Vacances Étudiantes (Partie 2)
Note de l'auteur : je fais un petit résumé de l'épisode précédent. Notre héros, le Narrateur, part en semaine de randonnée avec sa fac. Il fait la connaissance de Fanny, une fille de son école qui tombe aussitôt sous son charme. Il rencontre également Sophie, une superbe rousse qui est à fond sur lui depuis plusieurs mois. Les deux jeunes femmes se disputent les faveurs du Narrateur, et au cours d'une partie d'action ou vérité, le Narrateur et Sophie partagent un baiser langoureux. La suite de l'histoire ici et maintenant !
(POV Fanny)
Je refermai la porte de la chambre. Jessayais de faire bonne figure, mais intérieurement, jétais mortifiée après cette partie daction ou vérité. Mais pas question de le montrer devant Lui.
« Cétait sympa, hein ? me dit-il. »
« Oh oui ! On sest bien amusés. »
Javais beau ne pas en penser un mot, javais répondu avec enthousiasme. Difficile de faire autrement quand ce beau garçon me posait une question avec son sourire craquant. On alla jusquà sa chambre. Je me creusais la tête pour trouver quoi lui dire, mais rien ne me venait. Il entra dans sa chambre en me souhaitant bonne nuit. Je lui souhaitai la même chose, et méloignai, toujours aussi abattue. Je narrêtai pas de me repasser dans ma tête limage de cette garce de Sophie et de mon bel étudiant sembrassant comme des passionnés. Je narrivai pas non plus à oublier ce quils avaient dit au début : quArielle les avait trouvés seuls dans la chambre, et que sans son arrivée ils se seraient envoyés en lair.. Jarrivais difficilement à supporter lidée.
Demain, on ferait notre première marche en groupe. Il fallait absolument que je sois dans le même groupe que Lui, et que je léloigne autant que possible de Sophie.
Le lendemain, je me réveillai, plus motivée que jamais. Me réveillant plus tôt que les autres filles qui partageaient ma chambre, jespérais être prête avant tout le monde, pour pouvoir mettre la main sur ce garçon qui me plaisait tant avant Sophie.
Alors que jattendais sur le parking, pendant que les autres élèves montaient dans le bus, ne sachant quoi faire, une voix minterpella, dans mon dos.
« Salut ! Tu viens avec nous ? »
Je me tournai, et cétait Arielle. Je lui souris, tout en réfléchissant à sa proposition : par « nous », elle voulait sans doute dire elle et Sophie, non ? Et si le garçon qui me plaisait était déjà avec elle ? Cétait embêtant, mais je ne devais pas les laisser seuls tous les deux !
« Ok, je te suis. »
Arielle et moi montâmes dans un bus. Celui-ci était déjà bondé, et nous eûmes du mal à trouver une place. Lorsque nous fûmes installées, et que les portes du bus se refermèrent, je me demandai où étaient Sophie et mon mec. Arielle, comme si elle avait lu dans mes pensées, me tapota le bras et me dit :
« Désolée, sans rancune, hein ? »
Je la regardai sans comprendre, et elle me désigna lextérieur. Je vis alors le garçon qui me plaisait monter dans un autre bus
en compagnie de Sophie. Furieuse, je compris quArielle sétait jouée de moi.
(POV Sophie)
Jarrivai sur le parking, et vis immédiatement mon beau gosse, planté là, lair de chercher quelque chose. Ou quelquun. Je jetai un coup doeil à mon portable : Arielle avait fait ce que je lui avais demandé et éloigné cette emmerdeuse de Fanny. Jallais avoir mon Apollon pour moi toute seule.
« Salut ! lui lançai-je. Tu cherches quelquun ? »
Il se tourna vers moi et me jeta un rapide coup doeil
visiblement intéressé. Il faut dire que je métais habillée sexy : débardeur bien décolleté, et suffisamment court pour dénuder mon ventre plat, et mini-short noir, qui dévoilait largement mes jambes.
« Oui en fait, je te cherchais toi. »
Jeus un sourire satisfait. Même si tout ne sétait pas passé comme prévu hier, javais quand même réussi à le rendre dingue de moi, visiblement. Je mavançai vers lui, et lui fis la bise
dans le cou. Il tressaillit, et me jeta un regard de mort de faim. Lenvie de le saisir par le poignet et de lemmener dans le coin tranquille le plus proche pour me le taper sur le champ me saisit avec violence. Je me sentis devenir toute chaude à cette seule idée, heureusement que les professeurs et moniteurs qui supervisaient la rando nous appelèrent à monter dans le bus à ce moment là.
On sinstalla côte à côte dans le bus, et nous partîmes pour une journée que je prévoyais très plaisante. Le voyage en bus fut sympa, mon beau gosse et moi discutions et rions ensemble. Je voyais bien quil passait son temps à me mâter, et ça me confortait dans mes projets.
Nous finîmes par arriver à lendroit où la randonnée était prévue, et notre groupe, de près dune vingtaine détudiants, se mit en marche. Il faisait chaud, il faisait beau, le paysage était magnifique, mais je navais dyeux que pour une seule personne
Moi et mon beau gosse restâmes surtout entre nous, et ça me convenait parfaitement : javais toujours à coeur de le garder pour moi toute seule. De temps à autres, je marchais devant lui, jouant de mes grandes jambes, pas vraiment pour faire la course, mais pour le laisser admirer mon postérieur en action. A voir la façon dont il me regardait quand il me rattrapait, ça marchait très bien.
Un peu plus tard, après plus de deux heures de marche, le professeur qui menait notre groupe décréta que cétait lheure de la pause déjeuner. Mon beau brun sassit sur une pierre plate, légèrement à lécart du groupe.
« Et moi ? Je massois où ? »
Il me jeta un regard, lair indifférent.
« Par terre. »
« Ah bah merci, vive le confort ! »
« Tas un cul tellement rebondi, que tu seras bien assise quand même, fit-il avec un sourire malicieux.
Je me laissai pas démonter :
« Ah oui ? Comment tu le sais, tu las mâté mon cul ? »
Nouveau sourire, tellement craquant.
« Oui. »
Jeus une nouvelle envie de me jeter sur lui. Jassouvis mon envie
à moitié seulement.
« Bon, alors puisque cest comme ça, je massois sur toi. »
Je minstallai sur lui, veillant bien à ce que mes fesses soient en contact avec sa bite. Je le sentis aussitôt devenir dur, et frissonner légèrement.
« Tout va bien ? fis-je dun ton innocent. »
« Ouais, ouais, tinquiète. »
Je sortis mon pique-nique, et commençai à manger. Il eut un petit rire moqueur.
« Cest quoi ça ? »
« Une salade. »
« Tu vas pas manger que ça quand même ? »
« Ça et un dessert, tu crois quoi ? Un corps de rêve comme le mien, ça sobtient avec des efforts. »
Il eut un sourire mutin.
« Non pas ment, je bouffe pas de la salade à chaque repas, et je suis sexy quand même. »
Jeus un petit rire qui se voulait méprisant.
« Tu te trouves sexy ? »
Même à moi, mon scepticisme parut faux. Mon beau gosse eut un sourire, et me prenant délicatement par le menton, mobligea à le regarder dans ses beaux yeux bleus.
« Je le suis pas ? »
« Si, soufflai-je sans réfléchir. »
Il eut un sourire moqueur, et je secouai la tête, légèrement agacée de mêtre faite avoir. Nous changeâmes de sujet, et parlâmes de choses et dautres. Après la pause, la marche reprit. Cette fois-ci, ce fut un peu plus rude, car nous eûmes plus de montées et descentes dans des pentes rocailleuses à faire. Jeus bien vite le corps en sueur, et le souffle court. Par contre, lavantage, cest que dans les dénivelés, javais mon beau gosse devant moi, et ne me privais pas dadmirer son cul. Et lorsquil se retournait pour maider, je voyais bien quil profitait de la vue plongeante quil avait sur mon décolleté.
A un moment, alors quon était passablement en retard sur le groupe, et quon passait près dun bosquet darbres, il se mit à lécart, et me fit signe de venir.
« Quest-ce quil y a ? lui demandai-je. »
« Il y a ça. »
Il me saisit par les hanches, et membrassa soudainement. Surprise, je lui rendis son baiser, trop attirée par lui pour repousser un assaut si soudain. Nos lèvres sunirent, et senlacèrent avec de plus en plus de passion. Mon corps fut parcouru de frissons, tandis que ses mains se mirent à masser mes fesses avec entrain. Jenroulai mes bras autour de son cou, tandis que mon rythme cardiaque saccélérait. Alors que notre baiser devenait des plus intenses, il le rompit soudainement et séloigna de moi. Il avait un petit sourire malicieux, mais haletait comme moi.
« Jespère que
»
Il ne finit pas sa phrase. Je me jetai sur lui, et me mis à lembrasser avec frénésie. Il fut surpris, mais me reprit aussitôt par les hanches, et me colla contre lui. Nous nous embrassâmes avec fureur, moi passant mes mains dans ses cheveux, lui pressant son torse musclé contre ma poitrine. On se sépara à nouveau, plus chauds que jamais. Résister à lenvie de me rejeter sur lui immédiatement fut une véritable épreuve, mais jy parvins néanmoins. Je me détournai de lui, et tâchai de rejoindre le groupe. Il me rejoignit, sans rien dire, mais avec un sourire aux lèvres.
Le reste de la randonnée se passa sans autres « incidents » de ce genre. Nous restâmes ensemble jusquau bout, jusquà ce quon rentre au dortoir. Là on se sépara, et chacun regagna sa chambre respective. Je me douchai tout de suite, après une rude journée de marche, cétait bien normal. Je pris tout mon temps, histoire de calmer mes nerfs après avoir passé toute une journée aux côtés du mec qui me faisait plus fantasmer que jamais. Malheureusement, une fois la douche finie, mes nerfs furent mises à rude épreuve. Jenfilai mon peignoir, et sortis de la salle de bains
pour tomber nez à nez avec mon beau gosse, qui mattendait sourire aux lèvres.
« Quest-ce que
»
Il me poussa en arrière et membrassa fougueusement. Ca faisait trois fois quon sembrassait, et pourtant javais toujours la même sensation de vibration totale, comme si jallais exploser. Il me souleva, et me posa sur le plan de toilette, membrassant comme un fou. Il se mit à masser mes seins à travers mon peignoir, et je sentis mon cerveau fondre littéralement.
« Attends ! dis-je en le repoussant. »
« Quoi ? grogna-t-il. »
« Des gens vont arriver, Arielle
»
« Elle est en bas avec Fanny ! »
« Il y a deux autres filles avec qui je partage ma chambre
»
« Je men fous ! Tu me chauffes trop, je te veux, et tu me veux aussi. »
Il repartit à lassaut, membrassant le cou, et commençant à dénouer mon peignoir. Cest pas ce que javais prévu, javais imaginé notre première fois dans un endroit où on aurait tout le temps de
« Oh et merde, soufflai-je, prends moi ! »
Au moment même où je dis ça, la porte de ma chambre claqua. Nous sursautâmes, mais heureusement, la porte de la salle de bains était fermée. Impossible cependant de continuer. Avec un sentiment de frustration difficilement gérable, nous nous séparâmes. Il retourna dans sa chambre, et je regagnai la mienne. Autant vous dire que je dormis assez mal cette nuit. Evidemment tout allait plutôt bien, jétais maintenant sûre de pouvoir chopper mon beau brun où je voulais, et quand je voulais. Seulement, je voulais aussi le rendre dingue, et là cétait plus lui qui me rendait dingue que linverse. Il fallait que ça change.
Le lendemain, très tôt le matin, alors que tout le monde était encore endormi, je me levai discrètement. Je gagnai subrepticement la chambre de mon beau gosse, et avec délicatesse, ouvrit la porte. Les quatre mecs de la chambre dormaient à points fermés, ronflant comme des ventilateurs. Je serpentais un moment entre les lits, cherchant mon mec à moi. Il était sur le lit le plus près de la fenêtre
et le plus loin de la porte. Si les choses tournaient mal, pour menfuir, ça allait être dur.
Je mallongeai doucement sur lui, et découvris avec joie quil dormait en caleçon. Je me mis à lembrasser au cou, pressant mon corps contre le sien. Au bout de quelques secondes, il émergea de son sommeil lair de ne pas comprendre ce quil se passait.
« Quest-ce que tu
»
Je linterrompis dun baiser, le plaquant contre le matelas, en lembrassant à fond. Je tâchai dêtre la plus silencieuse possible, tandis que je me frottais contre lui. De ses bras puissants, il menserra, renforçant notre étreinte, tout en me rendant mon baiser avec fièvre. Je le sentis bander sous son caleçon, et entendis sa respiration saccélérer. Ravie de leffet que je lui faisais, je saisis son sexe à travers son caleçon et me mis à le masser avec vigueur, tout en me redressant légèrement. A la lumière du petit matin, je pus voir le visage de mon beau gosse se tordre sous le plaisir que je lui apportais. Il se mit rapidement à se tordre de plaisir, et à souffler de plus en plus fort. Je le bâillonnai avec ma main pour le faire taire, histoire quon nous découvre pas. Bordel, je vivais un rêve éveillé ! Ce mec qui occupait mes esprits depuis des mois était là, sous moi, et javais sa bite en main ! Le voir succomber à mon plaisir, le bâillonner comme si je le prenais « de force », tout ça était incroyablement bon, et tellement excitant que je mouillais comme jamais.
Un des gars endormi sur le lit voisin bougea dans son sommeil, et ça me ramena sur terre. Je me penchai sur mon mec, et lui soufflai :
« Tu aimes ? »
Il hocha de la tête, la bouche toujours bâillonnée.
« Tu veux quon le fasse ? Ici et maintenant ? »
Nouvel hochement de tête. Je lui souris dun air vicieux.
« Eh bien va falloir attendre le prochain épisode ! »
Je me levai silencieusement, et quittai en hâte la chambre. Je me retournai juste avant de sortir : mon beau gosse était assis sur le lit, visiblement dépité. Je sortis en souriant : tout se passait bien, javais atteint mon objectif : le rendre dingue de moi.
(POV Narrateur)
Je grimpai dans la douche. Une seule chose à faire pour me soulager : une douche froide. Sophie ne mavait pas chauffé, le terme « incendié » serait plus approprié. Leau froide me fit un bien fou, mais sitôt sorti, je ne pensais plus quà une chose : Sophie, et le moment quon avait passé ce matin. Si bien que jabordais cette nouvelle journée plus chaud que jamais. Je navais quune seule envie : baiser Sophie, et le plus sauvagement possible.
Jallai à la cantine pour prendre mon petit déjeuner. Javisai Fanny assise à une table. Je ly rejoignis en souriant.
« Ca va ? »
« Ouais, me répondit-elle dun air enjoué. Bien dormi ? »
« Eh bien
»
« Le réveil a été assez mouvementé pour lui, claironna une voix derrière moi. »
Je me retournai, Sophie arrivait, vêtue dun débardeur assez court, au décolleté large, et qui dénudait son nombril. Elle sassit en face de moi, à côté de Fanny, madressant un clin doeil coquin
et terriblement sexy. Lenvie de me lever dun coup et de la prendre sur la table me saisit.
« Quest-ce que tu veux dire ? demanda Fanny sans comprendre. »
« Rien répliquai-je. »
Fanny resta un moment pensive, puis me dit.
« Aujourdhui ils organisent une autre randonnée, tu veux venir ? »
Jhésitai un moment, puis dis :
« Oui, ça me dirait bien. »
Sophie se racla doucement la gorge, et lança :
« Moi je pense rester ici, aujourdhui. »
Elle avait dit ça dune voix lourdement chargée de sous entendus, et en me regardant en me souriant. Elle voulait que je reste avec elle, cétait évident. Mais je voulais lui donner une leçon après la façon dont elle mavait chauffé ce matin.
« Ok, bah amuse toi bien, lui dis-je dun ton légèrement moqueur. »
Sophie eut lair surprise, et je perçus le fugitif air de triomphe dArielle. Je ne men souciai pas plus que ça cependant, je finis mon petit déjeuner, et allai dans ma chambre. Jy étais depuis une dizaine de minutes, lorsque quelquun toqua à ma porte. Jallai ouvrir en pensant découvrir Sophie, ou Fanny, mais cétait en réalité Arielle.
Elle était vêtue dun débardeur assez court et dun short visiblement fait pour le sport.
« Salut, lui dis-je. Tu veux quelque chose ? »
« Ouais, jai quelque chose à te montrer. Suis moi. »
Un peu curieux je lui emboîtai le pas. On sorti du dortoir, pour traverser la petite cour devant nos bâtiments, et gagner la salle de gym. Javais eu envie dy aller, car je pratiquais la musculation, mais Sophie avait chassé toute autre préoccupation de mon esprit.
« Quest-ce quon va faire à la gym ? demandai-je. »
« Moi je vais mentraîner. Toi tu vas me suivre
et écouter. Et te taire surtout. »
« Quoi ? »
« Viens. »
Je la suivis dans la salle, intrigué. Deux trois adolscents sentraînaient sur des machines de muscu, mais ce fut celle tout à droite qui attira mon attention. Cétait Sophie.
« Quest-ce quelle fait là ? »
« Elle sentraîne tous les jours, expliqua Arielle. Viens, je vais discuter avec elle, tu vas rester derrière et nous écouter. »
« Mais
pourquoi ? »
« Tu vas voir. »
Je la suivis, et alors quelle sinstalla à côté de Sophie, moi je minstallai derrière.
« Salut ! dit Arielle à Sophie. Ca va ? »
« Bof. »
« Quoi ? »
« Ce matin jai eu un moment torride avec mon beau mec
mais je sais pas, jai fait que le chauffer et jai limpression quil men veut. »
Arielle se tourna discrètement vers moi, et me fit signe de se taire.
« Quest-ce qui te fait dire ça ? »
« Il va partir en rando avec Fanny au lieu de rester ici, je suis sûre que cest pour se venger de ce matin. »
« Il en a peut être marre de se faire chauffer pour rien. »
« Sauf quaujourdhui je comptais pas le chauffer pour rien. »
En entendant ça, je retins mon souffle. Arielle se retourna et me sourit, puis dit à Sophie :
« Ah bon ? »
« Ouais. Il est à point là, jai plus besoin de le chauffer, il est dingue de moi. »
Arielle me regarda, et dit à Sophie :
« Dommage quil reste pas alors. Enfin tu le chopperas demain. »
Sophie poussa une sorte de gémissement désepéré.
« Ouais. Mais cest trop dur dattendre. Ca fait des mois que jattends ça ! Des mois que je fantasme sur lui ! Jen peux plus là, il faut que je me le fasse tout de suite ! »
Je décidai de partir : Sophie risquait de me découvrir, et jétais assez troublé par tout ça.
(POV Sophie)
Assez fatiguée, je massis sur mon lit. Ma séance de sport matinale mavait épuisé. Je portais encore ma tenue, brassière noire et leggins assorti, mais je navais aucune envie de me changer. Je regardai le ciel bleu par la fenêtre, et tachai de me dire que jallais passer une bonne journée. Arielle allait rester, il allait faire beau, on allait probablement sortir et samuser. Mais, je narrivais pas à men convaincre. Mon beau gosse allait partir avec cette dinde de Fanny et me délaisser toute la journée. Plus jy pensais, plus je déprimais. Jen arrivais même à éprouver une pointe dinquiétude : et si mon beau brun préférait cette dinde de Fanny à moi ?
Au même moment où cette sombre pensée me traversa lesprit, jentendis la porte souvrir derrière moi, puis se refermer. Jen conçus un prodigieux agacement : ok je partageais cette chambre avec trois autres filles, mais franchement, je pouvais pas avoir cinq minutes de paix ?
« Je peux être tranquille bordel ? dis-je dun ton acide. »
Je me relevai, et me retournai. Et mon cur manqua un battement. Mon beau brun se tenait dans ma chambre, devant la porte.
« Je peux te laisser tranquille si tu veux. »
Il ferma à clé, un sourire aux lèvres, et ajouta.
« Mais je crois que ten as pas vraiment envie
»
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