Piment....Rouge Le Piment.
Mardi, il y a quinze jours, vers 10 heures du matin, je venais à peine douvrir ma petite boutique de fringues vous ai-je dit que depuis quelque mois, javais ma propre petite boutique de fringues ? -, entre un type la quarantaine, assez viril, décontracté chic, bien foutu ma fois.
Après avoir fait un petit tour dans la boutique, il vient vers moi et me dit :
« -En fait, je ne sais pas comment vous dire ça
.Mais, ma femme et moi on a décidé de pimenter un peu notre vie de couple
Jaimerais vos conseils sur des sous vêtements que je pourrais porter
. Vous voyez le genre ? Jaimerais aussi avoir votre avis
»
Je vois très bien. Il veut relancer le désir entre eux. De mon côté, je ne pourrais apporter que des accessoires - cest du moins ce que je croyais au début -. Je lui conseille dabord un mini slip en mousseline verte, liseré orange, pas trop trop sexy
« -Je peux les essayer ?
-Evidemment, cest par ici. »
Il passe dans la cabine et ressort au bout de quelques secondes vêtu du seul mini slip - il a même enlevé ses chaussettes -. Il me demande mon avis, pas du tout gêné. Du coup, ça me permet de le détailler un peu plus. Assez grand, bien découplé, une fine toison de poils sur le torse et le ventre avec un belle ligne de poils qui file vers le slip qui ma lair tout à fait bien rempli. Ca sent la salle de sport tout ça et le type qui sentretient.
« -Ca me plait mais je voudrais aussi des trucs un peu plus olé olé
-OK. »
Je lui passe une série de cinq modèles, tous différents. Ca va du string rose au jockstrap bleu en passant par des modèles plus coquins. Il repasse en cabine et ressort à chaque fois pour me demander mon avis. Cest ainsi que je remarque que son jock laisse apparaître un joli cul bien rebondi et bien rasé. Là, je nai plus de doute, ce type me drague effrontément en mexposant sa « marchandise » ; il veut les fringues ET le vendeur. Jai dailleurs remarqué quau fil des essayages ; le contenu avait tendance à prendre un peu de volume.
« -Ca vous dirait de venir prendre un verre chez nous ce midi ? Je vous trouve très
sympathique et ma femme serait ravie de faire connaissance avec un charmant jeune homme comme vous
-Euh
Pourquoi pas.
-Disons midi. Je passe vous prendre, OK ?
-OK. »
A midi pile, au moment où je ferme pour la coupure du déjeuner, une grosse voiture sarrête. Cest lui. On file vers les beaux quartiers et on sarrête devant un immeuble très cossu. On monte au premier étage. Grand escalier, grande porte de bois. Patrice, il sappelle Patrice, appelle sa femme en entrant.
« -Suzy- drôle de prénom -, on est là ! »
Suzy arrive. Joli brin de femme. Brun, cheveux courts, souriante.
« -Je te présente
-Jo !
-Jo ! Je lai invité à boire un verre. Cest le vendeur de la boutique où je suis allé ce matin. » Je ne sais pas pourquoi mais jai comme limpression que Suzy sait déjà tout ça car les portables ont du chauffer
Aussitôt, cocktails de fruits avec un alcool que je ne reconnais pas. Comme je limaginais, lappert est super classe. Re cocktails. Wouah, ça cogne !
« -Oh chérie ! Faut que je te montre mes achats de ce matin
» Il dis paraît pour se changer.
« -Patrice est un grand . Il senthousiasme pour un rien et sur tout. » me confie Suzy.
Le voilà qui réapparaît en mini slip vert. Il fait son petit tour de mannequin.
« -Joli ! En plus, ça te va.
-Au fait, Jo, tu ne peux pas maccompagner dans ma présentation ?
-Si ça ne dérange pas ta femme
-Au contraire ! »
On disparaît dans sa chambre.
On le fait mettre en levrette, je viens me glisser derrière lui à genoux. Suzy, arcboutée et jambes écartées, présente sa chatte à la bouche de son mari. Je commence par lui lécher longuement la raie, en insistant sur sa rondelle. Je lentends gémir doucement. Puis je lui titille sa rondelle du bout de ma langue pointée. Je fais de petites poussées comme si je voulais le pénétrer de ma langue. Jy arrive à moitié. Je lentends feuler de plus belle. Il se tortille, essayant de soffrir le mieux possible. Jinsiste, histoire de lexciter au mieux. Cest la première fois que je baise avec un mec beaucoup plus âgé que moi. Mais, comme cest sa première fois avec un mec, quil est attirant, sympa et quil a beaucoup de charme, ça va. Jai plutôt lintention de lui laisser un trop bon souvenir de sa première fois. Je veux lui donner un max de plaisir, dans la douceur.
Après ça, je lui enduis copieusement la rondelle et je fais de même avec ma pine. Je frotte mon gland plusieurs fois dans sa raie. Il me souffle :
« Viens ! Viens ! »
Après plusieurs poussées, je réussis à passer mon gland. Il souffle.
« -Détends- toi, Patrice. Cool ! » . Je me retire.
« -Oh non ! Reviens ! Reviens, je ten prie ! »
Je le pénètre un peu plus profondément. Il souffle et se raidit. Cest pas gagné
Après pas mal de poussées et de retraits ; je réussis à le pénétrer complètement. Je ne bouge plus.
« -Wow ! Tes complètement en moi. Je te sens super bien.
-Je vais y aller tout doux, tinquiète. »
Je me mets à le limer très très très lentement. Doucement, profondément, avec application. Je sens ma bite glisser dans son ventre. Jadore fourailler dans son ventre chaud avec le bout de mon gland. Jexplore la caverne, je palpe les parois, je menfonce, je menfonce. Je sens la paroi se resserrer sur ma hampe comme si elles voulaient me retenir. Par un délicieux mouvement de recul, je vais me retirer pour mieux revenir. Je voudrais quil sente ma bite aller et venir aussi bien que moi. Je demande à Suzy si elle veut bien que je le mette sur le dos. Je le réembroche doucement. Je veux voir sur son visage ses réactions. Il ma deviné.
« -Oh ! Je la sens ! Je la sens ! Laboure moi, je ten prie. Elle est trop bonne. Bourre moi ! »
Sa femme filme, en vidéo, nos ventres, nos visages, alternativement. Je vais ainsi le limer un bon moment. Petit à petit, son plaisir va venir. Au point quil va vouloir que je continue indéfiniment. Mais, Suzy insiste :
« -Moi aussi, jaimerais me faire bourrer ainsi ! »
On change donc de position. Suzy en levrette, moi derrière et Patrice derrière moi. Après moult préparations, je me glisse délicatement dans le petit trou de Suzy. Patrice, lui, a eu la « tâche » beaucoup plus facile avec moi. Il ma pénétré assez facilement et, depuis, il me lime délicatement. Je lentends souffler à chaque coup de reins. Suzy me dit quelle aime ça mais je suppose que son mari doit aussi la satisfaire de ce côté-là
On passe à nouveau un long et bon moment. On ne veut pas conclure trop vite.
Toutefois, je réserve une petite surprise à Patrice. Je vais essayer de la prendre dans ce qui est pour moi ma position favorite. Je lui demande sil est disposé à une version plus « hard ». Il veut bien. Je lamène donc contre un mur et lui demande de menserrer la taille avec ses jambes. Puis je le pénètre par en dessous dun seul coup dun seul et me mets à le pilonner furieusement. Dabord surpris, il apprécie très vite et me demande daller encore plus vite. Il cherche même ma bouche pour membrasser. Suzy sest remise à la vidéo.
« -Je voudrais que tu jouisses en moi, sil te plaît
»
Cest bien ce que javais lintention de faire. Je me déchaîne. Patrice hurle. Je me raidis. Je viens. Je crie. Je jute. Une fois. Deux fois. Trois fois. Je linonde. Il me remercie, les yeux embués. Je retombe. Cest Suzy qui va méponger, me soigner, me dorloter comme une mère
Patrice, lui aussi voudrait bien jouir et pour ça, il a sa petite idée
Il demande à sa femme si, exceptionnellement, il ne pourrait pas lhonorer par son petit trou, dans la meure où elle vient de mautoriser à le faire
Suzy ne peut pas faire à moins. Du coup, elle accepte ce quelle navait jamais accepté auparavant. Patrice, trop content, se met en position avec un clin dil pour moi. Ils me font face tous les deux, à genoux, Suzy sempalant doucement sur la bite de son mari. Je les filme un peu avec le portable de Suzy. Etant inoccupé, jai lidée de combler Suzy par tous ses trous en la godant dans sa chatte. Elle me sourit, radieuse. Jen profite pour lui masser doucement son clitoris. Là, elle accuse le coup avec bonheur. Elle ne pensait peut être pas quun homo savait où était le clito et comment sen occuper. Du coup, au fil des coups de boutoir de Patrice et de mes caresses, elle part de plus en plus en live. Secouant sa tête, gémissant de plus en plus fort, magrippant les mains, griffant les cuisses de son mari
Cest troublant de la voir ainsi perdre pied et se noyer dans son plaisir. Ca nous valorise aussi dans notre capacité à lui procurer ce plaisir. Patrice sent quil va bientôt venir. Il lannonce à la cantonnade.
« -Je vais jooouuuiiiir ! » . Ce quil fait dans un cri rauque.
Suzy me fait signe de continuer à la goder et à lui masser le clito. Tout à coup je la sens frémir de tous ses membres. Une onde électrique parcourt son corps. Elle hurle. Patrice est aux anges. Leurs deux jouissances ont été presque simultanées. On retombe tous les trois, pas mal claqués.
Après un petit temps de repos, Suzy nous propose de passer à la salle de bains. La salle de bains
! WOW ! On prend une douche à trois dans la vaste douche à litalienne. Cest encore loccasion de se savonner- de se caresser plutôt- mutuellement.
Après quoi, Suzy nous propose une « petite » collation. A plus de 15 heures passées, Patrice me propose de me raccompagner à la boutique. En chemin, on discute pas mal.
« -Merci Jo davoir accepté mon invitation. Suzy a adoré ta
bite et en plus elle te trouve très mignon. Faut dire que tu es plutôt bien monté !
-Tes pas mal non plus de ce côté-là. »
Ce faisant, il pose sa main direct sur ma bite tout en conduisant. Il me la malaxait doucement à travers le tissu du pantalon.
« -A moi aussi, ça ma plu. Jai bien aimé aussi quand ta femme sest empalée sur ma bite. Ca faisait bien longtemps que je navais pas fourré une dame
-Tu sais, jai adoré quand tu mas embroché contre le mur. Ca ma fait une sensation terrible. En fait, je crois que jen rêvais depuis trop longtemps. Ma femme me gode de temps en temps mais ça na rien à voir avec une vraie bite bien chaude et bien vibrante. Pareil pour ma femme. De temps en temps elle veut bien que je lui gode son petit trou mais, jamais jusquà aujourdhui, elle navait accepté que je la pénètre par là. Rien que pour ça, je ne te remercierai jamais assez.
-Je suis content de tavoir donné tout ce plaisir. Jai vu aussi que tu tétais rasé les fesses et la raie
-Oui. Cest parce que jespérais que tu me lècherais avec ta langue. Ca ma aussi fait un effet terrible quand tu me las fait. MERCI ! En fait, je me demande si je ne suis pas bi ou homo. Cétait franchement trop bon avec toi. Et pourtant, jadore faire lamour avec ma femme ! Tu crois quon pourrait se revoir de temps en temps ? »
Je lui explique alors un peu ma vie : Paulo, Rémi. Mais quon est aussi très libres. Il me dit quils ont beaucoup de chance.
« -Tu sais, tu peux passer à la boutique quand tu veux
-Merci. Tu sais, je lavais repérée depuis louverture ta boutique mais josais pas rentrer
»
A ce moment, je ne sais pas pourquoi est ce parce que Patrice me touchait la bite depuis un moment déjà ? -, je ressentis une énorme boule au creux de mon ventre et je fus pris subitement dun irrépressible désir pour cet homme. Je ne pensais plus quà ça. Alors que nous venions dassouvir ce désir il y a peu. Je plongeais ma main sur sa bosse. Sous mes doigts, cest une barre verticale que je sentis. Je dézippais la fermeture de son pantalon et plongeais ma main dans la chaleur de son entrejambe. Au toucher, je reconnus le mini slip en mousseline. Je glissais ma main dans son slip, saisissant son barreau. Il se montra surpris mais ravi. Je remontais sur sa hampe vers son gland ruisselant de mouille. Visiblement Patrice me désirait, lui aussi. Je commençais à le branler. Puis, comme un fou, je plongeais ma bouche vers son entrejambe, gobant, dun coup, son gland et une partie de sa hampe. Il eut du mal à ne pas faire une embardée. Je commençais à le sucer avec ardeur.
Heureusement, on arrivait à la boutique.
« -VIENS !!! » lui soufflais- je à loreille.
On se gara à larrache et on courut littéralement jusquà la boutique. Jeus du mal à ouvrir avec la clef tant jétais excité. Le panneau CLOSED et on fila vers larrière boutique, petite pièce dans le fond. On se colla littéralement lun à lautre, vissés par la bouche, se dévorant à belles dents. Tout en sembrassant comme des fous, on senlevait sarrachait nos vêtements lun lautre. Je lui déchirais même un peu son mini slip au passage. On était devenu fous lun de lautre, pris dun désir brutal et dévastateur. Nus, on se serra lun contre lautre, à se broyer. On voulait sûrement se dire quelque chose dans cette étreinte. Nos bites se frottaient, on sembrassait, on sembrassait à perdre haleine.
Je le basculais sur la moquette. Au vol jattrapais le tube de gel et jen vidais la moitié sur ma bite et sur son trou. Il avait relevé ses jambes très haut et très écartées.
« -Prends moi ! Prends moi !! » suppliait-il.
Je poussais, je poussais avec mon gland. Je finis par passer. Aussitôt, je menfonçais en lui et je commençais à le limer.
« -Aaaaah ! Enfin ! Ta bite ! Ta bite !! »
Je me mis à le pistonner puissamment, de tout mon corps. Il avait attrapé mon cul et me tirait à lui à chaque coup de queue. Jaccélérais, jaccélérais. Je dus quitter sa bouche car jen perdais le souffle. Cela dura, dura car je venais de jouir il ny a pas si longtemps. Je frottais sa bite tendue avec mon ventre à chacun de mes coups de reins. Patrice criait des mots crus, me griffant le dos, bousculant ma chevelure
Je commençais à me couvrir de sueur, le souffle coupé. Ma bite était en feu. Une dernière ruade, un dernier coup de boutoir et je me vidais à nouveau en lui.
« -Merci ! Merci !! »me cria-t-il.
Je meffondrais, lessivé. Malgré ma fatigue, je me devais de le soulager, lui aussi. Je lentraînais contre le mur. En chemin, je lenduisis de gel. Je me collais au mur, agrippais sa taille avec mes jambes et maccrochais à son cou.
« Vas-y ! Défonce moi !! A fond !!! »
Jaspirais sa bouche. Il ne se fit pas prier. Il me perfora dun seul coup de bite, sur toute sa longueur. Il commença aussitôt à me limer, à me labourer, à me pistonner, à me trombonner, à me défoncer comme un fou. Jadorais ça aussi, le côté brutal et bestial du sexe. Il me secouait comme un prunier. Comme javais remarqué quil aimait ça, je lui criais des mots crus, très crus, sur sa bite, sur ses couilles. Il men lançait dautres. Un vrai festival. Pour lui aussi cela dura un bon moment avant quil ne jouisse. Tant mieux pour moi. Dans un long cri de bête, il me remplit de son liquide brûlant. On retomba lun sur lautre, à même le sol. On sendormit ainsi, enchassés lun dans lautre, dans une odeur terrible de sperme. Il y avait des habits partout éparpillés autour de nous, signes de la violence de létreinte. Combien de temps ? Presque vingt minutes. Tant bien que mal on essaya de se nettoyer au petit lavabo du fond.
On en était à se demander tous les deux ce qui nous était arrivé. Ce qui allait nous arriver aussi. Patrice allait-il en parler à Suzy ? Pour la première fois, je ne me voyais pas comment annoncer ça à Paulo. Encore moins à Rémi
Il me donna son 06 et en reprenant toute une série de slips, strings, jocks, maillots de bain. Je lui fis cadeau du mini slip que je lui avais arraché Avec un clin dil, il me dit :
« -Ca sera pour la prochaine fois
? »
Dans les dix jours qui suivirent, on se revit trois fois, avec, à chaque fois, un passage passionné par la case arrière boutique
Comment tout ceci va t il évoluer ? A nous de voir
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