Summer Of Love 7
Bérénice pose une main sur lune de ses fesses, et de sa main, elle se caresse cette fesse.
Moi, je suis aux premières loges, et je la regarde, Bérénice. Je la regarde attentivement. Intensément.
Mes yeux sont braqués sur Bérénice et ne se détachent pas delle.
Mes yeux sont braqués sur ses fesses et ne se détachent pas delles.
Tu le vois, mon petit cul, mon chat ?
Quand elle a dit ça, Bérénice avait encore sa main posée sur sa fesse, et elle se caressait. Elle ne me regardait pas, en revanche. Puis, ayant conscience que javais les yeux rivés sur son derrière, Bérénice a tourné la tête vers moi et sest mise à me regarder.
Il te plaît, mon petit cul ?
Hmmm
Bien sûr que son petit cul me plaît !
Il ma toujours plu. Oh
oui.
Ses charmes, sans aucune exception, mont toujours plu.
Je ne peux pas, je ne sais pas, je narrive pas à résister à la tentation.
Bérénice est la tentation incarnée.
Elle est entièrement nue. Quand nous nous sommes endormis, elle a dit, le plus sérieusement du monde, quelle avait lintention de dormir toute nue. Elle a tenu parole, si lon peut dire.
Et là, elle est à quatre pattes, et elle expose son joli fessier à la face du monde. Ou plutôt
cest à moi quelle lexpose, sans aucun complexe.
Ses deux jolies fesses roses
Hmmmm
Mon amour
Mon amour !
Elle mexpose son beau «petit» cul
et ça me plaît.
Elle sait que je la regarde, cette petite coquine de Bérénice, et elle en joue.
Elle est à quatre pattes.
Elle sait que je la regarde, et, par conséquent, elle mexpose ses deux jolies fesses roses.
Elle se dandine.
Elle
mexcite.
Oh
oui.
Elle a écarté légèrement, subtilement ses jambes. Elle ma laissé plutôt une jolie vue de son intimité excitée, mouillée, écartée.
Tu les aimes, mes fesses, hein ?
Oh
oui, je les aime, tes fesses, Bérénice. Jaime tout de toi.
Tu voudrais
les toucher ?
Oh
oui !
Tu voudrais
les caresser ?
Oh
oui !
Tu voudrais
les embrasser ?
Oh
oui !
Tu voudrais le lécher, mon petit cul, chéri ?
Oh
oui ! Oui ! Oui ! OUI !
Hmmmm
Je suis toute à toi. Viens...
Elle est si belle, toute nue, à quatre pattes.
Elle est à quatre pattes, et j'ai une vue privilégiée sur son petit cul.
Elle sait, que, à linstant où nous nous parlons, là, je nai dyeux que pour son petit cul.
Elle expose son petit cul, juste là, sous mes yeux.
Et
jen ai envie
Oh
oui
Hmmmm
Chéri
Oui
Hmmmm
Toi
Tu le vois bien, mon petit cul
Hmmmmm
Il est tout à toi...
Tout à moi ? Hmmmm
Bérénice sait
que je la regarde, et ça lui plaît. Je lentends émettre un bruit coquin, un peu comme un petit rire. Je ne peux pas lui résister. Elle est la tentation incarnée.
Tu peux venir, tu sais ?
Ça, Bérénice la dit en le ponctuant dun petit rire coquin qui lui est propre.
Je ne vais pas te manger, mon chéri. Et, à vrai dire
je veux que ce soit toi qui me manges.
Elle la dit en le ponctuant dun léger gloussement. Tout ce que jaime chez ma petite coquine, quoi !
Elle sait et elle voit bien que je suis excité, rien quà lidée de poser mes lèvres
et ma langue
sur son anus
dans son anus. Elle voit bien que je ne regarde plus que son petit cul. Et, pour être honnête, jaime ça
Oui
Dès lors, je me suis rapproché de Bérénice.
Je me suis, plus précisément, rapproché de ses fesses
et de son petit trou.
Et, alors que je le fais, je vois parfaitement Bérénice qui se dandine.
Je vois son joli petit cul qui se dandine.
Bérénice mexcite tellement.
Je suis tout dur.
Bérénice, la tête tournée vers moi, peut le voir. Instantanément, ses lèvres forment un sourire. Un sourire
coquin : elle nen pense pas moins. Elle sait ainsi leffet quelle me fait. Elle sait quelle mexcite énormément. Et, je suppose que ça lexcite aussi que je bande dans la seconde, intensément, pour elle.
Je me rapproche delle. Encore
Encore
Encore
À présent, je suis tout près delle. Je suis à ses côtés.
Son dos est cambré.
Elle est à quatre pattes, et elle est excitante.
Elle me tente, et elle mexcite.
Bérénice est la tentation incarnée, et moi, je veux
céder, pour de bon, à la tentation.
Alors
Je me penche sur elle. Je suis au-dessus delle, et je me place, torse contre dos.
Sa peau douce
Jen
suis
fou.
Elle, elle a la tête encore tournée vers moi.
Alors, nous nous embrassons.
Puis, Bérénice détourne le regard et regarde droit devant elle.
Moi, je dégage les quelques mèches qui me barrent laccès à sa nuque, puis je gratifie celle-ci de petits baisers. Tantôt mouillés, tantôt simples, je sais quelle en raffole.
Elle halète. Sa respiration se fait plus rapide.
Ce nest pas assez pour elle. Bérénice en veut
plus.
Dun instant à lautre, elle sattend à ce que je me décide à moccuper delle.
Mon torse est collé à son dos.
Ma bouche, elle, soccupe de sa nuque. Jembrasse. Je lèche. Je suçote. Je mordille.
Jentends Bérénice soupirer. Elle aime. Tout ça lui fait du bien. Elle en oublie sa journée probablement moche dhier.
Sous moi, je la sens bouger, onduler, légèrement.
Elle sent le poids de mon corps sur le sien, et
elle semble
aimer ça.
Bérénice est décidément une petite coquine
Moi, je fais coulisser mes lèvres
et ma langue
plus bas
Jembrasse.
Tout en douceur. Tout en légèreté.
Elle, elle est confortablement installée. Poitrine et ventre contre les draps et le matelas de notre lit. Elle est si belle, ainsi.
Elle est détendue, et elle se laisse faire. Elle ME laisse faire.
Mon torse épouse son dos.
Cest une belle image. Cest parfait.
Nous vibrons lun pour lautre, à lunisson.
Et puis
je me détache légèrement delle. Ce nest plus mon torse et mes poils fins quelle sent contre elle.
Cest ma bouche. Ce sont mes lèvres. Cest ma langue.
Et
je fais tout, de sorte que Bérénice me sente.
Des petits baisers
Des baisers mouillés
Des baisers plus appuyés
Jembrasse. Je lèche. Je suçote. Je mordille.
De haut en bas. De bas en haut.
De gauche à droite. De droite à gauche.
Le long de la colonne vertébrale de Bérénice
Elle est très sensible à cet endroit. Ça lexcite. Ça la fait
mouiller.
Cest comme quand je moccupe de ses oreilles, de son cou ou encore de ses seins.
Encore
Encore...
Bérénice gémit.
Je réitère ce que jai fait juste avant
Bérénice a gémi. Elle a donc apprécié laudace de mon initiative.
De ma langue, je parcours le milieu du dos de ma chérie, sa colonne vertébrale.
Elle aime ça.
Elle gémit. Elle halète.
Elle savoure le plaisir des caresses que je lui procure tout en ondulant du bassin et en faisant dandiner ses deux jolies fesses.
Bérénice agite son petit cul, comme ça, en toute impunité si lon peut dire, juste sous mon nez. Elle le fait dexprès, jen suis sûr. À vrai dire
Jaime ça. Ça me plaît bien quelle le fasse.
Moi, je me tiens toujours au-dessus delle. Je la surplombe.
Ma langue
va et vient
va et vient
le long de sa colonne vertébrale. Elle danse.
Jembrasse. Je lèche. Je suçote. Je suce. Je mordille. Je mords, tout doucement.
Jentends la respiration de Bérénice. Elle est rapide. Bruyante.
Tout ce que je fais, toutes les initiatives que je prends ne la laissent pas indifférente. Loin de là. Bien au contraire, jai
comme limpression quelle en veut plus. Bien plus. Toujours plus.
Insatiable, Bérénice plonge ses yeux dans les miens. Intensément. Profondément.
Viens, mon chéri
Viens
Viens ! Sil te plaît !
Cest comme si elle nen pouvait plus que je la avec mes caresses et mes baisers.
Viens ! Je te veux, mon chéri
Sil te plaît
Je la regarde, encore une fois. Je veux lire dans ses yeux ses désirs, ce dont elle a envie.
Viens
Viens
Lèche-moi, mon amour ! Lèche-moi ! Je veux sentir ta tête contre mes fesses...
Cette fois, cest tout à fait clair : elle a de nouveau envie que je la lèche. Elle a de nouveau envie de sentir ma langue et mes lèvres contre sa belle petite chatte appétissante. Hmmmm
Et moi
jen ai encore envie. Je nen suis jamais rassasié. Moi aussi, je suis
insatiable.
Alors, je délaisse son dos, et jeffectue quelques mouvements afin de me positionner comme elle en a envie pour que je la lèche par-derrière.
Jécarte ses deux globes, et je contemple avec émotion, mais aussi avec fierté, admiration, sa vulve trempée, rose. Elle me fait envie. Elle me DONNE envie.
Du plat de la main, je caresse ses deux fesses, lune après lautre.
Puis, je dépose un tout petit baiser sur chacune delle. Jembrasse sa peau rose, douce, lisse tandis que je continue de passer les mains sur sa croupe.
Bérénice, à quatre pattes, est irrésistible. Elle me DONNE envie.
Mes mains, qui étaient posées sur son fessier et qui le caressaient, écartent de nouveau ses deux jolies fesses.
En faisant ça, jai, de là où je me trouve, une vue idéale sur son intimité. Non seulement sur sa vulve, mais aussi sur son mont de Vénus. Mon dieu que jaime ses poils
Puis, tout en maintenant ses cuisses écartées, je me mets et me remets à embrasser le sexe ruisselant de Bérénice.
Je le lape.
Je le goûte.
Je mabreuve de sa liqueur damour.
Elle, elle gémit. Gémit. Gémit. Elle nen finit pas de gémir.
Puis, je sens son derrière entrer en contact avec mon visage.
Jai la tête collée à son postérieur, et je lui donne ce plaisir dont elle raffole, comme bon me semble, inexorablement.
Et là, cest plus précisément à ses fesses et en particulier à son anus que je mintéresse. Je veux men occuper.
De là où je suis, je vois bien que Bérénice mouille beaucoup.
De plus, jai
comme limpression que cette nouvelle situation, au sens où elle est à quatre pattes et où elle mexpose impudiquement son derrière, lexcite beaucoup. Peut-être ne sattendait-elle pas à ça de moi
Moi, en dépit du fait quelle a tendance de remuer les fesses, là, sous mes yeux, et, sous mon nez, je prends toujours mes fesses à pleines mains et je les caresse langoureusement. Avec amour. Avec tendresse. Je veux que Bérénice se sente le mieux possible.
Je caresse ses fesses, mais
Je les écarte aussi.
Je veux voir son anus. Distinctement.
Cest à lui que je mapprête à porter mon attention. Cest imminent.
Cest comme sil était en train de mattendre. Patiemment. Ou
impatiemment. À Bérénice de le dire
Moi, je veux ce que Bérénice veut.
Et là, alors quelle est à quatre pattes et que je vois plus que bien quelle est mouillée, je sais que Bérénice nattend plus que je ne porte mes lèvres
et ma langue sur son petit trou.
Bérénice, elle, sattend dun moment à lautre que ma langue fasse le rencontre de son cul.
Elle nattend que ça.
Elle retient son souffle, mais elle nen peut plus dattendre : cest ma bouche quelle veut. Maintenant.
Je lentends respirer. Je la vois aussi tourner la tête dans ma direction. Bérénice, ma jolie Bérénice, a les yeux brillants. Remplis damour et de confiance. Ils sont mi-clos.
Moi, tout en maintenant mes yeux dans les siens, japproche ma tête de lune de ses fesses. Jy vais la bouche la première. Jembrasse cette fesse. Je laisse la trace de mes lèvres sur sa peau. Puis, et je me doute quelle pense que je vais en rester là. Mais non. Je me fais coquin, et je montre ma langue. Ma langue, elle, donne un petit coup mouillé sur la fesse.
Bérénice gémit.
Je continue alors, étant donné que ça lui fait de leffet et quelle aime, de lui donner des baisers et des léchouilles. Pendant ce temps-là, ma main droite, elle, caresse lautre fesse de la jeune femme.
Bérénice se laisse faire. Elle ME laisse faire. Jai son entière confiance. Elle aussi est coquine, et, comme moi, elle adore que lon explore de nouveaux territoires sensuels et sexuels.
Elle est si ouverte. Je ne savais pas que ce genre de femme existait. Je me trompais. Bérénice existe bel et bien, et elle est ma petite amie. Elle est ma meilleure amie, ma confidente, mon amoureuse, ma maîtresse. Cest à elle que je veux donner le meilleur de moi. Cest à elle que je veux tout donner. Cest à elle que je veux me donner.
Comme elle, elle est en train de se donner à moi.
Tout en embrassant et en léchant les fesses de la jeune femme aux cheveux châtains, longs, jobserve et jadmire son corps. Bérénice nest pas la plus belle femme du monde, ça, cest certain. Néanmoins, à mes yeux, elle lest. Et quand son corps se reflète dans mes yeux, elle aussi, elle en a conscience. Qui plus est, elle aime beaucoup mettre son corps en valeur avec la lingerie sexy, fine. Là, quand elle le fait, elle sait quelle va faire mouche et que je vais succomber.
Mais, quand elle est dans le plus simple appareil, là, ce nest plus la même chose. Là, je tombe pour elle. Elle a un corps magnifique. Harmonieux.
Et, alors quelle est à quatre pattes, jai une certaine vue sur sa poitrine, son 90C. Ses seins ballottent quand elle remue ses fesses alors que je suis en train de moccuper delle. Ses seins forment deux monts. Ce sont deux monts damour dont les bourgeons pointent parce quils pleurent de plaisir.
Bérénice est tout simplement irrésistible. Délicieuse.
Sur cette pensée, je marrête dembrasser, de lécher et de caresser ses fesses, et à laide de mes deux mains, jécarte ses globes.
Son anus est révélé à la face du monde.
Jai une parfaite vue sur lui.
Je lance un regard en direction de Bérénice. Mes yeux rencontrent les siens. Je distingue un hochement de tête. Elle me donne son feu vert.
Je ferme les yeux. Puis, je les ouvre de nouveau, et je pousse un tout petit soupir.
Si cest ce dont tu as envie, ma jolie Bérénice
Tes désirs sont des ordres
Sur ces paroles, japproche mon visage de son cul, et je sors ma langue. Elle est désormais en première ligne. Elle sintroduit autour de lanus de Bérénice, et elle butine.
Bérénice crie...
Jeffleure son anus du bout de la langue, et pourtant
Ça fait déjà de leffet à Bérénice.
Jaime
cette sensation.
Et vu que Bérénice fait du bruit à chaque fois que je passe ma langue sur son illet, jen conclus quelle aussi, elle aime cette sensation.
Cest une situation étrange mais agréable.
Je moccupe de son petit cul
et jaime ça.
Du bout de la langue, je titille son orifice anal.
Jéprouve beaucoup de jouissance à le faire, enfin.
Dans le même temps, je continue dentendre Bérénice respirer. Faire du bruit. Sa respiration est rapide. Elle halète. Cest comme si elle avait besoin de retrouver son second souffle.
Elle halète.
Elle soupire.
Elle gémit.
Je veille à ce que ce soit agréable pour elle. Que ça reste confortable sur la durée. Cest pourquoi je délaisse brièvement son petit trou. Je reviens la lécher un tout petit peu sa cramouille afin dy puiser un peu de sa cyprine et den imprégner ma langue. Le peu de temps où je la lèche, Bérénice gémit. Elle raffole de mes cunnis. Ça lui donne beaucoup de plaisir. Quant à moi, cest un honneur de pouvoir toucher, caresser, lécher, sucer sa vulve. Et ça me plaît énormément.
Je reviens à lobjet de mon attention, désormais. Lobjet de mes intentions. Parce que son cul retient toute mon attention, maintenant. Cest comme ça.
Cest une sensation agréable et plaisante que dutiliser ma langue pour quelle donne du plaisir à Bérénice, surtout en cet endroit si intime. Utiliser tout mon corps dans tous les moindres petits recoins de lanatomie de Bérénice
Quel
beau rêve
Cest un beau fantasme, et là, cest un fantasme de plus que nous sommes en train de réaliser, ensemble.
De là où je suis, jai une très belle vue. Je vois notamment la belle petite chatte de Bérénice, tout appétissante
et reluisante de sa mouille. Sa mouille, justement, elle lubrifie à présent son anus. Et, petit à petit, je me plais à le lécher, son anus.
Cest la première fois que nous vivons cela. Nous y allons donc doucement
très doucement. Je me contente, pour le moment, de faire virevolter ma langue autour de son orifice. On dit en général que lanus est un organe sensible. Je puis confirmer ! Bérénice remue ses fesses et baise mon visage avec.
Elle continue de gémir, avec régularité.
Je marrête de nouveau. Soudainement.
Bérénice tourne la tête vers moi. Elle me regarde, comme si elle me demandait pourquoi je me suis arrêté. Elle ne comprend pas.
Tu aimes ça, Bérénice ?
Oui...
Elle le dit tout en soupirant. Elle semble reprendre son souffle.
Ça te plaît que je lèche ton petit cul comme ça ?
Elle glousse parce que mon langage est un petit plus cru que dhabitude. Mais, elle semble aimer ça. Après tout, nous vivons le moment. Nous sommes dans le feu de laction.
Lèche-moi mon cul, mon chéri
Sil te plaît ! Encore ! Encore !
Aussitôt dit, aussitôt fait. Tes désirs sont des ordres, Bérénice. Et sur ce, je ferme brièvement les yeux, et je pousse un tout petit soupir. Puis, je rapproche mon visage de son cul, et je me remets à la lécher avec appétit et avec envie.
Cest alors que je prends linitiative, soudainement, de lécher son petit trou, précisément, et dy placer un tout petit bout de langue.
Bérénice pousse alors un cri.
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