assez stricte mais elle sétait toutefois dévergondée et elle aimait se masturber ainsi. Encore aujourdhui elle nhésite pas à prendre son plaisir en solitaire.
Patrick son mari, est de vingt ans laîné de Solange, cest un bel homme à la retraite depuis peu, il possédait une société de production travaillant pour des sociétés privées et surtout des administrations.
Issus de la bourgeoisie dAmiens, ce couple saime encore comme au premier jour. Pourtant Solange et son mari vivaient totalement libérée, leur vie, intime et sexuelle, fut jonchée de rencontres. Patrick sest découvert candauliste dès leur rencontre, car comme toutes femmes, elle était assez fière et plutôt flattée lorsquun homme se retournait sur elle. Patrick quant à lui voyait son égo gonfler de la voir ainsi convoitée, dautant que beaucoup voyait en lui, son père plutôt que son compagnon.
Avant de la connaître, il était très porté sur le sexe, ainsi quelques temps après leur rencontre, il lui avait dit quils ne devaient rien se cacher, et quils devaient bien différencier lamour quils se portaient et les relations sexuelles qui nétaient que purement physique. Vingt ans auparavant, étant plus jeune, la différence dâge ne comptait pas. Patrick a toujours eu cette jouissance interne de voir Solange avec dautres.
Aujourdhui étant moins performant sur le plan sexuel, il aime la regarder et souvent, il se branle de la voir prendre son plaisir.
Ses arguments pour la décider à franchir le cap, étaient :
Tu jouis avec un autre et nous on saime, alors nattend pas davoir 60 ans et regretter, dautant que je suis daccord pour ça.
Aussi bizarre que cela puisse paraître, Patrick ne mélange pas la relation sexuelle avec leurs sentiments, il éprouve donc du plaisir à voir Solange avec un autre, et plus le type profite de sa femme et la baise comme une salope, plus cela le fait bander. Il aime quelle soit considérée comme un corps à r, pour autant quelle prenne son pied.
La première fois quelle sest faite tripoter, cétait dans un club, une boite de nuit.
Si tu aimes jouir, je te donne carte blanche, mais je veux te voir, sinon tu me racontes tout en détail.
Solange avait vingt-six ans à cette époque, elle connaissait Patrick depuis six ou sept mois lorsquils étaient sortis dans une discothèque branchée de la ville. Ils étaient installés sur un canapé autour une table basse depuis un moment en buvant un verre, lorsquun homme de la quarantaine sétait présenté devant eux, il voulait danser avec Solange. Pour cela il sadressa directement à Patrick sur ces mots :
Je peux vous emprunter votre fille ?
Solange voulait bien danser avec lui, elle attendait surtout laval de son futur mari. Il y avait méprise sur leur lien de parenté due à la différence dâge. Patrick avait tout simplement répondu à cet homme :
Je ne suis pas là pour la surveiller, comme vous, elle est là pour samuser, alors profitez-en.
En ayant lapprobation de Patrick, Solange sétait levée et partit danser sur un rock endiablé. Elle était là pour cela et elle avait même les consignes de faire beaucoup plus que danser, elle pouvait et devait se laisser aller. Patrick désirait la voir se faire draguer et plus si affinité.
Lors du slow suivant, son cavalier ny était pas allé par quatre chemins, il commença à se coller sans retenu à elle et se permit de poser ses mains sur le bas des reins. Au fur et à mesure quils dansaient, il lui murmurait à loreille quelques banalités du genre :
Tu es bien belle, comment te nomme-tu ? Tu es seule
Dans le même temps ses mains glissaient peu à peu vers ses fesses. Solange sefforçait à jouer le jeu, elle ne réagissait pas et le laissait faire, elle prenait même du plaisir à se sentir désirer, elle commençait à mouiller sa petite culotte, sa réaction vint lorsquelle poussa, à un moment donné, un gémissement. Il sempressa de lui demander :
Tu aimes mes caresses ?
Ouiii.
Voyant cela, il persévéra et sétait enhardi, il lui pelotait une fesse de sa main droite, en la plaquant bien contre son ventre où elle put ressentir son sexe commençant à se mettre en érection, pendant que sa main gauche sétait emparée dun de ses deux seins quil caressait à travers son chandail.
Solange était excitée par laudace des caresses de son cavalier, cet inconnu qui la pelotait sans vergogne. Néanmoins, elle avait le besoin de se sentir en sécurité afin de pouvoir continuer, elle jeta un coup dil en direction de Patrick pour se rassurer. Bien entendu, il nen loupait pas une miette, lorsque leurs regards sétaient croisés, Patrick fit un clin dil à Solange et lui signifia quelle pouvait continuer en levant son pouce.
La série de slow nétait pas encore terminée, les caresses et le mouvement du bassin continuait, Solange mouillait de désir, pendant la deuxième chanson langoureuse. Lui aussi était très excité, sa verge contre le ventre de sa cavalière devenait dure et il ne se cachait pas de lui faire ressentir en lappuyant fortement sur son bas ventre avec ses mouvements de hanches en se frottant contre elle, les mains toujours occupées à lui caresser les fesses et la poitrine.
Au début du dernier slow de la série, il saventura et se pencha à son oreille en demandant :
Viens, allons sur le parking prendre lair.
Non !!! Excusez-moi, je préfère danser.
Cet homme navait pas dit son dernier mot, il devinait quelle mourrait denvie de baiser avec lui, elle se laissait peloter comme une adolescence devant tout le monde, ce nétait pas possible quelle puisse lui refuser. Tout en dansant, il avait dirigé Solange dans un recoin du dancing, il pencha son visage et tenta dembrasser sa cavalière. Solange tendit sa bouche et accepta son baiser puis, il lui dit :
Jai très envie de toi, tu dois bien lavoir senti.
Je sais ! Non sil vous plait, je ne suis pas prête.
Solange se souvient très bien de ce moment et de ce recoin à labri des regards, le type lavait plaqué assez brutalement contre le mur, et tout en la forçant à lembrasser, il avait retroussé sa jupe par devant pour venir glisser sa main sous son string. Lorsquil saperçut quelle mouillait de désir, il enfonça sans ménagement ses doigts entre les deux lèvres de son vagin entièrement épilé et la triturait sans retenu en faisant quelques va et vient brutaux.
En effet, Solange mouillait de plus belle, il lui dit alors :
Tu nes quune allumeuse, tu mouilles comme une salope quand mes doigts te fouillent et tu ne veux pas aller plus loin. Viens ! Je vais te baiser comme tu le mérites.
Après un nouveau refus, à la fin des slows, Solange était repartie vers Patrick. Elle avait eu peur daller trop loin et navait pas osé franchir le cap en acceptant de se faire prendre sauvagement par cet homme qui ne recherchait que cela.
Cétait bien dommage pour Patrick assez déçu, il faut le dire, de cette situation qui était à deux doigts de réussir mais Solange nétait pas parvenue à aller jusquau bout en acceptant de coucher avec ce parfait inconnu qui lavait pourtant très excitée. Néanmoins, ce nétait que partie remise
Si comme Solange et Patrick vous avez envie de raconter vos histoires, contactez-moi par Émail.
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