Sylvain Découvre Paris
Chemin faisant, lhomme entretien la conversion avec Sylvain. « Je me prénomme Alphonse, et toi ». Ce faisant, chaque fois que les circonstances le lui permettent, Alphonse guide son jeune compagnon de la main. Une fois, il lui saisit délicatement lavant bras pour linviter à travers, une autre fois, il le guide du plat de la main sur les reins
« Sylvain », lui répond ce dernier, la voix rauque démotion.
« Jai bien apprécié de te donner du plaisir dans le métro » reprend Alphonse. « Si tu en es daccord, je peux de faire découvrir beaucoup daitres manière de jouir
car cest bien de jouissance dont il a été question tout à lheure
». Tout se bouscule dans lesprit de Sylvain. Tout à la fois il se découvre un attrait pour cette situation, dans le même temps, il ressent la honte du « quend ira-ton », de la réaction de sa mère si elle savait,
. A la dérobade, Sylvain détaille Alphonse. LAge ne semble pas le marquer, il est vieux quelque chose en lui rend cela acceptable, agréable. Et lui inspire confiance. Visiblement Alphonse est quelquun déduqué et certainement de cultivé.
Assez vite, ils arrivent devant un immeuble cossu, assez ancien, genre bourgeois ». Alphonse saisi le code daccès et ils se retrouvent dans un hall garni de tapis moelleux au sol. Rapidement, ils se dirigent vers lascenseur. Après avoir actionné pour le troisième étage, lappareil se met doucement en branle. Alphonse en profite pour se pencher furtivement vers Sylvain et déposer ses larges lèvres épaisses sur celles gonflées de sang de Sylvain. Immédiatement ce dernier est saisi dune trique que seul le manteau prêté par Alphonse permet de masquer !
En sortant de lascenseur, Alphonse pose sa main droite sur les fesses de Sylvain et le pousse gentiment vers la porte dun des appartements « cest là ». Rapidement, la serrure est déverrouillée et tous d eux se retrouvent dans un vestibule à limage de limmeuble : cossu, propre, douillet, garni de tapisserie épaisses sur le sol, richement décorée de meubles du 18ème siècle, de statuettes et objets de qualité.
« Mettons nous à laise » dit immédiatement Alphonse après avoir refermé la porte dentrée à clé. Et joignant le geste à la parole, il enlève un à un ses vêtements sans même aller plus loin que le vestibule. Très vite nu, il présente à Sylvain un corps en parfait état pour quelquun de son âge : pas un poil de graisse, une musculature discrète mais bien présente, une peau saine, des abdominos discrets et
une verge en demi-érection. Inconsciemment Sylvain se sent rassuré par cette dernière vision. Il se rend compte quil craignait quelquun avec un sexe énorme. Lui qui navait quasiment jamais pensé au sexe avec un garçon découvre presque horrifié quil ne fuit pas lidée daller plus loin avec un homme dâge mur.
« Je vais taider » adresse Alphonse à Sylvain toute ne déboutonnant la chemise de celui-ci. Alphonse accompagne le déshabillage de caresses du bout des doigts sur le torse de Sylvain... Ses doigts glissent sur la peau fraiche, le bout de longle irrite le téton, le plat de la main glisse sur les omoplates pour descendre vers les reins
la bite de Sylvain distend le tissu du pantalon. Alphonse se met à genou devant Sylvain et descend la glissière de la braguette. Alphonse glisse son nez dans lentrebâillement de la braguette. Sylvain sent la langue dAlphonse glisser sur la toile de son slip et sonnez humer les effluves que le foutre quil a épandu quelques minutes plus tôt dans le métro laisse remonter jusquà ses propres narines. Les doigts dAlphonse libèrent enfin le pantalon de Sylvain qui tombe à ses pieds. La trique de ce dernier distend complétement le slip. Avec les dents, Aphonse fait descendre lobstacle entre la verge et sa bouche. Goulument, avec une forme dempressement quil na jusqualors pas exprimé, Alphonse ramène le bassin de Sylvain vers sa langue affamée en pressant ses deux mains sur les fesses rebondies de Sylvain. Celui-ci baisse alors les yeux vers la tête dAlphonse qui présente une chevelure grisonnante abondante.
Alphonse bande maintenant pleinement. Sylvain sen rend compte à loccasion dun mouvement. Alphonse à une bite fine toute en longueur. Cest la première fois que Sylvain voit la bite dun mec en érection. Il avait ben déjà vu la bite de son cousin plus jeune lorsque celui-ci avait une douzaine dannée mais il ny avait pas vraiment prêté attention car pas intéressé à lépoque par le sujet. A linstant présent, Sylvain se contorsionnait pour tenter de voir pleinement la queue dAlphonse, intrigué et intéressé à la fois.
Pour le moment, Alphonse aspire à fond la bite de Sylvain. Régulièrement, ses lèvres viennent buter sur le pubis. Sylvain sent le plaisir monter. Maintenant, une main dAlphonse caresse ses fesses et lautre lui malaxe les couilles. Sylvain sent le plaisir monter. Alphonse sen rend compte. Les doigts de ce dernier enserrent maintenant les burnes de Sylvain et les serrent avec force tandis que son autre main, plaquées sur les fesses maintient le bassin contre sa bouche. Dans un râle incontrôlé, Sylvain se répand dans la bouche dAlphonse qui garde encore longuement la verge dans la bouche avant davaler le foutre qui déborde jusquà la commissure des lèvres.
Sylvain, sous le coup du plaisir, titube sur place. Alphonse prend appui sur le bras de Sylvain pour se relever pour immédiatement lui rouler une pelle à pleine bouche. « Tu me dois deux plaisir mon ange » glisse Alphonse à loreille de Sylvain. Ce dernier, sonné par le plaisir qui vient de lassaillir, se laisse aller dans les bras dAlphonse qui le guide vers une chambre où ils trouvent refuge dans un large lit, entre des draps douillets où ils sendorment blottis lun contre lautre.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!