Collection Chaude Du Cul. Covoiturage Avec Mon Beau-Père (2/3)
Ayant accepté les privautés de mon beau-père, je suis une salope et je lassume.
Jeune jai très vite aimé mon sexe me caressant avec mes doigts.
Mais je vais me présenter.
Jennifer 24 ans, 2 ans de mariage avec Sylvain mon compagnon 25 ans instituteur dans notre village.
Ayant retrouvé un travail après des mois de chômage, jai la chance quil se trouve à dix minutes de celui de Charles mon beau-père.
Jai une période de huit jours avant de signer un CDI.
Jallais dire, tout se passe bien.
Non, ce qui va arriver avec mon beau-père comme je semble laccepter il est difficile de dire que ça se passe mal.
Donc tout va pendant ces cinq premiers jours à part quelques bouchons qui nous retardent.
Par chance, nous avons la chance dêtre en horaire libre et nous assurons notre poste de travail.
Cest dès le lundi que Charles se permet une privauté.
Faisant celui qui a la main qui glisse, elle atterrit sur mon genou.
Je le regarde et il me fait un clin dil me laissant sans voix.
Jaurais dû le remettre en place, mais je voulais certainement éviter tout conflit avec la famille de mon mari.
Conflit avec la famille mais aussi mon homme quand jaccepte les privautés de mon beau-père.
Aucun conflit avec lui expliquant mon acceptation quand il sort sa queue me faisant avaler son sperme.
Sylvain me satisfait cest donc que je suis foncièrement une salope.
- Charles pourquoi engagé vous la voiture vers la gauche alors que lautoroute plus rapide est de lautre côté.
Je vais te faire voir quelque chose en chemin.
Depuis que mon beau-père se permet des privautés avec moi, jai perdu lhabitude de poser plus de question.
Je menfonce dans les sièges attendant la suite.
Nous roulons quelques kilomètres et entrons dans lune des nombreuses forêts entourant la ville dAnnecy et son lac si célèbre.
En plein milieu, il ralentit et sengage dans un chemin bitumé mais mal entretenu.
Cest carrossable jusquà ce que nous longions un grillage mal entretenu.
Où vais-je finir où Charles me conduit-il ?
Un portail en fer forgé dont un panneau est à moitié arraché avec de vieux engins de chantier rouillé.
Devant le bâtiment il arrête la voiture et descend.
- Viens.
Je descends, il contourne la voiture et vient à ma hauteur.
- Quand jai commencé à travailler, cest ici que jai commencé dans ce bâtiment.
Derrière il y a une carrière qui en ce temps-là était exploitée.
On a fait faillite et les locaux et les engins se sont retrouvés dans létat où tu les vois aujourdhui.
Cest un lieu où personne ne vient et nous serons tranquilles.
Finissant sa phrase, il se colle à moi, je sens quil bande car au moment où il a attaqué je me suis retournée.
- Jaime que tu me suces petite salope, mais jai aussi envie de te baiser.
- Ici, dans ce bout du monde.
As-tu déjà baisé une femme dans ces lieux ?
- Du temps où ça tournait, je vais être franc jétais lamant de la patronne.
Chaque fois que son cocu de mari partait elle y avait droit.
Tu dois men vouloir, mais jétais jeune, je venais de prendre mes fonctions.
- Tu étais déjà avec belle-maman ?
- Jaime comme tu dis belle maman.
Oui, elle était enceinte de Sylvain et se refusait à moi, cest à ce moment que je lai trompé alors que je suis sûr que si elle avait accepté de continuer à faire lamour, je serais resté un mari fidèle.
Pose ton pied sur la roue, ça va dégager ta chatte.
- Vas-tu me baiser avec ma culotte ?
- Que représente une petite culotte quand on a envie dune femme comme tu dois sentir combien je te veux ?
Inutile de me dire que tu es la femme de mon fils.
Dès la première minute où je tai vu je savais la salope que tu étais.
Jen ai eu confirmation dans la voiture.
Je sens quil passe ses doigts entre mes fesses et ma culotte et tire.
- Tu vois une culotte comment je lai enlevée pour atteindre mon but.
Il membrasse dans le cou.
Pour moi cest un de mes points les plus sensibles.
Je fonds littéralement.
Je passe mon bras derrière nos têtes pour que nous soyons mieux soudés.
Je tourne ma tête au moment où il présente son gland à ma chatte et je lui donne mes lèvres.
Jai souvent pensé quun jour je pourrais être dans lobligation de tromper Sylvain sans jamais franchir le pas.
Mais dans mes moments de délire les plus forts, jai toujours pensé que de donner mes lèvres à un amant était vraiment trompé.
Je les offre à Charles avec envie son gland me faisant déjà mouiller.
En plus de linterdit, le lieu et la position augmentent mon désir.
Sylvain à part la baignoire est dun classique immuable.
Quatre-vingt-dix pourcents du temps cest dans notre lit quil me baise même comme je lai dit, il me fait jouir.
Devant cet immeuble délabré avec le risque dêtre découvert ça décuple mon plaisir surtout que Charles sait se servir de sa bite pour mon plus grand plaisir.
- Charles ta ton déjà dit que tu étais un salopard.
- Toi Jennifer tavait ton déjà dit que tu étais une garce à te faire baiser le pied sur le pneu de ma voiture.
Deux bêtes en rut, cest normal dans une forêt, Charles me fait jouir et jexplose littéralement.
- Merci Jennifer, on garde ça pour nous.
Il me dit ça sans le moindre sourire, je devrais le rembarrer mais quand nous remontons en voiture.
Je le vois mettre ma culotte ravagée dans sa poche satisfaite de sentir sa semence chaude au plus profond de moi.
Il est entré dun côté de la forêt, nous ressortons de lautre.
Lavantage cest que si quelquun nous a vus entrer, il en sera pour ses frais.
Nous récupérons lautoroute et nous arrivons dans nos maisons.
- Vous êtes déjà là, mon portable ma dit quil y avait eu un accident en début daprès-midi, javais peur que vous ne soyez plus tard.
Je regarde Charles qui est à deux doigts déclater de rire.
Pourtant nous avons pris notre temps, inutile de le dire à la cocu de service.
- Sylvain est rentré, il est allé te préparer à manger.
Vous venez faire un rami tout à lheure.
- Ma chérie arrête dembêter les s, tu vas avoir encore une chance de cocu.
- Je te sais fidèle mon chéri surtout quand tu es avec notre petite Jennifer.
Que veux-tu faire à la femme de ton fils se serait monstrueux ?
Puéril avec ça !
Cocu mais puéril, jai moins de scrupule si jen avais eu dailleurs à lavoir trompé sachant que lexpérience se renouvellera à la première occasion.
Suis-je où ne suis-je pas une salope ?
- Rami.
- Quand je te disais que tu avais une chance de cocu ma chère.
Nous faisons les comptes, Arlette mérite bien ses cornes, elle me pique presque 50 .
Sylvain lui aussi est cocu mais il nous pique que 12 .
Pendant que je pense cela, Charles jouant face à moi dans son peignoir en soie, a enlevé sa babouche et son pied est dans ma chatte.
Je suis à deux doigts de jouir, mais jarrive à contenir mon plaisir.
Repus de sexe, nous partons nous coucher.
Sylvain a des envies, je veux le satisfaire.
Cest en me refusant que je risque dattirer son attention.
Je pratique mon sport favori, la sucette avalant rapidement le sperme de mon homme.
Je me suis lavée dès que je suis rentrée mais savoir que je me suis fait remplir la chatte et la bouche par les deux bites familiales me laisse en joie.
Je mendors comme un bébé que je suis loin dêtre restée.
Hier, jétais avec belle maman nous étendions du linge, elle ma fait une déclaration qui ma fait sourire.
- Je dois te remercier Jennifer, Charles ma emmené chez ma coiffeuse et je lai trouvé beaucoup plus décontracté au volant.
Avant il jurait et conduisait comme un fou alors que je le sens le faire sans excès.
Jai envie de lui dire que conduire en se faisant sucer la queue, roulez à tombeau ouvert cest la morgue assurée.
- Tes-tu déjà fait enculer ?...
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