L'Algérie (8)
LOasis des Plaisirs
Jai fermé les yeux, collé contre lui, le visage sur ses poils, sa main entre mes jambes, qui ondoyait ma chatte malmenée, de cette crème si bénéfique. Jétais rassuré, tout en me demandant, ce qui allait mattendre à notre arrivée.
Je me suis endormi, pendant cette dernière heure de trajet, tête sur lépaule de mon homme, le nez sur son torse velu qui enrobait tout mon être.
Larrêt du véhicule et un baiser de Rachid sur mes lèvres mont réveillé de ma torpeur et je suis sorti de la voiture, un peu chancelant, soutenu par Djibril, où jai pu constater la beauté du paysage. Des hectares de verdure au milieu de rien, avec palmiers dattiers, des cultures que je ne percevais pas encore bien, une dizaine de tentes autour dun bâtiment en dur.
Cétait féerique pour moi, simple petit français, dêtre accueilli dans lAlgérie profonde, sa culture ancestrale si méconnue. Je me sentais vraiment privilégié de connaitre tout cela, et au plus profond de moi, je remerciais Rachid et toute sa famille.
Un vieil homme tout rabougri sest approché de moi et ma parlé en arabe. Farid a traduit. Il était très honoré de me recevoir parmi eux, que jétais le premier français à venir les voir et quil ferait tout son possible pour rendre mon séjour le plus agréable possible.
Un repas pantagruélique sen est suivi, avec danses et chants et voir tous ces hommes bouger, leurs sexes en balancier sous leur gandoura mavait bien émoustillé. Plus tard dans la soirée, le petit vieux, japprendrais ensuite quil était le patriarche de la Tribu, nous a conduit vers notre tente, avec Farid, Djibril, Rachid et moi. Un jeune garçon est venu nous rejoindre, impossible de lui donner un âge
. Entre 15 et 20 ans peut-être.
Un thé était préparé et nous nous sommes mis à le déguster en silence. Je voyais leur sexes durcir peu à peu sous le tissu, provoquant des bosses vraiment indécentes, celle de Djibril notamment, qui pointait hors du tissu relevé en haut de ses cuisses.
« Jai envie »
« De moi seul ou de nous tous ? »
« De vous tous »
De là, tout sest déclenché
Nus en un tournemain, ce nétait que volupté et sensualité. Jai vu que le jeune homme restait un peu en retrait, nous regardant avec un mât qui déformait sa djellaba en avant.
Rachid avait remarqué mon regard vers lui et il ma demandé :
« Il est puceau
. Tu veux bien ten occuper ? »
« Je sais pas Rachid
. Un peu mal à laise quand même »
« Suce-le et laisse-toi prendre
. Il attend que ça
Baiser
!!! »
Aucun deux ne mavait encore pénétré, comme sils laissaient ma chatte « vierge » pour lui. Pourtant, ma virginité était bien loin derrière moi, mon orifice avait été plus que visité, plusieurs fois par jour par leurs membres, plus phénoménaux les uns que les autres.
Mais ça mémoustillait de dépuceler ce jeune, dautant plus que le thé mavait bien revigoré avec un arôme, que je ne connaissais pas. Décidément, ces hommes bleus sont très forts dans la maîtrise des plantes
Et des aphrodisiaques
, mais ça, Rachid ne me la dit que plus tard.
Le regard du jeune, Nordine, mimplorait, était presque oppressant tel son désir était grand
et surtout, bien visible.
Je me suis approché de lui, et jai passé mes mains sur ses jambes, sous létoffe, caressant des poils
Cest fou ce quils peuvent être velus dans cette famille, et pas que ça
!!! Avant datteindre son entrejambe, jai déjà effleuré un sac lourd, que jai soupesé. Cétait pas possible, on aurait dit les couilles de Farid. Ma progression a continué, vers cette barre de chair si chaude, si dure, qui ressemblait presque, au toucher, à celle de Rachid. Dès que je lai enserrée, Nordine a enlevé sa gandoura et sest mis nu devant moi. Beau corps, bien fait, comme tous ses cousins, torse encore glabre mais une énorme touffe très drue, partait de son pubis jusquà son nombril.
Jaurais voulu avoir un flacon magique pour enfermer toutes ces effluves, ces fragrances si puissantes que dégageaient les sexes de ces hommes, emplies de testostérone, de phéromones
un vrai régal pour les narines.
Mains sur mes fesses, lentement mais surement, Rachid ma poussé vers la colonne de son cousin et ma bouche sest ouverte, instinctivement pour déguster ce pieu. Ses doigts préparaient ma corolle à donner du plaisir à ce jeune garçon, mais en très peu de temps, il a lancé des salves de liqueur tout au fond de ma bouche. Il était tellement excité quil ne pouvait pas tenir longtemps. Première pipe pour lui, mais son sceptre restait toujours aussi dur, à peine un peu ramolli, quelques coups de langue de ma part avaient suffi pour lui redonner toute sa splendeur.
Allongé sur le dos, Nordine sest couché sur moi, mécartant les jambes au maximum, et son instinct de mâle a cherché laccouplement. Je sentais son gland fouiller mon puits à plaisir, et dès quil en a senti louverture, il sest enfoncé en moi dun coup. Rachid, prudent, avait envahi ma bouche pour mes cris de cette copulation bestiale, le temps que je my adapte.
Il ma laminé comme un fou
Content de connaitre enfin le plaisir sexuel, si tabou avec les femmes, et de perdre son pucelage
Il était devenu enfin un homme, il avait baisé, défoncé un trou de son sexe puissant, peu importe lequel, il était trop fier de lui.
Il sest déversé en moi à grands jets, enserrant mes hanches pour me pénétrer encore plus profondément à chacune de ses décharges de foutre.
Sans jouir, Rachid est sorti de ma bouche pour lapprocher du membre de Nordine afin que jen déguste les dernières saveurs. Place libre, il sest enfoncé dun trait en moi, bien lubrifié par la semence de son cousin, pendant que Djibril senfournait entre mes lèvres. Farid a avancé son énorme pieu que jai pris en mains.
Sur le dos, besogné par Rachid, suçant Djibril, je branlais Farid de mes deux mains.
La nuit a été torride. Jai été tout à tour pris par ces hommes puissants, par tous mes orifices, traité de tous les noms en arabe sans men offusquer. Dabord, je ne comprenais pas tout, ensuite au-delà des mots, le respect était là et surtout, javais compris que ce nétait que simulacre, pour inclure du piment à nos ébats. De plus, je prenais autant de plaisir queux, sinon davantage.
Nous nous sommes réveillés assez tard le matin, fourbus, mais comblés. Après un savoureux petit déjeuner apporté par Farid, le Patriarche est venu nous récupérer et ma conduit, avec Rachid quand même pour assurer la traduction, pour me montrer ce magnifique domaine dans tous ses détails.
Je comprenais alors pourquoi leur famille en était très fière. Cétait vraiment une merveille.
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