Soiree Au Clair Obscur Au Cap D Agde (1/2)

Cap d’Agde

Soirée au clair obscur


Après une soirée ratée au Glamour, grande discothèque, du cap, nous avons opté pour le célèbre Clair Obscur, temple du SM

Nous sommes rentrés tôt de la plage pour nous préparer. En arrivant dans notre chambre dans cette villa L Eden, Nathalie, la gentille propriétaire nous a demandé de bien vouloir déposer un couple, nouvellement arrivé, au Cap, nous assurant qu’il reviendra ses propres moyens.
Nous avons donné RDV à 20h dans le patio.

Karine est partie se faire belle. De mon coté j’enfilais une chemise transparente avec poche en cuir, un pantalon Sharp ouvert devant et derrière, un boxer noir en cuir avec fermeture éclair sur le devant. J enfermais mes testicules dans un cockring qui gonfle les couilles et met le sexe en valeur. Cela donne un gros paquet…
Karine se pare de talons à aiguilles et d’une robe en cuir avec un grand décolleté. Pas de sous vêtement….
Nous partons rejoindre le couple. Vu mon habillement je mets une serviette autour de la taille. Nathalie qui nous attendait avec le couple m enjoint à tomber la serviette. Je joue le jeu malgré un sentiment de honte, mais surtout devant l’air moqueur de Karine.

Une fois le couple déposé sur le parking, nous nous dirigeons vers notre lieu de perdition. Nous circulons entre les bars où les vacanciers, tout en sirotant un verre de vin, commentent et regardent les tenues des uns et des autres. Les tenues sont plus ou moins sexy. Cela va du simple tee-shirt, maillot de bains et Tongue, à la tenue sophistiquée sexe voir très sexe. Karine est admirée, elle fait partie des femmes que l’on regarde car elles ont la classe et ne sont pas vulgaires. On se moque un peu de moi. Je presse le pas pour entrer dans la galerie marchande. La boite se situe dans cette galerie. On admire les tenues possibles, mais nous préférons jeter notre dévolue sur la boutique en face le clair obscur, qui ne vend que du matériel SM.


Karine veut me faire porter un collier de soumis. Nous en essayons plusieurs. A chaque fois la vendeuse me le met au cou comme un collier de valeur. Un esclave mérite bien des attentions.
Karine fait son choix sur un collier à cadenas. Elle garde secrètement le code. Elle attache une laisse au collier, et nous nous dirigeons dans l établissement désiré.
Petit vestiaire pour laisser le sac à main de Karine et nous entrons dans l’antre du SM.
Passés la lourde tenture, nous arrivons dans un grand couloir. Sur la droite, une salle à manger qui s ‘ouvre sur une deuxième pièce réservée au même usage. En enfilade, on trouve le bar, le long à droite de la salle à manger, avec une jeune barmaid sublime qui évolue en petite tenue.
Karine décide de poursuivre la visite tout en me promenant en laisse.
Sur la gauche, une première salle. Au fond, un chevalet, au milieu une barre avec des menottes et sur le coté, un prie-Dieu servant à punir.
Une deuxième salle est équipée d’un cheval à fesser. En avançant, on arrive dans une troisième salle avec une toile d’araignée en chaine et une croix de saint André.
Au fond du couloir, se trouve la grange, avec une roue, une cage, des piloris et une petite prison avec siège écarteur, et un sling dans un coin
Sur la droite du couloir une cellule avec siège écarteur qui monte en hauteur et banc à fesser
Docilement, je suis Karine.
Karine veut manger. Il y a un petit buffet, très modeste. Comme un bon toutou je suis ma maitresse.
Les tables sont presque toutes occupées. Karine choisit de s’installer à la table d’un jeune couple..
Je dois me mettre à genou parterre puisque le canapé semble réserver aux maitres et maitresses.
Karine engage la conversation avec eux. Sophie a 30 ans et Luc a 50 ans environ débutent dans ce milieu. Ils ne sont pas mariés mais amis. Sophie vient pour la 1ere fois au Cap et pour une première dans un club SM…son habit de fille sage confirme ses dires
Karine m’envoie lui chercher à manger et à boire.
Je m’acquitte de ma tache le mieux possible. Personne ne se moque d’un homme avec une laisse qui pend et qui commande les boissons au bar.
Je n’ai pas le droit de parler pendant le repas. J écoute la conversation et ma maitresse expliquer que je suis son esclave soumis et son cocu consentant et heureux. J en rougis presque.

Karine sonne la fin du repas et invite nos hôtes à bien s’amuser.
Elle tire sur ma laisse, je me redresse. Pas un mot n’est échangé entre nous. Je la suis docilement. Pas encore trop de monde.
On longe le bar. Karine interpelle gentiment la barmaid et demande de bien vouloir lui prêter une cravache. Elle en veut une qui corrige les soumis. La barmaid est toute heureuse de lui expliquer et de la conseiller dans le choix de deux cravaches. Elle me regarde avec un sourire d envie. Elle regarde avec admiration ma Maitresse.
Les outils bien visibles dans sa main, nous nous dirigeons vers la grange. Curieux spectacle d’une maitresse en cuir tirant en laisse son esclave.
Karine m’ordonne de me déshabiller entièrement. Nu comme un verre je m’installe sur la roue offrant mon dos à la vue de tout le monde.
Je passerai le reste de la soirée entièrement nu avec mon collier de soumis.
Les sangles entourent mes poignets. Puis une grosse ceinture me fait coller contre la roue, je suis obligé d écarter les pieds comme charlot pour que les chevilles soient sanglées.
Je ferme les yeux. Je ne vois rien et rentre dans mon univers. Mon cœur bat la chamade. Je ferme les yeux, réceptif et docile. Inutile d’être impatient. La cravache va vite entrer en action.
Je bande les muscles, ferme les yeux pour me couper de ce qui entoure. J entre dans ma bulle. J’ai beau avoir subi et vu Karine me fouetter, j’ai peur et je suis excité en même temps. La cravache fend l’air. J entends son sifflement avant qu’elle vienne meurtrir mes fesses. Karine prend la mesure de ce que je vais pouvoir supporter. Je ne dis rien même si je me tords dans mes liens.
Les coups se font de plus en plus rapide de plus en plus fort. J ai à peine le temps de respirer entre le changement de martinet.
Les endomorphines agissent vite et me font oublier la douleur…je suis dans ce monde que j aime. Le plaisir est là.
Karine s’arrête. Je rouvre les yeux et la devine à travers un petit miroir, s en aller. Des spectateurs arrivent. Je préfère les ignorer. Je n’ai plus de pudeur. Mais la curiosité est plus forte. Je tourne la tête au maximum et j’aperçois nos voisins de table et deux hommes.
Le regard des autres m indiffère. Karine arrive avec le propriétaire des lieux. Il lui explique comment fonctionne la roue et comment bien m’attacher. Il ressert les liens lui même. Je ne suis qu’un objet pour eux. Pas un mot pour moi ni sur moi. Il s en va.
Karine actionne la roue et je me retrouve la tête en bas. Mon corps est soutenu par mes chevilles. Mes bras ne me servent pas à grand chose, et pourtant je m accroche comme un malade aux poignets.
Karine reprend sa besogne. Dans cette position, mon sexe est moins protégé. Karine s’amuse à le viser. Elle joue parfaitement avec ma douleur et mon plaisir, dosant parfaitement les coups, suffisamment forts et rapprochées pour me maintenir désireux et excité, conscient de ma situation.
Karine s ‘arrête alors que mon corps en redemande encore. Elle me chuchote que nos voisins de table aiment le show. Je lui suggère de proposer à Sophie de jouer la Domina.
C était déjà son idée. Je referme les yeux. Un martinet me caresse doucement. J aime cette sensation avant sa morsure. Mais le coup est gentil. J entends Karine expliquer à son apprentie comment faire. Un martinet et une cravache entrent alors en danse sur mon dos mes fesses et mon sexe…j’exalte de plaisir. Je tremble lorsqu’elle arrête.
On me retourne, me détache et Karine installe Luc sur la roue, à ma place.
Pendant que Sophie règle les sangles pour Luc, Karine m’installe dans un pilori.
La foule est compacte pour regarder le show.
Qu’importe, je n’ai plus honte et de plus, on admire ma Maitresse
On reste silencieux devant la Domina, son apprentie et ses deux soumis.
Je me tords un peu la tête pour entre apercevoir Luc sur la roue et voir les deux dominas en actions…dieu que j envie Luc. J en suis Jaloux. Mais ma position ridicule avec mes fesses tendues et offertes n offre droit à aucune velléité. J ai beau me tordre, je ne vois que très partiellement la scène. Je n’ai même pas vu Karine arriver et me délivrer ses coups de paddle. Je me repositionne immédiatement. Il me faut un certain temps pour apprivoiser la douleur. Je serre les dents. Les coups tombent par vagues.
Karine passe d’un soumis à l’autre. Luc demande vite grâce. Ce qui me permet de bénéficier des derniers coups.
Karine me détache, me remets en laisse et nous pardon vers le bar nous rafraichir.

Nous retrouvons Luc et Sophie. Sophie est encore rouge d excitation. Luc est aux anges, il ne pensait pas que son amie aurait pu y prendre autant de plaisir.
Sophie me presse de question pour savoir si elle m’a fait mal…il faut expliquer le rôle de chacun.

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