Collection Cocu. Le Poulain. Saison I (3/4)

J’avais pleuré toutes les larmes de mon corps la première fois où j’ai cédé à Ludo dans les écuries du Duc mon beau-père, à quelques mettre de mon fils Jules qui a 5 ans.
Dans cette grange où je me suis rendue à son appel, retrouvant l’endroit où Louis mon mari m’avait dépucelé, j’apprends que Ludo le nouveau palefrenier nous avait vus et avait flaché sur moi.
Il m’avait vu la chatte dénudée et ma blondeur l’avait subjugué.
Dans ma grange, c’est drôle de dire ma grange alors qu’elle devait être là bien avant que je vienne y faire mes frasques.
La douceur de mon amant et l’insolite de la situation font que lorsque Ludo après m’avoir fait jouir plusieurs fois pendant le moment où il me prend en levrette sur cette botte de foin quand nous nous écroulons, je suis trempée, de sueur et de sperme au fond de mon vagin.
Il me faut un certain temps pour reprendre pied, Ludo m’a couché à côté de la botte de foin et me caresse la tête.

- Tu as aimé Marie, j’espère t’avoir convaincu que je suis l’amant qu’au fond de toi tu attendais, si nous savons faire attention nous pourrons nous retrouver, j’ai beaucoup de choses à t’apprendre.

Sa main retourne sur mon sein dénudé, mon jean est à mon côté, mon string entouré sur l’une de mes chevilles.
Sa main glisse et viens retrouver ma chatte.
Suis-je devenue insatiable, je mouille de nouveau.

- Dis-moi, Ludo, depuis quand m’observes-tu dans ma maison.
- Quel moment !
Tu vois ce string que je t’enlève.
- Oui, regarde, voici le premier que ton mari t’a offert, souviens-toi, tu ignorais comment ça se mettait, tu passais la ficelle devant.
- Mon string rouge, je croyais l’avoir perdu, c’est vrai c’est le premier que j’ai porté.
Mais tu es rentré chez moi.
- Plus souvent que tu peux le croire, c’était facile, vous cachez une clef sous le chien en pierre.
- As-tu été dans mon armoire ?
- Inutile, celle-là c’est dans ton panier de linge sale que je l’ai trouvé.

Celle dans ta commode je les ai bien sentis, mais elles étaient loin d’avoir la saveur de celles imprégnée par ta chatte.
Si tu savais les masturbations qu’elles m’ont procurées.
- Je m’en rends compte, elle est délavée.
- Récupère là, je garde celle que je viens de t’enlever, quand nous serons séparés, ton odeur sera de nouveau présente.
Chaque fois que je te verrais tu me donneras celle de la veille et je te rendrais l’autre.

Comme nous sommes placés, il se détourne légèrement, je sens qu’il est derrière moi bandant aussi fort que les dernières fois.
Il me fait lever ma jambe et arrive à me pénétrer la chatte.
Il va falloir que je m’achète un livre sur les positions sexuelles.
J’étais persuadée qu’en amour seule la position que me faisait prendre Louis que Ludo a appelé la position du missionnaire.
Une nouvelle fois quelques coups de sa bite et il me fait partir vers des sommets que j’ignorais possible en faisant l’amour.
C’est à ce moment qu’au loin, j’entends la pendule du clocher sonner.
1, mince 5 coups, il est dix-sept heures.

- On essaye de se revoir rapidement !
- Sans problème, mais il faut que je rentre.
Ce soir nous allons manger chez mes beaux-parents pour l’anniversaire de Jules.
Mon mari va venir se préparer inutile de le laisser penser que je lui suis infidèle.
- Surtout si nous voulons que cela dure entre nous.

Le soir, comme nous avons l’habitude de le faire, nous mesdames avons mis nos robes du soir.
Comme je l’ai dit, nous sommes longilignes, belle-maman et moi.
Je m’aperçois que je n’ai simplement dit que Sonia ma belle-sœur était lesbienne.
Elle a tendance à être Gothique.
Tatouage, piercing et tenue noirs avec des brodequins aux bouts de ses pieds.
Elle à 21 ans, si je ressemble à ma belle-mère, elle ressemble à Duc avec un caractère de chienne.
Je parle de son caractère bien qu’avec moi elle a toujours été la même fille sympa.
C’est la marraine de mon fils.

- Jules, ton grand-père t’a offert un pur-sang, il va grandir plus vite que toi.
Tu pourras le voir dans le pré avec ton papa car il est trop grand pour toi et trop jeune pour être débourré.
Ta marraine t’offre celui qui restera à ta taille.

Nous sommes dans la véranda du manoir de mes beaux-parents.
C’est à ce moment que Ludo lui aussi sur son trente et un comme nos hommes dans leur smoking entre avec un poney a la robe tachetée de brun.

- Je savais que tu es trop petit pour monter sur le cadeau de mon père, marraine a pensé à toi et quand j’ai su que cette petite femelle poney était à vendre, nous sommes allés l’acheter avec mon frère.
- Je peux monter dessus.
- Oui, vous allez la reconduire dans son écurie avec Ludo et il va s’en occuper il t’apprendra à monter demain.
- Merci tante Sonia.

Jules refuse de dire marraine depuis qu’il parle, il doit imiter son grand-père qui parle vieille France.
Une fois assis sur la selle, ils partent vers les écuries, je le suivrais bien mais avec ma robe longue j’aurais peur de balayer le crottin.

- Ramène-nous Jules et viens prendre une coupe de champagne Ludo.
- Merci monsieur.

De retour Jules vient sur mon ventre m’entourant le haut de mes jambes.

- Maman, je veux que tu apprennes à monter, nous pourrons nous promener avec papa.
- C’est une bonne idée, Marie, mon petit-fils à toujours des idées lumineuses.
Je viens de récupérer une ancienne trotteuse douce comme un agneau qui va finir sa vie dans nos pâturages.
Je vais la faire pouliner.
Marie, si tu la montes-tu nous rendras service car elle aime se promener et ça nous fait perdre du temps.
- Madame Marie, si vous voulez je vous apprendrais, demain venez avec Jules au manège, je vous donnerais vos premiers cours à tous les deux.

Je vois la proposition de mon amant loin d'être anodine.
Sa queue m’a plu et sa proposition peut être une solution.
Quoi de plus anodin que des balades dans notre forêt voisine ayant pour motif les balades obligatoires des chevaux.
Nous prenons le champagne, avant que nous ayons fini nos coupes.
Ludo se trouvant à mon côté arrive à me passer la main aux fesses.
Sa main me fait comme une brûlure.
Il m’a baisé à quelques mètres de mon fils, là nous sommes à moins d’un mètre de toute ma famille.

Bref, le lendemain nous prenons nos premiers cours mon fils et moi.
Jules est rapidement à l’aise sur son poney alors que je suis plus rigide, j’ai peur de tomber.
Pourtant Anaïs, c’est le nom de mon cheval est bien plus petite qu’un pur-sang comme Jupiter que nous voyons gambader avec sa maman dans le pré non loin du manège où je tourne.

- Madame Marie, laisser votre corps suivre les mouvements de la jument.
Votre fessier tape sur la selle à contresens.
Si vous continuez ce soir monsieur Louis sera dans l’obligation de vous passer de la pommade adoucissante, votre joli fessier sera complètement tallé.

J’ai envie de le gifler, il a une manière de se foutre de ma gueule qui en d’autres temps m’aurait fortement déplu car je sais quand lui-même, c’est lui qui voudrait me caresser les fesses pour adoucir ma douleur.

- Maman demain, je veux arrêter de tourner en rond.
- Ta maman se tient de mieux en mieux, c’est d’accord nous ferons une courte balade.

Nous arrivons à ce que l’un et l’autre souhaitaient quand j’ai accepté sous couvert d’accompagner mon fils avec son poney.
Nous sortons en semaine pendant que Lucrecia s’occupe de la maison et de mon fils après l’école.
Tous l’été nous prenons du bon temps, je suis de plus en plus accro à la bite de mon amant surtout que Louis se détache de plus en plus de moi.
Ludo me baise dans la forêt, il me fait plaquer mes seins sur des arbres et me prends venant par-derrière.
Je dis bien par-derrière car depuis quelques jours je lui ai offert mon anus.
Quand il s’est présenté à ma petite porte, c’est moi qui ai osé dire !

- Vas-y encule-moi.

Et c’est moi qui m’empale sur cette verge qui entre comme dans du beurre, bien que pendant quelques heures j’ai eu mal à mon fondement comme j’ai eu mal en apprenant à monter à cheval.
L’endroit où nous pratiquons le plus la sodomie, c’est dans notre grange que nous l’avons accaparé.
Les employés de mon beau-père ont failli nous surprendre quant au moment où nous venions de nous arrêter à deux doigts de monter à l’étage, nous avons entendu le bruit d’un tracteur.
Ils avaient fait les foins et venaient entrer des bottes rectangulaires pour l’hiver prochain.
C’est le lendemain que nous sommes revenus tout était calme et quand je me suis agenouillé sur une botte que Ludo avait fait glisser, son sexe était juste à la hauteur de ma rosette.
Il m’a pénétré divinement ses mains empaumant mes seins et les tirant en arrière chaque fois qu’il me donnait de grands coups de bite.
J’avais posé mon string à mon côté, il me l’a mis dans la bouche pour éviter que mes cris malgré notre isolement s’entendent à l’autre bout de la forêt.

Quelques jours plus tard, en vue du 15 août, fête qu’Isabelle ma belle-mère ne manquerait pour rien au monde, Duc l’ayant séduite un 15 aout, je me rends chez ma coiffeuse.

- Bonjour madame Marie, il y a un contretemps, Agnès est mal portante aujourd’hui, elle sera là demain à la même heure pourrez-vous revenir.
- Sans problème, je serais là.

Je quitte le salon de coiffure, que faire, Ludo est parti avec Duc, ma belle-mère tout à ses préparatifs me recevra comme un chien dans un jeu de quilles.
Il me reste une solution, revenir dans notre cottage et faire une sieste.
Quand je me gare, le pick-up de Louis est là, peut-être allons-nous enfin faire l’amour.

J’entre, personne dans la cuisine et la salle.
J’entends du bruit à l’étage où Lucrecia a ses appartements et sa vie à elle.
La porte est entrouverte, le spectacle que je découvre dépasse tous les entendements, comment croire ce que je découvre…