Ashley - 6 Du Bon Côté Du Fouet.
Mon Dieu, comme cest agréable dêtre du bon côté du fouet et den tenir le manche... Jordonne à Pearl :
Appuie le haut de ton corps sur la table, avec les jambes écartées et bien droites, les pieds sur le sol.
Elle me regarde stupidement. Je la prends par la nuque pour lobliger à se pencher, puis à se coucher sur la table. Cest pourtant pas très compliqué. Comme elle est grande et qu'elle a des longues jambes, son buste est plus bas que ses hanches, ce qui met bien en valeur ses fesses. Je les caresse, elles sont chaudes et fermes... Elles seront nettement plus chaudes encore dans cinq minutes. Les filles et Alan me regardent faire tandis que Billy me dessine. Je ferais bien encore un peu durer ce moment agréable... Non, jy vais. Mon bras se lève et ça fait :
Fffffzzzziiiii !
Cest le sifflement du fouet dans lair, juste avant de sabattre sur ses fesses.
Pearl crie :
Aiiiieeeeee ! Un, merci Maîtresse.
Elle compte en plus ! Une belle marque lui barre les fesses.
Fffffzzzziiiii !
Le fouet vient à nouveau de frapper ses fesses, mais la trace est décalée.
Aiiiieeeeee !... Deux, merci Maîtresse.
Fffffzzzziiiii !
Aiiiieeeeee ! Trois, merci Maîtresse.
Là, le fouet a atteint la base des fesses. Ça doit être douloureux, car, elle commence à gémir nettement plus fort. Je dis aux autres :
Cest amusant, quand je lève le fouet, ses fesses montent comme pour diminuer la distance entre les lanières et elles. Ensuite, elles essayent de senfoncer dans la table. Alan répond :
Oui, cest ce quon appelle la danse des fesses.
Je lève le bras.
Fffffzzzziiiii !
AaaIIIiiiieeeeee !... Quatre, merci Maîtresse.
À nouveau la base des fesses. Cette fois, elle commence à pleurer, la pauvre... Mais ce nest pas le moment de sattendrir, il faut lui apprendre à faire plus attention.
Fffffzzzziiiii !
Aiiiieeeeee !..
Cétait le haut des cuisses ! Elle pensera à moi chaque fois quelle va sasseoir... Bien sûr, une esclave ne peut pas s'asseoir, mais à chaque pas, elle se souvenir de cette correction. Oui, euh... cest du vécu.
Je lui demande :
Tu ne seras plus maladroite ?
Elle crie presque :
NOOON... non, maîtresse, je vous jure...
Bien, la punition est finie, tu peux bouger et me remercier de t'avoir corrigée.
Elle se met aussitôt à genoux devant moi et, en se baissant complètement, elle couvre mes pieds de baisers mouillés de ses larmes... Au bout dun moment, je la repousse du pied et Victoria lui dit :
La lessive va se faire toute seule, Pearl ?
Non, Maîtresse.
Tu tes assez amusée, vas travailler.
Oui Maîtresse.
Elle sen va en frottant discrètement ses fesses qui portent ma signature.
Pour tout dire, lui faire ça ma excitée. Dautant plus que Billy me montre son dessin : cest moi corrigeant Pearl, bien sûr... Il me dit :
Cest pour toi.
Merci, cest très gentil. Est-ce que je peux faire quelque chose pour te faire plaisir ?
Ses yeux fixent ma chatte. OK, jai compris. Je dis aux filles et à Alan :
Ça ne vous dérange pas si je remercie Billy dans la chambre ?
Victoria répond :
Tu peux faire ça ici.
Encore mieux... Je demande à Billy, qui est devenu tout rouge :
Comment as-tu envie de faire ça, poussin ?
Je vais vous montrer.
Cest le seul qui soit habillé, enfin, il a un maillot. Il lenlève et se couche par terre sur la terrasse en demandant :
Vous pourriez venir sur moi ?
Je cherche le meilleur endroit de son corps pour masseoir. Jai trouvé : sa bite ! Bon, ce nest pas le sexe dAlan, mais dans mon état dexcitation, je me ferais bien enfiler par un lapin... Euh... non, ils font ça trop vite. Disons plutôt par un Danois (le chien !) Billy a envie de me baiser, mais il veut surtout me regarder.
Billy commence à avoir du spectacle : moi, qui vais et viens sur son sexe dressé en faisant bien bouger mes seins... Ensuite, je les caresse... Billy me dit :
Tu es trop belle ! Je peux te demander quelque chose ?
Ça y est, il me tutoie. Est-ce qu'il ne deviendrait pas trop familier, lui ? D'un autre côté, un mec qui a sa bite dans votre chatte, on na plus grand-chose à lui refuser, Je réponds :
Vas-y.
Je voudrais te voir de dos.
OK, après mêtre un peu redressée, je me retourne et jenfonce sa bite dans mon cul. Faut varier les plaisirs et jaime ça par derrière. Après mes seins, je fais danser mes fesses pour lui. Jimagine déjà les dessins quil va faire. Ah ! Je sens que la bite de mon artiste grossit un peu et il pousse des petits gémissements. Jaccélère légèrement et il jouit en moi... Jai besoin de davantage pour jouir aussi... Je demande aux filles :
Je peux utiliser Pearl pour me... nettoyer ?
Wendy répond :
Le nettoyage, cest son boulot.
Juste ! Alors, je crie :
Pearl, aux pieds !
Elle arrive en courant. Ah, vous voyez comme le fouet est utile ! Je me couche sur le dos et je lui montre ma chatte du doigt. Pas besoin dinsister pour quelle mobéisse en collant ses lèvres sur ma chatte.
Je sens sa langue pénétrer dans mon vagin. Vas-y, petite esclave, avale tout ! Quand elle ma bien sucée et léchée, je lui donne un petit coup de talon sur les fesses, en disant :
Plus haut !
Elle lèche aussitôt mon clito. Il ne me faut que quelques minutes pour jouir sur son visage. La vie est belle en dehors de Notasulga ! Elle lèche encore mon sexe, voulant vraiment me faire plaisir. Ou alors, elle veut vraiment éviter le fouet ! Je lui dis :
Cest bon, dégage !
Je suis bien.
Wendy et moi, on a commandé un livre pour toi et on la reçu ce matin. Tiens !
Elle me tend un livre, cest "Les vies secrètes de Marilyn Monroe" de Anthony Summers. Je les embrasse pour les remercier, en dérapant un peu sur leurs bouches. Jouvre le livre pour regarder les photos... Cest vrai quelle est très belle... que toutes les deux, on est très belles. Je lis un passage au hasard : « Durant son mariage avec Arthur Miller, elle arrêta de se montrer nue devant les invités, sauf si cétait des femmes. » Oh ! Jadore lidée ! Aussitôt, je me plonge dans le livre. Bientôt, jai une idée précise de nos points communs :
1 - on se ressemble comme deux gouttes deau, lune plus brune que lautre avant décoloration
2 - on a une mère e, ou folle, ou toxico
3 - on a été dans des familles daccueil
4 - on na pas fait détudes
5 - on adore se montrer nues
6 - on couche facilement et un peu avec nimporte qui
7 - on est toutes les deux narcissiques, mais ça, cest normal quand on est aussi belles.
Il ne me reste plus quà suivre la voie quelle ma tracée : aller à Hollywood pour apprendre à jouer, à chanter et à danser. Je deviens une star, jépouse un homme très riche et je menvoie tout ce qui a une queue ou une chatte. Par contre, je décide de contrôler ma consommation dalcool et de ne pas toucher aux drogues sous nimporte quelle forme...
Je suis sortie de ma lecture par la voix dAlan :
On doit y aller dans 15 minutes, Ashley ! Si tu allais faire une petite toilette ?
Oui, jy vais.
Je viens de lire que Marilyn naimait pas trop se laver, mais là, je ne vais pas limiter, je veux une chatte vraiment fraîche... Elle ne le restera pas longtemps, surtout si Pearl fait une connerie.
***
Au club, cest toujours assez fatigant, mais ça me plaît et jimite de mieux en mieux Marilyn. Il ne se passe rien de spécial, sauf que je gagne nettement plus dargent. Bientôt Hollywood ! En rentrant, Alan me baise... Cest la fête à mon cul, ici !
Le lendemain, je me lève vers midi. Alan est déjà descendu. Aussitôt que je fais un peu de bruit, on toque à la porte de façon très discrète, le genre de toc-toc que pourrait faire une souris si elle mesurait 1 mètre 50 et quelle ait des doigts... Euh, oublions la souris. Je réponds :
Entrez.
Cest Billy qui me dit :
Bonjour Ashley, jai entendu du bruit et...
Jattends la suite... qui ne vient pas. Pour finir, il me tend un paquet de photos. Je les regarde. Il y a quelques paysages, puis des nus et... des photos de moi, quil a faites sans que je le remarque. Il me demande :
Tu nes pas fâchée ?
Mais non, elles sont vraiment belles. Tu as beaucoup de talent.
Tu pourrais poser pour moi ?
Oui, bien sûr, surtout si tu men donnes.
OK et je te ferai un book photo pour Hollywood.
Il est au courant de tout, lui ! Je sens quil a envie de me dire quelque chose, mais quil nose pas. Je le rassure :
Si tu as autre chose à me demander, vas-y.
Hier, cétait merveilleux, mais jaurais tant voulu te....
Ça y est, il bloque !
Me quoi ?
Te lécher...
Oh, ce nest que ça ! Mais je nai pas encore pris ma douche, tu sais....
Ça ne fait rien. Sil te plaît...
Je madosse à loreiller et jécarte les jambes. Si je peux lui faire plaisir avec une chatte collante, pourquoi len priver ? Marilyn serait à 100 % daccord avec moi.
A suivre.
Si vous aimez mes histoires, soyez gentil de mettre des étoiles, une petite attention qui me fait plaisir.
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