Solange : Du Dogging Au « Palladium ». (Partie 5) Fin De La 1Ère Saison.

Il y a de cela 4 ans, depuis la rentrée scolaire, Solange allait régulièrement tous les mercredis et parfois le samedi au « Palladium » une salle de sport et de remise en forme. Patrick son mari connaissait bien le gérant Manuel dans la mesure où il avait fait un petit reportage publicitaire pour le blog de cette société l’année précédente.

Manu (Manuel) était un adepte du gonflage, c’était un très bel homme toujours en short serré montrant une belle boursouflure à son entre-jambes et en Marcel offrant à la vue de tous, ses deltoïdes hors normes et un torse poilu reflétant un homme viril.

Pendant le tournage, Patrick avait remarqué que Manu et d’autres bodybuilder faisait un peu les coqs devant certaines femmes, il lui demanda donc s’il avait lui ou d’autres, avaient eu des aventures sexuelles avec les clientes. Manu ne s’en cacha pas, il lui raconta les relations qu’il avait soit dans les vestiaires ou dans son petit bureau. Patrick en était tout émoustillé, fantasmant sur les exploits de cet homme de cinquante-deux ans qui disait avoir une aventure par semaine, tant avec des femmes matures qu’avec des filles de 18 ans !

Machinalement, curieux, Patrick lui montra une photo de Solange :
— C’est ta femme ?
— Pourquoi ? Tu crois que c’est ma fille ? Lui répondit-il ironiquement.
— T’as de la chance, je peux te dire que tous les mecs ici tournent autour d’elle et aimeraient bien se la faire, et moi en premier, une vraie salope ! Mais elle vient toujours en milieu d’après-midi, il y a trop de monde.
— Et pourquoi dis-tu que c’est une salope ?

— Parce que sur mes conseils, je lui ai dit une fois que pour la circulation sanguine, il était préférable de porter des vêtements moulant sans sous-vêtements ! Et bien tu ne me croiras pas, ta salope, la semaine suivante s’est ramenée comme ça, mais pour pas choquer les autres adhérents, elle avait enfilé un gilet en lycra par-dessus.

Elle se mettait toujours dans un coin ou à l’extérieur des autres pour faire les exercices, mais j’allais souvent la voir, et je peux te dire que sur le tapis de course je regardais ses nibards ballotter, et elle me souriait sachant que je venais la mater ! Même que sur le rameur, elle s’est laissée tripoter ses mamelles alors que je lui montrais comment se tenir.

— Et alors ?
— Elle n’a rien dit, la pute, j’en bande encore. J’ai dû arrêter parce qu’un blaireau s’est installé à côté d’elle.
— Et ça te fait chier de pas l’avoir mis sur ton tableau de chasse ?
— C’est vrai que j’aimerais me la troncher.
— Tiens, regarde. Dis Patrick en montrant des photos de Solange nue comme un ver.
— Ho putain ! Ce n’est pas possible, malgré tout le respect que je te dois, elle ne t’a jamais fait cocu ?
— Plus que tu ne le crois, mais ça ne me dérange pas, on a un deal elle et moi. Si tu veux te la baiser, ou même l’enculer si tu aimes ça, je t’arrange le coup.

Ce fut ainsi que Patrick avait fait en sorte que son épouse arrive tardivement au club. Ce que ne savait pas Solange, c’était que ce Manu lui avait dit qu’un de ses encadrants avait eu une relation avec leur fille. Solange va vous raconter ce qu’elle avait vécu sans savoir ce qui s’était dit entre Patrick et Manu, son mari lui ayant tout avoué qu’après.

Patrick et moi étant associé dans une société, nous avions ce jour-là un rendez-vous avec notre banquier un mercredi après-midi, le jour où justement, j’allais à la salle de sport. Comprenant que cela m’ennuyait mon mari avait insisté pour que j’y rende à la fin de notre rendez-vous et qu’il m’y accompagnerait. Nous sommes arrivés au club à dix-huit heures quarante-cinq, alors que le Palladium fermait à dix-neuf heures trente. Patrick avait tenu à rester à l’extérieur, je m’étais hâtée pour me changer, il ne me restait plus qu’une petite demi-heure et encore. Le temps que je me rechange, je serais dans l’obligation de prendre la douche à la maison.
À cette heure-là, je m’aperçus qu’il y avait beaucoup moins de monde, et que certains de ces sportifs se dirigeaient déjà vers les vestiaires.

— Excusez-moi Manu, ai-je encore un peu de temps ? lui demandais-je.
— Ne vous inquiétez pas, prenez votre temps, je ne suis pas pressé ce soir, à 19h30, je ne vous mettrais pas à la porte !

Comme à l’accoutumé, je commençai mes agrès. Vers dix-neuf heures vingt, je me suis retrouvée seule dans la salle. Manu avait demandé à un de ses acolytes de le remplacer à l’accueil pour vérifier la sortie des adhérents. J’avais changé d’instrument de , je me donnais à fond, mon body et ma culotte collaient à ma peau qui transpirait. La pendule de la salle était derrière moi, je ne voyais pas le temps passé, j’étais si bien dans l’effort.

Lorsque je voulais changer une nouvelle fois d’appareil, j’aperçus l’heure. Ce n’était pas possible me suis-je dite affolée, déjà 19h45. Précipitamment, j’avais traversé la salle, et je pénétrais dans le vestiaire.

Je ne savais pas pourquoi, mais une chose était sûre, Manu se trouvait bien dans le vestiaire des femmes, je lui sortis ma tirade d’une traite :
— Je suis désolée, je n’ai pas vu le temps passer, excusez-moi, je ne vais pas prendre de douche, je me change et dans une minute, je serai partie. Je suis navrée de vous avoir fait m’attendre, la prochaine fois je porterai une montre.

Manu était assis, adossé au mur sur un banc qui tout en longueur séparait le vestiaire avec ses casiers de chaque côté. Il avait un sourire goguenard en me voyant confuse de la sorte. Je suis allée à mon casier, je faisais le code d’ouverture du cadenas, je sentais sa présence derrière moi.
— Prends ton temps Solange, je ne suis pas pressé ce soir. D’ailleurs qui pourrait avoir hâte de s’en aller en ta présence ?

Sa voix était posée, rassurante, et surtout la manière de parler, occultant le vouvoiement me firent en un déclic penser que le rapport gérant cliente se transformait en une relation plus intime.
Je ne m’étais pas trompé, Manuel me saisit très tendrement par les épaules, presque trop affectueusement et me posa un baisé dans le cou. Paralysée par cette soudaineté, mes doigts restèrent tétanisés sur le cadenas.

Un deuxième baisé langoureux s’en suivi, prolongé par sa langue qui vint se pourlécher de ma sueur salée qui dégoulinait encore de ma nuque.
A ce moment précis, incapable de bouger, je n’attendais qu’une chose, qu’il poursuive, qu’il prenne l’initiative. Je n’avais aucune appréhension, sauf celle de la déception. Était-ce sur l’instant ou à postériori, je pensais à mon mari qui m’attendait dans sa voiture.

« Ce n’est rien » me dis-je, je lui dirai tout, c’est peut-être ce qu’il désire au plus profond de lui, après tout. J’occultai Patrick de mes pensées pour goûter le fantasme devenu réel, de cet homme à la carrure d’un jeune Arnold Schwarzenegger.

Tout en s’éternisant de se délecter de ma sueur, il lâcha mes épaules en faisant glisser ma veste en Lycra qui chut à mes pieds. Ses mains se posèrent sur le haut de mon short qu’il fit riper le long de mes cuisses. Il ne parlait pas, je ne sentais que le souffle chaud de son haleine sur ma gorge et ses lèvres sur ma peau.

Il me sentit consentante, abandonnée, voir résignée. En connaisseur de toilettes sportives féminines, je perçus ses doigts farfouiller dans mon bas ventre, et dans un bruit incongru, le scratch de mon body se défit. Je n’avais plus se fourreau éphémère et illusoire qui préservait mon intimité. Je ne m’offrais pas à lui, me laissant faire, je devenais sa chose, me déconsidérant de cette tenue négligée, de la moiteur de mon corps aux effluves nauséabondes.

D’une main ferme, il ôta son short tandis que de l’autre, il commença à masser langoureusement ma poitrine au travers mon maillot. Machinalement je me cambrais. Ses deux mains allaient alternativement de mon cou à mon ventre, alors que je percevais sa verge tendue qui effleurait mes fesses.


Il dégagea mes épaulières et découvrit mon torse. Une main câline effleura à tour de rôle mes tétons. Je frémis en les sentant s’ériger. Mon body rejoignit sur le sol, le reste de mes vêtements. J’attendais dans ma position d’offrande, qu’il me pénètre comme une jument qu’on amène à la saillie, la croupe dédiée à l’accouplement. Mais il n’en fit rien, les bouts de ses phalanges sinuèrent le long de mon flanc, ma fesse, ma cuisse, comme pour s’imprégner de mon corps.

Me saisissant de nouveau par les épaules, il me guida vers l’extrémité du banc, y déposa une serviette, puis il me fit m’assoir, avant de guider mon corps pour m’allonger. À son tour, il s’agenouilla et écarta mes cuisses. Ses narines soufflaient un air chaud sur mes grandes lèvres humides. Je redoutais se moment, mon aine devait exhaler des odeurs de sueur et de femme peu soigneuse de son intimité, j’avais peur de sa réaction. Il s’en aperçut et me dit :
— J’adore dit-il en humant mon sexe que ses doigts écartaient, t’es la femme qu’on désire, la louve qui pue le vice la luxure…

Ses paroles se perdirent lorsque sa bouche avide se plaqua contre ma vulve. Ses lèvres, sa langue passaient et repaissaient sur mon sexe, j’en redemandais tant sa fougue et sa douceur me procuraient du plaisir. Une main posée sur mon ventre cajolait mon pubis glabre alors que de son pouce il excitait mon clitoris sorti de son capuchon de chaire. Son autre main, sous mes fesses me caressait avant qu’un doigt barbouillé de mon envie et de sa salive se mette à lustrer ma rosette violacée.

Je gémissais en lui tenant la tête entre mes mains. Par petites poussées expertes, il agaça mon anus. Je le voulais en moi, « qu’attendait-il ? » Tout mon esprit se concentrait sur mon ventre, je le voulais, je devenais folle de vouloir jouir, folle de cette attente. J’eus une sorte de vertige lorsqu’enfin son doigt vint me fouiller. Sans pouvoir me contrôler, mon corps fut parcouru de spasmes et mes jambes se mirent à trembler. Un orgasme violent me secoua, je ne me contrôlais plus, mes muscles se contractaient et se relâchaient, honteusement mon ventre se trempa.

Il se redressa, visage gluant, pour me voir jouir, mais ça ne devait pas lui suffire, il plaqua sa paume contre ma vulve et d’une fougue souveraine, il me masturba. Je voulais refermer mes jambes sur sa main, ma jouissance devenait presqu’intolérable, je voulais un peu de répit, mais il m’en empêcha. Je ne suis pas ce qu’on appelle une femme fontaine, pourtant je percevais ma jute souiller mon ventre et mes cuisses.

Dans cette luxure extrême, je ne savais plus où j’étais, ni conscience du temps qui s’écoulait, j’aurais pu être sur une placette avec des dizaines de personnes autour de moi, ça n’aurait rien changé. Il cessa sa frénésie à me voir ne plus me contrôler. Il s’était redressé, je découvrais son phallus. Un monstre, la boursouflure de son short ne mentait pas, presqu’une difformité à mes yeux, son sexe n’était pas grand, sans doute normal, mais son épaisseur aux veines saillantes en faisait une monstruosité que je comparais à un avant-bras amputé. J’étais hypnotisée par son pénis. Rapidement il me fit mettre à genoux et me plaqua le buste contre le banc.

— Non !!! Hurlais-je.
Il forçait mon anus, la brulure fut intense.
— Ton mari m’a dit que tu aimais être enculée.
— Doucement, le suppliais-je tout en geignant.
S’immobilisant, il se pencha sur mon dos, et me couvrit de baiser tout en me murmurant :
— Excuse-moi, tu m’as vraiment trop excité. J’ai trop envie de toi… Tu veux que je te baise plutôt ?

Je lui fis signe que non de la tête. Très lentement pour que je m’habitue à sa grosse queue, il alla en moi. Il me disait presque tendrement que j’étais une salope, sans doute la pire qu’il ait fait jouir si intensément de sa bouche et de ses doigts. Ce qu’il me disait était salace, irrespectueux, et pourtant j’aimais l’entendre. Je me suis surprise comme souvent, à comprendre que ma jouissance se décuplait dans le sexe violent, dans l’irrespect de ma personne, je me complaisais dans ce sexe animal et sauvage.

Mon fondement s’amadouait à cette verge puissante, mon cul venait s’empaler peu à peu sur lui, alors que ses mains encensaient mes seins. Le plaisir me revint peu à peu. Pour augmenter mon plaisir, je glissais ma main entre mes cuisses. Il s’activa dans mes entrailles. Un râle guttural déchira le silence, il se raidit tout en se dégageant. Son sperme gicla sur mon dos par saccades. Mes doigts gluants s’animèrent dans ma vulve dans un chuintement glauque, à mon tour je me mis à couler lorsque mon corps tout tremblant s’abandonna.

Sous la douche, nous nous caressions encore. Je m’agenouillais, son gland puait le sperme et mon odeur, j’aimais, sans doute ce côté animal, qui me fit souvent fantasmer à des interdits. Je racontai tout en détail à Patrick, déçu de ne pas avoir assisté à ma jouissance, mais heureux de savoir que je me reconnaissais comme « sa salope ». Sur l’accord de Patrick, quelques semaines plus tard, Solange avait souvent des mains baladeuses avec Manu et un moniteur également qui en avaient profité et ils avaient de nouveau, baisé Solange, mais le mari toujours à l’affut était caché dans l’entrebâillement d’une porte de douche.

Si comme Solange et Patrick vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email.

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