Suzanne 5
-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --
Suzanne 5
Dimanche matin. Réveil, ciel bleu, fenêtres grandes ouvertes malgré le froid
- Alors, cher ami, bien dormi ?
- Oh oui. Vous maviez ?
- ? Non. Juste un petit somnifère, au cas où notre petite opération dhier se serait réveillée.
Par curiosité je glisse ma main vers mon sexe. Lanneau quelles mont mis au scrotum est toujours là. Je dois me rendre compte ; elles mont percé comme pour mettre une boucle doreille. Et je ne ressens rien. Ouf.
- Tu ty habias. Dans une semaine tu auras limpression de toujours avoir eu ce pendentif accroché aux couilles. Il faudra juste faire attention, si tu fais du vélo. Prendre un cuissard adapté.
- Au fait, et Ginette, elle sest tirée ?
- Non, pas du tout. Je crois quelle tattend.
- Elle est où ?
- Ne sois pas si pressé. Il faut dabord que je te raconte. On a dormi cote à cote tous les trois.
- Et ?
- Eh bien je parie que tu as fait un rêve érotique
- Comment vous le savez ?
- Vers minuit, Ginette ma demandé la permission de te mettre un doigt dans le cul tout doucement sans te réveiller. Histoire de voir. Une goutte de vaseline et hop cest rentré comme dans du beurre. Droit au but. Droit à la prostate.
- Jai rien senti.
- Cest ce que tu crois, on a vu ta bite devenir dure, dure, très dure, elle sortait de ton caleçon toute seule comme une asperge bien épaisse. Alors Ginette ma fait part, du regard, de son désir daller plus loin. Ma réponse « Oui, vas-y. mais sans les mains ; il faut le faire juter sans le réveiller. Tu veux bien essayer ? Tu me le passeras pour le finir ».
- Vous mavez
?
- Oui Chéri. Une bonne pipe bien baveuse. Elle ta travaillé avec sa langue, elle ta décalotté avec ses lèvres, elle ta léché au moins vingt minutes jusquà la première goutte. Et elle ma passé le relais. Sans les mains, ça dure bien plus longtemps.
Quand je tai eu je me suis mise en gorge profonde ; sans les mains, comme Ginette, tout en douceur. Ta queue était comme au fond dune vulve, dune chatte de salope ; je sentais ton gland au fond de ma gorge cétait trop bon ; tu as tenu longtemps, puis tu tes mis à gémir, et tu as envoyé une belle dose. Jai tout avalé. Et tu ne tes pas réveillé.
- Ouah
jen reviens pas. Mais, et vous ?
- Moi, cest Ginette qui ma finie, sous la douche, après la pipe Duracell, celle qui dure très longtemps..
- Vous êtes deux belles salopes, tout de même !
- Oui, Chéri, très salopes entre nous.
- Mais, elle est où ? Partie ?
- Non, regarde, ses fringues sont toujours là.
- A la salle de bains ? Non, je nentends rien. Et en plus cest éteint.
- Hier, et cette nuit, nous avons bien joué avec ton sexe et tout le reste. Aujourdhui je tai préparé une surprise.
- Ginette ?
- Oui, viens voir. Ce matin, elle est à toi.
- Toute à moi ?
- Oui, tu y fais tout ce qui te passe par la tête. Et par le reste
- Elle est où ?
- Elle est prête. Viens à côté.
Nous voici à présent dans un très grand salon que je ne connaissais pas encore. En fait, pas un salon où on boit un coup entre amis, plutôt un salon de supplices. Il y a des gadgets SM dans tous les coins. Et des photos aussi. Elle me fait une visite guidée et sattarde sur un cône effilé en ivoire, ou quelque chose de ressemblant, bien patiné. Au moins 40 cm de long. Mais il y a un système pour lallonger un peu. Jimagine 20 cm de mieux, cest terrible. Fixé sur un socle en bois. très lourd, Vertical.
- Cette chose cest pour empaler les punis. On lappelle lobélisque. Quand cest une femelle, on commence par devant. En général elles aiment ça. Puis on finit en lui mettant dans le cul, et elles aiment moins ; et ensuite on étire lobjet, jusquà ce quelle demande grâce.
- Et si le puni est un mâle ?
- Direct dans le cul.
- Ça doit faire mal.
- Très mal, regarde les petits picots tout du long.
- Et alors, elle est où ? Elle est punie ?
- Viens voir. Fais glisser le panneau.
Il y a dans le fond une sorte de double cloison escamotable suspendue. Une cloison japonaise, je crois quon dit comme ça.
Et là, voilà « ma » Ginette. A poil. Baillonée au scotch. Fixée jambes écartelées à un espalier de gymnastique. Empalée par le cul sur un gode en inox XXXL. Immobilisée.
- Elle est à toi. Je peux te donner des ordres, ça mexcite.
- Oh oui, dites-moi.
- Tripote lui les tétines, elles sont bien rouges déjà comme des fraises.
- Je peux avec ma bouche, aussi ?
- Avec les doigts pour commencer ; tu les prends en vrille quelle ait bien mal. Fais les devenir bien durs.
- Hmmmm oui
- Avec ta bouche à présent. Tu peux la mordre si ça te dit. Venge-toi de ce quelle ta fait hier la vieille salope.
Je mordille doucement, le droit, le gauche, puis plus fort et elle se tord comme électrifiée. Jai du y aller trop fort.
- Occupe-toi du minou maintenant. De la même manière. Pince bien ses lèvres, suce les, fais la couiner, il faut quelle mouille à fond.
- Je mapplique Suzanne, je mapplique. Je vous ai déjà vu faire.
- Dégage bien son haricot, suce le, pince le, je veux quil soit tout rouge.
- Oh oui
je le tiens bien.
- Mords le, carnivore, mords le, fais la gueuler.
Et alors, mystère, elle a tellement que le bâillon a sauté, et jai cru entendre Tarzan tellement elle a gueulé fort.
- Détache la.
- Difficile de la sortir de là, elle est sodomisée comme sur un piquet.
- 20 cm seulement. Débrouille toi, met la dans lautre sens. Face au mur, quon voie bien son petit cul bien mûr.
- Voilà, voilà, Suzanne.
Ce faisant je la pends à lespalier, les poignets fixés au plus haut. Une sangle autour des reins pour la bloquer. Et les pieds qui ne touchent pas terre, les jambes libres de tout mouvement.
- Et le gode ? Dans la chatte ?
- Non, pas tout de suite.
- Jy fais quoi ?
- Choisis, dit-elle en ouvrant un grand abattant plaqué contre le mur.
Mazette, il y a tout pour faire mal. Au fessier, sentend. Et même ailleurs.
Je suis intrigué, il y a un second abattant, marqué dune croix rouge. Je linterroge du regard, et elle ouvre.
- Celui-ci, cest pour jouer au docteur. Pas aujourdhui. Tu peux juste regarder. Nécessaire à lavement. Canules de toutes formes et longueurs. Ventouses à lancienne. Des seringues bien sûr. Des speculums pour la foufoune, dautres pour le petit trou. Hmmmm
- Cest terrible, comme trucs.
- Un autre jour, chéri. Peut-être elle, peut-être moi, peut-être toi. Le sort décidera.
- Et le premier lot ?
- Regarde, et choisis.
Je nen reviens pas. Martinet, fort court, fouet long, pinces de forgeron, godes gonflables, menottes, fléchettes, incroyable !
- Je vais taider à choisir. Pour commencer tu prends la cible des fléchettes. Il y a un système de velcro. Tu la lui mets où tu veux. Mais le mieux cest sur le cul.
- Mais la cible est bien mince.
- Cest fait exprès. Et cest réutilisable à linfini.
Je comprends vite le but de la manuvre. Le problème, cest que Ginette comprend aussi. Et malgré le bâillon et toutes ses attaches elle fait « Non » de la tête.
- Ajuste la bien. Sur une des fesses. Tiens, la gauche par exemple. Et tu vises bien, à trois mètres. Je vais te montrer.
Et la séance commence. Jai droit à dix tirs.
En fait, la première fléchette, celle de Suzanne, arrive en plein milieu de la cible. Elle sait faire. « Cest là quil faut viser », selon Suzanne. Je ne suis pas très adroit, ma première rate la cible et va se planter droit dans le gras de lautre fesse. Aïe, ça fait mal, et en plus elle reste pendue en banderille.
- Applique-toi, on arrêtera quand tu auras mis dans le 1.000
Et lautre qui se met à pleurer maintenant, cest incroyable.
- Bon. On ne va pas sen tenir là. Une petite séance de fouet, ça te dit ? Prends le court.
- Combien de coups ?
- Tu cognes fort ?
- Oui sil le faut
- Alors, vingt coups, et ensuite on la remettra dans le métro. Et toi aussi. Ce sera assez pur aujourdhui.
- Mais
on va la démolir.
- On sen fout ; elle vient pour ça. Et comme ça tu as un avant-goût de ce qui peut tarriver un soir ou un autre week-end.
- Bon, daccord, mais je préfère lui mettre vingt coups de cravache, je lai mieux en main. Je pourrai taper bien fort et bien viser.
- Alors attends, on la pend au plafond tu pourras te faire plaisir. Devant, derrière, les nénés, la vulve, tout ce que tu veux.
La voilà pendue au plafond. Je crois bien que jai largement dépassé les vingt coups. Et elle en a pris de partout. On la détache et on la pose, inerte, dans un bain bien chaud avec des sels calmants.
- Et moi ?
- Oui, toi, mon salaud, je vois que tu bandes encore comme un âne. Tu veux quoi ? Ma bouche ? Mon cul ? Viens là, entre mes nénés, polisson.
Je navais jamais fait ça. Elle me masturbe entre ses lolos, elle sait y faire la garce. Elle suçote quand elle peut, elle arrête quand il faut. Mon bâton est raide comme jamais ; cest vrai quen deux jours jai joui un certain nombre de fois , je my perds un peu. Voilà quelle me flatte les couilles la garce elle sait que cest bon, elle menfile un doigt au cul, et tout à coup elle lâche tout et se met en levrette sur le dallage. « Dans mon cul, vite, prends-moi comme une pute, embroche-moi, fais moi mal, et jouis moi dans le cul, je veux terminer ce week-end en beauté. »
Que croyez vous quil arriva ?
A suivre
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