Souvenir De Jeunesse (7) : Vive Le Sport
Je nai jamais été un grand sportif, sauf pendant ma vie détudiant.
Depuis que je suis marié, quelques entrainements le dimanche pour pouvoir participer au cross du Figaro, un incontournable. Lhabitude est prise, courir fait du bien.
Martine, elle, a commencé à fréquenter une salle de sport après la naissance des s, une manière de garder la ligne. A lépoque cétait de la culture physique, parfois de laérobic, de la gym en dansant, popularisée par lémission « Gym tonic » à la télévision.
Maintenant ce nest plus une salle de gym, mais un centre de fitness, elle ne fait plus de la culture physique mais de la cardio, des abdos-fessiers ou du Pilate.
Martine est maintenant une habituée, je suis allé avec elle 3 ou 4 fois, mais bof ! Je sais que Martine aimerait que jy aille plus souvent pour perdre le petit ventre qui pourtant ma couté très cher en bon repas.
Nous sommes au mois de juin, javais environ 35/40 ans, je ne me souviens plus exactement, Martine mannonce que pour fêter la fin de la saison, le club organise une soirée. Bien sûr je suis invité « je nai pas envie dy aller seule ». Jamais rebuté par une coupe de champagne, il nest pas question que je me défile.
Ce samedi soir, nous laissons les s chez mes beaux-parents. Cest tout bénef, demain matin grasse matinée.
La soirée est libre, nous arrivons au club de gym prêt à faire la fête. Il fait très chaud, Martine shabille léger, petite robe dété boutonnée devant de haut en bas. Elle me conseille de prendre mon maillot de bain, car souvent ce genre de fête se termine dans la piscine.
Il y a du monde, beaucoup de monde, plus de 200 personnes, membres du club, invités et « personnalités ». Petites visites des installations en arrivant, Martine maccompagne, elle mexplique en détails les activités possibles, les salles de cours, le plateau pour la muscu rempli dengins de de toutes sortes.
Je découvre la grande piscine qui jouxte un espace extérieur souvent utilisé pour la bronzette.
Martine me présente les personnes avec qui elle se retrouve toutes les semaines dans son cours, pas vraiment des amis, des connaissances qui se croisent régulièrement au club : Simon, Vincent, Joseph, Julie, Jean-Pierre,
je ne me souviens plus de tous. Vincent est venu seul, sa copine na pas pu laccompagner. Julie est mariée à Jean-Pierre, il vient régulièrement avec sa femme, il fait déjà partie du groupe. Je sens que Martine aimerait bien que jen fasse parti moi aussi.
Je passe sur les discours officiels
le buffet est pris dassaut
Lambiance est chaleureuse, bon . Plusieurs couples dansent. Les esprits séchauffent au bout de quelques coupes de champagne ou de verres de punch.
Le temps passe
la plupart des invités sont déjà partis. Simon lance lidée attendue de tous, « si on allait se baigner »
direction les vestiaires, on se sépare les femmes à droite, les hommes à gauche.
Regroupement dans la piscine, Martine a mis un bikini assez sage, ne laissant voir que la naissance de ses seins et la moitié de ses fesses. Chacun plonge, joue, nage. Jen profite un peu, je nai pas suffisamment loccasion de nager.
La fête touche à sa fin, lune après lautre les personnes quittent la piscine. Notre petit groupe décide aussi de sen aller.
Au vestiaire, nous sommes surpris, alors que nous pensions nous séparer, les hommes à gauche, les femmes à droite, le gardien na laissé quune seule sale ouverte, regroupant toutes les affaires dans une même pièce.
Il faut dabord passer à la douche avant de se rhabiller, vestiaire commun, douches communes. Nous y allons tous ensemble, il y a avec nous, Jean-Claude et sa femme Julie, Vincent, Simon et Joseph.
Trois hommes et un couple sont déjà là. Nous sommes tous un peu gênés, mais pas de problème tout le monde garde son maillot juste pour se rincer. Je me retourne vers le mur pour laver popaul dans le maillot du geste délicat du mec qui se gratte les couilles.
Leau qui coule sur tout le corps est bien agréable, je ferme les yeux pour gouter ce petit moment de bien-être.
Tout à mon plaisir, je me retourne lentement, surprise, sans aucune hésitation nos amis tombent leur maillot, Simon le premier exhibant une queue asses longue, les autres suivent sous le regard intéressé de Martine et de Julie.
Voyant tous les hommes nus, je repense à la chanson de Pierre Perret « Tout tout tout, vous saurez tout sur le zizi »
Martine non plus nhésite pas, son soutien-gorge saute, suivi de près par sa culotte, à côté de moi Julie est déjà nue, tout le monde me comprendra cest vers elle que se tourne mon regard.
Martine ne se cache pas, nessaie pas de protéger sa nudité, bien au contraire très à laise, nue au milieu de nos amis, face à eux. Eux ne se gênent pas pour admirer sa poitrine, sa fine toison, ses fesses potelées dont le blanc fait ressortir la sensualité.
Julie aussi a droit à toute notre attention, surtout la mienne.
Sous la douche, Martine tourne sur elle-même, laisse couler leau le long de son corps, se lave en se caressant les seins, la chatte, les fesses. Je vois les queues se tendre, son but est atteint.
Je profite surtout de la scène offerte par Julie, elle aussi se lave de façon sensuelle pour le bonheur des mâles présents. Suis-je plus excité par le spectacle que moffre Julie, ou par celui que Martine offre aux hommes qui lentourent ?
Julie se retrouve rapidement dans les bras de son mari, quelques bisous, ils se lavent mutuellement, de tendres caresses, elle le branle en souriant, il a lair aux anges. Cest beau, cest excitant
Je les regarde, alors que ma femme a relevé ses cheveux dans un geste naturel, les bras en lair, qui lui fait remonter sa poitrine.
Simon sapproche de Martine « je te lave le dos ? », et sans attendre sa réponse, prend du savon au distributeur et commence à lui passer la main sur les épaules, sur les bras, sur les fesses, il la lave consciencieusement, au passage sa queue frôle Martine.
Vincent se déplace devant elle « Je prends le relais » et tandis que Simon continue de lui laver/caresser le dos, avec ses mains et avec son sexe, Vincent se charge de ses seins, longuement, tendrement, il insiste, sattardant sur ses tétons, sa main passe sur son ventre, descend le long de son pubis, ses doigts se perdent dans sa toison, il glisse sa main entre ses jambes. Martine écarte un peu les cuisses, ferme les yeux et se laisse emporter par cette double caresse. Elle frisonne, me regarde sans me voir, le plaisir se lit sur son visage.
Des pieds à la tête, Martine est couverte de savon, pleine de bulles blanches, seuls ses tétons roses et sa toison brune crèvent ce voile immaculé. Joseph sapproche, sourire aux lèvres « Oh, la belle savonnette, viens me laver », Martine ne se le fait pas dire deux fois, quittant les mains qui soccupaient delle, elle passe ses bras autour du cou de Joseph et se colle à lui. Elle bouge légèrement pour le laver partout avec son corps, lun contre lautre, ses seins contre son torse, ventre contre ventre, pubis contre pubis, cuisses contre cuisses. Elle prend sa tâche très au sérieux, aucune partie ne doit être oubliée, il sera bien propre. Joseph nest pas en reste, il lui lave/caresse les fesses et la tient serrée contre lui.
Elle ondule des hanches, frottant son pubis contre sa queue surement déjà bien raide. Jai remarqué quil est circoncis, jimagine son gland décalotté en contact avec sa chatte, avec son clito.
Je tourne les yeux, Vincent est en train de laver/caresser Julie sous le regard hilare de Jean-Pierre, son mari, jai envie de laider. Vincent se retourne et donne une petite tape sur les fesses de Martine « attention tu vas luser à force », tout le monde rit.
Je mapproche de Julie, elle me sourit « Je vais te laver, toi aussi tu dois en avoir besoin ». Elle prend du savon, me frotte le torse doucement, tendrement, sa main descend elle me savonne le ventre, me savonne la queue
ça mousse. Sans hésiter, elle me branle en me regardant dans les yeux.
Vincent est toujours à côté delle. Avec un air coquin, Julie dépose un baiser sur mes lèvres, tandis quelle étale du savon directement sur la queue de Vincent, qui en profite aussi pour lembrasser.
Julie, une « savonnette » dans chaque main, nous branle en cadence Vincent et moi, quatre mains parcourent son corps, chacun un sein, chacun une fesse, on se partage ses baisers.
Je ne peux détacher mes yeux de Martine, elle a lair toute petite dans les bras de Joseph, leurs bouches sont collées, ils échangent un baiser langoureux. Joseph dune main lui pétrit les fesses en la tenant serrée contre lui, de lautre main il lui malaxe un sein. Martine, pendue à son cou, a posé une main sur une partie de son anatomie « que rigoureusement ma mère ma défendu de nommer ici », elle le masse lentement. La queue de Joseph se tend entre les doigts experts de Martine.
Un cri retenti, répercuté à linfini sur les murs de faïence
Le silence sinstalle, plus aucun bruit, excepté celui dune douche qui coule au loin.
Fasciné, je les regarde
Martine se détache un peu de son chevalier servant, lève les yeux vers moi, le visage affichant le sourire radieux dune femme après lorgasme. Je nentends pas ce quelle essaie de me dire, mais je peux lire sur ses lèvres « ça va mon chéri ? », et pose à nouveau ses lèvres sur celle de Joseph.
Toujours la queue dans la main de Julie, je bande sans essayer de me cacher.
Une sonnerie nous informe que le club va bientôt fermer.
Martine pose sa main sur mon épaule, me secoue légèrement me tirant de ma torpeur « Patrick, on y va ? ».
Jouvre les yeux, « Où suis-je ? », Martine est avec Julie et quelques femmes, les hommes sont de lautre côté, tous sont en maillot, moi aussi. Mon esprit a vagabondé. Jespère que ce rêve ne déforme pas trop mon caleçon.
Direction le vestiaire, je prends Martine par la taille, serré contre elle, hanche contre hanche, pour bien marquer que cest ma femme.
Notre petite troupe un peu bruyante envahi le vestiaire, chacun cherchant ses affaires. Quelques personnes sont déjà en train de shabiller. Certains mecs ne se gênent pas pour aller et venir nus devant les rares femmes encore présentes. Japerçois des fesses, je mate discrètement pour napercevoir quun sein vite recouvert.
Martine se tourne vers le mur, sans hésiter elle enlève son soutien-gorge et baisse sa culotte. Ses fesses blanches attirent les regards, certains apprécient en connaisseur. Sur le côté, on doit avoir une vue directe sur sa poitrine. Elle se saisie dune serviette pour se sécher rapidement, le geste est sensuel.
La voir nue me donne des idées, certainement pas quà moi
Je mapproche delle, dépose une bise dans son cou en la prenant par les épaules, elle frisonne, pas de froid, tourne la tête vers moi, je lui dépose un baiser sur les lèvres.
Me reviennent en mémoire nos vacances au camping, le soir où nous avons pris une douche avec un couple, elle leur tournait aussi le dos, la prenant par les épaules cest moi qui lavais fait se retourner pour la montrer de face, jy pense mais là je noserais pas le refaire.
Martine me repousse gentiment : « va vite thabiller ». Elle na pas lair trop gênée de la situation ; moi je suis très excité de la voir ainsi nue, même de dos, devant ses amis et quelques inconnus.
Jimagine que tous les hommes présents doivent apprécier le spectacle. Chacun son fantasme, mais ce sont des gentlemen, ils ne regarderaient jamais une femme qui se change, ils savent rester discrets. Comme je le suis, avec les deux jeunes femmes blondes qui se changent dans un coin du vestiaire. Jolies femmes, avec des petits seins comme je les aime, lune est une vraie blonde, lautre je ne sais pas elle a un sexe rasé tout lisse
mais bien sûr je ne les dévisage pas, cest tout un art de savoir regarder sans être vu.
Pourtant, je devine les yeux de nos amis braqués sur Martine. Jévite de croiser leur regard, pas de connivence, ils peuvent mater autant quils veulent, mais je ne voudrais pas quils saperçoivent que ça me plait, encore moins que ça mexcite.
Trop occupé avec mes blondes et à « surveiller » Martine, je ne fais pas attention à Julie, qui elle aussi est nue à deux mètres de moi, je men rends compte un peu tard, elle a déjà troqué son maillot de bain pour des sous-vêtements, alors quelle passe son soutien-gorge, dommage.
Martine fouille dans son sac pour prendre ses vêtements, se faisant elle sexpose un peu plus. Cette fois, elle ne cache plus grand chose.
Lentement elle fait un striptease à lenvers, sa culotte est vite passée, mais sa toison brune na plus de secret pour personne
La robe est enfilée, le boutonnage par devant lui prend du temps, commençant par le bas, les pans sont largement ouverts. « Cachez ce sein que je ne saurais voir », mais que tout le monde a déjà bien vu.
Chacun peut admirer avec quelle grâce, et quelle discrétion, elle fait profiter de ses charmes tous ses admirateurs.
Je sens bien que Martine prend plaisir à ne pas se rhabiller trop vite. Ne devrait-elle pas faire plus attention ? Sa petite exhibe ne me déplait pas, bien au contraire, je ressens le même picotement que chaque fois quelle se change sur une plage. Heureusement que jai déjà passé mon pantalon.
Martine sassoie pour se sécher les pieds, se faisant, elle pose son pied sur le banc, face à Simon qui ne perd rien du spectacle, sa culotte na plus de secret pour lui. Un pied après lautre, sans se presser. Je suis habillé, je lattends tout en discutant avec ses amis. Elle se penche pour ranger ses affaires dans son sac, montrant ainsi ses fesses, non montrant sa petite culotte blanche à ceux qui navaient pas encore eu la chance de la voir. Et devant ? Zut, je nai pas eu le temps de découvrir ce que, bien placés, Jean-Pierre et Vincent peuvent voir.
En faisant une bise à chacun, Martine discute avec Joseph. Il nous invite à finir la soirée chez lui, sans rien me demander elle accepte. Chacun regagne son véhicule. Vincent devant part en moto, je le suis ne connaissant pas ladresse où nous devons nous retrouver.
Nous arrivons chez Joseph, petit chahut dans lascenseur. Tandis que nous nous installons, il va immédiatement chercher à boire, jus de fruit pour tous
on est des sportifs
Nous trinquons
les conversations vont bon train.
Personne ne connaissant, Joseph nous propose de visiter son appartement, ce sera rapide ce nest pas bien grand, un salon avec cuisine américaine et une petite Mezzanine accessible par une échelle verticale en bois, sa chambre est en haut.
Il nous invite à monter « à létage » et passe devant. Martine le suit, je la regarde den bas, vue imprenable sur ses cuisses et sur ses fesses. Je ne suis pas le seul, 4 paires dyeux accompagnent le mouvement. Heureusement quelle na pas oublié de mettre sa culotte. Quoique !
Den haut, Joseph lui tend la main pour laider à gravir les dernières marches. Ses yeux ségarent, je me demande ce quil peut voir dans son décolleté. Rapidement nous sommes tous un peu à létroit dans cet espace réduit. Il nous présente son home : juste la place dun lit bas, au ras du sol, et un petit placard. Dans un coin une salle deau.
La visite est rapide, pour redescendre il passe le premier « pour tenir léchelle », nos amis le suivent lun après lautre, cest au tour de Martine, je fermerais la marche. Je lui tiens la main tandis quelle pose son pied sur léchelle, par réflexe je regarde dans son décolleté comme Joseph il y a quelques minutes, il est bien sage, Joseph a dû être déçu. Je vois en bas 5 paires dyeux qui me regardent, ou plutôt qui doivent vérifier si Martine a toujours sa culotte, même Julie sest jointe aux hommes. Martine descend échelon par échelon en faisant attention, il ne faudrait pas quelle tombe, elle doit bien se douter être lobjet de toutes les attentions.
Tandis que je mengage à mon tour sur léchelle, une main se tend pour aider Martine, est-ce Joseph ou Vincent, peut être Simon, se faisant il passe ses mains sur ces hanches et dans le mouvement remonte sa robe jusquà la taille. Elle tombe dans ses bras sous les rires de tous nos amis.
Jarrive en bas, Martine a rabattu sa robe et la lisse pour arranger sa tenue. Elle me regarde avec un petit sourire « oups ! désolée ».
« Qui a soif ? Vous pouvez vous resservir », petites discussions un verre à la main, pas assez de place pour tous sassoir.
Personne ne séternise, nous regagnons notre voiture pour rentrer chez nous. Je serre Martine dans les bras
elle me chuchote simplement « Ils sont sympa mes amis, Non ? ». Moi en riant, « maintenant, ils doivent tous savoir que tu portes une culotte blanche », elle me sourit dun air coquin. Je ninsiste pas, savourant ce moment inattendu.
Cette fois Martine prend le volant, je vais avoir 20 minutes de repos.
Dans la voiture, comme chaque fois que Martine conduit (ou une autre femme dailleurs), je suis attiré par ses cuisses, jaime le ballet de ses jambes qui sécartent et se resserrent, passant du frein à laccélérateur.
Très vite je commence à somnoler, je ferme les yeux goutant le plaisir de me faire conduire.
« Patrick, tu rêves
nous sommes arrivés »,
Une main sur mon épaule Martine me secoue gentiment, je nai rien vu de la route. Nous sommes arrivés dans le parking de notre immeuble. Jouvre un il, bercé par le ronron de la voiture, je me suis assoupi, mon esprit est reparti vers les douches. Martine me sourit « Dis donc, je ne sais pas ce qui hante tes pensées mais vu ton sourire, ce ne devait pas être désagréable ».
En lui rendant son sourire, je la prends dans mes bras et lembrasse, retrouvant les mêmes gestes que lorsquétudiant je la raccompagnais chez elle. Je déboutonne sa robe et lui caresse les seins, je réalise quelle na pas remis son soutien-gorge. Je repense à tout à lheure, en montant à léchelle, Joseph a-t-il pu sen apercevoir ? Et quand elle est tombée de léchelle dans les bras de
je ne sais plus qui, il a bien dû sen rendre compte.
Je la pelote amoureusement, mes lèvres collées aux siennes. Au moment où je me penche pour lui sucer les tétons :
« Nous serions mieux chez nous, tu ne crois pas ? Nous navons plus 20 ans »
Avant de descendre de voiture, alors quelle sapprête à refermer sa robe, jarrête son geste « comme ça tu es belle, il ny a que nous » et déboutonne les derniers boutons retenant les deux pans de sa robe.
Dans le parking, sa robe souvre largement en marchant, nous sommes seuls, mais excités par le risque quune voiture narrive
cela nous rappelle certains soirs peu après notre mariage, Martine dansant nue dans le parking, prenant lascenseur dans le plus simple appareil jusque chez nous
montée dadrénaline assurée.
Main dans la main, elle rejoint lascenseur la poitrine à lair, les pans de sa robe volent autour delle. Dun geste machinal, elle referme sa robe lorsque la porte de lascenseur souvre, on ne sait jamais.
Jouant les jeunes, tandis que nous montons au septième ciel (enfin au cinquième étage), je la caresse et lembrasse. Petit coup au cur, lascenseur sarrête au rez-de-chaussée
fausse alerte, il ny a personne. A cette heure peu de risque de rencontrer un voisin. Dommage ?
Sur notre palier, les clés à la main, je passe devant pour ouvrir notre porte. Surprise, Martine me suit nue (en culotte), elle tient dune main sa robe quelle a enlevée en sortant de lascenseur. Petits frissons garantis. Le risque de se trouver nez à nez avec notre voisin est faible, pourtant nous y pensons, nous limaginons tous les deux.
On ne va pas séterniser sur le palier, je la laisse passer et referme la porte les yeux rivés sur ses fesses. Pas le temps daller dans notre chambre, juste deux baisers torrides de la porte à notre canapé
il en a vu dautre. Ah, sil pouvait parler !
Ce soir-là, en prenant une douche réparatrice, Martine me fait remarquer « Quelle forme mon chéri ! Cest faire du sport qui ta mis dans cet état ? ».
Je ne sais pas ce qui ma décidé, deux jours après je suis allé minscrire à la salle de gym, plutôt au centre de Fitness.
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