Je Me Donne 12

Un petit mot aux lecteurs. Mille excuses, suite à la diffusion du même épisode. Merci à ceux qui me soutiennent et m’encourage à me dévoiler à vous. Par contre, pour les lecteurs qui trouvent cela choquant, ne lisez pas et plus mes aventures, inutile de vous faire du mal !

Tu ne comprends donc rien Maeva ?,
Ces mots résonnent encore dans ma tête quelques jours après. Ca veut dire quoi ? que voulait dire Aldina ? J’ai tenté de savoir auprès de mon chéri si elle savait ce qu’elle voulait dire.
-vois ça directement avec elle ma chérie.
-mais toi, tu sais ce qu’elle veut dire ou pas ?
-va la voir ce sera plus simple je pense.
-non, allons la voir tous les deux.
-ok, si tu veux.
Un soir je réussie à joindre Aldina. Cette dernière ne veut pas discuter de ça au téléphone et impose sa visite chez nous le samedi après-midi. Bon, pourquoi pas, après tout, c’est moi la demandeuse.
Samedi, Aldina est chez nous, toute décontracté. Pour l’occasion, Anthony est allé chercher des petits gâteaux à la boulangerie. Rapidement, j’entre dans le sujet qui m’intéresse.
-Maeva, tu ne comprends donc vraiment rien ? tu ne vois rien ? tu n’imagines rien ?
-bah non !
-ok je vais donc te présenter les choses alors. Depuis que tu as accepté d’être à moi, cela implique que tu me sois fidèle, j’ai tout pouvoir sur toi. Cet ensemble fait que ton mari ne te touche quasiment plus et que seul des hommes extérieurs peuvent te toucher. Anthony, lui, a le droit d’avoir une relation avec une femme et il l’a avec moi et franchement il est top. Vu qu’avec toi ça ne marchait pas très bien côté sexe, avec ce changement il est gagnant et moi aussi. Donc Maeva, tu appartiens à Anthony ton mari, mais aussi à Aldina, c’est-à-dire Moi. Pourtant ton mari t’aime profond………
-quoiiiii ??? vous vous moquez de moi ? Anthony, dit quelques choses
-je t’aime Maeva ma femme, mais tu préfères, non, tu t’éclates mieux avec les autres hommes qu’avec moi, ok, mais j’ai le droit aussi de m’éclater avec une femme avec qui je suis en harmonie sur le cul et comme tu as pu voir, avec Aldina c’est le top.

Mais ne t’inquiète pas, tu restes ma femme.
-mais enfin, tu sais que je n’aime pas te voir avec une autre femme et puis c’est pas possible, enfin j’ai l’impression de rêver, je dois rêver…il faut arrêter
-ah oui, ma chérie, tu t’imagines ne plus prendre de plaisir ?
Je réfléchis…….suis-je prête à faire l’impasse sur mes moments intenses de plaisir.
-non Anthony, nous reprenons comme avant, tous les deux, c’est tout.
-ah non ma chérie, hors de question, avec Aldina ce n’est que du sexe et juste cela.
-oui Maeva, il n’y a pas de sentiments, sois tranquille, mais tu ne fais rien pour exciter ton homme, regarde-moi, je me suis fait tondre et tu as vu comment il est excité
Je reste sans réaction Que faire ? Que dire ? Dois-je réagir ? Comment réagir ? Me serais-je fait doubler ? Manipuler, ou dois-je croire mon mari ?
En bonne Portugaise que je suis, je décide de faire confiance en mon mari. Il m’a fait confiance pour mes extras avec ces hommes, alors je dois en faire de même.
-bon, mon chéri, je te fais confiance, tu le mérites, mais nous devons rien nous cacher et faire tout ensemble.
-bien sûr, c’est déjà ce que nous faisons.
-oh les deux amoureux, je crois que mes amis attendent Maeva.
-quoi ?
-oui Aldina a convié trois amis pour s’occuper de toi, allons les voir
Anthony me prend la main et je le suis vers notre pièce, nous entrons.
Je découvre trois hommes. Je reconnais qu’ils sont Portugais, petits, assez enrobés, ça ne trompe pas.
-messieurs, voici ma femme, elle est à vous, nous nous regardons.
Immédiatement, les hommes s’approchent de moi et commence à me mettre nue. L’un d’eux pousse sur mes épaules et me voilà déjà en position pour honorer leurs membres. Ils ne perdent pas de temps à s’occuper de mon corps. Leurs membres sont sortis, et j’avale un à un ces membres pendants, sous ma langue, ils ne tardent pas à me montrer des membres bien droit. Les trois hommes se déshabillent et je découvre leur corps. Sans nul doute se sont bien des Portugais, leurs corps poilus, vraiment très poilus parle d’eux-mêmes. Ils ne sont pas particulièrement super membrés, je dirais qu’ils sont plus larges que longs. Je suis posée sur le matelas par l’homme qui veut me posséder. Il crache à deux reprises sur mon sexe et me pénètre, pour me prendre avec force. Je sens très nettement cette queue en moi, je crois que c’est le plus large des trois. Il échange avec ses copains en Portugais, ils rigolent, je ne sais pas ce qu’ils peuvent bien dire. L’homme échange sa place avec un autre et me voici de nouveau prise. Je suce le membre qui m’a prise, le goût est agréable. Le troisième, s’excite à me malmener les seins, même s’ils sont petits, mes tétons sont très réceptifs. Chacun me pénètre, puis vient se faire sucer et le troisième travaille mes seins. Ils ont joué ainsi un long moment. ment excitée par ce que je subis, les hommes se font un plaisir à me traiter ainsi. Je sens mon sexe dégouliner de cyprine, ment. J’ai été prise par ces hommes au moins 4 fois 10 minutes minimum.
-aaahh oui, encore, hummmmm, c’est bon…………….
-Je crois que c’est le moment dit un des hommes.
Sur ces paroles Aldina, répond.
-remplissez la bien cette petite salope, elle adore le jus, hein Anthony c’est vrai ?
-oui, tasser la bien après, qu’elle soit gavée comme il faut
Anthony me sidère. Comment parle-t-il de moi, sa femme !
Les invités se donnent à fond, bien à fond, croyez-moi. Un premier s’arrête et se vide en moi, je sens ce liquide chaud se déverser. Il baragouine je ne sais quoi et laisse la place au deuxième qui s’engouffre en moi. Lui traîne à me livrer son sperme, son pubis claque fort contre le mien à chaque entrée, il me stimule le bouton.
-oh oui, oh oui, vas-y jouis, encore oui… plus fort, plus fort……aahahhh ooui …..
Je crois que mes mots on accélérer sa jouissance. Il a crié tout en me ramonant, jouissant en moi. Le dernier, le plus épais me prend à son tour.
-aaaaaaaahhhhhhhh,
Il écarte le plus possible mes cuisses pour me prendre le plus profondément possible. C’est trop bon, je reconnais. Malgré tout le jus en moi, je sens ce membre large m’écarter et me donner des sensations très fortes.
-putain, encore, c’est trrroooopp bon, donne ton jus craaaachhhheeee
Il sort complètement et me reprend pour mieux me pénétrer. Le sperme et ma mouille coule et sort à chaque fois qu’il libère mon intimité. A un moment, il resserre mes cuisses.
-ah, ah, ah, t’arrêt pas je jouiiiiis
Je sens encore plus cette queue épaisse et je parts dans un plaisir. Il se déverse en moi quelques secondes après mon plaisir et à ce moment-là, je sens une nouvelle jouissance arrivée, alors je me masturbe et en quelques seconde je jouis une deuxième fois. Il ne vient pas se faire nettoyer le membre par ma bouche, il s’essuie longuement sur ma touffe de poils.
-Anthony, à toi, va nettoyer ta salope de femme
Oh ! mon chéri accourt entre mes cuisses et nettoie mes poils. Ensuite, sa langue et sa bouche descendent vers mon intimité et là je suis dévorée. Les trois hommes nous quittent. Aldina se place à côté de moi, lève sa jupe.
-a moi Anthony, viens ma laper je coule
Me voilà délaissée par mon mari qui s’empresse de se placer entre les cuisses d’Aldina pour mieux la dévorer. Et il va bon train, Aldina commence déjà à couiner, à prendre la tête de mon chéri pour mieux la plaquer sur son sexe.
-oh ton mec lèche super bien, huuuummmm !!!!!!t’arrête pas toi, bouffe-moi le clitos, ah ooouii comme ça
Je prends cela comme une humiliation, mon mari me laisse pour une autre femme que moi. Certes, sa toison est plus fourni que moi, certes mon mari adore et se délecte d’un sexe poilu, mais quand même. J’entends les bruits de sucions de la bouche d’Anthony sur ce sexe pour le nettoyer de sa cyprine. Je vois Aldina se pencher en arrière, son visage se crisper, elle vient de jouir.
Nous passons la soirée ensemble jusqu’à tard dans la nuit et échangeons sur divers points. A un moment Aldina décide.
-et si nous allions nous coucher, il est tard, je vais dormir ici.
-oui, tu as raison, ce soir Aldina dort avec moi, toi tu prends la chambre d’amis.
-quoi ?
-bah oui ma chérie, c’est juste pour ce soir.
Abasourdie, dépourvue de force, je vais dans la chambre d’amis, sans rien dire et je vois Aldina sourire. Dans la nuit, j’ai entendu les galipettes de mon mari avec Aldina, évidemment. J’ai préféré ne pas aller voir, je suis quand même vexée de cette situation. Au petit matin, Aldina est debout la première et elle à déjà préparé le café. Quand j’arrive à la cuisine, elle est là à préparé le petit-déjeuner.
-oh bonjour Mae
Elle me prend dans ses bras et ses lèvres se posent sur les miennes. La voilà partie dans le papotage, et blablabla………..Anthony arrive à son tour et nous partageons ce moment. Ma vexation du soir à vite fait place à une certaine complicité entre nous.
-Maeva, j’ai un pote qui aimerait bien te voir, si ça te dit il est dispo vers 12h
-Oh chouette idée ma chérie, en plus tu vas voir, je suis sûr que ça va te plaire
-ah oui, et je peux donner mon avis ou c’est déjà décidé ?
Anthony s’approche de moi et ses mains passe sous ma nuisette et déjà me titille le sexe.
-tu es ma femme et je pense que c’est une bonne chose, alors disons que j’ai décidé et je sais que tu vas approuver.
Mon salaud de mari me connait trop bien, il profite de ma faiblesse et de mon amour pour lui. Il va même jusqu’à venir me laver et décider de ce que je vais porter. Incroyable, je ne le reconnait plus.
Nous voilà tous les trois, direction le pote d’Aldina. Nous arrivons dans un endroit ou je ne serais jamais allé seule, c’est une cité que je dirais moderne, mais bon une cité quand même. Aldina sort et va à la rencontre d’un jeune homme. A son retour, nous sortons de la voiture et nous dirigeons vers une porte donnant au sous-sol.
-Maeva, je te présente Brahim, Brahim Maeva
Brahim ne s’embarrasse pas de préjugé. Immédiatement il me prend par la taille et commence à me caresser.
-Brahim, tu ne va pas faire ça ici quand même
-ouais ta raison, venez.
Nous pénétrons dans les sous-sols, marchons dans différents couloirs et arrivons devant une porte de cave. Il pousse la porte et me pousse sur un matelas jonchant le sol. Brahim manipule son téléphone portable.
-bon ok, pas avant 4h00
Mon mari et Aldina tourne les talons et me laisse dans cette cave. Je crains le pire et je comprends ce qui va se passer. Je ne cherche pas à fuir, à quoi bon ? Et puis durant le trajet, mon cher mari à fait ce qu’il fallait pour me tenir en excitation, le salaud, alors j’ai envie de me faire prendre, oui et j’assume.
Brahim attend à la porte de la cave. J’entends des bruits et je vois arriver des hommes qui discutent avec Brahim. Je distingue un échange d’argent. Les hommes entrent, je distingue un nombre important de personnes dans le couloir.
Je suis rapidement prise en main par les hommes présents dans la cave. Mes seins sont sortis de ma robe. Je suis mise à quatre pattes, ma robe est relevée sur mon dos et des mains tâte, tripote mes fesses. Un membre force le passage de ma bouche et je le suce. Le goût est amer, en plus c’est un vieux qui s’octroie cette fellation. Son membre gonfle rapidement dans ma bouche, alors il se retire et se dirige derrière moi. Il ne se pose pas de question, je sens une bave couler sur mon intimité et son membre me pénètre et me prend pour son plaisir. Un autre membre ouvre ma bouche, je suce, celui-là, c’est un plus jeunes, mignon en plus. Il prend ma bouche pour un sexe. Son regard est vicieux. Il se retire de ma bouche, la garde ouverte et me bave dedans. Je tente d’échapper, mais impossible. Il me reprend la bouche avec son membre et reprend ses vas et vient. Le vieux me possède toujours. Le membre sort de ma bouche et est masturbé pour vider sa semence sur mon visage, éjaculation importante. Je sens un liquide chaud sur mes fesses, le vieux à jouit. A peine libérés, mes orifices son comblé. Des jeunes, des moins jeunes, des gros, des petits, des maigres. Il y à même des très jeunes. Ils sont reconnaissables, ils éjaculent rapidement, voir très rapidement pour certains. Mais ceux-là en n’ont pas assez, ils reviennent pour un deuxième tour. Je suis utilisé par un nombre incalculable de membre masculin. Le sperme coule sur mon visage, mes cheveux et mes fesses Brahim, vient de temps en temps m’essuyer mon visage, mais ça ne dure pas longtemps A un moment, il impose une pose pour moi. Il me sert un verre d’eau, me donne un gâteau de chez eux. Cette pose ne dure pas.
-désolé la karba, il y a encore du monde avant de te laisser partir, alors on reprend.
Et me voilà repartie avec un membre en bouche, qui rapidement dérive dans mon intimité. Je suis utilisée comme une vulgaire pute. C’est mon mari qui m’a mise dans cette situation. Moi je n’ai rien fait contre, mais c’est que j’apprends à apprécier cette situation. Au fur et à mesure, mon plaisir est monté et j’en ai jouie, OUI, j’ai joui de me faire traiter de la sorte. Et ils continuent à profiter de moi.
J’entends une voie de femme crier et se rapprocher de nous. Les hommes ne s’arrêtent pas pour autant. Elle se présente à la porte en criant des mots en arabes. Elle doit être dans mes âges, mignonne en plus, avec un foulard sur la tête. Brahim prend les choses en main. Il lui donne une gifle pour la calmer et lui parle. Je ne comprends rien, il parle dans leur langue. Rapidement, elle se retrouve à côté de moi, Brahim lui relève sa longue robe, retire sa culotte et lui donne quelques tapes sur le fessier. Elle tente de se débattre, Brahim est imposant donc plus fort qu’elle. Je vois des mains écarter ses fesses et elles sont rapproché de mon visage.
-aller la karba bouffe moi ça
Une main pousse ma tête dans les fesses. L’odeur ne sent pas le parfum, mais la pression de Brahim est tellement forte que je n’ai d’autre choix que de lécher cet endroit. Le goût est désagréable, ment.
-rentre ta langue et bave à fond, aller….
La femme déverse un torrent de mots arabe, mais rien n’y fait et moi, pendant qu’un homme me prend l’intimité, je suis obligée de manger les fesses de cette femme. Brahim n’arrête pas de me dire de baver encore et encore. Je commence à être fatigué, fatigué de ma langue, fatigué d’être utilisé comme ça, fatigué d’être à genoux et ce malgré la pause. Brahim arrête tout, je suis mise sur le dos, la femme arabe au-dessus de moi. J’ai la tête au niveau de son intimité, là pas un poil, rien, complètement lisse. Un homme présente son membre, et tente de la pénétrer. En réalité il la prend par les fesses et il se fait plaisir. Elle refuse au début, mais une fois l’ouverture ouverte qui a été dilaté par ma langue et lubrifié par ma bave, elle semble aimer la sodomie. Les hommes se succède dans les fesses de cette femme. Tous éjaculent sur les fesses de cette femme, qui de ce fait coule et termine sur moi. Par moment, sous les ordres de Brahim, elle me lèche le clitoris, alors que des membres de prennent. Je suis écartée, les cuisses grandes ouvertes et prise et reprise. J’arrive à un point ou je n’en peu plus. Tout ce vide, il y a de moins en moins d’hommes, le silence se fait entendre. Un vielle homme arabe arrive dans la cave. Moi je viens juste de recevoir en moi le dernier homme qui me prend. La fille, elle, est allongée, les fesses découverte et plein de sperme. L’homme en hurlant arrive, la fille bondit. Il la prend par les cheveux, à travers le foulard. Elle se lève et est tiré dans le couloir. Juste à l’entrée, il y a un robinet et un tuyau. La fille est complètement dévêtue et le vielle homme la lave à l’eau froide. Elle crie, se débat, alors que Brahim rigole. Ensuite ils partent et un long silence règne. Le dernier membre vient de se déverser sur mes poils pubiens, je suis pleine de sperme, je pus, je m’horrifie moi-même. Que suis-je devenu ? Une pute, la pute de mon mari ?
Aldina et Anthony arrivent.
-alors Brahim comment ça été ?
-mieux que mieux….
Je suis prise en charge par Anthony, qui me recouvre d’une couverture. En sortant, je vois qu’il fait nuit et nous prenons la direction de la maison. C’est Aldina qui prend soin de moi, elle me lave, me masse et me couche comme un bébé. Après ces évènements, j’ai dormi le dimanche et une partie du lundi, jour ou je ne suis pas allée travailler.