Récit D'Une Vie De Nuit - Chapitre 9
3 journées, se sont écoulés. Dès quun moment le lui permet il me lance un SMS. Nous ne sommes plus dans la réserve. En une rencontre jai osé me donner entière. Evelyne est en copie des miens mails reçoit également des SMS. Jeudi à 10 h Éric me téléphone, et me dit : » Soyez chez toi cet après-midi, mon entretien se termine plus tôt, nous devons parler. »
Evelyne ne pourra pas se joindre à nous immédiatement, elle dispense un cours à la Fac. Je téléphone à Maryse pour un rendez-vous en urgence et parfaire mon épilation. Elle se propose de passer chez moi car ses salons sont complets et ces deux employées seront tenir la boutique en son absence. Le temps de prendre la douche linterphone annonce son arrivée. Dans mon peignoir, je lui ouvre la porte. Elle me demande que vaut cette urgence. Je lui résume la situation rapidement tout en minstallant sur la table du salon, transformer pour loccasion en banc de supplice pour mon épilation. Maryse a son tour le traite de salope en constatant lhumidité de mon vagin
Je sens sa langue remonter sur ma fente, puis elle débute son travail. Comme à notre habitude je la laisse contrôler son travail et me donne du plaisir. Aujourdhui je ne lui rendrais pas la pareil car elle manque de temps.
Je prends un moment pour moi, et me glisse dans mon jacuzzi bien aimé après mêtre préparé un thé. Un rayon de soleil transperce la véranda, et caresse mon corps. La trentaine de degrés du jacuzzi memporte dans un moment de zenitude, je ferme les yeux. Le réveil est brutal, linterphone me rappelle à la réalité de la vie. Cest Éric, paniqué je ne suis pas maquillée, je file mettre la robe en cuir ultra courte, qui laisse les côtés et le dos ajouré, que seul un lacet habille, bien évidemment, sans dessous, je chausse mes talons aiguilles, tant pis pour ma coiffure. La sonnette a déjà retenti deux fois. Jouvre, je mexcuse de lavoir fait attendre, il me tend un bouquet de rose et nappe mes lèvres dans un long baiser.
Je lui propose un verre, le soleil baigne encore la terrasse, je linvite à sinstaller. Je sors une bouteille de champagne, je porte le seau à champagne, 3 coupes sur la table, je me penche et le laisse admirer mes fesses dénudées. Je le sers et je mexcuse car je dois descendre à la cave refaire le complément ma cave à vin. Je lui propose de se mettre à laise et que la salle de bain est à sa disposition.
Je prends lascenseur, je ne prends pas soin de me vêtir plus, lascenseur sarrête un étage plus bas. La porte souvre et je vois un de mes étudiant, figé au point que les porte se referme. Je linvite à entrer. Déjà rouge, je me tourne pour quil découvre mon cul de salope. Je me relève et constate quil est écarlate. Je prends un peu de temps dans ma cave, car outre le champagne, je cherchais une bouteille dun excellent whisky, que je réserve à des hôtes particuliers. Car bien que mes amis soient bien élevés, ce breuvage se déguste et ne se mélange pas ni avec des glaçons et encore moins avec du soda ou autre niaiserie.
Je remonte, cette fois pas de rencontre fortuite. Je rentre dans mon appartement, Éric est installé dans le fauteuil du petit salon. Il a revêtu un peignoir mit à disposition près du jacuzzi. Le champagne est débouché 2 coupes sont servies. Il me tend une coupe, nous trinquons. Nous abordons notre rencontre, sa maladresse, voir sa manière de rustre. Jai tout oublié et pour moi je ne retiens que le restaurant, et laprès incident. Je lui dis aussi que davoir su garder le contact avec Evelyne et moi ma beaucoup touché.
Éric quil navait jamais osé franchir le pas de dadultère, que notre croisement sur ce site fût un merveilleux hasard. Quil avait ciblé le lointain, juste pour échanger, se redonner lenvie de faire lamour à sa femme. Car elle est assez prude, elle a du mal à lui gratifier dune bonne pipe, Chose quelle accepte volontiers cest de se faire lécher car elle aussi ne laisse aucun poil la gêner.
Alors que je vais chercher, une seconde bouteille, Evelyne rentre de sa conférence. Elle me félicite sur ma tenue dans un « jaime te voir en salope », cela déclenche un frisson, et me prend la bouche dans un tendre baiser. Je lui annonce quÉric est au salon. Elle pose sa veste de tailleur, dans une démarche chaloupée que ces hauts talons accentuent, elle maccompagne pour saluer Éric. Il se lève. Le pan du peignoir souvre, Evelyne est aux premières loges pour sentir le pieux dÉric. Après un baiser, Evelyne me dit « tu ne vas pas le laisser ainsi, je vais me prendre une douche et jarrive. ». Je me colle à Éric, le fixe et ma main glisse sur son sexe. Je le caresse, je vise ces couilles, je les prends en main je masse sous pèse. Je maccroupi, je lèche sa queue, du gland vers les boules. Je les gobe. Je joue avec et lui donne des réactions électrisantes. Jaspire ces boules, elles occupent beaucoup de place et ma langue les caresses. Éric est appuyé contre le dossier du canapé. Des mots crus sont lancés, cela mexcite. Le remonte vers son gland et englouti sa pine. Je progresse doucement, elle mempêche de jouer avec ma langue. Je pose ma main sur ma chatte, ma robe et relevée, mes doigts alternent entre la caresse mon clito et la pénétration au plus loin dans ma chatte. Ma tête fait des va et vient, il libère une salve de sperme au de ma gorge, une seconde vient se rependre sur mon visage et une troisième sur mes seins. « Putain quelle salope ! » lâche-t-il. A croire quil a fait des réserves depuis lundi. A peine relevé quEvelyne et me félicite pour mon masque de beauté. Elle sempresse de lécher mes joues, mon front et mon décolleté.
Moins tendu, Éric reprend sa place, dans le fauteuil. Evelyne, a revêtu une nuisette blanche très transparente. La seconde bouteille a pris le chemin de la première. Je propose le jacuzzi, car jadore. Je retire ma rode de salope, Evelyne suit. Éric est à côté de moi, Evelyne en face. Éric caresse mes seins et pince mes tétons, tandis que Evelyne de son pied au ongles peints, masse sa queue, et maltraite certainement ces boules car il tressaute de temps à autres et ses pincements sont plus forts. Son sexe montre le bout de son gland par-dessus les bulles, plus les caresses dEvelyne dure, plus je le sens glisser. Je prends son manche et le branle et Evelyne joue du pied sur son sac. Evelyne me fait comprendre que « elle aussi veut sa part de crème ». Je la laisse à ce plaisir Éric sort le bassin de leau et Evelyne en experte le pompe. Je me caresse en profitant du spectacle. Je ne tarde pas à jouir, imité par Éric. Il délivre encore une belle quantité de semence et la partage avec moi.
Pas envie de faire de repas, enfin plutôt Evelyne qui cuisine ultra bien. Nous commandons des pizzas, une bouteille de lambrusco. Nous avons frôlé lincident. Evelyne répond à linterphone, remet sa nuisette. Lorsque Evelyne ouvre la porte, le jeune livreur laisse échapper, la bouteille qui par chance pour nous, moins pour le livreur, tombe sur son pied et ne casse pas. Evelyne, sexcuse donne un baiser sur la bouche du livreur, paye laisse un pourboire et prend congé. Le pauvre.
Nous passons à table, le lambrusco est vide, je suis pompette. Je file dans la chambre. Et me pose sur le lit, puis cest le trou. Ils ont rejoint la chambre, je ne me rends compte de leur présence qua mon réveil. La tête dans le brouillard je prends mon petit-déjeuner et réalise quÉric ne nous a pas annoncer ce quil devait nous dire.
Evelyne se réveille, savance dans une démarche qui en dit long. Elle membrasse, se sert un thé, dans un regard complice, elle me dit « voilà nous lui avons ouvert toutes nos portes.
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