Collection Cocu. Le Poulain. Saison I (2/4)
« Jai beau pleurer toutes les larmes de mon corps, je lai fait. »
Vous comprenez mieux ces mots qui commençaient mon chapitre I de mon récit.
Jai trompé Louis sous les yeux de mon fils.
Pardon, grâce à une barrière pleine du box, il était à trois mètres de moi et jai réussi au moment où jai joui à rester imperturbable évitant par là même linfamie de devoir expliquer à un de 5 ans que sa maman est une grosse salope.
Avec de la chance, jéchappe à Duc mon beau-père qui arrive dans son écurie quelques secondes après que jai rétabli ma dignité de femme mariée en rajustant ma jupe sur mes bas.
Un moment avec Louis mon mari, je pense avoir échappé au pire en me donnant comme jamais je ne me suis donnée depuis mon mariage.
Je suis rattrapée par mon téléphone qui sonne.
Je pensais que Ludo le palefrenier qui a fait de moi une femme adultère mayant baisé avec sa verge longue et dur, me laisserait tranquille.
Cest mal le connaître car il me donne rendez-vous à la grange à la sortie de la forêt.
Cette grange a déjà une histoire pour moi, cest là que Louis avant de mépouser ma dépucelé.
C'est avant que je sois dans le haras de Duc, cest certainement une coïncidence.
Je pleure et je me forge une carapace de dignité.
Impossible que jaille là-bas.
Un bon point pour Ludo outre le fait de mavoir fait jouir mamenant à lorgasme surtout dans la situation où nous étions, aucun chantage de sa part.
Il aurait dit « si tu refuse de venir, je signale ton comportement à ton mari », il maurait aidé à rester tranquille chez moi.
Jai cessé de pleurer, je dois assumer, mon fils est à lécole.
Lucrecia sa gouvernante doit le récupérer à 16 heures et le faire goutter.
Louis est avec son père et Sonia, en début daprès-midi, ils doivent pratiquer une sailli.
Ils mont proposé de venir, mais je trouve que le sexe animal entre les chevaux est choquant pour moi, trop rude, trop bestial, surtout quand létalon mort lencolure de la jument.
Est-ce la longueur et la grosseur du sexe mâle qui me chavire, Louis ayant une petite bite.
Alors à 13 heures 45, je démarre ma voiture.
Je marrête, tu es folle fait demi-tour.
Un point minterpelle, la bite de Ludo, je lai bien senti au fond de moi sans lavoir vu.
Cest linterrogation qui me fait reprendre ma route.
Je tourne à droite dans la forêt, le chemin est carrossable sans rouler trop vite.
Je sais que je vais déboucher à quelques mètres de la grange.
Il a bien choisi lendroit, cest un bout du monde, à part un chemin menant vers les écuries familiales impossibles de prendre en voiture et la route par laquelle je suis venue, personne ne vient ici.
Fandango broute de lherbe, il est harnaché et son cavalier est invisible.
- Eh ! je suis là, monte.
Comme après mavoir baisé dans lécurie, je le vois devant louverture de la grange au-dessus de la porte qui est entrouverte.
Depuis mon dépucelage, c'est la première fois que je reviens.
Je sais comment me glisser et comment monter jusquà lui.
- Sais-tu pourquoi je tai fait venir ici Marie ?
- Pour recommencer à me faire lamour.
- Certes, je vais te faire lamour, mais surtout pour réaliser un fantasme qui me taraude depuis de nombreuses années.
- Un fantasme explique toi.
- Tu vois la partie supérieure de cette grange, principalement ces bottes de foin.
- Oui.
- Cest là que je dormais il y a environ 6 ans.
Tu sais quavant que ton beau-père ne membauche, je travaillais aux écuries du père Antoine.
Je me tenais en forme en faisant du VTT.
Cette après-midi là, jétais de repos et je roulais où mon vélo voulait memmener.
Cest vers toi quil ma conduit, du moins quand jai entendu des personnes parlées, je me suis fait tout petit et je vous ai vu avec Louis.
Javais entendu dire, que ce grand dadais avait rencontré une jeune fille et quil allait lépouser.
- Tu mas vu me faire dépuceler ?
- Cest exact, et quand ton futur ta couché à mes pieds, javais une vue imprenable sur ta toison blonde.
Une belle fille élancée comme toi, je bandais comme létalon qui doit saillir sa pute de jument en ce moment au haras.
- Oui, dailleurs que fais-tu là, je tai toujours vu participer aux saillis des juments de mon beau-père.
- Un poignet, jai bobo à mon poignet, pas de chance, le docteur me reçoit en fin daprès-midi.
Sonia est là, ils sont assez pour assumer.
Toi tu vas assumer à la suite de notre première rencontre, ton mari te sexe comme un con pour une femme de ta classe.
Je ten dirai plus après, jai envie de te faire lamour.
Agenouille-toi.
Jai perdu toute inhibition, fini les ouis les nons, les peut être.
La première fois il ma pris par surprise doù mes larmes.
Là quant à hauteur de son sexe, cest moi qui détache son ceinturon, je me plaignais, de ce quil ma fait, cest fini.
Je métais donné comme motif de voir la verge qui avait été en moi me donnant plus de plaisir quavec celle de mon mari.
Je suis satisfaite, longue au moins 22 à 25 centimètres.
Aucune comparaison possible avec celle de Louis, ma figure est près de la sienne.
Est-ce les saillis quil pratique avec ses étalons, il a pour habitude de venir sur moi et de me pénétrer sans aucun préliminaire.
Sa verge, je la vois, il me la montre, surtout dans notre salle de bain.
Si je réfléchis une seconde, à part le foin de cette grange depuis notre mariage c'est toujours couché sur notre lit mécartant simplement les cuisses qu'il m'a fait l'amour.
- Arrête de la regarder, suce là.
Cest vrai, tu ne las jamais fait, chaque fois que jai vu ton mari te prendre cétait ici et chaque fois dans votre lit dans la position du missionnaire.
- Tu mas vu plusieurs fois faire lamour avec mon mari ?
- Suce, je texpliquerais après, je te dis que je suis amoureux de toi depuis le premier jour où je tai vu nu ici !
Incrédule, un peu chambouler, la bite que me présente Ludo me fait envie et je la prends dans ma bouche.
- Cest bien, je texpliquerais, fais-moi une belle fellation, attend je vais tapprendre à bien sucer ma bite.
Prends-la dans ta main et caresse là en suçant mon gland.
Impeccable, tu es faite pour pomper les mecs et dire que ton mari refuse que tu le pompes, ça a du pognon mais le sexe, semble étranger pour eux.
Oui, ta langue tout le long.
Oui plonge là tout au fond de ta gorge.
Je devrais avoir honte de ce que je fais, je devrais de nouveau me mettre à pleurer.
Mais ce sont des cris de joie que jai envie denvoyer au monde entier, même si je suis au fin fond de la forêt.
Non, cest le monde des reines des suceuses de bites que je suis fière dintégrer.
- Cest bien Marie, tu apprends vite, tu dois te demander comment je sais que c'est la première fois que tu suçais une bite.
Du jour où je tai vu te faire louper par ton mari te baisant pour la première fois ici, je te suis devenu accro.
Je tai suivi quand vous vous êtes installés dans votre ferme normande.
Jétais derrière tes fenêtres de chambre ta nuit de noce, reconnais ça a duré moins de 10 minutes, une nouvelle fois en missionnaire.
- Tu étais là ?
- Comme chaque fois que je pouvais traîner vers chez toi.
- Pourquoi notre chien est resté muet, il est toujours prompt à se manifester !
- Un chien cest comme un cheval, il suffit de leur flatter lencolure et il devient votre ami.
Je savais que tu avais un berger allemand à la chaîne.
Javais des croquettes, je lui en amène chaque fois que je viens te voir.
Il reconnait mon odeur et j'en ai fait une carotte.
Je continuerais bien cette conversation, mais jai envie de toi, relève-toi.
Dire que je suis conquise, cest peu dire, je viens davoir un sexe dans ma bouche et je dois reconnaître que jai énormément aimé.
Jétais prête à recevoir son sperme et aller jusquà lavaler.
Je me redresse et pour la première fois la bouche dun autre homme vient se poser sur ma bouche.
Si doucement que cest de moi-même que jouvre mes lèvres et que je lui offre ma langue.
Louis a depuis longtemps arrêté de membrasser à me chambouler ma petite culotte.
Même lorsque je me suis donnée à lui à son retour dItalie, nous avons baisé plus sauvagement quà lhabitude mais sans jamais atteindre le plaisir que je prends dans les bras de Ludo.
Mes seins, je maperçois que jai des seins, il en prend un dans sa main sans pourtant quitter ma bouche.
De lautre il commence par déboutonner ma blouse lui permettant datteindre mon balconnet.
Le baiser, ses mains sur mes seins, je passe un moment divin.
Dire que jai hésité à venir après ce quil avait osé me faire dans lécurie du Duc.
Je voulais certainement mettre un rempart entre mon amant et moi quand jai mis mon jean, mais lui aussi me quitte après que les trois boutons ont sauté un par un.
Ma chatte est à sa merci et jadore.
- Je vois que tu mouilles, je suis satisfait, depuis le temps que je bande pour toi.
- Je vais mallonger, je te veux en moi, jai tellement aimé la première fois.
- Allongé, oublie, jaurais limpression de te baiser comme ton mari, met toi en levrette.
- Comment ?
- Cest vrai, a oublié de t'apprendre, met toi à quatre pattes sur cette botte de foin
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