Collection Zone Rouge. Première De Classe (1/1)
Tiens, prends, tu verras ce sont des vitamines, ça va te donner un coup de fouet et taidera dans tes études.
Tu me fais peur, ce sont bien des vitamines, je refuse lalcool et toute forme de drogues.
Oui, je te promets Gladys juste un fortifiant après tu verras tes idées te paraîtront plus claires.
Je veux bien essayer, il est vrai quà quelques heures de mes partielles, pour la première fois de ma vie, je me sens un peu patraque.
Je sens que je me suis vidée à tout mettre dans ma tête.
Comme vous lentendez, je mappelle Gladys, jai 20 ans, je fais des études en vue de rentrer à lE.N.A. pour devenir au moins haut fonctionnaire comme papa.
Bachelière à 16 ans, tout a été facile pour moi.
Il faut dire que depuis mon plus jeune âge, je suis une bête à concours.
Papa haut fonctionnaire et maman championne de plongeon de haut vol.
Dix mètres de haut, après une grossesse, moi entre parenthèses, elle est remontée au plongeoir le plus élevé pour devenir championne dEurope ainsi que deuxième aux J.O et championnat du monde.
Une petite Japonaise lui a toujours piqué la première place dans ces deux dernières épreuves planétaires.
Quand jétais petite, toujours première, toujours la couronne de laurier et les livres qui allaient avec à la distribution des prix.
Ça cétait pour papa, il était fier au premier rang des parents, sa place étant réservée, tous savaient qui nous étions.
Pour maman, elle a espéré que ce serait en haut du plongeoir à la piscine où elle continue à aller pour se tenir en forme que je lui donnerais satisfaction.
Hélas, ma peur du vide et la fermeture du plongeoir de haut vol suite à un accident ma empêché de lui apporter la joie dêtre sa digne relève.
Le plongeoir, mais pas la piscine, ainsi tous les soirs, je mentraîne espérant gagner les championnats dÎle-de-France avec de fortes chances de faire ceux de France sur 100 mètres nage libre.
Bref tout allait bien, mon bac avec mention très bien, jintègre sciences Po en avance sur lâge de nombreux élèves avant je lespère préparer lE.N.A.
Tout roule sauf depuis quelques jours où je prends un coup de froid et que je me retrouve dans mon lit avec plus de 40 de fièvre.
Marraine, tante Marthe la sur de maman, habitant non loin de ma petite chambre de bonne que jai souhaité avoir à égale distance de la piscine et de mon lieu détude viens me soigner.
Allant un peu mieux, je décide de retourner en cours, prendre du retard serait catastrophique.
Je mets en sourdine, la natation me voyant mal presque à poil dans ce bassin.
Cest à ce moment entre deux cours quAdrien celui que je prenais pour mon ami me fait la proposition de prendre des vitamines.
Je finis par accepter et rentrant chez moi, jusquà trois heures du matin, je dévore les cours en retard que je suis allée récupérer.
Incroyable, ma vision des choses est au sommet de ce que je suis capable de faire, mais dès que je me réveille, jai limpression davoir la gueule de bois.
Je voudrais voir Adrien, mais pendant trois jours, il brille par son absence.
Enfin, il est là, depuis quelques jours je tire ma peine.
Adrien, aurais-tu encore des cachets comme celui que tu mas donné, la vision des choses et mes facultés à apprendre ont été décuplées !
Bien sur Gladys, en voilà deux, tes partielles cest dans la poche.
Un, puis lautre entrecoupé de moments dangoisses, il me faut dautres cachets.
Tu vois, je tavais dit quils étaient formidables, je te les ai fait découvrir, mais je les paie, cest 100 chacun.
Tient, je taime bien, en voilà un, mais la prochaine fois tu mamènes de largent.
Je te donne mon numéro de portable, si tu en veux, je te livre, donne-moi ton adresse.
Je travaille cinq jours, la veille des partielles, dans ma tête, je sais que je vais échouer.
Je regarde largent quil me reste jusquà la fin du mois où je toucherai le chèque de papa pour vivre le mois.
Allô Adrien !
Jai compris, jarrive.
Il est là quelques minutes après.
Tient en voilà cinq, inutile que je revienne toutes les cinq minutes, tu me dois 400 , je te fais un prix de gros et je te fais confiance.
Et dire que je lui ai dit merci, quil était magnanime et quil pouvait avoir confiance en moi.
Les partielles, les doigts dans le nez, jai des moments de découragement, mais dès que le cachet a fait effet, je pète la santé.
Direction le dernier trimestre.
Tu me dois presque 1 000 , comment penses-tu me rembourser, mes fournisseurs simpatientent ?
Je vais trouver Adrien, je tai donné 200 lorsque jai eu mon argent par papa.
Jai bien une solution, je dois mabsenter, mais si tu as un besoin, appelle ce numéro lhomme que tu auras au téléphone te dira ce que tu dois faire.
Une nouvelle fois, jaurais dû me méfier, mais seul mon but à atteindre me fait avancer.
Gladys, Adrien ma prévenu, je tattends voilà ladresse.
Cest en toute insouciance que je frappe au troisième étage de ce quartier louche de Paris.
Tu veux des cachets, jai une poudre quil faut aspirer par le nez, tu verras cest deux fois plus efficace que tes cachets.
Je peux en avoir, mais je suis désargentée.
On peut sarranger, je suis un homme seul, tu as une jolie petite bouche, suce-moi et je ten fournirais une petite dose.
Je suis parti, jai compris que jétais tombé dans un piège qui mavait rendu accro à leur merde.
Je réussis à faire avaler quétude et sport de haut niveau, cest impossible et je quitte la piscine me concentrant sur mon travail détudes.
Deux jours, il me faut un cachet ou une dose de cette poudre.
Allô !
Cest fait, jai sucé ma première verge, par chance Léon en est resté là, je suis vierge.
Snif, snif, deux rails de poudre et je pète le feu.
Léon a un sperme un peu fade mais une poudre magique, je vole au-dessus des immeubles parisiens.
Allô !
Léon ma envoyé voir un ami qui avait deux doses de cette poudre dont je deviens de plus en plus accro.
Cest sur son canapé quil a soulevé ma jupe, m'a arraché ma culotte placée à quatre pattes et ôté mon pucelage.
Heureusement, depuis lâge de 16 ans, maman ma amené chez son gynécologue qui ma prescrit la pilule.
Je suis une femme maintenant, mais loin de prendre du plaisir chaque fois que Léon me saute avant de me donner mon sachet de poudre.
Je vois aussi divers, soi-disant, amis qui me baise avant de me fournir mes doses.
Gladys, je suis en panne de poudre et de cachet, mais jai quelque chose de mieux.
Amène ton bras, je vais te faire voir, comment tinjecter le produit que tu feras chauffer comme ça.
On pourrait croire que je suis simplette, je sais bien que de la cocaïne, je vais passer à lhéroïne, mais jen ai besoin pour continuer à vivre.
Ceux qui ont fait mon parcours, savent par quelle étape on passe pour satisfaire le mal qui nous ronge.
Je me pique, je me sens mieux, pour ma dose, je me fais sauter, je pleure la bite de Léon contre un shoot.
Il menvoie de plus en plus me prosti, moi la fille de bonne famille à qui jarrive à cacher que je suis devenue une pute toxico.
Aujourdhui, je viens de passer un nouveau cap, cest une gouine sadique qui ma aidé à faire ma piqure.
Elle ma frappée avec des badines flexibles, jusquà ma chatte les jambes écartées, attachée par des lanières en cuir aux barreaux du lit où elle ma allongée.
Mon corps surtout mes seins, mon dos et mon derrière sont en feu.
Pour clore la séance avant que, jai le droit de me soulager avec ma piqure, elle mencule pour la première fois avec un gode placé autour de sa taille.
Jarrive à monter chez moi, je veux dormir, dormir et encore dormir.
Je sais demain matin examen de fin dannée, il y a peu de chance quil me voit.
Gladys, te voilà, mais dans quel état ?
Qui a dit ces mots, dans létat où je suis, je suis incapable de mapercevoir de quoi que ce soit.
Il y a quelquun.
Il y a quelquun, marraine, tu es là, je reconnais le papier et ta chambre damis.
Je suis attachée au lit, jai mal partout, je suis dans mes vomissures.
Tu émerges enfin, je tai trouvé devant la porte de ton studio.
Détache-moi, je vais mieux.
Tu rigoles, tu as vu ton corps, je suis sûre que tu te laisses martyriser pour avoir ta dose.
Crois-tu que lorsque je tai dénudée pour te laver et te mettre sur ton lit, tu as pu me cacher les piqures à tes bras .
Tu te cames ma pauvre Gladys, je vais te désintoxiquer.
Salope, détache-moi, tas beau être ma marraine, je vais te massacrer.
Je me tortille dans mes liens, je crie et jéructe tellement mon ventre me fait mal.
La bave vient aux commissures de mes lèvres.
Depuis combien de temps, ma-t-elle emmenée dans cette chambre avec des hauts et des bas.
Je vais éviter de dire par où ma marraine me fait passer.
Gladys, peux-tu toccuper de madame, pendant que je finis avec ma cliente ?
Oui, marraine, je te remercie de têtre occupée de moi.
Tu es encore fragile, pour te surveiller, je te garde tout le temps avec moi, de toute façon javais besoin dune assistante.
Marraine, ma sauvé la vie, cest elle qui me conduit à lhôtel pour épouser Sacha.
Je lai connu aux toxicos repentis.
Je suis cline depuis deux ans, Sacha mon référent depuis cinq.
Il sait tout de moi, tout de mon parcours jusquà la putain que jai été.
Lui cest loin dêtre mieux, il était à deux doigts de pour sa drogue.
Il refuse de me faire lamour, il tient à ce que je sois à lui pendant notre nuit de noces.
Jai un rêve, non pas détudes, jai fait une croix dessus comme jai fait une croix sur ma famille sauf tantine bien sûr.
Ils ont su que javais des problèmes, mais ils mont rejetée.
Mon rêve, c'est davoir des s à qui jéviterai de devenir des bêtes de foires et de concours
Voulez-vous Sacha pour époux ?
Oui, je le veux.
Voyez, dans la vie avec un peu de chance on peut avoir une vie heureuse avec lhomme que lon aime !
Il vous fait découvrir cette magique nuit de noces après quil vous ait porté dans ses bras pour franchir le seuil de votre chambre de jeune fille.
Excusez si je lui demande de fermer la porte pour être seul avec lui, vous en avez assez vu quand ma vie a dérapé.
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