Summer Of Love 8

Bérénice est excitée.


Mes paroles et mes gestes l’excitent.


Ma tête est toute contre son derrière. Son derrière reluise de cyprine. Son derrière me baise parce qu’elle, Bérénice, remue ses fesses à mesure que moi, je titille son anus de ma langue.


Nous sommes si proches, elle et moi.


Nous sommes si intimes.


Je m’occupe de Bérénice, comme bon me semble.


Je lui donne du plaisir, autant que je le veux. Autant que je le peux.


Ça me plaît beaucoup beaucoup de la lécher. En particulier… à cet endroit précis.


Je suis au cœur de son intimité. Une intimité qu’elle n’a offert à personne jusqu’à présent. Je suis le premier qu’elle laisse accéder à cette intimité vierge.


Bérénice, elle, se laisse faire. Elle m’offre toute sa confiance. C’est son cadeau. Dès lors, c’est un cadeau si cher à mes yeux.


De mon côté, je lui procure du plaisir. Avec amour. Même si j’utilise ma langue pour lui faire l’amour, c’est avec mon cœur, sans dire un mot, que je parle.


C’est avec mon cœur que je lui fais l’amour.


J’ai comme l’impression d’avoir pénétré en plein cœur de son intimité la plus secrète. Une intimité qu’elle n’ouvre qu’à moi seul, top secrète.


J’ai pénétré au plus profond de son intimité.


C’est comme si un Rubicon avait été franchi.


Je ne me lasse pas du tout de laisser traîner ma langue tout autour de son orifice anal.


Je ne me lasse pas du tout de lécher son petit cul, encore… et encore… et encore.


Je goûte à son anus, et je ne m’en lasse pas.


J’aimerais aller… encore plus loin. Par exemple ? Pouvoir introduire ma langue dans son cul, et qu’elle aille et qu’elle vienne. Encore… Encore… Encore…


Pour le moment, je n’ai pas préparé l’anus de Bérénice pour.




Je ne peux que la lécher encore et encore. Encore et toujours. Ça, ça prépare son petit cul à accueillir ma langue...plus profondément.


De mes mains, je continue d’écarter les fesses de Bérénice.


De temps à autre, je quitte très brièvement son anus et j’embrasse ses fesses. Je la caresse avec le plat de ma main.


De temps à autre, je ne me contente que de lui donner des petites claques.


Et visiblement… Ça fait de l’effet à ma chérie parce qu’elle glousse. Elle gémit. Elle soupire aussi.


– Encore… Encore… J’aime ce que tu me fais, chéri ! Encore !


Ces mots-là, ils me donnent encore plus envie de lui donner du plaisir. J’aime son anus.


Donc, je vais… continuer. Parce que je ne m’en lasse pas.

Son petit trou luise de salive et de cyprine.


Bérénice est toute excitée.

Et, à la manière qu’elle me parle et qu’elle me regarde, Bérénice en voudrait encore. Plus… Bien plus… Encore plus… Toujours plus…


– Chéri… Chéri… Ta langue… S’il te plaît…


Bérénice est haletante. Le plaisir lui coupe le souffle.


Bérénice n’est plus qu’une boule de plaisir, et elle en demande et en redemande plus, bien plus, encore plus, toujours plus.


Ça n’appartient qu’à moi, mais je trouve que le plaisir lui va bien et la rend encore plus belle.


– Chéri… Chéri… Tes mains… Écarte mes fesses… Je veux que tu vois bien mon cul...


Ma petite coquine de chérie est déchaînée. Ça s’entend aux mots de plus en plus salaces qu’elle emploie et au grain particulièrement sexy de sa voix.


– Chéri… Chéri… Chéri… Tes mains sur mes fesses…


Avec le plat de la main, je caresse l’un de ses deux globes. Lentement. Tendrement. Amoureusement. Avec désir. Puis… Au moment où elle ne s’y attend pas, je lui donne une petite claque.
L’effet de cette claque est immédiat : j’entends Bérénice gémir.


– Oui ! Oui ! OUI ! Encore… Encore...


Elle aime ça, Bérénice… !


Je maintiens ses fesses écartées afin de pouvoir continuer de lui lécher son anus comme bon me semble.


Je replonge mon visage en plein coeur de son cul.


Son derrière est tout mouillé. Tout imbibé à la fois de salive et de cyprine.


Bérénice, elle, n’en finit pas… n’en finit plus d’émettre ses bruits de plaisir.


De temps à autre, elle tourne la tête vers moi, et moi, je vois bien ses yeux suppliants… Elle en demande encore plus. Qu’est-ce qu’elle est gourmande, cette Bérénice ! Mais moi, ça m’arrange bien parce que lui donner du plaisir et la faire jouir est l’une des choses que je préfère dans la vie.


De ma langue, j’honore son petit cul. Je lui rends hommage. Je le vénère. Elle me l’offre en cadeau. Elle m’a offert sa plus profonde et sa plus secrète intimité. Je suis un homme ému. Et à compter de là, je fais tout pour lui rendre au centuple cet amour et ce désir qu’elle me porte. C’est aussi simple que ça.


Jamais, au grand jamais, le sexe anal ne avait attiré jusqu’à présent. Oui, nous en avions parlé, parfois, elle et moi sur l’oreiller. Mais, ce n’était resté qu’à l’état de fantasme, comme des mots écrits sur une page mais dont on ne fait rien ensuite.


Mais là, dans le feu de l’action et qu’elle était toute trempée… Je ne sais pas ce qui m’a pris mais la tentation était trop forte. J’étais curieux et… j’avais enfin envie de poser mes lèvres et ma langue autour de son anus. J’avais envie d’y goûter.


Et… une fois que j’y avais goûté, c’était fini. Je m’explique : j’adore son petit cul. Et c’est un véritable plaisir pour lui de m’occuper de lui.


Le joli petit œillet de Bérénice est si beau.


À compter de ce jour, je veux l’honorer.
..

Le joli petit cul de Bérénice est si beau, tout imbibé de cyprine et de salive. Trempé. Il me donne vraiment envie. À force de l’avoir embrassé, léché et titillé avec mes lèvres… avec ma langue… il n’est plus aussi timide qu’au tout début quand on le caresse. Oh… oui…


Je décide, me faisant pervers, de le laisser un tout petit peu. Je veux que Bérénice retrouve son second souffle. Je lui accorde un répit avant de poursuivre et… surtout… de reprendre mon exploration de son orifice anal.


Je me contente, avec l’aide de mes mains, de cajoler ses deux jolies fesses. Avec le plat de la main, je les caresse. Une caresse douce, légère. Avec la bouche, je leur donne un tout petit baiser. Mais… un tout petit baiser où l’on entend le contact de mes lèvres sur sa peau. Un peu comme un smack.


Bérénice tourne la tête vers moi.


Son visage… Son beau visage est transfiguré par le plaisir. Quand je disais que le plaisir lui allait bien… Et bien voilà…


C’est un répit, et je suis encore loin d’en avoir fini avec elle. Oh… non…


Mais… Pour le moment… Je veux jouir de cet instant de répit et de tendresse avec elle.


Je la chevauche et je m’allonge sur elle.


Mon torse contre son dos…


Mon torse est un petit peu poilu, et je sais que Bérénice aime bien sentir mes poils frôler et taquiner son épiderme. Elle m’a même dit une fois que ça lui faisait quelque chose. Un je-ne-sais-quoi.


Tout comme ça lui fait de l’effet quand je m’allonge sur elle et qu’elle sent le poids de mon corps sur le sien. Elle aime sentir nos peaux qui se touchent.


Bérénice n’est que érotisme, désir, sensualité mais aussi, et surtout, amour. L’amour de ma vie. C’est aussi simple que ça.


Mon torse contre son dos…


Bérénice m’accueille volontiers tout contre elle. Tout à l’heure, elle a tourné la tête vers moi.
Nous nous regardons. Nous ne nous quittons pas des yeux. Nous ne nous parlons pas. NOS YEUX PARLENT POUR NOUS.


J’approche ma tête de la sienne. Ma bouche est en première ligne. J’ai envie d’embrasser tendrement Bérénice. Je le veux.


Bérénice, elle, a les yeux mi-clos. Les yeux d’une femme amoureuse qui n’attend qu’une seule chose : que son chéri l’embrasse et lui témoigne tout l’amour qu’il a pour elle.


Elle est en train de retrouver sa respiration. Je le vois à sa poitrine lourde. Elle inspire, et elle expire. Ses seins tressautent. Ses seins ballottent. Et moi… j’embrasse tout doucement, tendrement, ma petite coquine de chérie.


Nous sommes si bien, rien que tous les deux. A l’unisson.

Bérénice est si bien. À l’aise. En sécurité, avec moi. Elle jouit de ce moment intime que nous sommes en train de partager, rien que elle et moi.


Elle est si belle. Elle m’hypnotise. Elle m’obsède. Je n’ai d’yeux que pour elle.


Je l’aime, plus que tout au monde. Et, mon seul dessein, c’est de la rendre heureuse et qu’elle ait le sourire. Qu’elle le garde.


Hier soir, ça ne semblait pas en être le cas. Elle paraissait contrariée. Elle n’était pas la Bérénice de d’habitude. J’avais beau essayer de détendre l’atmosphère et d’être aux petits soins pour elle, ça n’avait pas l’effet escompté. Je ne sais pas ce qui s’est passé. J’ai essayé de savoir, mais elle n’a rien voulu me dire. Je l’ai embrassée. Je lui ai témoigné la tendresse et l’amour que j’ai pour elle, en la regardant les yeux dans les yeux. Je lui ai souri. J’ai posé une main tout doucement sur sa joue. Mais… rien n’y faisait. Bérénice s’est détachée de mon étreinte, et puis elle s’est dirigée vers la salle de bain. Elle m’a dit qu’elle était fatiguée et qu’elle avait besoin de prendre une petite douche et qu’elle avait besoin de sommeil. Ça m’a fait mal de la voir ainsi. Je veux dire : bien sûr que nous avons tous et toutes ces moments où l’on est moins bien que d’habitude. Pourtant… J’aurais aimé faire quelque chose pour que Bérénice puisse penser à autre chose. Et quand elle s’est endormie et que moi, j’étais encore éveillé, ça m’a trotté dans la tête. Il fallait que je fasse quelque chose…


Il fallait que je fasse quelque chose.



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