La Vie Dissolue D'Une Bourgeoise 7 : Les Retrouvailles

Je remarque un jour que Geneviève semble se laisser aller. Elle se maquille moins, retrouve ses comportements « d’avant ».Un jour que nous sommes seuls, je l’interroge, lui demandant ce qui provoque cela.
« Ça ne va plus avec Ludivine ?
Ce… Ce n’est pas ça !
C’est quoi alors ?
Vous savez que Pierre est décédé.
Oui, bien sûr ! Ah, il vous manque un mâle ! Vous voulez que je m’en occupe ?
Non voyons ! Je ne suis plus prête à recommencer une histoire comme cela ! Mais c’est vrai qu’un homme me manque !
Vous êtes devenue une sacrée cochonne belle-maman ! Mais pourquoi vous laisser aller, vous êtes encore très attirante !
Vous savez aussi que Ludivine part à Bordeaux pour avoir une promotion ? Je ne peux pas l’empêcher de faire ça !
C’est sûr, mais elle vous aime toujours !
Oui, mais nous serons loin et je ne sais si notre amour le supportera !
Écoutez, vous aurez moins l’occasion de vous voir, c’est sûr ! Il est vrai que vous « viviez » quasiment ensemble depuis dix ans. Mais quand vous vous retrouverez ce sera plus intense.
Vous êtes gentil ! Mais vous, comment allez-vous… avec ma fille ?
Oh ! Vous savez bien que ce n’est pas folichon ! On ne fait plus l’amour depuis longtemps !
Vous allez divorcer ?
Ça me parait inéluctable !
Et vous, vous avez quelqu’un ?
Curieuse question de la part d’une belle-mère !
Je vous connais. Vous, faire abstinence et puis il y a Ludivine et…!
Non, mais rien de sérieux – je ne peux pas tout lui dire – Bon, en attendant, vous allez vous reprendre ! »


Les prédictions de Geneviève se sont révélées exactes, l’éloignement a séparé petit à petit les deux lesbiennes. L’amour a fait place à une forte amitié lorsque Ludivine a rencontré une fille de son âge, ma belle-mère a bien compris que leur histoire se terminait. Elles ont quelquefois fait des trios, pleins de tendresse, mais, avec sagesse, Geneviève, consciente de la différence d’âge et de la situation, laissera sa place, ce qui n’arrangera pas son moral.


Mon ménage bat de l’aile. Depuis la naissance de notre fils, ma femme va jusqu’à faire chambre à part, la situation s’est dégradée jusqu’à l’inévitable divorce.
Je vois toujours ma maintenant ex-belle-mère, lorsque j’emmène ou récupère mon fils chez elle. Je vis seul, aussi me propose-t-elle de m’aider à ranger ma maison.
Geneviève a vieilli. Ses formes se sont un peu épaissies, mais, la voir s’activer dans ma cuisine, titille ma libido. Je passe derrière elle, je l’enlace alors qu’elle est penchée sur l’évier et dépose un baiser dans son cou.
« Voyons ! Dit-elle, malgré tout mollement. Nous avions décidé…
Oui. Enfin, vous aviez plutôt décidé, mais aujourd’hui la situation est redevenue… comme avant et même plus simple.
Je suis vieille maintenant !
Mais toujours aussi bandante belle-maman !
Soyez sérieux ! Il y a longtemps que je ne fais plus envie à qui que ce soit !
Et ça c’est quoi ? Lui dis-je en prenant sa main et en la portant sur mon sexe bandé entre ses fesses
Oh ! Mais…
Viens Geneviève, j’ai envie de toi ! »
Je l’entraine dans ma chambre, où l’on s’embrasse fougueusement, presque quinze ans après notre dernière fois dans mon appartement. Fébrilement, je la déshabille retrouvant sous des vêtements de vieille, les seins aux tétons arrogants que je n’ai pas oubliés. Certes son ventre s’est un peu arrondi et la toison pubienne a repoussé avec beaucoup de poils blancs, mais l’ensemble est toujours harmonieux. J’arrache, plus que je ne défais ses sous-vêtements, je la bascule sur le lit et face à elle, me déshabille à mon tour.
Je bande fort sous son regard. Je grimpe sur elle alors qu’elle écarte ses cuisses. Comme la première fois, c’est elle qui guide mon sexe dans le sien, je pénètre à nouveau son antre brûlant.
Notre coït n’est plus aussi fougueux qu’il y a quinze ans mais Geneviève retrouve ses sensations, elle relève ses jambes et entoure ma taille. Elle est restée souple malgré ses soixante ans passés.
Bientôt, le clapot de ses sécrétions rythme notre baise. Geneviève éclate dans un premier orgasme. Je suis beaucoup plus lent maintenant à jouir, aussi je la retourne et la positionne en levrette. Face à moi sa lune me semble encore plus grosse que dans mes souvenirs, mais cela ne m’empêche pas de la prendre à nouveau, lui faisant découvrir notre couple dans les grandes glaces du placard qui couvre tout un pan de mur de la chambre. Au dessus de la tête de lit, j’avais aussi installé un miroir incliné permettant de se voir en action.
« Regarde comme tu es belle quand tu fais l’amour ! Rappelles-toi quand nous étions dans ta chambre ! Dans ce lit, j’ai baisé ta fille quand elle aimait encore cela. D’autres femmes aussi en ont profité et ont adoré se regarder baiser ! Tu es aussi salope qu’avant alors lâches-toi ! Tu es toujours bandante. Ton cul est encore plus large qu’avant, ce serait dommage que tu ne t’en serves pas !
Oh oui ! Vous êtes un salaud ! Vous savez toujours m’amener où vous voulez ! Vous m’avez rendue esclave de la chair ! Venez ! Baisez-moi ! J’ai envie d’être à nouveau votre pute, votre salope ! remplissez-moi ! J’aime votre queue ! Elle me rend folle ! A cause de vous je suis devenue adultère, ueuse, homosexuelle ! Vous avez réussi à me pervertir totalement. Je vous appartiens, faites ce que vous voulez de moi !
Puisque tu le veux, tu vas vraiment devenir une pute ! Je vais te faire baiser par d’autres hommes ou des femmes qui t’utiliseront ! Tu verras qu’une vieille salope comme toi devient vite un sac à foutre, un vide-couilles ! Les hommes adorent baiser et enculer une vieille bourgeoise. Ton gros cul va recevoir de la bite. Je te ferai monter par des arabes et des noirs en manque. Ils vont te démolir la chatte et le cul ! C’est ça que tu veux ?
Oui ! Vous avez réussi ce que vous m’aviez promis il y a longtemps. Je me vautrerai dans le stupre, la perversion, dans la fange, puisque c’est votre bon vouloir. Considérez-moi comme votre putain personnelle.
Ce que vous demanderez, je le ferai !
Eh bien ! Quand tu te lâches, tu ne fais pas semblant ! J’adore quand tu es comme ça ! Je ne pense pas que je te ferai faire la pute, sauf si ça t’excite, mais tu seras ce que tu considérais autrefois comme une putain. Je vais te travailler au martinet, au gode vibrant dans tous tes trous. Je vais r tes grosses mamelles et ton cul de vache ! »
Notre délire verbal nous excite encore plus. Geneviève jouit et arrose les draps de son jus abondant. Tout en la baisant j’ai enfilé un gode dans son cul. Au moment de jouir, je me retire, je retourne Geneviève sur le dos, je l’enjambe et gicle sur son ventre ses seins pour finir dans sa bouche.
Autant l’un que l’autre nous sommes exténués par ce moment intense. L‘action autant que les paroles obscènes nous laissent vidés, sans énergie. Geneviève a maintenant honte de ce qu’elle a dit. Je la rassure en disant que l’on peut tout dire dans ces moments-là et que cela n’implique pas ment qu’on le pense vraiment.
« Mais je pense vraiment ce que je vous ai dis ! C’est ça qui est le pire. J’ai envie d’être tout ça ! Je ne me reconnais plus ! S’il vous plaît, vous me donnerez à des hommes et des femmes, s’ils veulent de moi ! Je veux savoir si j’en suis capable. J’ai envie d’être votre esclave soumise. N’hésitez pas à m’humilier, me corriger, me fesser ! J’ai envie de vous prouver et de me prouver, que je peux le supporter ! Je me donne à vous corps et âme ! Je suis perdue pour la morale chrétienne, alors peu m’importe aujourd’hui ! »
Pendant plus de deux heures, nous faisons l’amour, alternant les positions, comme rattrapant le temps perdu. Geneviève en redemande. Quand je baisse la garde après avoir déchargé mon foutre en elle, ou sur elle, elle plonge sur ma bite et me suce jusqu’à que je sois à nouveau opérationnel.
C’est le téléphone qui nous fait redescendre sur terre. Au bout du fil, c’est mon ex-femme. Je fais signe à Geneviève de ne pas faire de bruit.
« Je pourrais t’amener Louis ce soir ? J’ai une réunion – nous avions la garde alternée de notre fils, mais selon les besoins nous nous arrangions.
Elle reprend - J’ai essayé de joindre ma mère à la maison, mais elle ne répond pas, alors, si tu peux me dépanner.
Elle est chez moi ! » Dis-je – Geneviève est écarlate et me fait signe que non – « Elle est venue m’aider à ranger. Elle est dans ma chambre en ce moment. Tu veux que je l’appelle ? » A mes côtés mon ex-belle-mère ne sait plus où se mettre, comme si sa fille pouvait la voir, couchée nue à mes côtés. Mon ex ne pense qu’à une chose, caser son fils pour la soirée.
Non, non ce n’est pas la peine ! Vous en avez pour combien de temps ? – si elle savait ! –
Je ne sais pas, une heure environ, pourquoi ?
Je vais lui amener vers vingt heures. Elle le fera manger.
Amène-le ici, j’ai prévu de faire manger ta mère – ce qui n’est pas vrai – Il mangera avec nous et il pourra même dormir… Oui, je te la passe »
Je donne le combiné à Geneviève, toujours nue, et je rigole en pensant à la tête de sa fille si elle la voyait, si elle nous voyait ! Ma belle-mère ne sait comment se sortir de la situation, perturbée il est vrai par mes caresses sur ses seins ou entre ses jambes. Elle est obligée de raccourcir la conversation et d’accepter ma solution. Sa fille, à son habitude, trop contente de se débarrasser de son rejeton a tout de suite approuvé.
« Vous êtes vraiment fou me lance Geneviève après avoir raccroché. Vous vous rendez compte de ce que vous faites ?
Mais bien sûr belle-maman ! On va se doucher, s’habiller, ranger un peu, mais pas trop, il faut en garder. Nous allons préparer le repas, récupérer et faire manger Louis, le coucher et enfin refaire l’amour toute la nuit.
Sûrement pas !
Sûrement que oui ! Nous avons du temps à rattr tu n’auras qu’à appeler à la maison après manger – son mari est revenu y vivre depuis le départ de Ludivine - tu diras que Louis veut que tu restes dormir ici.
Vous vous rendez compte, s’il se réveille dans la nuit ! » Elle n’est pas contre faire l’amour à nouveau, non, ce qui l’inquiète est que son petit-fils ne nous surprenne
« Tu le connais, il dort comme une souche et il faut aller le réveiller le matin. En plus sa porte est dure à ouvrir et fait beaucoup de bruit en s’ouvrant. Nous serons tranquilles. »
Lorsque mon ex arrive, la table est mise et Louis est tout heureux de manger avec son père et sa grand-mère. Sa mère, comme d’habitude n’a pas le temps de rester et repart au bout de cinq minutes. Je la soupçonne d’un rendez-vous galant, ce dont je me contrefiche. Louis avale vite son repas et monte directement dans sa chambre regarder la télévision ou jouer sur la console que je lui ai offerte..
Plus tard, sa grand-mère monte le voir, le trouve endormi, éteint la télé et redescend. Elle appelle son mari. Auparavant je lui ai demandé de se déshabiller et alors qu’elle est au téléphone, je suis entre ses jambes en train de la lécher ce qui ne manque pas de sel et doit l’exciter car elle fabrique beaucoup de mouille.
Elle n’a aucune difficulté pour convaincre son mari, d’autant qu’il se fiche complètement de ce que peut faire sa femme depuis longtemps. Le fait qu’elle dorme chez son ex beau-fils ne le dérange pas plus qu’autre chose. Il ne se pose même pas la question de savoir si elle a des habits de rechange ou des affaires de toilette. A l’avenir, Geneviève laissera tout le nécessaire chez moi car bien sûr ces nuits se renouvelleront souvent.
Après avoir rangé la maison, nous rejoignons ma chambre où ma belle-mère se donne à nouveau complètement, réclamant même une sodomisation qu’elle n’a plus connue, à ses dires, depuis longtemps.
Depuis ce soir-là, nous nous retrouvons au moins une fois par semaine et Geneviève redevient la salope que j’avais quittée quinze ans auparavant.
A cette époque, paradoxalement, je « vis » avec mon ex-belle-mère. Elle vient parfois dans la journée et fait le ménage, la lessive et même des repas. La semaine où je garde mon fils elle le ramène tous les soirs de l’école et reste souvent « dormir ». La chambre d’amis est officiellement la sienne aux yeux de sa fille et son mari. Comme dans sa famille personne n’a rien à faire de ce que font les autres et que ça arrange tout le monde, ils ne trouvent rien à redire à sa présence chez moi. Geneviève joue parfaitement son rôle de belle-mère dame patronnesse. Elle ne rit jamais avec les autres personnes, donne toujours des conseils de bienséance et personne ne peut la soupçonner d’entretenir une relation sexuelle, avec son ex-gendre en particulier, « dont elle est bien obligée de s’occuper vis-à-vis de son petit-fils ».
Quand nous le pouvons, nous nous retrouvons en dehors du village. Geneviève a voulu retrouver l’ambiance de la plage naturiste comme elle la fréquentait avec Ludivine. J’ai beaucoup ris car elle ne pensait pas que je pouvais aimer cela et a voulu me faire la surprise. J’ai un peu joué avec elle en faisant semblant de me tromper de chemin, ou en haut de la dune de tourner du mauvais côté. La laissant passer devant moi, je me sui mis nu sans qu’elle le voit. Elle ne s’en est rendu compte qu’en posant les affaires.
« Voyou que vous êtes ! Vous connaissiez, bien sûr ! Vous m’avez trompée !
Mais bien sûr belle-maman !
Ne m’appelais pas comme Ça ! Si quelqu’un entendait !
Je suis sûr qu’il adorerait et serait aussi excité que moi de savoir que je baise avec ma belle-mère ! Tu préfères que je t’appelle salope ?
Vous pourriez… me dire Geneviève, ou… ma chérie ! Je ne suis plus votre belle-mère !
Tu n’es pas ma chérie. Je te rappelle que quand je te baisais tu n’étais pas encore ma belle-mère et ça m’excitait déjà, donc je t’appelle belle-maman, salope, vieille pute mais pas ma chérie… Bon Geneviève… si tu y tiens. En attendant salope, tu pourrais te foutre à poil ! » Je suis volontairement vulgaire car je sais que cela l’excite
« Vous ne me… passerez rien… bien sûr !
Si, si. Ma bite dans ta bouche, dans ta chatte et dans ton cul. Je te passerai dessus dès que je pourrai »
Je me suis couché sur ma serviette et je la regarde. Elle s’installe et se déshabille à son tour. Elle a pris goût à cette pratique, mais n’osait pas venir seule. Ca lui manquait.
Lorsqu’elle est nue je change d’attitude aussitôt. Je me penche sur elle et embrasse un sein.
« Tu sais que tu es belle quand tu es nue.
Vous me dites toujours ça, mais je suis vieille !
Et moi je bande toujours pour toi.
Mais combien de temps encore ? Bientôt ma peau ma flétrir, mes seins tombent de plus en plus et je ne serai plus aussi souple ni en forme.
Détrompe-toi, je connais des femmes plus vieilles que toi qui sont chaudes, attrayantes et qui aiment le sexe !
Ne me dites pas que …
Mais bien sûr ! J’ai une maîtresse qui a plus de soixante dix ans !
Ce n’est pas possible vous…
Tu sais bien belle-maman que je suis un vicieux de queutard ! »

Nous passons une agréable journée et Geneviève retrouve le plaisir d’être nue, de se baigner et de s’exposer. Nous y retournerons plusieurs fois et elle va retrouver son bronzage. Parmi nos « sorties » je vais amener ma belle-mère à fréquenter les saunas libertins. Comme à chaque fois, elle va d’abord se récrier, me traiter de malade, refuser de se déshabiller, puis me voyant nu à côté d’elle, accepter de se couvrir de la grande serviette éponge.
Pour la mettre dans l’ambiance, nous nous isolons dans une cabine. Geneviève est déroutée dans ce petit espace sur un matelas en plastique. Le miroir qui couvre le mur du fond nous renvoie notre image et je lui dis
« Tu verras quand nous serons à plusieurs ici dedans c’est génial !
Vous n’y… » Elle comprend alors que je ne plaisante pas et que je l’amènerai à faire l’amour avec d’autres personnes.
Je la prends en levrette et l’amène vite à un premier orgasme où elle arrose le matelas. Heureusement des rouleaux de papier à disposition, permettent de sécher un petit peu. Je continue à la caresser mais sans lui permettre de jouir à nouveau afin de la maintenir en manque.
Nous passons à la douche commune où se trouve un homme qui se savonne. Assez vite deux autres y entrent et « reluquent » cette femme qu’ils ne connaissent pas. Comme je caresse Geneviève en les regardant, ils osent poser leurs mains sur son corps. Je préviens le recul qu’elle pourrait avoir et les deux se collent à elle lui faisant sentir leur érection.
Je juge malgré tout que ce n’est pas encore le moment de leur abandonner ma partenaire et leur donne rendez-vous plus tard. Geneviève s’apprête à me signifier son refus mais comprend aussitôt qu’elle n’a rien à dire. Elle est sous ma coupe. Elle sait aussi depuis le temps que mes initiatives vont l’amener à beaucoup de plaisir.
En sortant de la douche, nous passons devant le vestiaire où un couple se déshabille. La femme semble plus âgée que Geneviève, petite, peu de poitrine, à côté d’elle, ma belle-mère avec son port altier, paraît beaucoup plus belle. Cette vision la décontracte.
Dans la salle du jacuzzi le grand bassin couvre presque toute la surface c’est une vraie petite piscine avec un mètre d’eau bouillonnante. Autour du bassin une plage avec des transats sur lesquels des hommes matent les baigneurs. Dernière épreuve pour Geneviève, elle doit se mettre nue devant tout le monde avant de descendre dans l’eau. Je m’arrange pour poser nos serviettes assez loin pour laisser le temps aux personnes présentes de l’observer, je descends lentement le petit escalier et je traverse le bassin pour nous asseoir à l’opposé, sur la banquette entre deux couples.
Geneviève est plus à l’aise car l’eau nous couvre jusqu’aux épaules. Je l’enlace et l’embrasse entretenant son trouble qui peu à peu s’estompe. Tout à coup elle sursaute et me murmure.
« L’homme à côté me caresse la cuisse !
C’est qu’il te trouve à son goût ! Laisse le faire et écarte tes jambes.
Mais il va…
Oui ! Il va comprendre et te mettre la main sur la chatte.
Ca y est déjà !
Tu aimes ça je suis sûr ! » L’homme voyant son acceptation lui caresse aussi un sein et je m’occupe de l’autre.-« Tourne la tête vers lui et embrasse-le ! »
En se tournant elle se rend compte que l’homme est jeune. Il devance son recul et lui prend les lèvres. La main sur le sexe de ma belle-mère se fait plus pressante. Geneviève déjà se pâme. La femme de son côté est venue se positionner devant son homme et Geneviève.
« Votre femme plaît beaucoup à mon mari. Il y a longtemps qu’il cherche à rencontrer une femme mûre ! Vous voulez venir vous amuser avec nous dans une cabine ?
Oui bien sûr ! » Dis-je » Vous êtes aussi très jolie !
Je n’ai pas les beaux seins de votre femme !
Elle a aussi un beau cul ! Vous voulez bien de moi aussi ?
Avec plaisir ! »
Elle caresse en même temps la queue de son homme et la cuisse de ma belle-mère, puis passe à la mienne et remonte sur ma bite. « Mhhhh » glisse-t-elle en souriant.
Geneviève panique. Elle voit autour d’elle le monde qui la regarde se faire caresser par le couple. Je sens qu’elle est à deux doigts de refuser et de les repousser, aussi je tourne son visage vers moi et en souriant, lui glisse à l’oreille :
- « Laisse-toi faire ! Nous allons aller nous amuser avec eux ! »
Le temps que nos érections se calment, nous discutons un peu avec le couple ma foi, fort sympathique. Ils cherchent tous les deux une expérience avec des personnes plus âgées. Ils nous trouvent charmants et à leur goût. Quand je leur apprends que Geneviève a plus de soixante ans et que c’est une première pour elle, ils sont ravis et se font un devoir de lui faire apprécier notre rencontre.
Nous sortons de l’eau et au grand désarroi de quelques spectateurs, nous rejoignons une cabine dont nous refermons la porte derrière nous. L’homme et la femme sont aussitôt nus et montent sur le matelas. Je détache la serviette de Geneviève et l’invite à les suivre.
- « La prochaine fois, nous irons dans l’alcôve ouverte. Les spectateurs seront ravis, mais maintenant va sucer cette belle queue qui se tend pour toi ! »
Quelques secondes d’hésitations et devant la belle bite qui se tend, Geneviève plonge dessus avec délectation, d’autant que la femme s’occupe de la mienne. Très vite j’aperçois quelques coups d’œil vers le miroir. Geneviève aime se voir sucer !
On passe ensuite à la deuxième phase. J’ai retourné la femme et nous sommes en soixante neuf. L’homme a lui envie de baiser cette sexagénaire. Il positionne Geneviève à genoux, enfile une capote et entreprend de la baiser en levrette. C’et la première fois que ma belle-mère baise avec un préservatif. J’avertis alors nos nouveaux amis.
« Vous allez voir ! Elle est fontaine et dans cette position, elle va gicler fort. La femme se tourne pour regarder le spectacle.
Oh chéri ! J’adore te voir baiser cette belle femme ! Vas-y ! Je veux la voir gicler ! »
Dans la petite pièce l’ambiance est chaude et le miroir s’est couvert de buée. La femme s’est elle aussi mise à genoux et je l’embroche à mon tour. Geneviève commence à gémir fort. Je sais qu’elle va venir vite aussi je m’arrête un peu pour que ma partenaire profite aussi de ce moment. L’homme ne la ménage pas et très vite, Geneviève jouit. Elle expulse sa cyprine en jets puissants arrosant le matelas sur lequel se forme une grande flaque. La femme est scotchée ! Elle malaxe les seins de Geneviève et l’embrasse. Ils sont les deux sur elle. Quand sa jouissance baisse, je reprends mon coït sous les yeux de son homme.
Le calme revient ensuite dans la cabine. Je suggère alors à l’homme qui n’a pas jouit, de prendre Geneviève en missionnaire. - « Tu auras comme ça le spectacle sous les yeux !
Mais… elle vient de jouir !
Ne t’inquiète pas elle est à répétition ! »
Effectivement dès qu’il la pénètre à nouveau, Geneviève remonte dans les tours et une minute plus tard envoi des jets abondants sur l’homme et sur elle. Un peu honteuse malgré tout elle couvre ses yeux d’un bras. Je lui retire.
- « regarde cet homme qui te baise ! Tu vois, il est jeune mais tu lui plais et vu comment il bande tu dois bien en profiter ! »
La femme que je baise, jouit à son tour au moment où nous nous lâchons.
Après ce moment intense et malgré la chaleur dans le local, nous parlons un peu avec nos compagnons avant de sortir. Ils félicitent Geneviève et espèrent recommencer à s’amuser avec elle à l’avenir.
Ma belle-mère est surprise quand l’homme lui dit avoir trente cinq ans et être heureux de lui avoir fait l’amour, l’assurant avoir pris beaucoup de plaisir.
« Votre mari a beaucoup de chance d’avoir une femme aussi belle et gourmande !
Ce n’est pas mon mari ! C’est mon… amant !
Peu importe ! Nous ne sommes pas mariés ensemble nous-mêmes. Agnès est ma voisine ! » J’interviens alors.
« Que diriez-vous si je vous disais que c’est ma belle-mère !
Ne dites pas ça voyons ! se récrie Geneviève.
Ce ne sont pas eux qui vont le crier sur les toits !
Soyez tranquilles, ajoute la femme. Je vous trouve charmants. Ce doit être excitant de faire l’amour comme Ça ! ça fait longtemps que vous…
Cà fait vingt ans !
C’est génial ! Je ne peux que vous dire de continuer ! »
Nous quittons la cabine pour passer à la douche, puis allons au bar nous rafraîchir.
Quelques mois plus tard je rencontre une femme avec qui je commence à entretenir des relations suivies. Non seulement pour mon plaisir, mais aussi pour montrer aux gens que mon divorce ne m’a pas trop perturbé, je me promène parfois avec ma nouvelle amie. Un jour nous croisons Geneviève, qui est pourtant au courant de la situation, mais qui pour la première fois se retrouve face à sa « rivale ». Le regard qu’elle nous décoche ne passe pas inaperçu de mon amie. Celle-ci me fait la remarque que cette femme n’a pas l’air de m’aimer. Je lui explique qu’il s’agit de mon ex-belle-mère, mais lui tais que mon ex-belle-mère réagit ainsi vis-à-vis d’elle, non pas parce que que ma compagne remplace sa fille, mais plutôt parce que elle est obligée de partager mon lit avec une rivale.
Lorsque je lui en fais la remarque quelques jours plus tard, Geneviève s’excuse de son attitude, elle ajoute que sa jalousie n’a pas lieu d’être et qu’elle est d’accord pour que j’aie une amie. Simplement, elle ne s’était pas préparée à cette rencontre et la surprise l’a fait dér.
La réconciliation se fait bien sûr dans le lit et nous continuons à nous voir, même si parfois Geneviève lance « Alors, dites-moi, elle fait ça mieux que moi ? » Je lui réponds parfois non, parfois oui, ce qui dans ce cas, provoque une débauche de sa part, pour me prouver qu’elle peut être à la hauteur de « l’autre », la plus jeune.
La seule chose pour laquelle elle ne craint rien et elle en , c’est la sodomie. Elle sait que mon amie ne veut pas en entendre parler. Aussi, dès qu’elle le peut, Geneviève m’offre son cul !
Geneviève est devenue la débauchée que j’avais pronostiqué des années auparavant. Elle assume son état de salope et de pute. A soixante ans passés, elle n’a plus le même regard sur sa sexualité, ni sur celle des autres. Pierre et Madeleine ont disparu, Ludivine est partie vers un autre amour. Je suis à nouveau le seul qui connaisse sa véritable personnalité.

Geneviève est devenue, au fil du temps, « accro » au sexe. Depuis que nous avions repris nos ébats, elle s’était libérée. Sa relation avec Ludivine et l’amour qu’elle lui portait, lui avait donné de l’assurance. Elle avait trouvé son équilibre entre son amant et son amour.
Après le départ de Ludivine et une période de déprime, je l’avais convaincue que sa vie amoureuse, découverte sur le tard, n’était pas terminée. Elle m’avait demandé elle-même de l’accompagner à la plage naturiste qu’elle fréquentait avec sa chérie. Elle conservait son bronzage intégral et malgré son âge, son corps restait attrayant. Il n’y avait qu’à voir les regards des hommes et des femmes sur la plage. Elle n’était plus gênée de s’exposer et au contraire y trouvait un plaisir supplémentaire.
Au lit et pas seulement, car la coquine aimait faire l’amour en dehors de la chambre, elle assumait complètement sa sexualité. Il lui manquait parfois le contact d’une présence féminine. Je l’avais entraînée dans des saunas libertins où elle avait eu des contacts avec des femmes et des hommes. Ses aventures de passage étaient étonnées lorsqu’elle avouait son âge, car en effet, Geneviève paraissait beaucoup plus jeune.
Geneviève était également devenue ma « soumise » trouvant là aussi de nouveaux plaisirs. Nous inventions des situations où elle se retrouverait exposée à des tierces personnes et utilisée pour des jeux sexuels. Elle adorait se retrouver dans la peau d’une « esclave du sexe», elle si mondaine et habituée plutôt à commander, promenant un regard et une attitude hautaine sur tout ce qui n’est pas de son monde, aimait que je la « force » à se promener nue, habillée comme une pute, traitée comme une chienne, que je la fesse, à main nue, au martinet et même à la cravache. Ses tétons étaient régulièrement « travaillés » par des pinces, parfois lestées de poids. C’est elle-même qui s’était procuré ces accessoires sur Internet.
Malheureusement pour elle je ne peux m’en occuper fréquemment et elle est souvent en manque !
Les circonstances vont faire que ma belle-mère va se découvrir et révéler son secret !


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